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mardi 28 février 2017

Jérémie 34: 1-22 (PQ du 2/3/2017)

COMME VOUS ETES REVENUS
Verset Clé 34: 18
Jérémie prophétise le sort du roi de Sédécias. Puis, il dit une des raisons pour lesquelles Dieu décide de la déportation.
1. Tu mourras en paix (1-7)
Dieu dit à Jérémie d’aller à Sédécias prononcer le sentence de sa fin. Il sera saisi par la main du roi de Babylone et emporté par lui à Babylone comme otage, et il ne sera pas décapité là-bas, mais il mourra en paix. On lui brûlera le parfum et fera les funérailles. Sédécias est un roi qui s’appuie sur Egypte, mais celui-ci ne lui apportera pas d’aide. Il sera emporté par le roi de Babylone. La raison de cette affranchissement est marqué par le prochaine épisode.
2. Comme vous êtes revenus (8-22)
Sédécias prend une bonne mesure comme s’il fait son acte de testament. Il promulgue l’affranchissement des esclaves Juifs. Jérémie évoque que c’est un ordre donné par Dieu quand il a fait sortir le peuple du pays d’Egypte. Au bout de 6 ans de travail, Israël se doit d’affranchir les esclaves de son peuple. Mais leurs pères ne l’ont pas écouté. Cela peut paraître comme la chose de moindre importance. Mais ce n’est le cas. Car c’est une alliance avec Dieu inviolable qu’il brise. Ainsi les juifs maîtres reviennent à leur décision pour asservir les ex-esclaves à leurs travaux. C’est sûrement pour des raisons économiques. Mais c’est une révolte délibéré du peuple. Dieu se met en colère. Alors Dieu rompe l’alliance avec son peuple et l’emporte en captivité en Babylone. Il est important de garder l’alliance avec Dieu coûte que coûte. Il ne faut jamais revenir à notre décision de vœux selon les circonstances.
Prière : Seigneur, aide-moi garder ma décision coûte que coûte, pour ne pas y revenir et devenir homme et femme de circonstance.
Un mot : Ne sois pas homme de circonstance et garde le vœu à tout prix.

lundi 27 février 2017

Jérémie 33: 1-26 (PQ du 29/02/2017)

INVOQUE-MOI, ET JE TE REPONDRAI
Verset Clé 33: 3
C’est une des paroles préférées des chrétiens, très connue donc. Dieu puissant répond à la requête de ses enfants.
1. Invoque-moi, et je te répondrai (1-13)
Dieu dit à Jérémie en prison, « invoque-moi, et je te répondrai. Je t’annoncerai de grandes choses, des choses cachées, que tu connais pas. » Notre Dieu est au-delà de l’imagination. Il est grand et puissant, et son bras n’est pas si court pour ne pas sauver son peuple. Une fois que le peuple prie Dieu avec foi, Dieu est prêt à l’écouter. Donc, nous devons sortir de nos cocons de pensées limitées, et prier par la foi, pour que ses grandes œuvres soient révélées. La restauration d’Israël est inimaginable, alors qu’elle n’a même pas commencé. Dieu purifie la ville rebelle et ramène les captifs, et le deuil et la tristesse se changent en chants de réjouissance et d’allégresse (9,11). Le lieu dévasté sera change en terre de pâturage.
2. Je ferai germer un germe de justice (14-26)
La justice de Dieu est bafouée par le peuple et les pays voisins déshonore Dieu en voyant le malheur du peuple. Mais le jour vient où la justice de Dieu s’établit de nouveau. Il y aura le successeur sur trône qui pratique le droit et la justice (jusqu’à Jésus) et Dieu s’appelle Dieu de justice. La maison de Dieu sera rempli des sacrificateurs et Lévites. Dieu fait l’alliance non brisable avec le jour et la nuit. De même l’alliance se fera solidement avec son peuple et cela ne sera jamais désormais brisé (20,25). De même que les étoiles du ciel et sable de la mer ne peuvent être comptés, son peuple deviendra innombrable.
Prière : Dieu, je t’invoque, répond-moi, car je veux être un serviteur de tes merveilles. Merci de Jésus qui est mon germe de justice.
Un mot : Invoque-moi. Je te révélerai des merveilles cachées.

Genèse 32 : 1- 35 :29 ; 47 :27- 49 :33 (Q)


LA DERNIERE PEREGRINATION DE JACOB

Verset Clé 32 : 27

1.      Lisez le chapitre 32. De quelle manière Dieu a-t-il montré son amour et sa fidélité à Jacob ? De quelle manière Jacob essaye-t-il de régler le problème qu'il y a entre lui et Esaü ? Que révèlent ces actes du caractère de Jacob ?

2.      Que se passe-t-il pendant la lutte de Jacob avec l'homme ? Que révèle cet incident de la nature de Dieu ? Qu'est en train d'apprendre Jacob au sujet de lui-même, au sujet de Dieu ?

3.      Lisez le chapitre 33. Comparez cette rencontre entre les deux frères avec leur vie commune dans le passé. Que s'est-il passé entre temps chez Esaü ? chez Jacob ?

4.      Que pouvez-vous apprendre ici sur la manière de résoudre les conflits avec les autres ? Quelle démarche positive pouvez-vous effectuer aujourd'hui pour contribuer à résoudre un conflit avec quelqu'un ? Mais réfléchissez sur le rôle fondamental de l’événement de Yabboq dans cette solution pour Jacob et pour vous.

5.      De quelle manière Jacob trompe-t-il une nouvelle fois Esaü ? Qu'y a-t-il de significatif dans le nom de l'autel (cf. 32.9) ?

6.      Lisez le chapitre 34. Quelle est la tentation qui se présente à Jacob ? Comment y fait-il face ? Pourquoi les fils de Jacob réagissent-ils si violemment ? Décrivez le caractère de chacun des protagonistes tel qu'il est révélé par leurs actes.

7.      En quoi l'attitude de Dieu à propos de mariage mixte, entre ceux qui le servent et ceux qui ne le connaissent pas, affecte-t-elle votre manière de concevoir un conjoint ?

8.      Lisez chapitre 35. Que s'est-il passé au fond chez Jacob, entre sa première rencontre avec Dieu à Béthel et son retour ? Qu'est-ce qui est allé de travers ? Pourquoi ? Qu'a-t-il enfin appris ?

9.      Qu'arrive-t-il de plus à Jacob pendant cette période de crise ? Comment les promesses de Dieu se réalisent-elles en et par Jacob ? Qu'apprenez-vous ici du caractère de Dieu ? Que s'est-il passé depuis votre première véritable rencontre avec Dieu ?

10.  Lisez des 47 :27 au chapitre 49. Qu'apprenez-vous ici au sujet de Dieu ? Comment Jacob résume-t-il sa vie (comparez avec le résumé qu'il fait au chapitre 47) ? En quoi les prédictions concernant Ephraïm et Manassé sont-elles similaires à celles faites et accomplies au sujet de Jacob et d'Esaü (cf. 25.21-34 , chap. 27) ? Quelle est la perspective de Jacob dans cette situation ?

11.  Sur quelle base Jacob prédit-il l'avenir de ses fils (suivez leur carrière dans la suite de l'histoire juive) ? Comparez son résumé de leur caractère avec ce que vous avez appris d'eux. Dressez la liste des métaphores qu'il emploie pour les décrire et expliquez-les. En quoi Juda est-il mis à part ?

dimanche 26 février 2017

Jérémie 32: 1-44 (PQ de 28/02/2017)

JE VOUS FERAI REVENIR
Verset Clé 32: 44
Jérémie raconte de nouveau l’histoire d’Israël à la veille de son retour. La leçon d’histoire est importante avant de recevoir la bénédiction.
1. Achète un champs et fais le contrat (1-15)
Le roi Neboukadnetzar assiège Jérusalem. Jérémie est en prison, à cause de sa prophétie de malheur au roi et au peuple. Dieu l’appelle et lui demande d’acheter un champ de son oncle et faire sous les yeux des témoins le contrat d’achat, ce que Jérémie fait. C’est un acte insensé, car on ne sait si demain ou après-demain, il mourrait. De plus, c’est insensé, car bientôt, les envahisseurs s’empareront du pays et tout le contrat perdra la validité. Jérémie obéit, malgré tous ces incertitudes. Le contrat se rapporte à l’alliance. Jérémie sent qu’il a pour but de renouveler son alliance avec son peuple, mais pas plus pour l’instant.
2. La parole lui est adressée (16-44)
Maintenant, la parole de Dieu lui est adressée. Jérémie parle d’abord sur la puissance de Dieu en qui rien n’est impossible et par laquelle il a fait des merveilles. Mais malgré cela, le peuple n’a pas écouté sa parole. Ils n’ont fait que ce qui est mal dès leur jeunesse, pour provoquer la colère. Ils commettent l’infamie en adorant Baal sur le toit de chacun. Comme ils tournent ainsi leur dos à Dieu, Dieu décide de tourner son dos et les fait déporter par Babylone. Mais au bout de la captivité, il se repent, car Dieu met en eux le coeur de chair et la crainte. Ainsi, Dieu se réjouit de les implanter dans le pays. Dieu établit une nouvelle alliance éternelle. Dieu veut faire un contrat d’achat, car nos âmes ne sont pas définitivement perdus.
Prière : Seigneur, donne moi le coeur et la crainte pour confesser mon péché. Merci de ce que tu me donne l’espérance de la rédemption.
Un mot : Le contrat d’achat de Dieu

Genèse 29 :1-31 :54 (M)

