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mardi 31 juillet 2018

Genèse 18 :1-15 (PQ de 1/8/2018)

SARA TA FEMME AURA UN FILS
Verset Clé 18 :10
Abraham reçut la visite de Dieu qui lui apparut sous forme humaine. Il est certain que parmi trois il y a la préfiguration du Fils de Dieu qui viendrai dans le monde. Que fit Abraham ? Comment répondit  Dieu à lui ?                      
1. Seigneur, si je peux obtenir ta faveur (1-8)
Abraham était assis à l’entrée de sa tente quand trois voyageurs apparurent devant lui. En fait, il les vit de loin et promptement Abraham leva et se mit à courir. Puis il leur présenta la formule de politesse pour les inviter (3). Puis il s’affairait pour un repas. Abraham était un homme hospitalier. L’hospitalité est un élément important pour le croyant. Elle rafraîchit les voyageurs en fatigue. Mais surtout elle rafraîchit l’âme de l’hôte lui-même. Elle rend la personne accueillante plus vigoureuse et seine. Remarquez le dynamisme d’un vieillard Abraham. On dit que le moderne vit dans une culture de l’isolation ; par exemple, on enregistre un message pour ne pas répondre, ce qui n’existait pas autrefois. Puis, le contact devint superficiel. Abraham s’ouvrit au voyageur jusqu’à ce qu’il le considère comme le vrai ami.
2. Sara aura un fils (9-15)

Les voyageurs bien accueillis étaient tout contents. Maintenant, c’est le tour d’Abraham qui recevrait une bonne hospitalité. Les voyageurs cherchèrent Sara. Elle était une femme fataliste, car même si elle a obtenu un fils par sa servante Agar, elle eut la prémonition en tant qu’une femme maudite. Elle pensait qu’elle était une femme abandonnée et privée de la bénédiction. Mais Dieu la voit autrement. Sara était une femme fidèle. Elle était si fidèle et obéissante qu’elle appelait Abraham Seigneur chaque fois. Les voyageurs manifestèrent leur plein intérêt pour Sara. « Où est Sara ? » « Elle est là » dit Abraham. Puis les voyageurs dit encore le fils. Elle rit à la nouvelle, vu son état de corps. Mais en Dieu, rien n’est impossible. Dieu voulait faire d’elle une femme bénie par Dieu. En effet, sa fidélité couvrit toutes ses fautes. Dieu s’amusa : « Si tu a ri. »

Romains 10:1-21 (Q de 5/8/2018)

LE MESSAGE DE DIEU POUR LE MONDE PERDU 
Romains 10:1-21 
Verset Clé 10:9 

1. Lisez les versets 1-4. Quel est le vœu de Paul? Pourquoi malgré le zèle (par exemple, Jn 11:50b; Lc 18:11,12; Ac 8:1-3), les Juifs ne peuvent-ils pas arriver à la justice de Dieu? Quel est leur problème fondamental? (3b) Que signifie que Jésus est la fin de la loi? Et la justice de Dieu?  

2. Lisez les versets 5-8. Qu'est-ce que la justice venant de la loi? Qu'est-ce que la justice venant de la foi? Pourquoi deux questions posées et citées sont-elles déraisonnables? Que dit Paul au sujet de la parole? Que signifie qu'il prêche la parole de la foi?  

3. Lisez les versets 9-12. Paul semble distinguer deux réalités spirituelles dans l'œuvre de Dieu pour le croyant. Réfléchissez sur elles et le moyen respectif de les atteindre. En quoi se différentient-elles? Y a-t-il l'ordre entre elles ou différence de poids? (lisez Ac 2:36,38; 16:31; 1P 3:15) 

4. Pourquoi Paul parle-t-il plusieurs fois "invoquer"? (12,13,14) Que signifie-t-il? Comment la gratuité du salut que Paul mentionne a-t-elle rapport à cette action?  

5. Lisez les versets 14-15. Quel est l'enchainement dans le processus de l'évangélisation? Quel est le dernier maillon et pourquoi est-il primordial dans le plan divin? Quoique ce soit la bouche comme l'instrument principal, pourquoi Paul fait-il plus d'éloge aux pieds? (15) 

6. Lisez les versets 16-21. Comment selon Paul, le problème des Juifs est-il celui de la foi? (il a déjà dit qu'il est celui de la justice) Est-il plus celui des oreilles que celui de la bouche? Comment les anciens prophètes ressentirent-ils ce problème chez leur compatriotes et le révélèrent-ils?  

lundi 30 juillet 2018

Genèse 17 :15-27 (PQ de 31/7/2018)

