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jeudi 31 octobre 2019

Juges 6 :25-40 (PQ de 2/11/2019)

GÉDÉON SE REVÊT DE L’ESPRIT DE DIEU
Verset Clé 6 :34
La priorité de Gédéon était la réforme spirituelle. Il la fit comme question de vie et mort. Puis celui qui battait du froment au pressoir partit en guerre et devint l’héros comme le dit l’Eternel.
1. La réforme religieuse de Gédéon (25-32) 
La cause du malheur d’Israël était l’idolâtrie. Donc avant le combat, Dieu dit de détruire l’idole. De nos jours, l’église veut la réforme. Mais par où commencer ? Il faut commencer par démolir l’idole. Le réveil n’est pas de restaurer du zèle ou se réchauffer le coeur. C’est de détruire l’idole caché dans la communauté. L’idolâtrie est que nos cœurs sont occupés plus des choses que de Dieu. S’il y a quelque chose qui occupe nos cœur plus que Dieu, nous devons l’abattre sans ménagement. Les gens voulaient tuer Gédéon, mais son père le défendait, « si Baal est le vrai Dieu, lui-même lui demanderait le compte. » Les gens l’appelèrent de Yeroubbabel car ils disaient que Baal s’occuperait lui-même de Gédéon. Le peuple de Dieu ne doit pas se sentir peine du fait que les gens parlent mal de lui. Plus leur blâme monte, plus nous les chrétiens qui appartenons au Christ, devons  assumer que nous servons Dieu seul. Quand quelqu’un connaît où il appartient, alors il peut devenir puissant et exercer le pouvoir.    
2. L’Esprit de Dieu est donné à Gédéon (11-24)    
L’ennemi allié monta. Si c’était Gédéon d’autrefois, il aurait prendre fuite. Mais il s’enhardit pour se battre. La situation s’empirait car l’ennemi était plus nombreux, mais Gédéon avait changé. Il se revêtit de l’Esprit de Dieu. Le soldat de Dieu doit être fort. L’homme ne peut devenir fort tout seul, mais quand l’Esprit arrive et demeure, il devient fort. A l’époque de l’Ancien Testament, l’Esprit demeure momentanément sur quelqu’un, mais les chrétiens de la nouvelle ère, voient l’Esprit demeure constamment en eux. La plénitude du Saint-Esprit signifie que l’Esprit réside à la fois dans le cœur et dans la pensée. Après avoir démoli l’idole et établi l’autel pour Dieu en vue d’une relation correcte avec Dieu, c’est alors que Gédéon devint fort. Quand nous recevons la parole et nous efforçons dans la vie pieuse, nous pouvons nous revêtir de l’Esprit Saint. Ensuite Gédéon demanda les signes. Ce n’est pas pour cause l’incrédulité avec laquelle il tenta Dieu, mais qu’il voulut s’assurer de la volonté de Dieu dans la situation critique. Nous devons avoir cette attitude de demander la volonté de Dieu ensuite celle de défi. A deux reprise, Dieu montra qu’il sera avec lui. Si nous voulons vaincre dans la guerre saint, nous devons avoir l’assurance que Dieu est avec nous.


mercredi 30 octobre 2019

Juges 6 :1-24 (PQ de 1/11/2019)