DIEU ENTRAINE JACOB
Genèse 29 :1-31 :54
Verset Clé 29 :10
« Lorsque Jacob vit Rachel, fille de Laban, il s’approcha, roula la pierre de l’ouverture du puits et abreuva petit bétail de Laban. »
Aujourd’hui, nous apprenons comment Dieu entraîne Jacob quand il vit chez Laban, son oncle. Mais nous pouvons trouvez aussi quelques merveilles dans la vie de Jacob provenant de son caractère inné. Apprenons-les. Avant tout laissons-nous entraîner par la main puissant de Dieu dans nos vies. Mais avançons par cette étude afin que nous discernions et apprenions les merveilles innés de Jacob, pour changer nos caractères parfois fautivement implanté depuis l’enfance, et ce surtout quand nous vivons dans cette génération de prédilection excessive qui torde le caractère à notre insu.
Premièrement, le merveille de Jacob révélé.
Jacob se remet en marche et s’en va au pays des fils de l’Orient. C’est la ville appelée Haran. Et elle est le chef-lieu de la région appelé Padam-Aram. Les habitants utilisent la langue araméenne et c’est la même langue qu’Abraham. Selon Genèse 11, Terah amène son fils Abraham et son petit-fils Loth, qui est devenu orphelin de son père décédé appelé Hâran. La Bible ne dit pas pas que Nahor, deuxième fils aussi le suivait et sa famille s’installa à Padam-Aram. Soit qu’il a suivi avec sa famille la trace de son père Terah après la nouvelle de sa mort, soit il a suivi ensemble le voyage de Terah, sans que la Bible en dise. Si nous voyons qu’il est mentionné la ville de Nahor dans le chapitre 24, Nahor a bâtit une ville et eu une certaine notoriété et influence dans cette ville près de Hâran. Jacob, recevant l’indication de la direction de la ville de Nahor, se dirige par étape vers cette ville. A l’époque, en raison de l’absence de boussole et les étoiles étant les seules indications de la direction, il risque beaucoup de se perdre. Mais par le guide de la bienveillance de Dieu, Jacob frappe juste la cible et arrive à la ville de Nahor.
Selon le récit qui s’ensuit, nous entrevoyons le caractère de Jacob. Jacob, bien qu’il soit un enfant sous tente qui aime la cuisine, il est un garçon qui connaît le terrain de l’élevage des brebis. Il sait que quand il fait grand jour, le troupeau ne sera pas rassemblé et l’abreuvement doit se faire individuellement, quoi que les bergers de Hâran ne soient pas d’accord, car les gens de Hâren sont très solidaires. Cela est censé être la différence de culture entre les Cananéens et les Araméens.
Ensuite, Jacob n’est pas un homme brutal. Il est quelqu’un très doux et surtout plein de manière envers la fille. Il a de l’étiquette. Il agit comme quelqu’un qui a été bien élevé et éduqué envers l’inconnu. D’abord, il sait retenir ses sentiments quand il rencontre Rachel. D’abord, il retrousse les manches et se met à travailler, après quoi il donne un baiser et sanglote. Son esprit est au milieu de l’épreuve, ne perd pas l’ordre et le discernement et il sais ce qu’il faut fait d’abord dans la relation des hommes dans la société. Il n’a jamais dédain ni supériorité envers un être de sexe opposée, mais a plein de respect envers lui, jusqu’à ce qu’il est censé avoir acquiert une galanterie. Jacob n’est pas brutal, mais un homme ordonné et bien élevé et bien éduqué. Il a une note 20/20 dans l’éducation civique. Erasme a écrit la manière de la table. A chaque endroit nous avons des formules de manières, et les acquérir est d’autant plus important que nous vivons en France, car la France est un pays de l’étiquette. Le mot français étiquette pour indiquer la politesse est assez bizarre, mais il caractérise la France, le français porte l’étiquette de politesse dans la société et ceux qui n’y sont pas conformes s’excluent, mais ceux qui s’y sont conformes reçoivent l’accueil et la reconnaissance. Donc, n’oubliez pas, comme vous êtes ouaille d’une église en même temps qu’un citoyen de la République, à chaque endroit où vous êtes il y a les manières à respecter. A l’école, entre les écoliers, vis-à-vis du proviseur, dans la réunion des parents, au lieu de travail, entre les collègues et vis-à-vis le PDG, dans la réunion d’employés et de syndic, et à l’église, entre les frères, et vis-à-vis le pasteur, dans l’école de dimanche, au milieu des élèves et vis-à-vis des moniteurs, dans la réunion de prière, dans la salle de culte, quand vous arrivez, et quand vous écoutez le pasteur qui prêche, etc. Jacob est avant tout un garçon de bonne manière.
Rachel court vers son père Laban et raconte tout ce qui s’est passé. Alors Laban sort de la maison et fait un bon accueil de Jacob. Jacob raconte tout à Laban. Celui-ci confesse une grande intimité avec Jacob. Pendant un mois où Jacob reste, cependant Laban remarque que cet homme sort de l’ordinaire. Il s’est avéré qu’il est un matériau incontestable. Un grand travailleur infatigable possédant une sagesse incomparable profiterait à la croissance de sa maison. Laban veut retenir cet homme pour son but. Bien sûr que Laban a entendu de la raison de son voyage, c’est à cause de son frère. Donc, il est peu probable qu’il quitte dans l’immédiat. Mais Laban se souvient d’un serviteur d’autrefois, qui venait d’arriver et racontait son histoire de voyage et son maître, pour demander de partir le lendemain avec sa sœur. Je crains que cet homme aussi fasse ainsi. Laban veut négocier. Donc, il s’approche de Jacob et demande la récompense de son travail.
Ici, dans la négociation, nous entrevoyons encore le merveille de Jacob. Jacob n’est pas un homme de l’intérêt immédiat. Il n’est pas microscopique, mais un télescopique. Il veut obtenir quelque chose plus consistant en échangent se son service. Il a eu déjà le sentiment vers Rachel, quand il a rencontré celle-ci près du puit. Le coeur de Jacob est sorti à Rachel. Donc, il la veut comme femme. Pour cela, Jacob propose à Laban de travailler pendant 7 ans. Jacob n’est pas un homme qui chercher l’amour momentané. Il cherche un amour qui dure et un amour qui est digne de recevoir son sacrifice. Il est prêt à sacrifier ses années de l’âge de fleur pour obtenir l’amour d’une femme. Près de puits de Jacob, la femme de Samarie parla de son ancêtre Jacob à Jésus et voulait comparer les deux. Jacob est un héros entre les femmes de Samarie en raison de cette volonté de sacrifier ses 7 ans de jeunesse pour obtenir le cœur d’une femme. Laban se dit en aprté, « Quel stupide, tant mieux. Je la lui donnerai plutôt que de la donner aux autres. » C’est selon le calcul dans lequel il voit Jacob comme une vraie ressource humaine, comme quelqu’un dont la grande entreprise chasserait la tête.
Alors quelle était la réaction de Jacob ? Le verset 20 dit, « Ainsi Jacob servit sept années pour Rachel. Elles furent à ses yeux comme quelques jours, parce qu’il l’aimait. » Pour Jacob, ces années si longues ne sont pas quelque chose de pénible. C’est une joie, à tel point qu’il les considère comme quelques jours. Que cela révèle-t-il ? Jacob est un homme de passion. En vue d’obtenir ce qu’il veut, il est quelqu’un qui peut travailler si assidûment et si rapidement, qu’il oublie que le temps passe. Vraiment de ce qu’on sent ou comment on regarde dépend le résultat de travail. L’efficacité d’un homme qui est passionné de travail est incommensurable. Il aurait réalisé une immensité de résultat au bout de ses années de labeur. Il aurait réussi d’une tâche à l’autre avec une excellence inimaginable. Quand Joseph travail chez Potiphar, chef de garde des Egyptiens, ce maître est tellement content du travail de Joseph, qu’il lui confit toutes les choses de sa maison, si bien qu’il ne s’occupe que de sa nourriture. Dieu l’a béni énormément, car Joseph était fidèle. Il est de même pour Jacob. Il ne travaille pas pour sauver sa face ou pour acquérir un intérêt immédiat. Il travaille vraiment pour son maître, son oncle et pour sa futur femme. Cette passion n’est vraiment pas résistible pour le monde. Il est un locomotive ou la fusée d’Ariane. Quelle passion avez-vous ? J’ai demandé à un jeune garçon qui a réalisé un travail excellent, combien de temps il le prenait. Il dit en 3 heures. Tous les ouailles sont stupéfait de son efficacité et s’étonnait de son travail de design. Mais pour certains, 3 ans, pstt, ils ne dinguent que dans le lit, sans aucun avancement de leurs travaux basiques. Un vieillard retarde 8 mois pour l’installation d’un outil moderne, à tel point que son pasteur se demande si on vit dans le moyen âge ou dans la modernité. Ne voyez pas en Jacob, un homme de qui sort une flamme de feu pour embraser toute la forêt. C’est un homme de passion et devant qui aucun sort en peut résister.
Nous devons vraiment imiter Jacob dans nos travaux. Si nous n’aimons pas le travail, nous ne pouvons jamais avancer pour quelque chose. Nos résultats sont très minables ou médiocres. Mais si nous avons la passion, non seulement nous pouvons raccourcir le temps, comme Jacob sentait comme quelques jours 7 ans et nous pouvons porter des fruits excellents qui correspondraient peut-être 14 ans. Jacob est sûrement dans ses années de l’âge de fleur, et il est très vigoureux et dynamique et plein d’idées innovantes. Mais de nos jours en France surtout, où il y a pleine d’indemnités, d’aides sociales – j’ai vu qu’une fille fait une manifestation de jeûne dans la rue, parce qu’elle trouve que le travail qu’elle a obtenir est moins rémunérateur de l’aide sociale dont elle avait bénéficié, voilà c’est la France – mais le problème, c’est que les jeunes perdent de plus en plus du goût et de la motivation de travail. Ils sont comme des choux mouillés ou des coques mouillés qui s’accroupissent à la terre pour se traîner. On ne voit point l’avenir du pays à travers ces gens. Mais regardez Jacob, il bosse 7 ans comme quelques jours. C’est pour Jacob la période la plus heureuse de sa vie, non parce qu’il s’attend à une belle femme comme femme, mais parce qu’il ne sait pas s’écouler le temps à cause de travail. Combien le métier est dur et laborieux de nos jours. On peut dire que presqu’aucun travail est motivant, et nous trouvons très rarement quelqu’un qui dit que j’aime mon travail. Mais Jacob est la même chose, si on voit sa confession tardive, le travail chez Laban est pénible et même écrasant. Il ne peut l’aimer. Mais c’est la réalité d’un monde déchu. Aucun travail n’est alléchant dans le monde. Si on n’a pas de sens de mission, vraiment aucun travail n’est attirant. Parfois dans le CV, je trouve que les gens changent leur métier tous les 6 mois. Ils ne sont jamais contents de leur métier ou leur travail. Mais Jacob considère ses 7 ans comme quelques jours. Pourquoi ? parce qu’il a décidé d’aimer le travail, et de toute façon il faudra le faire, une fois négocié, alors quelle attitude j’adopterai, si d’une manière ou d’une autre je devrais le faire ? Donc, il considère ce travail pénible comme une joie. C’est le secret de réussite à la fois dans l’église et dans le monde.
