1Corinthiens 6 :1-20 (PQ de 1/11/2018)

VOTRE CORPS LE TEMPLE DU SAINT-ESPRIT

Verset Clé 6 : 19

Les Corinthiens avaient d’autres problèmes qui étaient le procès entre les frères. Paul explique l’identité de chrétien et sa déontologie en profitant de cette occasion.

1. Vous êtes le juge du monde (1-11)

Les Corinthiens avaient le conflit parmi les frères. Mais une partie des frères apportèrent le problème auprès de l’autorité du monde, pour le résoudre. Le but de cette démarche était parce que leur droit était lésé. Donc, le motif était très égoïste. Il fallait qu’une autorité dans l’église le résolve sans recours ailleurs. Mais il n’y avait personne ni entité qui puisse le faire. C’était une grande erreur que de confier la tâche au pouvoir extérieur, car ainsi le monde allait juger la communauté et celle-ci serait un sujet de blâme et fragilisée et aurait de la honte. L’autre problème consiste au fait qu’en optant cette démarche, les ouailles se mirent à oublier leur propre identité en tant que pécheur racheté. Quand quelqu’un a le droit lésé, c’est un bon moment où il peut expérimenter le sacrifice et l’humilité de Jésus. Mais ils ne voulaient pas se voir aucunement lésé. Ainsi, immanquablement ils s’éloignaient de la grâce de Dieu. Paul était obligé de re-expliquer de quoi ils étaient sauvés.     

2. Ne savez-vous pas ? (12-20)

Paul dit ne pas permettre aucun asservissement dans la vie. C’est malsain, car Jésus est mort pour nous libérer. Nous ne devons pas nous laisser entraver quoi que ce soit, surtout le désir du péché. L’inconduite est un péché qui rend esclave. C’est un péché qui dégénère son propre corps. Le chrétien doit savoir combien le corps est précieux, en rejetant la tendance gnostique qui méprise l’aspect corporel. Jésus, Fils de Dieu se fit chair pour sauver l’homme coupable. Le corps est donné par Dieu pour que par lui nous glorifiions Dieu. Ayant la chair, le chrétien affronte le levain de la chair chaque jour. D’abord, il doit s’attacher à l’Esprit Saint, qui est celui de Jésus. Puis, il faut qu’il préfère la fuir plus que l’affronter, dû à la chair faible.    

1Corinthiens 5 :1-13 (PQ de 31/10/2018)

VOUS ETES SANS LEVAIN

Verset Clé 5 : 7

Les Corinthiens étaient fortement influencé par l’ambiance charnelle de la ville. Le péché fut entré dans l’église subrepticement. Puis il devint flagrant. Paul donna les directives claires pour l’éradiquer.      

1. Vous êtes enflés d’orgueil (1-5)

Au sein de l’église des Corinthe, furent pénétrés des péchés, même le péché le plus inavouable dans le monde des païens. Un débauché prit sa belle-mère pour femme. En face de ce problème, les ouailles se regardaient les uns les autres et de peur de blesser le frère, ils se défendaient de s’ingérer. Paul vit que la cause de ce péché l’orgueil des ouailles. Ce levain aveugle les gens qui se considèrent toujours meilleurs que les autres. Ils s’étaient occupés à se battre entre eux pour la plupart de temps au bout de laquelle le péché avait déjà gangréné en profondeur. Paul était sans ménagement, pour dire que réunis en esprit, ils condamneront cet homme et le livreront à Satan en souhaitant, si c’est possible récupérer son âme. Paul était le vrai berger quitte à détruire le corps du pécheur.   

