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lundi 3 août 2020

1 Samuel 28 : 1-25 (PQ du 03/08/2020)

Aurais-je la force de me repentir à la veille de ma mort ?

1 Samuel 28 :1-25
Verset clé 28 :19

Quand la crise militaire survint, Saül, qui avait été tant béni,  commit des erreurs graves dans la gestion de cette crise. Un croyant qui perd l'Esprit de Dieu, ne trouve pas de lumière.  D'où l'appel à craindre Dieu et à s'y entraîner au quotidien.

1) Saül désobéit à la bonne loi, établie par lui-même (1-13)

Saül se sentait sûrement responsable de son peuple quand les Philistins lui envoyèrent, pour la énième fois, une déclaration de guerre. Or, pour faire face à cette crise, on le voit seul : David s’est rallié à Akich, Samuel est mort, et Dieu ne lui répond pas. Sous l'angoisse, il veut demander conseil au feu à Samuel, quoique lui même avait interdit cette pratique impie. Selon la Loi, la divination salit le cœur (lev 19:31). L'avenir et les esprits sont à Dieu qui estime ne devoir partager ce pouvoir avec personne. Saül ne vivait plus selon ses principes car il a transgressé ce qu'il avait choisi auparavant.

2) Saül ne trouve ni réponse, ni direction (14-25)

 Le plus triste c'est que face à la guerre, qui est un appel à la repentance pour le peuple, Saül n'a pas de pensées vers la repentance. Samuel lui rappelle sa désobéissance pour exterminer Amalec à cause de la convoitise pour le butin. Ses troubles extérieurs proviennent clairement de Dieu. Dieu lui laisse un jour de plus avant de prendre sa vie, ainsi que celle de ses proches. La veille de sa mort, Saül, le croyant, se retrouva sans aucune force. Pour nous, chaque occasion, même pénible, est pour notre salut. Nous devons croire en la miséricorde de Dieu et nous repentir. 

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