Ainsi, Jacob est un homme d’un enthousiasme impeccable. En voyant cet enthousiasme peu ordinaire, les femmes en viennent à aimer et se laissent attirer. Elles sont attirées par cette personne enthousiasmée. Rachel veut vraiment avoir un enfant de cet homme, et se plaint auprès de lui. Léa lutte inlassablement pour avoir des enfants, non parce qu’elle veut les avoir, mais pour plaire cet homme et aussi avoir l’acte d’amour avec cet homme passionné. Il réclame un lit passionné de cet homme à l’échange de son mandragore. Au-delà de la concurrence avec sa sœur, le fait qu’il est prêt à changer de 7 ans avec un amour c’est vraiment quelque chose, digne d’être nommé un des 8 merveilles du monde (parce qu’on dit qu’il y a 7 merveilles du monde) en fait pour les femmes, c’est une matière à laquelle elles tiennent et s’apprêtent même à livrer son corps. Je parle un peu à l’extrémiste, pardonne-moi. Mais je sais que vous savez mon point. Je ne suis pas en train d’écrire un roman de troisième classe, mais il est vraiment un mystère lui-même, un tel homme passionné et enthousiasmé dans ce monde, il ne manque pas qu’autour de lui s’attroupe toujours des femmes. Où peut-on diantre trouver un tel homme dans ce monde si démotivé et las, qui rend homme légumes vivants. Jacob est un vrai phénomène. Mais ce futur patriarche d’Israël et chef des 12 tribus est un modèle à suivre pour tous les chrétiens.
Avez-vous, selon notre questionnaire hebdomadaire, trouvé des homologues de Jacob ? Oui, disiez-vous, il y a tonnes, car mes amis et mes amies ont des copains et copines qui sont épris les uns des autres. Mais arrêtons-nous, est-ce qu’ils sont seulement emportés par leur passion charnelle ou par un vrai engagement comme Jacob. Quand j’y réfléchit, à la première vue, il n’y a vraiment personne dans ce monde comme Jacob. Car qui consacrera 7 ses meilleurs années à une femme à l’échange des corvées pénibles. Quand je vois la situation des ouailles des églises de nos temps, il y a vraiment pas quelqu’un comme Jacob. Une sœur missionnaire m’a dit que les croyants de son pays sont tous vraiment individualiste et chercheur de gain égoïste, qu’ils viennent comme oiseaux migratoires et partent comme oiseaux migratoires. Or, j’ai jeté un peu le coup d’œil sur CCU, mais je trouve que là non plus il n’y a pas quelqu’un qui s’apparente à Jacob, pour lui être homologue. Qui consacrera ses 7 meilleures années pour une femme ? Pour Dieu oui. Mais pas pour une femme. Je suis très fier de notre CCU, car dans laquelle il y a pleine de gens dévoués. Ils ne sont pas des simples chrétiens de vieilles églises qui viennent manger le pain appelé « hostie » et s’en vont même sans connaître qui sont assis à côté. Nos disciples sont des merveilles comme Jacob si enthousiasmés et si passionnés pour le Seigneur. Nos sœurs de Debora, anciennement du grain de blé encore anciennement grain de moutarde sont toutes vraiment les homologues du temps moderne de Jacob, car elles sacrifient leurs meilleures années de jeunesse plus de 5 ans pour le Christ, leur vrai époux. Elles ne manquaient jamais le PQ durant ces années, et pour une d’elle malgré le long trajet matinal. Vue la distance pour laquelle elle parcourt chaque matin en changeant réseaux expresse A et B, je ne sais pourquoi une plainte sort des bouches des frères qui habitent dans la même ligne. Leur fidélité est comme une étoile étincelante de la nuit sombre de la France. Mais malheureusement, je dois le dire, sauf qu’il y a un côté d’Esaü en elles, non seulement en elles, mais dans tous nos ouailles de CCU. C’est qu’il n’y a pas vraiment un Jacob dans nos églises. Seul peut-être. Qui savez-vous que c’est ? Quelqu’un en ce moment qui est debout. Jacques dit le secret de discerner côté Jacob et côté Esaü parmi les chrétiens. Le vrai chrétien de l’Esprit et le faux chrétien au fond de la chair et peu chrétien. Voici son verset : « Vous convoitez et vous ne possédez pas ; vous êtes meurtriers et envieux, sans rien pouvoir obtenir ; vous avez des querelles et des luttes, et vous ne possédez pas, parce que vous ne demandez pas. Vous demandez, et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, afin de tout dépenser pour vos passion. » Tout leur énergie est consummé par de querelle et lutte intérieur et extérieur, de sorte qu’ils soit comme le crevasse vide. Il y en a des tonnes de chrétiens qui demandent mal, afin de dépenser tout leur énergie pour leur convoitise, et jamais reçois quelque chose de Dieu. Il y en a tant de personnes, qui pensent que leur spiritualité excelle, car ils ont l’espérance vivante dans le royaume de Dieu. Mais ils négligent comment vivre sur la terre. Ils sont tous les extraterrestres aux visages humains de gentil chrétien. Savez-vous que Jacob a obtenu au bout de sa vie tout ce qu’il a voulu obtenir sur la terre. Pourquoi il sanglote devant un demoiselle jamais vue ? N’as-t-il pas une fierté masculine ? Quelle honte, mais il y a une raison. Il a voulu être premier, il a voulu être béni de Dieu, mais qu’est-ce qu’il est devenu maintenant ? Il est devenu un sans domicile fixe, mendiant et vagabond. Quelle dégénérescence d’un fils princier ? Jacob a une ambition de devenir grand, mais la situation est un misérable des misérables. D’où ses pleurs. Mais il y en a tant qui ne pleure pas malgré leur situation misérable. Il n’y a pas de Jean Valjean dans ce pays qui veut s’anoblir. Tous vivent un vie status quo, et cela suffit. J’ai proposé une fois que notre église ait beaucoup de savants, comme Dr Elise Leppik, mondialement connue dans le domaine de biologie moléculaire. Notre église ait beaucoup de professeurs, beaucoup de politiques, beaucocup de chefs de grand entreprises, beaucoup de juristes, beaucoup d’artistes reconnus, etc. Ne pensez pas que ce sont tous des éphémères de la terre. Jacob est un homme influent, jusqu’à ce qu’il influe l’Egype et Pharaon, son roi et en le bénissant. Si vous venez pendant 4 ou 5 ans fidèlement à l’Église avec une bonne manière de prière, vous aurez déjà établi un ou une disciple et effectue 12 fois seul à seul. Mais comme vous fuyez sous une spiritualité déguisé, vous n’obtenez rien. Voilà, pourquoi il n’y a pas d’homologues non seulement dans les églises de la France, mais aussi dans CCU. Ne plaignez-vous pas, mais retroussez les manches et mettez-vous au travail. Nous pouvons faire le travail du monde non de façon charnelle, mais de façon spirituelle. Alors comme Jacques dit, vous obtiendrez ce que vous souhaitez. Si vous n’y croyez pas vraiment, regardez celui qui est debout devant vous, il a travaillé pendant 10 ans en battant la campagne ; j’avais eu l’ambition d’établir beaucoup de français comme disciple de Jésus, malgré la réputation très défavorable de l’évangélisation du pays et maintenant, je compte, bien sûr que ce n’est pas moi, mais grâce à vos prière, mais j’ai établi 20 disciples à peu près ici en France. Mon ambition est d’établir 120 disciples en France, et une autre ambition est de bien réussir dans ma TPE, jusqu’à ce qu’elle devienne comme sa raison sociale, une entreprise international, voire multinational. Comme un proviseur invité de l’Amérique à la fin de 19e siècle dans une école agricole de Hokkaido dit dans son discours d’adieux, « boys be ambitious » nous devons avoir l’ambition et réaliser des grandes choses ou comme William Carey dit, « espère degrandes choses et tente de grandes choses ». Nous ne devons pas être extraterrestre, nous devons poser nos pieds sur la terre et il faut crier chaque matin chaque et vendredi soir à jeun pour que le royaume de Dieu vienne en France, et aussi pour que chacun de nous réussisse dans la vie terrestre pour qu’il soit une influence. Voici un des rôles de comité de l’orientation de nos second gen. Cherchez établir un disciple de Jésus et semez beaucoup de semences par la foi, Dieu vous donnera du fruit. A moins que vous priez vraiment conformément au dire de Jacques. Vous aurez comme Jacob, non seulement un enfant, vous aurez douze enfants. Donc, je me permets de m’adresser ce matin aux maris de progen, ne laissez pas vos esprit languir, mais élever les et activez vos vies avec plein d’ambition et marchez et courez et dormez en semant sans cesse, Dieu ne vous écoutera pas ? Ne soyez pas trop nobles vers le ciel, atterrissez et semez 7 fois/semaine au moins. Ne dispersez-vous pas votre esprit dans cette modernité si dispersante. Concentrez-vous dans votre acte d’ensemencement le jour dans le lieu de travail, et dans votre acte d’ensemencement la nuit dans votre maison. Les jeunes brebis, soyez concentrés sans vous laisser disperser l’esprit à droite et à gauche et concentrez-vous à vos études. Il y en a qui dès qu’ils s’assoient au bureau, ont des démangeaison aux fesses. Ils se lèvent et déambulent. Puis, ils disent que je n’ai pas de temps comme une cliché de leur bouche. Cela n’est pas une bonne façon quand nous étudions la Genèse surtout la partie de Jacob si travailleur et si ambitieux.
Alors, Laban, l’oncle de Jacob est un homme malin et rusé. Il brise le contrat sous prétexte de coutume du peuple, en donnant Léa plutôt que Rachel promis à la première nuit de noces. Jacob n’a pas douté la sincérité de l’oncle, donc n’a pas bien vérifié le visage de locataire du lit, mais quand il se réveille, c’est trop tard d’annuler le mariage. Laban prolonge le contrat de force pour que Jacob soit obligé de travailler encore 7 ans pour Rachel. Il est malin, car il fait avenant du contrat en utilisant le même chiffre initié par son neveu.
D’entrefaites, néanmoins, on voit les sollicitudes de Dieu envers les opprimés et les défavorisés. Malgré la malignité de l’homme dont Jacob a éprouvé jusqu’aux os, Dieu accomplit sa volonté. Puis, au-delà de l’intention humaine, Dieu est grand pour faire grandir l’homme. Dieu accorde deux femmes au bout de 7 ans de labeur et sacrifice et maintenant, Dieu veut travailler selon sa volonté de la multiplication des descendants d’Abraham à travers Jacob. Jacob n’a pas pu voir la face de Dieu, quand il s’est réveillé à Bethel. Jacob n’a pas su par quelle volonté il est devenu un SDF. Jacob n’as pas su non plus ici à cause de quelle souveraineté il se laisse avoir par son avare oncle. Mais le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac est aussi le Dieu de Jacob, qui en l’entraînant le fait grandir et le bénit. Il se peut qu’en vivant dans ce monde, on peut se désespérer de la malignité des hommes de notre entourage. Mais si nous sommes peuple de Dieu, nous devons avoir continuellement confiance en lui, en reconnaissant qu’il, en nous instruisant du monde et de nous-même, nous fait grandir dans sa parfaite volonté.
Deuxièmement, la famille de Jacob - Travail de Jacob (Ch 30)
D’abord, dans cette scène de ménage, nous trouvons que plusieurs personnes jouent des rôles clés pour former une famille nombreuse qui constitue les futurs patriarches d’Israël en douze tribus. En fait, tous ne savent pas quelle est la volonté de Dieu et luttent au milieu des hommes, mais Dieu est en train d’accomplir sa volonté au-delà des affaires humaines et familiales. D’abord, Laban est trompeur et avare. Mais Dieu entraîne Jacob à travers un homme qui partage exactement le même caractère. Souvent Dieu entraîne le berger par une brebis qui partage le même caractère pour résoudre le même problème de la vie. Ensuite, Léa. Léa est la première femme de Jacob, mais il n’est pas aimé par Jacob. Elle a aussi un désavantage corporel d’avoir des yeux délicats. D’où son orientation d’intérêt vers l’éducation des enfants. Elle est une femme féconde ou productive.