2. Vous êtes sans levain (6-13)

Paul rappela que les Corinthiens étaient rachetés par le sang de Jésus, l’Agneau immolé, donc ils étaient comparables au pain sans levain porté par le peuple d’Israël sortant de l’Egypte. Ils sont délivrés de tout le joug du péché et devinrent un peuple libre. Jésus est immolé pour nous. Nous devons donc garder notre corps proprement sans permettre le levain du péché s’infiltrer en nous et en la communauté. Ils auraient se vanter qu’ils sont l’église la plus tolérante du monde. Mais accepter un péché corrompe toute la communauté. Le pain sans levain est le pain de sincérité et de vérité. Donc, la purification de la conscience et l’obéissance à la vérité sont nécessaires pour que nous soyons sans levain, et ayant une bonne influence. Paul ne parle pas uniquement du débauché, mais de tous les esprits susceptibles de corrompre et diviser l’église (6). Paul dit clairement qu’il faut se couper d’avec eux. Il ne s’agit évidemment pas des gens du dehors, mais des frères corrompus de dedans.

1Corinthiens 4 :8-21 (PQ de 31/10/2018)

SOYEZ MES IMMIATATUERS

Verset Clé 4 : 16

Paul se défend pour son apostolat devant les aisés spirituels de Corinthe. Ceux-ci sont les gens dangereux, car en prétendant qu’ils se lèvent tout seul sans aide, donnent les mauvaises influences au sein de l’église.    

1. Vous êtes rassasiés (8-13)

Les Corinthiens étaient déjà arrivés, alors que les apôtres luttent. Ces arrivistes pensaient qu’ils régnaient déjà avec Christ. La lutte des apôtres au milieu du monde hostile était inimaginable. Cependant, ils ne répondirent pas le mal avec le mal. Ils bénirent toujours ceux qui les maudissent. Ils affrontaient à la condition physique difficile pour qu’ils servent l’œuvre de Dieu. Ces aisés spirituels pensaient qu’ils avaient obtenu la récompense à la seule condition qu’ils croyaient en Dieu, donc ils sont devenu les hommes faits, sans avoir besoin de passer l’épreuve de la vie. En fait ce n’était qu’une paresse spirituelle. Le système de valeur des grecs consister à mépriser ce qui est faible et y appartiennent les actes tels bénir, supporter et consoler. Mais les apôtres choisirent d’être de telle sorte, comme balayeur et rebut.

2. Soyez mes imitateurs (14-21)

Paul était le père spirituel des ouailles de l’église de Corinthe. Quand celles-ci commirent le péché, Paul les considéra comme ses propres enfants. C’était à cause de son cœur de berger. Le père veut que ses enfants grandissent bien. Paul leur dit d’être ses imitateurs. Qui dit cela parmi les hommes ? Mais cela veut dire que pour lui la prédication et la vie pratique doivent se concorder. Paul vivait toujours une vie sans reproche et sa vie était un exemple parfait de comment vivre devant Dieu. Le problème des Corinthiens était la parole en profusion mais en air sans exercer le pouvoir. Paul était désolé de leur état et il voulut venir les corriger. Or, la puissance de Dieu vient de l’obéissance. Ces humanistes charnels n’y obéissaient jamais. La parole sans pouvoir n’est qu’une pure fantaisie. Celui qui a le royaume de Dieu vient quand le prêcheur a la puissance.

Nombres 13 :1-14 :38 (Q de 4/11/2018)

ILS NOUS SERVIRONS DE PÂTURE

Nombres 13 :1-14 :38

Verset Clé 14 :9

I. Le rapport explorateur de Canaan (13 :1-14 :10)

1.      Que Dieu ordonna-t-il à Moïse ? (13 :1,2) Quelle sorte d’hommes Moïse choisit-il pour les envoyer comme espions, et quelle instruction leur donna-t-il ? (3-20) Où explorèrent-ils, et comment surent-ils qu’elle était la terre découlant du lait et du miel ? (21-24)

2.      Lorsqu’ils furent de retour, quel rapport firent-ils sur le pays ? (25-27) Qu’est-ce qu, disaient-ils, aurait rendu difficile d’en prendre possession ? (28-29)

3.      Comment Caleb fit-il taire le peuple troublé ? (30) Quelle sorte de rapport mauvais sur le pays les autres espions donnèrent-ils ? (31,32a) Comment se comparèrent-ils eux-mêmes aux habitants du pays ? (32,33) Pourquoi pensez-vous que leur regard était différent, bien qu’ils avaient vu exactement les mêmes choses et avaient été dans les mêmes situations ?

