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mardi 31 octobre 2017

Marc 4 : 21-25 (PQ de 1/11/2017)

LA PARABOLE DE LA LAMPE
Verset Clé 4 : 21
Les oreilles sont l’organe indispensable pour que l’homme puisse discerner les autres. C’est par un ouï-dire qu’il comprend le mystère du royaume de Dieu. Mais il y a un ouï-dire physique et il y a un ouï-dire spirituel.    
1. La lampe se met haut (21-22)  
La lampe est l’outil qui éclaire le chemin pour l’homme. La parole est la lampe sous nos pieds, dit le psalmiste. Il est indispensable pour éclairer le chemin et aussi dans cette parabole la pièce. Or, Jésus dit que où on met la lampe est important. On ne la met pas sous le boisseau ni sous le lit. Si on la met sous le lit, celui-ci risquerais de brûler le lit et la pièce. Donc, il faut la mettre à l’extérieur du lit. On met la lampe sur le chandelier, car sur le chandelier, la lampe peut éclairer la pièce. Puis, plus on met la lumière haut, plus elle peut éclairer la pièce large. Jésus dit le verset 22 pour expliquer cette parabole. Le royaume de Dieu est comme la lampe qui éclaire tout. Les gens veulent cacher leurs actes honteux. Mais le jour vient où tout sera révélé par Dieu. Aucune tâche ne sera pas cachée aux yeux de Dieu. Un grand jour du jugement lui arrive sans faute. Que faire ? Seul le sang de Jésus peut effacer nos tâches. Si nous confessons nos péchés et nous en repentons, l’Evangile de Jésus devient une lampe et il lave tous nos péchés.   
2. On donnera plus à celui qui a (23-25)

Jésus dit de prendre garde à ce que chacun entend. Nous devons avoir les oreilles spirituelles pour savoir entendre correctement. Le Saint-Esprit nous réveillant, nous comprenons ce que nous entendons, car par notre propre entendement humain, nous ne comprenons rien de secret de Dieu. Donc, nous ne devons pas nous précipiter à juger la parole de Dieu. Mais nous devons demander l’aide du Saint-Esprit et en le priant, en arriver à comprendre le mystère du royaume de Dieu. Le résultat de cette attitude est grand. Dieu révèle aux âmes humbles le nombre de mystère de Dieu. Mais ceux qui ont le cœur orgueilleux ne comprennent rien même si la même parole frappe leur tympan d’oreilles. D’où cette exhortation de prendre garde de Jésus à l’attitude devant la parole.  

lundi 30 octobre 2017

Jean 14 :1-14 (Q de 5/11/2017)


JE SUIS LE CHEMIN, LA VERITE ET LA VIE

Jean 14 :1-14

Verset Clé 14 :6



1.       Lisez le verset 1. Qu’est-ce qu’il nous fait imaginer sur l’état d’esprit des disciples ? D’où pensez-vous que cela est arrivé ? Quelle est l’exhortation de Jésus envers eux ? Pourquoi dit-il de croire en Dieu puis en Jésus ? Que signifie de croire en lui et en lui (théologiquement) ?  

2.       Que dit Jésus au sujet de l’habitat au ciel à venir ? (2) Lisez le 3. Qu’a fait-il au ciel et qu’y fera-t-il ? (Hé 11 :10 ; 2Co 5 :1) Pourquoi cette promesse est-elle la meilleure et la plus propre exhortation de Jésus pour les disciples à ce moment ?

3.       Quelle était la question de Thomas qui est un antipode total de la déclaration de Jésus du 4 ? Quel est son problème ? (20 :25) Qu’y ajoute comme problématique, la question de Philippes un peu plus tard qui est elle aussi l’antipode de la déclaration précédente de Jésus ? Que dit Jésus à Philippe ?

4.       Lisez le verset 6. En quoi Jésus est-il le chemin ? En quoi Jésus est-il la vérité ? En quoi Jésus est-il la vie ? Pourquoi est-il l’unique chemin, vérité et vie, comme le dit Jésus, en sorte qu’il n’y ait « nul » autre ? Développez chacun de ces trois termes par rapport à la vie humaine et à votre propre vie. Qui est Jésus pour vous ?  