Ensuite, Rachel. Elle est une femme d’une très grande beauté, peut-être miss Paddan-Aram. Mais elle est une femme travailleuse. Elle prend soin des troupeaux de son père. En tout cas, dès qu’il la voit, Jacob est épris d’elle, ou selon l’expression française, elle l’a tapé dans l’œil. Mais elle n’est pas si féconde. Elle pense qu’elle est stérile. Ici, nous voyons que l’Eternel Dieu est équitable. Si quelqu’un subit un désavantage humaine, il bénéficie d’un avantage de Dieu, ou vice versa. Si quelqu’un a ce don, il n’a pas de don que les autres ont, etc. Ainsi, notre Dieu est digne de confiance. En lui il n’y a nullement une défiance. Ce dernier mot se trouve que parmi les hommes. Mais finalement, Dieu se souvient de Rachel, et il lui donne un fils. Rachel est belle mais capricieuse et plaintive. Mais Dieu l’aime aussi et ne l’oublie pas, car elle est une belle arrière-belle-fille d’Abraham, patriarche. Elle pense que Dieu l’a oublié, mais jamais Dieu n’oublie son peuple. Dans son temps, il intervient en sa faveur. Attendons-nous à ce moment divin qui est décidé pour nous.
Enfin, Jacob. Récapitulons, car on a parlé longuement de lui jusqu’à maintenant. Il est un homme qui devient monogame malgré lui. Mais il est un homme qui vit devant Dieu, malgré tout. Il est un homme qui sait se fâcher à sa femme qui se plaint de Dieu pour lui demander un enfant. Enfin, il en vient à avoir 11 fils dont l’ordre est, mémorisons-les, car c’est un must, si nous sommes étudiant fidèle de la Bible ; Ruben, Siméon, Lévi, Juda, Dan, Nephtali, Gad, Aser, Issacar, Zabulon, et Joseph et pendant le retour de Paddan-Aram, Jacob voit sa femme bien-aimée Rachel, en accouchant le dernier fils Benjamin, mourir à Bethlehem.
La relation parentale aurait joué d’un rôle important et de l’influence non-négligeable sur les enfants. La lutte inlassable entre les épouses jalouses aurait fait naître une certaine jalousie entre les enfants, ce qui se traduit dans l’affaire de la vente de Joseph comme esclave plus tard. La polygamie fait troubler le système de valeur des enfants, pour voir le système de mariage de façon relative ce qui fait arriver l’incident de Ruben qui se couche avec sa belle-mère, et celui de Juda qui va à la région païenne pour se coucher avec des femmes.
Après l’accouchement de Rachel de Joseph, Jacob veut partir, car il se sent exploité par son oncle. Puis, il se sent responsable de sa famille nombreuse. Mais Laban vient renégocier avec lui, pour que Jacob reste encore près de lui. C’est du fait que la présence de Jacob lui profite toujours. Donc, il propose de réclamer le salaire. Mais Jacob ne le demande pas, car de toute façon, Laban est un homme qui peut renverser toutes choses, y compris le contrat. Donc, dans sa sagesse, Jacob demande ce que Laban aurait facilement accepté, mais dont Dieu peut l’empêcher d’agir contre. Jacob utilise la nature, pour s’y acquérir des produits indépendamment de la volonté de son oncle. Ainsi Jacob créée une start-up de tâcheté, moucheté et marqueté dans le soin des brebis. Par des branches d’arbres pelées dont l’authenticité nous paraît un peu douteuse du point de vue scientifique, Dieu en qui tout est possible rend Jacob extrêmement riche. Dieu équitable intervient ainsi en faveur de Jacob, pour que tous les méfaits qu’il a subit de la part de Laban soient récompensés.
Troisièmement, le depart de Jacob pour Canaan (Ch 31)
Jacob sais maintenant que le temps de départ est arrivé. Sa richesse croissant énormément, il voit les visages de Laban et ses fils changer. Ses fils disent que Jacob leur a tout enlevé et se fait riche par leurs possessions, ce qui n’est pas du tout vrai. Les jaloux sont toujours aveuglés. En tout cas, à cause de leur jalousie, ils deviennent bleus, les yeux enflammés. Donc, Jacob pense à partir. Alors, l’Eternel Dieu apparaît à Jacob pour donner la décision. Auparavant, sa mère Rébecca dit qu’elle le rappellera, quand la colère de Esaü se calme, mais avec un peu d’impatience, Jacob a décidé de partir et demandé à Laban de le laisser partir. Mais c’était une décision humaine. Il aurait dû attendre la décision de Dieu, étant donné qu’il n’y a pas de nouvelle de la part de sa mère. Le moment est arrivé où Dieu apparaît à Jacob pour donner la direction. Cette révélation fait une allusion que le temps du conflit avec Esaü est terminé. Mais Jacob n’en est pas en conscient. En tout cas, l’ange de Dieu était tout le temps avec Jacob, car Dieu travaillait pendant son séjour, malgré qu’il en soit ignorant, en se basant sur son vœu. Laissez-moi parler de moi un peu. Quand je viens en France, j’ai prié Dieu 100 jour, car la sélection comme boursier n’était pas certain, « Oh Seigneur, si tu me fais choisir, je te donnerai ma vie pour toi. » Après 35 ans de la vie dans la terre de mission, je trouve que mon Dieu travaillait toujours, que je dorme ou me réveille, en se basant sur ce vœu. Dieu veut que je donne ma vie pour les brebis de Dieu en France, de cette terre où je l’ai rencontré et reçu de lui la grâce de pardon et de salut. Alors Jacob, étant assuré par la direction divine, fait appel tout de suite à ses femmes pour leur dire de partir. Selon leur confession, elles étaient aussi les opprimés et défavorisées par Laban et ses fils. Ainsi Dieu fait coopérer toutes choses pour accomplir sa volonté.
Jacob confesse dans la conversation avec ses femmes combien Dieu l’a protégé de la malignité d’un homme. Jacob voit la vision de Dieu, en ce moment dans sa bénédiction. L’homme ne peut empêcher la bénédiction de Dieu. Quand Laban dit, « Et bien, tous les tachetés sont ton salaire » les yeux levés de Jacob ne voient que les tachetés. Quand Laban dit, « Et bien, ce sont les rayés qui seront ton salaire. » Alors les yeux de Jacob ne voient que les rayés. Le monde n’est pas digne de ceux du côté de qui Dieu décide de se mettre. Si quelqu’un est béni, il ne manque pas les jaloux autour. Là où il y a des bénis, il y a toujours des jaloux. Mais peu importe à Dieu, car lui décide de bénir son peuple, et ce de plus en plus, de bénédiction en bénédiction.
Laban poursuit Jacob et ses femmes, car Jacob trompe Laban pour partir. C’est plutôt quelque chose que Jacob ne peut faire autrement, car il sait quel homme Laban est. Il aurait empêché son départ par tous les moyens persuasifs. Jacob facilite son départ par la dissimulation. En effet, il a peur que son oncle enlève ses femmes et fils. Laban poursuit, mais Dieu intervient, afin qu’il ne fasse pas le mal à Jacob et ses femmes et fils. Laban, en face de Jacob, parle de Dieu et ses dieux. Il témoigne qu’il a vu le Dieu d’Isaac, père de Jacob. Et il l’a empêché de faire quoi que ce soit de mal. Puis, il parle ensuite de ses dieux, car selon sa croyance, c’est eux qui le protègent du malheur. Selon lui, ces dieux représentent les droits à l’héritage familial. Donc, l’enlèvement d’un de ses statuts est un danger pour sa famille. Il croyait en le panthéisme ou le théisme. Son comportement jusqu’à maintenant est en partie expliqué par cette croyance personnelle. Il n’a pas de crainte devant Dieu, et il change son mode de vie selon la circonstance. Il change par exemple, le salaire de Jacob dix fois. Son mode est centré sur l’égoïsme et l’héritage familial autour de ses fils. Par l’intervention de Dieu dans le camp de Laban, nous fait voir que Dieu de Jacob est plus fort que les dieux de Laban. Laban veux récupérer le téraphim, et se met à fouiller les tentes. Mais Rachel a la sagesse de le cacher. Jacob s’enflamme en colère, du fait que la fouille est infructueuse. Puis Jacob se plaint de sa vie du passé pendant 20 ans à Paddan-Aram, exploité par Laban, ce qu’il n’a jamais fait pendant 20 ans de service écrasant. Il confesse que si le Dieu d’Abraham, et le terreur d’Isaac n’était pas là, il aurait été englouti par le malheur et il y a bien longtemps qu’il aurait été disparu.
Laban propose à Jacob de faire une alliance avec lui. C’est un pacte de paix entre deux camps. En reconnaissant la volonté de Dieu envers Jacob, Laban cède et laisse partir Jacob et ses filles et petits-fils. Avant de se séparer, Jacob érige une stèle comme signe. Il demande aux fils de Laban de ramasser eux aussi les pierres et font les monceaux. Puis ils mangent ensemble et passent la nuit. Laban appelle cet endroit avec le nom de Mitspa. Ce nom signifie la tour de garde. En Israël, il y a beaucoup de lieux qui portent ce nom. En tout cas, Laban nomme ainsi, afin qu’on veille l’un sur l’autre, afin qu’il n’y ait plus de conflit entre les deux camps et que chacun a l’obligation de s’efforcer de pratiquer la paix mutuelle. Alors Jacob offre l’holocauste et invite les frères à manger ensemble et passer la nuit, avant de se séparer.
Souvent on se réfère à cet événement, quand deux chrétiens se séparent. Parfois, l’un juge l’autre, en disant que l’autre partie n’est pas si pure que cela. Mais s’il s’agit des affaires des chrétiens, rien n’est sûr. Seulement Dieu qui juge. Un frère m’a dit, qu’au dernier jour, Dieu justifiera. Sa parole implique que Dieu justifiera son acte, non le mien. Mais il est dans l’erreur, car personne ne sait qui a raison ou qui a tort. Seulement, Dieu le sait et décidera qui est pur pour lui et qui d’autre plus compromettant. En tout cas, les chrétiens doivent avoir une attitude de l’humilité pour penser qu’il peut avoir tort devant Dieu et chercher ses sujets de repentance. Puis il faut bénir l’un l’autre avant de se séparer. Pendant longtemps le protestantisme était considéré comme un mouvement sectaire même jusqu’aux années 70 du 20e siècle en France. Il y a le mouvement œcuménique en France et dans le monde. C’est le mouvement de paix et de réconciliation et cela peut être bien. Mais à mon avis, il y a la partie qui ne peut être réconcilié entre les deux camps toujours, d’où une limite de ce mouvement. Quant à la vérité dans la croyance, seul juge ne sera que Dieu. Les chrétiens doivent se bénir les uns les autres et vivent leur vie de foi et de mission dans chaque camp désigné par Dieu, jusqu’à ce que Jésus revienne.
En résumé, nous avons appris que Jacob est une personne dont le merveille de nature nous frappe. Il a l’étiquette, il est honnête, il gagne le coeur des 4 femmes, il gagne la richesse à la fin. Tout cela est vraiment une bénédiction de Dieu. Mais il nous faut savoir que comme il a confessé que s’il n’y avait pas de grâce de Dieu, il aurait été privé de tous, toute la bénédiction est provenu de la grâce de Dieu. Il est surtout un pécheur impardonnable. Mais Dieu a fait réussir en tout partout où il va. Alléluia ! Rendons grâce à Dieu de ce que Dieu est venu à nous pour nous pardonner spirituellement et pour nous bénir physiquement aussi.