4.      Comment le peuple répondit-il lorsqu’il entendit ce rapport effrayant ? (14 :1-5) Pourquoi le peuple écoute-t-il plus attentivement aux dix rapports négatifs qu’au rapport de Caleb ? Quelle sorte de foi Caleb et Josué implantèrent-ils dans le peuple ? (6-9)

II. Dieu jugea l’incrédulité du peuple (14 :11-38)

5.      Comment, dit Dieu à Moïse, se révélera sa colère contre les Israélites rebelles ? (11,12) En quel point l’incrédulité des Israélites montre-t-elle le mépris envers Dieu ? Comment Moïse intercéda-t-il sincèrement dans sa prière en faveur de l’incrédulité des Israélites, afin qu’ils fûssent sauvés ? (13-19)

6.      Comment Dieu répondit-il à la prière de Moïse, (20) Néanmoins, comment, Dieu dit-il, il punirait les Israélites rebelles ? (21-38) Qui seul, Dieu promit-il, il emmenerait dans la terre pour en prendre possession ? (24,31,38)

* Comment devons-nous voir les campus du monde entier ? Que désire Dieu pour nous ?

1Corinthiens 4 :1-7 (PQ de 29/10/2018)

VOUS ETES ADMINISTRATEURS DE DIEU

Verset Clé 4 : 1

Paul explique le rôle des apôtres au sens large du terme au sein de l’église de Dieu. Ils sont serviteurs et surtout ils sont administrateurs de Dieu. Quelle qualité exige-t-on pour eux ? Devant qui doit-on rendre compte ? Le mal venant de l’orgueil Paul sentit besoin de parler de l’importance du remerciement dans la vie de l’apôtre.  

1. Vous êtes administrateurs de Dieu (1-5)

Les administrateurs ou les intendants sont responsables de la surveillance de la maison de leur maître. Leur plus grande qualité est la fidélité absolue. Ils sont les dispensateurs des mystères de Dieu, c’est-à-dire les responsables de proclamer sans défaut les faits certains de l’Evangile, et non leurs vues personnels. Paul doit rendre compte à son maître. Personne ne juge sur elle-même, car son jugement sera forcément faux. Cependant, Paul sut qu’il n’a rien dans sa conscience, et celle-ci ne lui reproche aucun manquement dans le service. Mais il ne se repose pas sur sa conscience pour être justifié, mais absous seulement par Dieu dans son tribunal qui lui donnera le dernier verdict exact. D’où sa recommandation de ne pas juger les autres. Dieu seul est juge.

2. Qu’as-tu que tu n’aies rien reçu ? (6-7)

Paul usa des images dont l’une la plus saillante était les ouvriers dans l’agriculture pour expliquer le rôle de chacun des leaders d’Apollos et lui-même. Il ne faut pas prendre le parti-pris, car c’est malsain et ne révèle que l’orgueil dans l’homme, comme il pense qu’il est supérieur à tous les hommes qui prennent parti d’une personne qui est inférieur à son leader. Cela amène à la division de la communauté. Donc, Paul souligna l’importance d’avoir le cœur de reconnaissance. Le verset 7 est reconnu comme le verset clé de la vie de Saint Augustin. Nous n’avons rien à nous vanter, car nous sommes venu à main vide et nous partons à main vide aussi. Donc, si nous acquérons quelque chose sur la terre, c’est par la pure grâce de Dieu qui nous en dispense, mais point comme si c’est quelque chose qui sort de nous-mêmes.

1 Corinthiens 3 :10-23 (PQ de 28/10/2018)

JESUS, LE FONDEMENT

Verset Clé 3 : 11

Paul enseigna aux Corinthiens comment mener une vie qui obtient la récompense de Dieu et pourquoi il est si important de savoir que nous appartenons au Christ.