5.       Combien de fois le mot « croire » apparait-il dans les 10-11 ? Que cela nous montre-il sur l’intérêt incommensurable de Jésus envers les disciples et envers nous ? Qui est le sujet pour les œuvres ? En quoi sont-elles le tremplin pour l’homme d’atteindre à la foi ?

6.       Lisez le verset 12. Réfléchissez sur la puissance de la foi réalisée par le peuple de Dieu. Quel rapport y a-t-il entre les œuvres puissantes du peuple de Dieu et le fait que Jésus va vers le Père ? Quel rapport y a-t-il entre ces œuvres et sa prière ? Quel est le but de l’exaucement de Dieu et la juste attitude des fidèles pour la prière ?

mercredi 25 octobre 2017

Marc 4 : 1-20 (PQ de 27/10/2017)

LA PARABOLE DU SEMEUR
Verset Clé 4 : 20
Les paraboles données par Jésus ont pour but d’appréhender une vérité spirituelle importante en même temps de séparer entre ceux qui l’acceptent et ceux qui la réfutent. En général, elles se rapportent au royaume de Dieu.
1. Ecoutez, le semeur sortit pour semer. (1-9)  
Les gens se réunirent de nouveau, car ils veulent écouter la parole de Dieu donnée par Jésus. Elle donnait toujours l’espérance. Elle donnait toujours le sens de vie. Jésus se mit à enseigner longuement, car le besoin des âmes était plus qu’urgent. Jésus donna la parabole du semeur pour explique ce à quoi ressemble le royaume de Dieu. Il y a 4 sortes de terre qui recevait les semences éparpillées par le semeur. La première était le long du chemin, et dès qu’elles tombèrent, l’oiseau picora et en mangea. La deuxième était dans un endroit pierreux. Les semences poussèrent. Mais bientôt, elles séchèrent faute de racine. La troisième était parmi les épines. Les épines grandirent en même temps que la plante. La quatrième est une bonne terre, elle reçoit les semences, et à cause du sol fertile, celles-ci grandissent et portent du fruit. Voilà la parabole.  
2. Jésus expliqua la parabole (10-20)

Quand on fut en particulier, Jésus expliqua le sens. En effet, c’était eux qui posèrent la question en particulier, alors que tous furent partis. Or, ceux qui posèrent la question, eux seuls reçoivent la réponse de Jésus. Jésus dit que la première terre le long du chemin est ceux qui acceptent la parole et aussitôt que les semences sont semées, Satan vient et l’enlève. La deuxième, la terre pierreuse est ceux qui reçoivent la parole facilement, mais n’ayant pas de racine dont la poussée est empêchée en raison des pierres, quand elle est sous le soleil, la plante sèche et meurt. La troisième parmi les épines est ceux dont la parole reçue grandit, mais à cause des inquiétudes de la vie, elle s’étouffe et meurt. Mais la bonne terre est le cœur bon et honnête qui reçoit la parole avec bonté et elle, et elle seule parmi les 4 - en vient à porter du fruit, jusqu’au centuple. Nous apprenons que le port du fruit dépend de quel cœur on regarde la parole de Dieu. Nous devons nous examiner notre cœur s’il est propre et assez humble et pur pour recevoir la parole car nous voulons porter du fruit. 

mardi 24 octobre 2017

Marc 3 : 31-35 (PQ de 26/10/2017)

LA VRAIE FAMILLE DE JESUS
Verset Clé 3 : 35
La famille est un lien le plus proche dans l’affaire humaine. Mais Jésus veut rectifier la notion de famille risquant d’être erroné.
1. Qui est ma mère et qui sont mes frères ? (31-33)  
La famille de Jésus semblait voir Jésus pour le ramener au bon esprit, car un nombre des proches disaient qu’il était devenu fou. Il n’observait pas l’obligation familiale, mais il s’absorbait totalement à l’œuvre de Dieu. Ils voulaient le ramener au bon esprit et ramener à la maison pour qu’il soit un appui familial après le départ de son père Joseph comme charpentier. La foule voyant venir la famille, voulut le présenter à Jésus. Jésus était très occupé pour enseigner la parole de Dieu. Les gens ont une conception humaine de la famille et la coutume de famille traditionnelle des Juifs. Mais Jésus veut révolutionner le concept.
2. Quiconque fait la volonté de Dieu (34-35)