samedi 25 février 2017

Jérémie 31: 1-40 (PQ de 27/02/2017)

JE T’AIME DE L’AMOUR ETERNEL
Verset Clé 31: 3
Le chant de louange se fait entendre dans tout le territoire d’Israël, car comme après la pluie le soleil vient, après le jugement, la joie s’éclate.
1. Je suis leur Dieu et un Père (1-17)
L’Eternel dit à Jérémie qu’il serai Dieu pour Israël, malgré la multitude de ses fautes et péchés. Il confesse qu’il aime Israël de l’amour éternel. A cause de cet amour inchangeable, Dieu punit Israël jusqu’à la restauration. On plantera en Sion, et l’acclamation d’allégresse se répandra. On prie et supplie et pleure même (15) et enfin il sera conduit au pays, au torrent d’amour et de paix. Il est comme un père qui conduit son enfant qui a commis des fautes. L’abondance de récolte, la satisfaction spirituelle, la rassasiement des religieux, sont d’entre autres le fruit de la restauration.
2. Je me repens (18-40)
Ephraïm se lamente, car il se sent coupable, mais il désire revenir. Puis il repend sincèrement (19). Alors l’amour de Dieu fort jusqu’aux entrailles pour son peuple resurgit (20). Dieu exhorte le peuple à marcher dans le sentier droit (21-25). Dieu qui a détruit et arraché bâtit et plante. A ce moment, chacun sera responsable de son acte (30). Alors Dieu nouera une nouvelle alliance avec les maison de Juda et Israël, non via la loi sur pierre, mais la loi sur le coeur, loi d’amour (33). Alors tous connaissent Dieu et Dieu se souvient d’eux. Ces lois de coeur ne cesseront jamais. Qui fait briller le soleil ? Le firmament ne peut se mesurer, ainsi l’amour de Dieu pour son peuple est insondable. Toutes les localités du pays seront consacrées à l’Eternel (40).
Prière : Seigneur, merci d’être mon Dieu et mon Père. Tu es aussi mon berger et me rétablit dans le pays quand je me repens.
Un mot : Son amour est éternel, ne le doute pas.

jeudi 23 février 2017

Jérémie 30: 1-24 (PQ du 25/02/2017)

JE TE RETABLIRAI
Verset Clé 30: 17
A partir de chapitre 30, Jérémie prophétise la restauration d’Israël. C’est le temps de joie et de gloire. Les années d’entraînement prennent fin et de nouveaux jours se lèvent.
1. Je ne puis t’innocenter (1-11)
L’Eternel, non seulement le fait parler, mais il dit à Jérémie d’écrire toutes les paroles dans un livre. Ainsi l’espoir de restauration se succédera de génération en génération sans être oublié. Avant le retour des Juifs, il y a une grande douleur d’enfantement comme celle de la femme en travail (6). La peur et l’angoisse saisissent Jacob. Mais il en sortira indemne. Les peuples d’alentour serviront le Dieu d’Israël. Dieu promet qu’il sera avec lui. D’où aucun besoin de trembler. Dieu a puni le peuple, car Dieu est Dieu. Il ne peut innocenter les gens quand ils sont fautifs. Il les juge selon son droit. Mais fondamentalement, il aime son peuple. C’est la différence d’avec d’autres peuples. Seulement il ne peut l’innocenter. Après un temps d’entraînement, quand le peuple se repend, il les fera revenir (11).
2. Je t’établirai (12-24)
Pendant un temps, Jacob est oublié et abandonné par les autres. C’est à cause de leurs fautes. Mais le jour de vengeance de Dieu sans faute arrivera. Ceux l’ont saccagé subiront du même sort. Dieu se décide de rétablir son peuple, et sa volonté est irrévocable. Le peuple va revenir et il sera le même qu’auparavant et le chant de joie se fera de nouveau retentir. Les chefs sortiront d’eux et il sera leur Dieu. Dieu est celui qui ne se retire pas jusqu’à ce que sa volonté soit accomplie (24).
Prière : Seigneur, tu me punit parce que tu est Dieu. Mais je me réjouis, car c’est pour mon bien et pour que je sois ton peuple que tu le fais.
Un mot : Oui, tu n’as pas pu m’innocenter (11)

mercredi 22 février 2017

Jérémie 29: 1-32 (PQ du 24/02/2017)

VOUS ME CHERCHEREZ DE TOUT VOTRE COEUR
Verset Clé 29: 13
Il y a deux lettres qui apparaissent dans ce récit, l’une de la part de Jérémie, l’autre de la part de Chemayahou.
1. Vous me chercherez et vous me trouverez (1-19)
Jérémie conçois une lettre pour l’envoyer aux déportés de Babylone. Elle dit de bâtir la maison dans Babylone, se marier et se multiplier. Il ne faut pas se laisser abuser par les faux prophètes qui prédisent toujours la libération imminente. Jérémie prophétise que Dieu le ramènera pas tout de suite, car c’est le temps d’entraînement et punition. Il faut se lui soumettre. Au temps venu, 70 ans écoulés, Dieu les ramènera à Jérusalem. Dieu connaît son dessein pour son peuple. Il veut que leur coeur revienne par la repentance au fil du temps. Alors, le coeur humilié, ils invoqueront l’Eternel, et comme ils cherchent Dieu de tout coeur, Dieu se leur fera apparaître. Ils le trouveront. Mais ceux qui sont restés à la ville sainte, Dieu les punira par les calamités.
2. J’interviendrai contre lui, car il n’est pas envoyé par moi (20-32)
Les prophètes déportés Achab et Sédecias, continuent de prophétiser contre Babylone en implantant la fausse espérance dans le peuple. Ils seront condamnés par le roi de Babylone. Leur mode de vie est très corrompu (23). Un autre prophète Chemayahou même envoie les lettres au sens inverse de Jérémie pour dire aux restes à Jérusalem de bâtir la maison et s’installer. (28). Sophonie lit la lettre, mais Jérémie dit que Dieu interviendra et il subira le même sort que Hanania, sans pouvoir voir le pays. La sentence commune est qu’ils ne sont pas envoyé pour prophétiser et ils inspirent la fausse confiance en le peuple.
Prière : Seigneur, fais moi te chercher de tout mon coeur, jusqu’à ce que je puisse te rencontrer. Fais moi ne dire que la vérité.
Un mot : Cherche le de tout ton coeur.

mardi 21 février 2017

Jérémie 28: 1-17 (PQ du 23/02/2017)

SI UN PROPHETE DIT LE BONHEUR
Verset Clé 28: 9
Jérémie est en prison. Il s’affronte à Hanania. On peut discerner facilement qui est le véritable.
1. Hanania annonce le bonheur (1-4 ; 10-11)
Hanania est un prophète. Il annonce la délivrance imminente du peuple du joug de Babylone. On ne sais sur quoi il base sa prophétie, mais il annonce qu’il y aura le retour des captifs qui ont été partis, y compris Yékonia, le roi. Les objets de la maison de Dieu seront restitués. Pour montrer la véracité du fait, Hanania brise la barre de dessus le cou de Jérémie. Hanania a vu sûrement un simulacre de la statut de liberté. Pourtant c’est une des statuts dans le coeur des gens, qui tendent vers la liberté et la prospérité et le bonheur. Les gens et nos coeurs aiment écouter ce genre de message.
2. Jérémie dévoile la fausseté de Hanania (5-9 ; 12-17)
Jérémie, sans peur, prononce la véracité de la prophétie. De multiples prophètes ont annoncé la calamité. Mais Hanania prétend avoir vu la vision de délivrance et la paix. Jérémie sait que dans ce deuxième cas, il faut vérifier par la réalisation de sa prophétie (9). Alors, on reconnaîtra qu’il est envoyé par Dieu. Mais cela ne se réalisera pas. Plutôt, Dieu changera le joug de bois que le faux prophète brise par le joug de fer. Et celui-ci s’imposera sur toutes les nations de la terre, car c’est la volonté de Dieu. Le faux prophète meurt même avant que le délai qu’il a fixé arrive. Donc, il n’y aura pas à attendre pour vérifier, car l’auteur lui-même succombe dans le malheur. C’est moins risqué d’aimer le message de malheur que le message de bonheur.
Prière : Seigneur, aide-moi à aimer écouter le message de souffrance que celui de bonheur. Jésus dit de porter la croix, si nous voulons le suivre.
Un mot : Choisis souffrance plutôt que bonheur.

lundi 20 février 2017

Jérémie 27: 1-22 (PQ du 22/02/2017)

DIEU JUGE TOUTES LES NATIONS SANS DISCTINTION
Verset Clé 26: 3
En Dieu il n’y a pas de considération de personne. Il juge toutes les nations y compris Israël. Il juge la méchanceté et sauve les innocents.
1. Jérémie avertit les nations (1-11)
Dieu dit à Jérémie de faire des liens et des barres et de les envoyer aux pays d’alentour. Les alliés se sentent fier de leur coalition. Mais l’heure vient où tous ces nations seront puni par l’empire de Babylone. A condition qu’ils livrent leur cou au joug du roi de Babylone, ils survivront. Il ne faut pas écouter leurs faux prophètes et les divins et sorciers qui disent la paix et le bonheur. Ils sont rebelles et ne sont pas envoyé par Dieu. Ceux qui se livrent au joug de Babylone seront sauvés. Ce joug dure pour certain temps, car Babylone sera aussi jugé par Dieu (7).
2. Jérémie avertit Sédécias (12-22)
Jérémie répète les même termes au roi de Juda. « Livrez-vous au joug de Babylone » « n’écoutez pas les faux prophètes. » Ceux-ci prophétisent : « Les objets emportés seront ramenés, car ils seront vaincus. » Mais c’est la fausseté qu’ils prononcent, car ils veulent être bien vus par le peuple. Ils sont flatteurs. Mais Jérémie dit qu’au lieu que les objets soit rapportés, plutôt ceux qui ont resté lors de la première déportation dans la maison de Dieu seront emportés par l’ennemi. Mais cette retenu des ustensiles de Dieu ne durera pas infiniment, car l’heure vient où tous ces ustensiles remontent vers Jérusalem, et que Dieu jugera cette nation aussi par les puissants de ce monde (7).
Prière : Seigneur, je crois qu’en toi il n’y a pas de considération de personne. Aide-moi à te craindre en écoutant ta parole, non la fausseté.
Un mot : La même sentence et le même avertissement.