1. Prenez garde à la manière dont vous bâtissez.

L’Apôtre Paul menait une vie basée sur la grâce de Dieu. Il avait été un ennemi de la croix du Christ. Mais quand il fit cette rencontre personnelle avec Jésus-Christ, il comprit que Jésus-Christ est Seigneur et qu’il avait mené une vie erronée. Désormais Jésus-Christ devint le fondement de sa vie. Selon l’appel qu’il avait reçu de Christ, il prêchait la bonne nouvelle de Jésus-Christ mort pour les péchés et ressuscité pour  donner la vie éternelle à tous ceux qui croit en lui. Basé sur cette grâce, il enseigna les Corinthiens à se tenir ferme sur Jésus-Christ, ce solide fondement, fruit de la sagesse de Dieu donné aux hommes.

Tout chrétien est appelé à bâtir sa vie en ne se conformant pas aux valeurs du monde présent mais à apporter ses choses précieuses à Christ, comme son cœur, son temps, son argent...son obéissance. Dieu se plait de celui qui l’aime et qui bâtit sa vie basé sur la parole de Dieu.

Au jour du jugement, Dieu révèlera les œuvres de chacun, bâti sur Jésus-Christ. Si l’œuvre subsiste au feu de Dieu, comme l’or, l’argent et les pierres précieuses, nous serons récompensés (12). Sinon, nous aurons bâtit pour notre perte. Cette parole nous met en garde contre la vie égoïste.

2. Qui sommes-nous en Christ.

Paul affirmait aux corinthiens qu’ils étaient l’habitation du Saint-Esprit, le temple saint de Dieu. Cela est vrai pour tout chrétien nait de nouveau. C’est pourquoi celui qui persécute la vie d’un chrétien jusqu’à le tuer, doit redouter la colère de Dieu. Il y avait cet amalgame de penser être sage en imitant le monde. Mais la vraie sagesse s’apprécie selon le but poursuivi.  Paul rappelle que la sagesse du monde est folie devant Dieu (Job 5 :13) C’est pourquoi, nous ne devons pas mettre notre gloire dans les hommes comme le fait le monde envers les stars du showbizness ou des sportifs de haut niveau. Nous devons retenir que nous avons été rachetés par le sang précieux de Jésus et que nous sommes à Christ, comme Christ à Dieu.

1Corinthien 3 :1-9 (PQ de 27/10/2018)

NE RESTEZ PAS CHARNELS MAIS DEVENEZ SPIRITUELS

Verset clé: 3: 4

Paul haussa le ton pour indiquer la nature charnelle chez les Corinthiens. Mais un instant après, ayant l’amour comme père, il leur expliqua la vérité avec l’illustration sur l’agriculture.     

1. N’êtes-vous pas charnels ? (1-5)

Les Corinthiens étaient divisionnaires, en pratiquant le parti-pris entre eux. Ils avaient la prétention de suivre le meilleur modèle spirituel à travers les hommes idéaux. Mais c’était une pure hypocrisie et comparable à un acte enfantine. L’important pour le croyant est le contenu de la foi. Le fruit mûre de la spiritualité importe comme Galates 5 :22, « amour, joie, paix, patience etc. » L’homme spirituel ne connait pas la division ni la jalousie dans son dictionnaire. L’homme charnel ne supporte pas ni digère les bons mots instructifs (2). Donc, il est inutile de le leur donner (Mt 7 :6). Nous devons grandir jusqu’à parvenir à l’état d’un homme fait, à la mesure de la stature parfaite du Christ (Ep 4 :13).       

2. Le serviteur comme un ouvrier agricole (6-9)

Envers les Corinthiens qui se battaient entre eux en se divisant autour des hommes, Paul dit que, que ce soit Apollos, soit lui-même ils n’étaient que les serviteurs et collaborateurs qui avaient aidé les Corinthiens à grandir dans la foi (5,9). Comme le fait l’agriculteur, Paul plantait et Apollos arrosait. Le fruit dépend de la souveraineté de Dieu. Celui qui permet le fruit est Dieu. Celui qui plante et celui qui arrose font leurs différentes activités mais ont le même but. C’est de travailler pour Dieu le souverain. Ils ne sont pas les adversaires, mais les collaborateurs. Puis chacun recevra sa propre évaluation et sa propre récompense vis-à-vis son travail (8).