LE VAILLANT HÉROS GÉDÉON
Verset Clé 6 :12
Nous en venons à connaître la personne de Dieu, en voyant comment il traite le péché d’Israël. Puis, quand l’époque était si sombre, dans sa miséricorde, Dieu établit un homme faible pour le sauver.  
1. Dieu entend le cri (1-10) 
D’abord, Dieu hait le péché. Israël tomba de nouveau dans l’idolâtrie. Donc, Dieu le fit souffrir pendant 7 ans en l’attachant aux Madianites. Ceux-ci avec les autres peuples montèrent et pillèrent les animaux et les végétaux. Israël se cacha dans les montagnes. Dieu est claire ; il veut que par ces souffrances, son peuple retourne. Quand on est dans la souffrance, on est tenté d’en vouloir aux hommes et à l’environnement, Mais trouver le péché caché, le confesser et faire un nouveau départ est important. Dieu est ensuite celui qui écoute nos prirères. Donc, quand nous sommes punis à cause du péché, nous avons quand-même l’espoir. Quand Israël cria dans la souffrance, il envoyé un prophète pour le sauver. Dieu n’est pas indifférent de la souffrance de son peuple. Simplement, il envoie la souffrance, pour que nous nouions la relatioin intime avec lui. Au lieu de chercher une expédient pour éviter la souffrance, nous devons crier à Dieu et nouer la relation avec lui.   
2. Vaillant héros, Gédéon (11-24)    
Gédéon était plus que misérable, quand il fut appelé. Sans un sentiment de patriotisme, il cherchait à survivre au jour le jour. Il avait le sentiment d’infériorité. Il était un simple citoyen, mais Dieu l’appela « vaillant héros. » Quoi qu’il paraisse humble et méprisable, chacun peut devenir un vaillant héros si la volonté de Dieu est sur lui. Donc, au lieu de fixer nos regards sur nos faiblesses actuelles, nous devons concevoir une grande vision pour l’avenir. Par l’accompagnement de Dieu, nous pouvons devenir tous des vaillants héros. La situation si désespérant rendait difficile de croire que Dieu était avec eux. Mais pour montrer qu’il y eut encore l’espoir, il dit qu’il état avec Gédéon qu’il avait établi comme libérateur (12). Mais en lui il y eut un doute. Comment le peuple de Dieu peut-il être dans cette situation ? Il était le plus petit parmi les gens de Manassé. Mais Dieu promit la délivrance par sa main (16). Puis il montra les signes. Alors il partit comme libérateur. Il en est de même pour nous, qui sont tenté d’abandonner en pensant à nos situations ou à nos capacités. Mais l’important ce n’est pas ma capacité, mais le fait que Dieu est avec moi. Celui avec qui Dieu est est le vaillant héros. 


mardi 29 octobre 2019

Juges 5 :23-31 (lire 1-31) (PQ de 31/10/2019)

LA PRIÈRE DU VAINQUEUR
Verset Clé 5 :23
Debora qui avait gagné la victoire, sans s’en enorgueillir, se mit à prier encore plus intensément Dieu. Quelle est l’assurance et la foi en Dieu qui se révèle dans la prière du vainqueur ? 
1. Dieu punit sans faute l’ennemi du Seigneur 
Quand Sisera partit en campagne, l’espoir de sa mère était grand. Elle ne doutait pas que son fils retournerait avec l’abondance des butins et esclaves. Mais les ennemis virent que leur espoir était complètement brisé et Sisera vit son dernier jour tragique par la main d’une femme. Bien que la force d’armée de Sisera fût impeccable, Dieu la détruisit sans ménagement. Bien que les gens qui bafouent Dieu, semblent prospérer, ce n’est qu’un moment, et tous sont obligés de disparaître. C’est parce que Dieu est vivant et qu’il est celui qui juge sans faute les méchants. La prospérité du méchant est comme des pailles qui s’envolent par le vent et la brume matinale qui se dissipe sous le soleil. Notre combat est le combat qui est destiné à la victoire. Si nous nous assurons de la caractère de Dieu qui juge et détruit l’ennemi, notre vie sera changée en celle pleine d’assurance et de fierté. 
2. Dieu rend puissants ceux qui aiment Seigneur.    
Une des vérités qui coulent au fond de la Bible, est que Dieu ne manque pas de honorer un jour ceux qui se consacrent à Dieu. Alors que les habitants de Méroz (23) étaient maudis, Yaël qui se consacraient à Dieu jusqu’au bout était plus bénie qu’aucune autre femme dans le monde. La vie qui fait les bonnes œuvres qui plaisent à Dieu et qui est sainte devant Dieu est parfois douloureuse et difficile, mais il n’y a pas de plus valeureuse et bénie qu’elle. Dieu accompagne toujours ceux qui vivent pour le Seigneur et qui se sacrifient pour l’Evangile, leur donne le secours et en gros il bénit de telles vies. N’est-ce pas que nous sommes comme les habitants de Sisera, qui s’installent dans le plaisir et l’aisance, et restons en-dehors de l’œuvre de Dieu. De même que ceux qui aiment Dieu resurgissent comme le soleil levant, de même en nous confiant en Dieu, nous devons nous engager dans la guerre spirituelle. Est-ce que vous êtes dans la zone central de l’œuvre de Dieu ou demeurez dans la zone périphérique.


lundi 28 octobre 2019

Juges 4 :12-24 (PQ de 30/10/2019)