Jésus établit un nouveau concept familial en se basant tout à fait sur le critère spirituel. Quand Jésus promenait le regard sur la foule, c’était souvent quand il était en colère à ce que les gens agissaient contraire à sa volonté. Cette fois, il promenait son regard car il voulait changer le concept conventionnel de la famille, en corrigeant leur erreur. Ils étaient ignorants. Jésus posa la question « qui est ma famille ? » Jésus conclut que sa famille n’est pas selon l’appartenance charnelle, mais selon la volonté de chacun par rapport à Dieu. Si quelqu’un veut vivre dans l’obéissance en faisant l’œuvre de Dieu, celui-ci appartient à la famille de Dieu. C’est le sens d’être des pratiquants. C’est aussi une promesse donnée par Jésus à tout ceux qui veulent se conformer à la volonté de Dieu dans leur vie. Pour cela, il faut qu’ils se détachent de la volonté de l’homme et de la valeur du monde.   

Marc 3 : 20-30 (PQ de 25/10/2017)

LE PECHE CONTRE L’ESPRIT SAINT
Verset Clé 3 : 29
Le salut et la condamnation sont dépendant de comment les gens acceptent Jésus-Christ. Mais il y a la condamnation éternelle qui ne peut être révoquée.   
1. Les proches et scribes persécutèrent (18-22)  
Beaucoup de gens se réunirent autour de Jésus, si bien que Jésus n’avait pas de temps de manger. Alors parmi la foule, il y avait des gens de parenté. Ils étaient des proches, mais ils partageaient la même optique que les religieux à l’égard de Jésus : Jésus perdit le sens, disaient-ils, donc, il était fou. Les scribes niaient la messianité de Jésus. Mais ce qui était plus grave pour eux était qu’ils pensaient que l’œuvre de Jésus avait pour origine Satan. Ainsi l’œuvre de Dieu est interprétée comme œuvre de Satan. Dieu travaille toujours pour le salut des âmes et veut autant d’âmes possibles qu’il veut sauver. Mais les scribes niaient cette œuvre, à cause de leur jalousie et le légalisme, c’est une faute grave irrémédiable. C’est le péché contre l’Esprit-Saint, donc impardonnable.
2. Piller une maison d’un homme fort (4-6)

Jésus défendit sa cause. Si leur raisonnement : par la force de Satan, on chasse les démons, est juste, il y a quelque chose d’illogique. Dans la maison il y aura la division, et la maison ne pourra se tenir. Ensuite, Dieu donna la parabole d’une maison d’un homme fort. Ici, l’homme fort peut être Satan. Pour piller la maison de Satan, il faut lier le chef, Satan et arracher ses proies qu’il avait retenues dans sa maison. Un être plus fort que Satan est nécessaire pour piller. Il n’y a que Jésus. L’antagonisme est nécessaire pour sauver. L’homme fort peut être Jésus. Sa maison est le royaume de Dieu. Satan n’est pas plus fort, donc, il est impossible d’arracher les âmes à cause Jésus, l’homme fort, parfait protecteur. Mais Satan arrache les gens en dehors de la maison de Jésus, car ils sont proies faciles. De toute façon, la collaboration entre Jésus et Satan pour une œuvre comme le pronostiquaient les leaders religieux n’était qu’une chimère. Jésus dit que toutes les blasphèmes peuvent être pardonnées, mais le blasphème contre l’Esprit Saint ne peut être pardonné. L’œuvre de salut des âmes est l’œuvre du Saint-Esprit.

lundi 23 octobre 2017

Marc 3 :7-19 (PQ de 24/10/2017)


JESUS APPELA LES DOUZE

Verset Clé 3 : 13



Maintenant, c’est le temps de commencer son ministère de vrai. Jésus appela les douze apôtres au début de son ministère. Ils étaient les protagonistes du future ministère.  