Jérémie 26: 1-24 (PQ de 21/02/2017)

DIEU AURAIS CHANGE D’AVIS
Verset Clé 26: 3
Par la parole d’aujourd’hui, nous apprenons quel est le coeur de Dieu envers son peuple, quand il le juge.
1. Peut-être qu’ils écouteront (1-6)
Dieu dit à Jérémie de prononcer toutes les paroles sans rien y retrancher (Mt 5:18). Dieu espère que les gens les écouteraient. Alors Dieu qu’il regretterait le mal qu’il avait voulu faire. Jérémie dit toutes les paroles et transmet même cette volonté divine plus tard (3,13). Au contraire de cette promesse, Dieu promet aussi le conséquence néfaste au cas de leur désobéissance. Il le traitera comme Silo qui est détruite vers 1050 par les Philistines, quoi qu’elle soit ré-habitée à l’époque de Jérémie (41:5).
2. Jérémie en danger de mort (7-24)
Les leaders religieux ainsi que le roi et les ministres en veulent à la vie de Jérémie, car il dit le malheur du peuple. Ils s’attroupent autour de lui et crient : la mort ! Mais sans peur Jérémie parle de la sentence de mort du peuple, en exhortant de réformer leurs voies et agissements. Il n’a pas de peur de le dire, et prévient qu’il est vraiment envoyé par Dieu. Les leaders étudient l’histoire et tombent dans la contradiction, car l’un des prophètes du passé (Michée) a été sauvé et un autre (Ouriyahou) a été mis à mort. La vie d’un homme est au suspens de la volonté de Dieu, mais la mort ne signifie pas forcément la condamnation. Seulement les méchants hommes tuent les innocents et vont à l’enfer, comme leur récompense. Ahiqam est envoyé pour sauvegarder la vie de Jérémie, car il a encore la mission à accomplir. Comme Livingston dit, le serviteur ne mourra jamais avant qu’il finisse sa mission.
Prière : Seigneur, aide-moi à réformer ma vie, de peur que tu me juge. Fais moi ne pas craindre les hommes et dire toutes les paroles.
Un mot : Peut-être qu’ils écouteront..

dimanche 19 février 2017

Jérémie 25: 1-38 (PQ du 20/02/2017)

LES NATIONS CHATIEES
Verset Clé 25: 15
La nation rebelle de Juda et les alentours seront jugées par Dieu en raison de leur méchanceté. Ils boivent la coupe de la fureur de Dieu.
1. La captivité de Juda (1-14)
Pendant 23 ans Dieu envoie les prophètes dès le matin et les fait parler de l’oracle. Mais le peuple n’a pas écouté. Dieu dit de ne pas faire l’ouvrage de leurs mains, pour se courber devant lui. Mais il n’a pas écouté. Alors Dieu tire la vengeance en faisant venir le malheur sur le pays par l’intermédiaire des pays du nord cruels. Le peuple sera déporté par eux pour la période de 70 ans. Au bout de cette période, Dieu en viendra à juger les pays du nord aussi, car ils sont eux aussi fautifs.
2. Toutes les nations seront châtiées (15-38)
Dieu dit à Jérémie de prophétiser du jugement de Dieu pour les nations. La fureur de Dieu est comparée à la coupe remplie. Jérémie prend la coupe et la fait voir toutes les nations ; à Jérusalem, à l’Egypte, à à tout l’occident, à Edom, à Moab, à Amon vers le sud et à Tyr et Sidon vers la mer, à Arabie, puis à tous les pays du Nord. Il prophétise « buvez, buvez ». Ce malheur commence par Juda et Jérusalem, car ils ne sont pas innocentés (29). L’Eternel entre en procès contre toutes les nations. Il n’y a aucune exception. Toutes les méchantes nations seront condamnées éternellement. Partout leur cadavres découverts n’auront pas de sépulcre. Un grand saccage commence pour toute la terre. Les bergers sont particulièrement responsables de cette malheur (34) et seront dispersés partout sur la terre.
Prière : Seigneur, aide-moi à ne pas pratiquer l’idolâtrie qui est l’horreur à tes yeux. Aide moi à te craindre, car tu juge toute la méchanceté de l’homme sans exception.
Un mot : Crains l’Eternel qui juge la terre.

Genèse 27 :1-28 :22 (M)