SARA AURA UN FILS
Verset Clé 17 :19
Aujourd’hui, c’est la suite de l’alliance entre Dieu et Abraham. L’Eternel nomme Sara, promit son futur fils Isaac. Là où il y a l’alliance, il y a un va-et-vient. Abraham y obéit.                      
1. J’établirai mon alliance avec lui (15-22)
Abraham eut une vision d’un père noble selon son ancien nom, mais la vision de Dieu est grande, si bien qu’il devint père d’une foule de nations. Avoir un contentement étroit de la vie personnelle ou familiale attriste Dieu, en rendant la personne non intègre (1). Le fait que l’élu tombe dans l’état la rend spirituellement incorrect. Dieu visita et élargit sa vision. Cependant, il semble que celle d’Abraham n’a pas été aussi élargie que Dieu le souhaitait. D’abord, Dieu nomma sa femme Saraï en Sara. Saraï est une princesse, mais Sara est la mère d’une foule de nation. Pour cela, Sara dut renoncer à son désir de princesse et décida de devenir servante de Dieu (Lc 1 : 38). Sara pensait qu’elle sera mère via Agar. C’était le sens commun de son temps. Mais Dieu renverse le sens commun, pour donner l’accès au monde divin. Dans le développement de science, la vue de l’homme moderne se trouble sans avoir cet accès. Dieu se nomme Tout-puissant. Sara stérile aura un fils de son sein. Abraham en ria, mais cela ne lui profita que pour avoir un nom bizarre, Isaac, pour le souvenir de son incrédulité. Mais Dieu le comprend et fera naître un bébé qui rit tout le temps et qui sera la joie du couple.                
2. Abram se fit circoncire (23-27)

Le même jour, Abraham se leva et se fit circoncire, lui et son fils Ismaël et toute sa maisonnée. La vraie circoncision est celle du cœur, comme l’a expliqué Paul dans sa Romains. Abraham obéit à Dieu de tout son cœur, et cela plut à Dieu. Jamais avec un acte rituel, l’homme ne peut plaire à Dieu, mais par l’obéissance de tout cœur, il le peut. Il se peut qu’Abraham, dans le début, eut encore un doute dans le cœur, vu son corps vieilli et celui de Sara stérile, mais Abraham accepta entièrement la promesse de Dieu, et comme son expression de cette acceptation, il se fit circoncire, lui et sa maison.

jeudi 26 juillet 2018

Genèse 15 :1-6 (PQ de 27/7/2018)

CELA LUI FUT COMPTÉ COMME JUSTICE
Verset Clé 15 :6
Ce passage fut cité par Paul pour soutenir sa théologie de la foi que l’homme est justifié par la foi mais non par les œuvres. Donc, étudier cette partie du point de vue de la justification par la foi est important. Mais nous l’étudions plutôt du point de la foi pratique.                    
1. Abram fut déprimé (1-3)
Abram fut tombé en quelque sorte dans une crise. Il y eut quelques temps, il s’était avéré conquérant incontournable. Mais maintenant il se sentait envahi par de diverses sentiments négatifs. D’abord, la tristesse. Il était parti en guerre en vue de sauver Loth au prix d’un sacrifice du temps et du matériel, mais s’il put sauver son parent, il ne put pourtant pas le faire revenir de son chemin mauvais en Sodome. Ensuite, la peur. A cause du refus de la proposition de Béla, roi de Sodome, mais son choix clair de la foi en Dieu auprès Mélchisedek, la relation diplomatique avec Bela et ses alliés devint compliquée et il se trouva du coup au milieu des ennemis. Enfin l’amertume. Dieu apparut et dit, « je suis ton bouclier, ta récompense sera grande ». Mais son cœur amer en vint à refuser de le croire.              
2. Abram crut en Dieu (4-6)

Quand Abram insistait sur son idée pour l’héritier, Dieu lui persuada le contraire qui arrivera. Puis, il l’amena dehors et le fit compter les étoiles. Etait-ce la meilleure façon du Créateur pour changer l'idée fixe de ses créatures ? Notre Dieu nous éduque par sa création. Les yeux étant ouverts, Abram s’éloigna des raisonnements humains et des calculs et pensées négatives. Petit à petit l’incrédulité enracinée en lui commença à se distiller pour enfin donner place à la foi. Alors quand Dieu déclara que sa descendance serait ainsi comme les étoiles, il crut en Dieu. Il crut que le Dieu tout-puissant travaillerait au-delà du cul-de-sac humain, et aussi qu’il était fidèle pour tenir sans faute sa promesse. Quand Abram crut en sa parole, Dieu le lui compta comme justice. Cela veut dire qu’il était justifié par la foi et en même temps il fut pardonné de tout péché. C’était en fait une immense bénédiction qui fut arrivé à Abram.