1. Jésus guérissait beaucoup de malades (7-12).

L’ouï-dire sur Jésus se propageait rapidement comme éclair, en sorte que tous les habitants des pays voisins entendent parler de lui. Surtout, Jésus guérissait beaucoup de malade. Donc, de partout, il venait des malades guérissables ou incurables. Ils étaient tellement nombreux et brûlants de la soif de guérison, qu’ils se jetèrent sur Jésus. Les disciples durent préparer une barque pour que Jésus et eux ne soient pas écrasés par la foule. Mais avant qu’ils la préparent, Jésus fut déjà assailli par la foule. Parmi eux il y eut les démoniaques. Le démon connait Jésus et dit, « Tu es le Fils de Dieu. » Jésus chassait tous les démons et les fit taire, car ce n’est pas la vrai confession.  La puissance de la parole de Jésus chasse les démons. Jésus a le pouvoir de pardonner les péchés, en même temps qu’il a le pouvoir de chasser les démons. Le premier ne sera pas partagé avec les humains, mais le second le sera.   

2. Dieu choisit les douze (13-19).

Ensuite, Jésus monta sur la montagne et pria et appela les douze. C’est ceux qu’il voulut qu’il appela. L’appel des apôtres n’est donc pas selon la volonté de l’homme mais selon la volonté de Dieu qui connait chacun. Jean 13 : 18 dit qu’il connaissait ce qu’il a choisis. Le but de l’appel est marqué dans le v. 14. D’abord pour qu’ils soient avec lui. Pour devenir disciple, il faut être toujours présent, mais beaucoup de chrétiens sont absents en corps et esprit, quand Jésus les appelle. Ensuite, c’est pour qu’ils soient envoyés prêcher. Sans cette tâche, le chrétien n’est que de nom. Jésus donna le pouvoir de guérison de démoniaque aux disciples, afin qu’ils chassent comme lui les démons. C’est par leur obéissance à la parole de Dieu. Il est étonnant qu’il leur donne dès le début du ministère où ils n’étaient pas suffisamment préparés. Mais l’œuvre de Dieu est ainsi. Nous devons considérer les brebis comme les protagonistes du ministère de Jésus, capable de chasser les démons.

dimanche 22 octobre 2017

Marc 3 : 1-6 (PQ de 23/10/2017)

JESUS GUERIT UN HOMME A LA MAIN SECHE
Verset Clé 3 :5
Jésus guérit un homme à la main sèche. Jésus est celui qui guérit notre infirmité extérieure et intérieure (Mt 8 :17).  
1. Lève-toi l, au milieu (1-3)  
Parmi la foule participant à la synagogue, il y eut un homme que tout le monde connaissait. C’était un homme à la main sèche. A cause d’une maladie ou l’accident, le muscle du bras fut paralysé et la main devint sèche et toute l’activité par la main fut condamnée. On ne sait pas pourquoi cet homme malade était là à la synagogue. Ce serait ou pour faire la manche ou pour être guéri par la puissance de la parole donnée par le serviteur. Mais les assistants, sans apporter aucune remède, ni même un mot de consolation, ne firent qu’observer, lui et Jésus. La raison de cette observation était pour voir si Jésus guérirait ou pas. Les membres qui ne s’engagent pas à la cause, participent aux assemblées comme observateurs. Ils n’ont pas de pouvoir de faire part à la décision ni obligation de suivre la décision. Les gens de nos jours ont l’habitude de prendre cette position. Jésus connaissait bien son problème et lui demanda de se tenir debout au milieu. Jésus sut aussi pourquoi les gens l’observaient. Mais pour Jésus cela importait peu. Il voulait guérir le problème fondamental de cet homme qui est la honte dans sa vie.
2. Etends ta main (4-6)

Jésus leur dit « Est-il permis, le jour de sabbat, de faire le bien et le mal. » Jésus avait déclaré qu’il est le maître de sabbat. Donc, il put s’en servir comme leur semble bon. Mais Jésus interrogea d’abord sur la conscience des gens au sujet de sabbat et des bonnes actions en général. Dieu a donné la conscience aux hommes pour discerner le bien et le mal. Mais à cause de la méchanceté, cette conscience fut paralysée. Jésus était en colère, à cause de la fourberie des gens. Il fut navré de l’endurcissement de cœur, c’est-à-dire la paralysie de cœur. Il défia l’homme timide à cause de son infirmité, afin qu’il étende sa main, c’est-à-dire de confesse son problème d’infériorité. L’homme surmonta son ego géant et tendit sa main. Alors Jésus voyant son obéissance, dit le mot et la main devint seine. Les leaders religieux grincèrent les dents, car il viola la loi en public et ainsi défia publiquement l’autorité de la religion.