LA VISION D’ECHELLE DE JACOB
Verset Clé 28 :12
« Il y eut un rêve. Voici qu’une échelle était dressée sur la terre, et son sommet touchait au ciel ; et les anges de Dieu y montaient et y descendaient. »
    La parole d’aujourd’hui traite deux récits, celle de la bénédiction paternelle d’Isaac et la vision d’échelle que voit Jacob dans le désert. C’est la phase débutant de la vie de foi de Jacob. Que Dieu vous aide à y méditer et extraire chacun une leçon précieuse !
Premièrement, Isaac bénit Jacob à la place d’Esaü. Dans ce récit de bénédiction, il est judicieux d’examiner les caractères des personnages apparaissant sur scène, car souvent dans l’extrême situation, chacun se révèle leur caractère inhérent. Isaac agit d’une certaine façon devant la mort, par exemple. Dans la vieillesse Isaac demande à Esaü d’amener le gibier pour manger. Il est sûrement un gastronomique renommé. Mais nous ici entrevoyons une certaine faiblesse d’Isaac. D’abord, dans sa vieillesse, il perd le discernement et se laisse emporter par le désir unidimensionnel de l’alimentation. Il ne peut être dit qu’il est sénile, mais il est certain qu’il perd le discernement quand il devient vieux. Non seulement devant son désir de manger, mais devant sa vieillesse, notre deuxième patriarche trouve un certain fatalisme. Il se sent fataliste du fait qu’il ne peut échapper la mort et celle-ci s’approche à grand pas pour l’engloutir, se sent-il toujours. Mais en réalité, s’il est vieux et a les yeux faibles, il n’est pas encore devant la mort imminente. Selon le récit qui s’ensuit, Isaac vivra encore plus de 20 ans en Canaan, même il survit Rébecca, sa femme. Le vaillant héro de la foi et de la prière qui surmontaient toutes les vicissitudes de la vie dans ses années de vigueurs, se trouve affaibli devant la puissance de la mort.
Ensuite Rébecca. Rébecca intervient. A l’ancienne époque, la bénédiction des fils a trait à la succession paternel, donc forcément c’est une affaire masculine. D’où notre conclusion sur l’exclusion de Rébecca dans la consultation de la bénédiction. Mais néanmoins, Rébecca veux s’imposer dans l’affaire, notamment sur ce sujet crucial de bénédiction des fils qui équivaut à la succession familiale. On dirait qu’ici elle s’oppose carrément à la décision d’Isaac en tant que patriarche. Elle a une sorte de clairvoyance en les matières et y restera inébranlable. Nous pouvons nous demander pourquoi Rébecca prend une telle décision au risque de se voir blâmer par son mari ou par sons entourage. Nous pouvons constater que sa décision, quoi qu’elle comporte une critique ou une ambigüité du point de vue humain, comporte une spiritualité certaine, car Rébecca est basé sur non sa propre volonté de prédilection – Isaac se voit emporter par celle-ci – mais par la volonté divine. Rébecca, sous une contrainte de constitution humaine limitative et exclusive, fait tout son mieux pour faire avancer la volonté de Dieu. C’est dans ce sens qu’à ma vue, elle est digne d’être appelée, comme certains savants bibliques, une matriarche suite à Sara. En tout cas, pouvant être digne d’être appelé première femme de résistance, elle est une femme très audacieuse se tenant du côté de Dieu plutôt que du côté de son mari ou la tradition.
Alors quelle était la volonté de Dieu sur laquelle Rébecca se sent inébranlable et qu’elle ne se permet pas de voir violer ? C’est le rêve qu’elle a vu pendant sa grossesse. Nous nous souvenons que pendant la grossesse, le mal au ventre a été tellement grand que Rébecca était allée consulter Dieu. Alors dans sa prière, Dieu a révélé sa volonté. Cela n’était pas un simple rêve qu’un mortel a parfois dans le sommeil nocturne. C’est que Rébecca a prié vraiment. Elle a une vision incontestable venant de Dieu, comme une suite inévitable de sa prière. C’est la raison pour laquelle ce rêve ou cette révélation est devenu quelque chose d’ineffaçable dans son esprit. Ah, si nous avons cette impression dans nos esprits quand nous prions. Combien de fois, même si nous avons reçu une révélation censée être venant de Dieu, au bout de quelques temps, nous l’oublions et agissons comme rien ne s’était passé, en changeant d’avis. Mais il n’en était pas ainsi pour Rébecca. Cette révélation a laissé une telle empreinte qu’elle ne peut jamais oublier, et cela tout au long de sa vie. C’était une conviction divine.
Mais en fait, nous pouvons remonter pour cette conviction de Rébecca, jusqu’au moment de son mariage. A la demande du serviteur d’Abraham de partir tout de suite pour le mariage de foi en Canaan, ce monde qui lui est étranger et imprévisible, seulement en écoutant le témoignage d’un homme inconnu, elle est parti se marier avec un homme inconnu. Alors Laban dit son adieu, « Ma sœur, voilà ma bénédiction que je peux te donner, pour ce moment crucial que nous nous voyons surement pour la dernière fois. Une fois séparés, nous ne nous reverrons plus, mais voici ce qui est certain, que j’ai reçu de la part de Dieu : Toi, notre sœur, Deviens des milliers de myriades ! Que ta descendance ait le contrôle de ceux qui te haïssent ! » C’était une manne énorme de bénédiction transmise par son propre frère. Bien sûr qu’en ce qui concerne l’authenticité spirituelle de la personne de Laban, il paraît être un peu douteux. Mais cette bénédiction reste dans l’esprit de Rébecca, car elle sait que c’est une récompense divine qui lui est donné en contrepartie de sa décision de foi pour le mariage. Puis elle sait que cette promesse se réalisera pas par son fils Esaü charnel, mais son fils Jacob spirituel.
Ensuite Esaü. Esaü aime la chasse. Donc, quand il reçoit l’ordre de son père d’amener un gibier pour l’échanger avec sa bénédiction, c’est vraiment un jeu d’enfant qu’il peut réaliser. Déjà lui est sur le chemin vers la forêt pour attraper une proie. Sa tête est embourrée par une pleine imagination de sa vie future bénie, qui sera une récompense naturelle de sa vie active et virulente. Mais il ne sait pas que la bénédiction divine ne peut demeurer sur une personne charnelle. Son style de vie corrompu l’a fait déjà écarter de la bénédiction. Quand il a été dans la fatigue, il a vendu le droit d’aînesse à l’échange d’un potage de lentille et la Bible dit qu’il mangea et se leva et s’en alla. Il est un homme moqueur. Il est un homme aveugle qui ne voit pas bénédiction comme bénédiction. Tant de gens partent comme Esaü après avoir manger une soupe, motivé par leur fierté inutile. Il n’est qu’un cochon devant qui la perle perdra toute sa valeur. Chers frères et sœurs, le monde peut changer, mais il y a une chose qui ne change jamais. Le loto peut tomber par hasard, mais il y a un principe qui ne change jamais. Quant à la bénédiction divine, 100 pour cent de façon certaine, elle ne tombe jamais sur une personne qui n’y est pas préparée. Dieu voit et pénètre le cœur d’un homme et décide de lui accorder ou faire détourner sa bénédiction. Nous avons réfléchi sur la prédestination globale précédemment. Si nous nous repentons de nos péchés, Dieu tiens compte de nos coeurs sincères et décide de verser sa bénédiction sur nous. Dieu peut même basculer sa décision de défaveur en notre faveur, car il est tout puissant. Civiquement parlant, car comme vous êtes tous mes enfants, quand une grâce vous rend visite par l’intermédiaire d’un homme par exemple, ne l’ignorez pas en vous en moquant, mais honorez pleinement la grâce et l’homme originaire. Alors Dieu se réjouira de verser sur vous encore plus de bénédiction.
Enfin Jacob. Jacob signifie « imposteur » ou « un homme d’une peau lisse ». Vraiment il est un homme qui n’a pas besoin d’épilation, tant sa peau est lisse. Il est un homme qui a le sentiment d’infériorité à cause de cela, surtout vis-à-vis de son frère Esaü, si viril, si masculin. Mais pourtant, il est un homme qui aura 4 femmes et 12 fils et une fille comme descendants. La bénédiction divine surmonte la faiblesse de l’homme. En tout cas, dans cette scène de la supplantation de bénédiction, Jacob n’est qu’un lâche pour s’arracher la bénédiction paternel, au détriment de son frère, poussé par le complot de sa mère. Il sait bien quelle conséquence de cet acte vile il subira, vu le caractère de son frère. Mais néanmoins, il le fait. Il ne peut attribuer cet acte uniquement à la volonté de sa mère. Sa propre volonté ambitieuse y est. Donc, il est inexcusable. Cependant, Dieu le permet, car la personne d’Esaü est déchue, et il n’ignore pas non plus le désir de quelqu’un de bénéficier ardemment de la bénédiction divine.
Voilà mon exposé au sujet des personnages qui apparaissent dans cette scène de bénédiction divine d’Isaac. Mais ici, nous pouvons trouver que ces personnages représentent la totalité de l’humanité qui se catégorise. Bien sûr que dans le monde il y tellement de types qu’il est difficile de catégoriser les gens. Mais ces 4 types dans la scène nous font voir qu’il y a 4 types d’homme dans le monde surtout de la chrétienté.
D’abord, le type d’Isaac. Un homme de A fort et Z faible. Il représente un croyant vieilli. Il est choisi comme un élu plein de bénédiction. Mais sa notion de bénédiction s’affaiblit au fil du temps. Il peut être compromettant ou démodé ou refroidi dans sa foi. Il perd le goût de chrétienté, à force des forces majeurs, vieillesse, l’emportement de désir, circonstance personnelle ou familiale etc.
Ensuite, le type de Rébecca. Une femme de fer de A à Z. Elle représente un croyant qui ne vieillit jamais au niveau de la foi. Elle est rajeunie sans cesse, en renouvelant la promesse dans son cœur une fois donnée lors de sa jeunesse. Elle brave même la barrière institutionnelle pour devenir instrument utile de Dieu. Elle est vue en général très bizarrement par les hommes, mais elle est une soldate ou un instrument incontournable de Dieu pour l’accomplissement de la volonté divine.
Le troisième type est celui d’Esaü. Un homme mondain de A à Z. Il est un pseudo-chrétien, qui vit comme un mondain. Il se bouge et court à tout azimut comme ce chasseur qui s’affaire dans le champ. Mais le problème est que son but est erroné, il est l’attrapage de la proie selon le goût et le désir humain et personnel. Il néglige la bénédiction divine et spirituelle et se trouve enfin privé de toute bénédiction, au point que sa vie est finalement pleine de regret et amertume.
Enfin, le type de Jacob. Il est un homme qui devient de plus en plus spirituel, c’est à dire de A faible à Z fort. Il est un homme par nature faible et plein de défauts. Mais il est un homme qui sait discerner ce qu’est la bénédiction, et s’avance en tâtonnant avec une certaine appréhension, et enfin aboutit à la bénédiction divine. Comme sa mère Rébecca, en général, il est haï par tout le monde. Lui appartient le contrôle de tous ces haïsseurs. A cause de l’ambition spirituelle, Jacob fait naître partout où il va les ennemis. Quand il est chez lui, Esaü se dresse comme ennemi. Quand il est chez Laban, celui-ci qui a été familier devient un moment à l’autre ennemi qui se tourne le dos. Mais finalement, Jacob contrôle tout. En effet, ce n’est pas lui qui contrôle, mais Dieu qui est avec lui. Et Dieu est toujours avec celui qui sait apprécier sa bénédiction. Celui-ci n’aura jamais honte ni confusion. Il sera proprement honoré par lui. Jacob est censé être un croyant véridique, malgré tous ses défauts inhérents. Alors quel type serez-vous ?
Normalement et généralement, les gens considèrent les bénédictions et les promesses orales de façon relative et légère. C’est parce qu’ils connaissent eux-mêmes le caractère éphémère et changeant de l’homme. Les hommes ne tiennent pas proprement leur promesses orales, d’où la prévention de Jésus de ne pas jurer. De même les hommes ne croient pas vraiment quand les gens font le serment, à moins qu’on ne soit vraiment enfant naïf. Ainsi par exemple, quand Jacob s’approche d’Isaac et fais un serment qu’il est Esaü, Isaac ne croit pas cela. Plus qu’une fois sûrement, Jacob a montré son caractère trompeur à son père. Mais quant à la bénédiction d’Isaac ou à son serment, il est différent. Elle est la bénédiction divine elle-même. Elle est irrévocable. Dieu emprunt la bouche du patriarche pour dire la vérité et exprimer sa volonté et fixer son oracle dans le monde.
Ainsi, Dieu opère une certaine séparation entre la parole humaine et la parole divine, quoi que deux empruntent la même bouche. Souvent nous entendons que quelqu’un a reçu la direction de Dieu à travers la parole d’un enfant. Autrement dit, l’enfant peut transmettre à son insu la volonté de Dieu envers cet homme. Même l’âne monté par Balaam a parlé, dans l’impasse, l’oracle de Dieu à l’encontre de Balaam. A plus forte raison le cas de l’enfant parlant l’oracle ne serait-il pas possible ? Quand nous écoutons quelqu’un, nous avons tendance de mélanger le côté humain et le côté divine qui existent dans l’homme. Mais nous devons savoir les séparer et entendre le côté divin en faisant les oreilles sourdes au côté humain. C’est une des handicapes de la 2d génération, car ils voient les gens mi spirituel mi charnels. Donc, je peut dire que c’est une nouvelle étape de croissance de pouvoir percevoir ces deux domaines distintement. En si nous arrivons à cela, nous pouvons atteindre à un niveau supérieur, quoi que la plupart des serviteurs manifestent dans les matières un certain aspect fataliste et impuissant.
Alors, Isaac dit dans le dénouement, « Voilà, je l’ai établi ton maître, je lui ai donné tous ses frères pour serviteurs, et je l’ai pourvu de blé et de vin nouveau : que puis-je don faire pour toi, mon fils ? » Ici, nous voyons la parole d’Isaac une fois sortie de sa bouche devenir une flèche comme sortant d’un carquois. Il est trompé, mais il ne peut plus revenir en arrière. Pourquoi ? Humainement, nous pouvons justifier notre changement d’avis quand nous sommes trompés. Mais il y a un domaine de la foi où nous ne pouvons plus renverser notre décision, quel que soit la circonstance et la cause. Ainsi, en tant que pasteur de l’église, je suis confronté souvent à une situation où je ne peux facilement changer d’avis, même si la circonstance d’avant s’avère trompeuse. Si vous avez juré au nom de Dieu, par exemple, pour choisir quelconque décision devant quelqu’un, même si la circonstance était trompeuse, vous aurez été amené à tenir votre parole. L’attitude d’Isaac en dit long à ce sujet.
Esaü reconnait que son frère Jacob a supplanté deux bénédictions. D’abord, il a supplanté son droit d’aînesse. Maintenant, il reconnaît que c’était une bénédiction. Mais c’est trop tard qu’il le reconnaît car il en est déjà privé, à cause de sa négligence. Selon la confession d’Esaü, il est privé de deuxième bénédiction aussi qui est celle de son père Isaac. Cette bénédiction est bien décrite par la bouche d’Isaac et elle est quelque chose non partageable. « Oui, l’odeur de mon fils est comme l’odeur d’un champ que l’Eternel a béni. Que Dieu te donne de la rosée du ciel et des ressources de la terre, Du blé et du vin nouveau en abondance ! Que des peuples te soient asservis, Et que des nations se prosternent devant toi ! Sois le maître de tes frères, Et que les fils de ta mère se prosternent devant toi ! Maudit soit celui qui te maudit, Béni soit celui qui te bénit. » Puis plus tard, quand Esaü demande s’il n’y a pas de bénédiction réservé à lui, Isaac dit « Voilà je t’ai établi ton maître, je lui ai donné tous ses frères pour serviteurs, et je l’ai pourvu de blé et de vin nouveau : que puis-je donc faire pour toi, mon fils ? » Ici, Isaac change l’ordre des contenus de bénédiction. Le sens est voici ; d’abord, la bénédiction d’ordre naturelle est moindre dans l’importance, donc il prend la deuxième position. Puis elle est quelque chose qui peut être partagée, ce qui justifie aussi cette deuxième position. Or, il y a un domaine qu’on ne peut être partagé, à voire impossible. C’est qu’on devient maître des frères. Car le maître ne peut être deux, mais qu’un seul. Donc, si un frère est maître, forcément les autres seront serviteurs. Au début, Jacob semble être ignorant sur le contenu du droit d’aînesse, mais le posséder signifie en réalité qu’il devient maître de son frère. Cela est un fait flagrant, car pour un croyant que Dieu bénit en raison de son désir spirituel, d’un jour à l’autre, il est destiné à devenir maître de son frère, quand surtout celui-ci en vient à négliger ce privilège. C’est un peu comme ce prince d’Angleterre qui néglige son droit d’aînesse et l’abdique en raison de son amour charnel pour une femme qui n’est pas permis dans la royauté. Un jour, quand son frère cadet devenant roi, promulgue une loi contraignante, il doit se soumettre comme un serviteur de la royauté, sauf s’il change de la nationalité.
Après le départ de Jacob, Esaü voit avec quelle parole Isaac a envoyé Jacob vers Hâran. Les parents l’évitent en raison de sa haine et esprit de vengeance, mais il ne voit pas vraiment ce motif. Il voit uniquement le problème de mariage qu’il pense être en cause, et conclut que son mariage déplaît aux parents et s’en va vers les Ismaélites pour prendre une autre femme. On peut interpréter de deux façons ce comportement. Soit il veut adoucir le cœur des parents, car quand-même les Ismaélites sont plus proches que les païens. Soit, il veut encore provoquer Isaac et Rébecca, en sachant qu’Ismaël est un demi-frère d’Isaac qui a été chassé par Abraham. Isaac a une claire identité en tant que fils héritier de la promesse d’Abraham. La prise d’une femme Ismaélites aurait été un défi pour son père. Isaac a l’amitié avec les Hittites, mais Isaac n’a pas l’amitié avec les Ismaélites. Ils ont une croyance très différente, comme nous le constatons aujourd’hui.
En tout cas, comme je répète plusieurs fois dans l’étude de la Genèse, le système de valeur d’Esaü est très centré sur la satisfaction de la chair. Il n’a pas de valeur morales dans ses pensées. Il se laisser aller et dominer par les pensées de la chair telles comment manger comment vêtir et comment jouir de la vie et cela s’est bien révélé par sa façon de mariage. Le mariage mixte d’Esaü est un sujet d’angoisse d’Isaac et Rébecca. Rébecca lisant la haine au visage de son fils aîné suite à l’événement de l’arrachage de la bénédiction de Jacob, se décide d’envoyer son fils cadet chez son frère. Mais l’autre objectif de ce départ est pour le mariage de son fils. Ce fils demeure toujours dans sa tente, en aidant sa cuisine. Mais elle prend conscience que le jour de mariage suite à sa majorité s’approche et elle ne veut pas qu’il prend l’épouse parmi les Cananéens. Dans cette affaire, Isaac, différemment de la matière de la bénédiction, était d’accord avec sa femme. Isaac, pleinement convaincu par sa femme, exhorte son fils à partir pour se marier avec une femme chez son oncle. Cela est une endogamie c’est-à-dire entre les tribus. Mais une prudence est demandé quand on extrapole ce mariage à celui des chrétiens. Objectivement parlant, les savants bibliques voient que la foi d’Abraham et la foi de Nahor, frère d’Abraham, qui habite à Hâran sont différentes. Ils concluent que Nahor sert plutôt des idoles. Mais Abraham veut que son fils se marie avec une femme de sa tribu, plutôt que les Cananéens. Depuis qu’Abraham, fils aîné a rencontré Dieu unique, il aurait certainement influé sur la foi de sa famille, même si elle ne l’adopte pas complètement. Il y a une certaine similitude entre leurs deux fois. Le mariage entre les chrétiens est une sorte de l’endogamie, et ce malgré une certaine différence de foi au sujet de la mission. Or, l’un peut se convertir en l’autre à travers le mariage, comme le cas de Rébecca. Et cela ne contredit pas l’argument de Paul sur l’attelage.
Deuxièmement, la vision d’Echelle de Jacob. Maintenant Jacob est sur le chemin vers Hâran. C’est la première fois que Jacob sort de sa maison paternelle et du jupon de sa mère. Heureusement, elle a appris comment cuisiner avec les herbes de la campagne. Mais quand-même, c’est une rude épreuve qu’il soit isolé de tout environnement favorable de la maison paternelle. En plus il n’y a même pas d’herbe pour le mettre dans la soupe. Il a faim. Dans cette situation, son cœur est très triste, à tel point qu’il aurait regretté un peu de ce qu’il a fait pour obtenir la bénédiction. Qu’est-ce que la bénédiction ? N’est-ce pas de passer le temps de bonheur avec la famille, le frère bien gentil inclus ? Un instant après, Jacob se redresse pour se dire, non, quand-même il a bien fait de choisir la bénédiction. Car il a trouvé enfin une grenouille au bord de la rivière. Il peut manger maintenant. Mais dès que l’estomac commence à grouiller de nouveau, il tombe encore dans le regret, puis un instant après, il se dit non, la bénédiction est quand-même meilleur, ainsi dans sa tête mille fois le renversement des idées entre certitude et doute. En tout cas, le voyage est dur. Le serviteur de son grand père lui a raconté qu’une fois il a voyagé et comment il a rencontré Rébecca. Mais il a un bon équipement avec boussole tout ça. Mais moi je ne suis qu’un pauvre jeune garçon qui n’a qu’une cruche d’eau, c’est trop dur.
Plongé dans ces pensées tristes, Jacob trouve un rocher et s’assoit dessus, et le soleil se couche, et l’endroit est désertique et il vente en plus et il fait froid. Ne pouvant pas maîtriser ses pensées, il se couche par terre et tire la pierre à côté et fait d’elle un oreiller. C’est trop dur par rapport au lit dodu de la maison. Mais tant pis, oublie tout ça. Je vais, dit-il, inviter le sommeil, pour que j’ai un peu de force pour avancer encore demain. Pendant longtemps il invite le sommeil, mais évidemment, il ne veut pas venir. Il s’efforce de compter le temps jusqu’au sept, pour respirer, car l’a dit le serviteur de la maison, c’est efficace. Enfin, le sommeil vient et il s’endort, mais pas complètement, car il se lève tout de suite. Pendant son songe il voit une vision, cette fameuse vision d’échelle dont le sommet touche le ciel et il y a plein d’anges.
Alors que dit Dieu dans ce rêve ? Le verset 13-15 dit, « Or, l’Eternel se tenait au-dessus d’elle ; il dit : Je suis l’Eternel, le Dieu d’Abraham, ton père, et le Dieu d’Isaac. La terre sur laquelle tu es couché, je te la donnerai à toi et à ta descendance. Ta descendance sera innombrable comme la poussière de la terre ; tu t’étendras à l’ouest et à l’est, au nord et au sud. Toutes les familles de la terre seront bénies en toi et en ta descendance. Voici, je suis moi-même avec toi, je te garderai partout où tu iras et je te ramènerai dans ce territoire ; car je ne t’abandonnerai pas, avant d’avoir accompli ce que je te dis. »
C’est ici nous comprenons que le maître de ce voyage est Dieu lui-même. Ce maître est parfois très dur. Il semble parfois punir la vie. En effet, la vie du passé de Jacob aurait dû être plein de regret. Mais il n’y a pas de regret pour Dieu, ce maître de voyage. C’est avec une parfaite volonté divine que chaque moment de la vie est produit, et seulement le maître est en train d’entraîner le voyageur que nous sommes. Dieu veut que Jacob se couche sur la terre dans le froids au crépuscule pour lui promettre que l’endroit où il se couche lui appartiendra. Pour ainsi dire, cette posture d’humiliation est nécessaire pour que Dieu lui donne la promesse. Il a révélé plusieurs fois la promesse à Abraham, à Isaac, mais pour Jacob c’est la première fois. Mais pour ce jeune homme rempli de son propre plan et ambition, Dieu veut le terrasser jusqu’à ce qu’il soit de tout corps collé par terre avec la pierre sous la tête. C’est alors que Dieu dit, « je te donnerai cette terre à toi et à ta descendance » et « toute la terre se dira béni en toi et en ta descendance. »
Si la promesse de Dieu envers Abraham est « Va et habites-y, et multiplies-toi », et que celle d’Isaac, « reste, et multiplies-toi », celle de Jacob et « pars, je te ramènerai, multiplies-toi jusqu’à ce que tu viennes ici. » La dénomination de ces promesses est « multiplies-toi. » Car quand le Dieu créateur créa l’homme, il a commandé qu’il soit multiplié et remplisse la terre et dominer sur les poissons, etc… » Cette volonté divine, malgré les vicissitudes du monde, n’a jamais changé. Elle se renouvelle de génération en génération. Et pour ce plan divin, Dieu soulève beaucoup de croyants dans son histoire. Mais chacun un peu de façon différente. L’un va pour ne pas revenir, l’autre reste, et encore un autre voyage jusqu’à ce qu’il retourne au point initial. Dieu de Jacob est le Dieu de retour. Il rend la vie comme un circuit vers le point de départ. Entretemps, Dieu entraine Jacob de façon sévère et écrasante. Mais c’est la façon la plus appropriée pour Jacob, jusqu’à ce que sa personne soit façonné selon Dieu et devienne utilisable pour Dieu. Dieu est parfait pour Jacob. Dieu est parfait pour chacun de ses enfants, d’où l’absence totale du regret dans la vie de l’homme qui suit Dieu.
La réaction de Jacob et marqué dans le verset 16. Jacob se réveille et confesse qu’il ne savait pas que là demeurait Dieu. Il est étonné de la présence de Dieu à son insu dans cet endroit de désert. Jusqu’à maintenant, il tâtonnait la présence de Dieu par ouï-dire des autres. Mais c’est la première fois que Jacob dans le désert, expérimente l’existence et la bonté de Dieu envers lui. Au réveil, il érige l’autel avec la pierre qui a servi d’oreiller et y verse de l’huile. Et il nomme l’endroit « Bethel » la maison de Dieu. La maison de Dieu n’est pas le bâtiment splendide tel de cathédrales ou des monuments historiques. Si le Saint-Esprit demeure, quoi que désert, il peut se transformer en la maison de Dieu. Là où un homme a une connexion céleste avec Dieu et ses anges, s’érige une maison de Dieu.
Troisièmement le vœu de Jacob. Le vœu de Jacob est significatif donc nous pouvons y réfléchir plus profondément. Après l’établissement de l’autel, Jacob fait un vœu. Il dit, « Si Dieu est avec moi et me garde sur la route où je vais, s’il me donne du pain à manger et des habits pour me vêtir, et si je retourne en paix à la maison de mon père, alors l’Eternel sera mon Dieu. Et cette pierre que j’ai érigée en stèle, sera la maison de Dieu. Je te donnerai la dîme de tout ce que tu mes donneras. »
Le vœu de Jacob à Béthel révèle de sa part une certaine conception de Dieu. La conception de de Dieu de Jacob est très rudimentaire dans cette situation douloureuse du départ de la maison. Après la vision d’échelle, il est comme un bébé qui titube pour marcher de ses premiers pas croyants. Il considère Dieu comme quelqu’un qui récompense. Le besoin de Jacob se sent très urgent, car il dégénère en première dimension, comment manger et comment vêtir. Nous ne pouvons pas le critiquer, car celui qui a l’expérience de se situer dans de telle situation comprend sa situation. La situation d’une veuve n’est comprise que par la veuve, dit-on. Mais Dieu est celui qui n’ignore pas nos besoins rudimentaires et qui vient nous secourir. Après la satisfaction des premiers besoin, le besoin de Jacob est la paix de cœur. En ce moment, le second besoin le plus urgent pour Jacob est la paix de Dieu dans son âme. Car il fuit la haine de son frère. Il ne sait jusqu’à quand ce conflit perdurerait. Quand sa haine s’apaiserait, on ne sait. C’est un des sujets les plus douloureux pour Jacob. Donc, il prie que Dieu fasse grâce en lui donnant la paix avec laquelle il retourne à la maison de mon père. En tout cas, le Dieu de Jacob est le Dieu de récompense. Ce Dieu est aussi notre Dieu. Hébreux 11 : 6 dit, « Or, sans la foi, il est impossible de lui plaire ; celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’il existe et qu’il récompense ceux qui le cherchent. »
Jacob n’est pourtant pas celui qui cherche la récompense de Dieu uniquement. Il est celui qui s’apprête à se donner à Dieu. Sa parole correspond à dire : si tu fais ça, je te donnerai ça, donc c’est donnant donnant. Mais ce n’est pas le cas. Beaucoup de gens disent, « comme tu m’as donné ça, je te donne l’équivalent. » Mais en fait, nous trouvons que ce sois-disant équivalent est toujours moins valeureux que ce qu’il reçoit. Mais l’offrande de Jacob de dîme de tout ce qu’il a est énorme par rapport à ce qu’il reçoit. Il pense seulement la nourriture, le vêtement, et un peu de paix dans le cœur, alors il décide de donner un dixième de sa possession. Si nous voyons le voyage de Jacob, il devient à la fin un homme extrêmement riche, peut-être plus riche que M. Trump. Mais il donne la dîme de tout. Comment ? parce que Dieu lui a donné la nourriture et le vêtement et un peu de paix dans son cœur. Sa dîme n’est pas le contre-partie de sa richesse ultérieure, mais celui de ce qu’il a reçu comme nourriture et vêtement. N’est-ce pas énorme ? Si nous suivons le calcul de Jacob, comme Dieu nous a donné non seulement la nourriture, le vêtement, il nous a donné la maison, l’éducation, même si nous lui offrons deux dixième, ce ne serait pas trop proportionnel.
La dernière question de notre étude de cette semaine est celle-ci : Quand et pourquoi concluez-vous des "accords" similaires avec Dieu ? mais avant tout, nous pouvons nous poser cette question. Est-ce que vraiment je tente de conclure des « accords » similaires avec Dieu ? Ou, laissons-nous la situation s’écouler sans trop de tel sentiment ? Dieu veut que son peuple vienne et faire une sorte de contrat avec lui dont les termes sont très cordiaux. Il veut qu’il vienne et remplir le formulaire, dont les deux clauses sont suivantes : Qu’est-ce que vous voulez que Dieu fasse pour vous ? Puis, que voulez-vous offrir, au cas échéant où il écoute vos prières. Le Dieu de Jacob est un Dieu vivant. Après la période souffrante de la vie, il est prêt à nous répondre et nous récompenser. Nous devons faire ce Dieu de Jacob notre Dieu et expérimenter le Dieu vivant dans notre vie. Faisons un contrat avec Dieu dès ce jour !