DIEU SE MET EN AVANT EN CAMPAGNE
Verset Clé 4 :14
Dans une guerre où on ne peut gagner du point de vue de l’homme, Israël triomphe. C’est la victoire, non de l’homme mais de Dieu. Comment Dieu se mit-il en avant dans la campagne ?
1. Dieu œuvra de façon inimaginable. 
Devant l’armée de Sisera, l’armée des Israélites étaent une armée en désordre. Avec dix mille soldats peu disciplinés parmi les fils de Nephtali et Zabulon, Israël partit en campagne contre 900 chars. Mais l’armée de Sisera subit une défaite cuisante. Le Dieu qui va en avant fit déborder la rivière de Guihon et ravagea les chars de Sisera et l’armée qui y était réuni (cf 5 :21). Le reste fut massacré impuissamment par l’épée de Baraq. La pensée qu’on a que sans Dieu on peut triompher est celle de Satan, mas la pensée que nous sommes obligé d’être défait à cause du manque du moyen aussi est celle de Satan.  Même si nous sommes faibles, Dieu qui va en avant est puissant. A nous qui appartenons à Dieu est garanti la victoire. Ne craignons pas la puissance de char de fer.
2. Dieu œuvra à travers les gens inconnus.   
La fin de Sisera état trop pathétique. Sisera qui avait illusion de voir les butins et les esclaves entrer dans la cité fut impitoyablement assassié. Celui qui a tué Sisra était rien d’autre que Yaël, femme de Héber. Héber était la tribu de Ghien mais il se tourna pour se rallier avec Yabîn (17). Donc, Sisra qui était en fuite, se rendit à Yaël de la tribu d’Israël. Mais Dieu dirigea le cœur de Yaël. Et Dieu contrôle le cœur de Sisera. S’il y quelque chose qui est la plus redoutable, ce n’est pas des matériels et l’environnement, mais l’homme. Dieu est celui qui change le caractère. Il changea le cœur de l’homme et change le courant du monde. Il fait changer ceux qui semblent ne jamais changer, et les utilise comme collaborateurs. Donc attendons-nous à Dieu qui prépare. Par-dessus tout, avançons audacieusement en croyant en Dieu qui en allant en avant prépare les collaborateurs.

dimanche 27 octobre 2019

Juges 4 :1-11 (PQ de 29/10/2019)

PROPHÉTESSE DEBORA
Verset Clé 4 :4,5
Dieu de nouveau après avoir puni Israël qui se rebellait contre lui par la main de Yabîn, établit une femme comme libérateur. Quel est Dieu qui a sauvé Israël par l’intermédiaire de la prophétesse Debora ?
1. Dieu est celui qui travaille à travers les faibles
Dieu utilisa une femme faible pour sauver Israël qui souffrait pendant 20 ans sous l’oppression violente du roi de Canaan Yabîn. Debora est le seul leader féminin dans l’histoire d’Israël. Malgré la présence des hommes forts, Dieu veut élever une femme pour manifester sa puissance du salut. Eu égard de la Bible, et l’histoire chrétienne, ceux qui ont été utilisés grandement par Dieu étaient tous les êtres faibles et insuffisants. Abraham, Moïse, David étaient de tels hommes, et Paul aussi était plein de faiblesse avant qu’il soit appelé par Dieu. Mais Dieu confond les forts et puissants à travers les faibles et manifeste sa puissance qui s’accomplit dans la faiblesse (2Co 12 :9,10). La raison pour laquelle les intellectuels sont difficilement utilisables par Dieu est à la fois parce qu’ils sont trop orgueilleux pour dépendre de Dieu et parce que lors de son succès, ils font ressortir leur propre justice. Maintenant même, Dieu cherche ceux qui sont humbles et ont la foi en lui.
2. Dieu est celui qui travaille à travers la collaboration   

L’œuvre de Dieu est l’œuvre de collaboration. Debora était une prophétesse qui avait reçu directement l’appel de par Dieu. Elle ne s’enorgueillit pourtant pas, mais cherchait un collaborateur qui pouvait participer à l’œuvre du salut d’Israël. Elle visita Baraq fils de Abinoam, et lui fit appel pour qu’il participe à l’œuvre de Dieu. Baraq, appelé ainsi par Debora, malgré que celle-ci fût une femme, la reconnut comme une juge établie par Dieu et lui obéit et fut ainsi utilisé précieusement dans l’œuvre de Dieu. Même si quelqu’un est capable, il ne peut être parfait et ne peut réaliser l’œuvre de Dieu tout seul. Dieu a donné Aaron à Moïse, et la raison d’une grande utilité de David et Paul état parce qu’il y avait autour d’eux de nombreux collaborateurs. Melancheton pour Luther, Théodore Bèze pour Calvin sont les exemples modernes. Avec le leadership d’un leader la quelconque communauté ne peut grandir. En reconnaissant la faiblesse de soi-même, si on reconnaît le point fort des collaborateurs, la bonne collaboration se rend possible et à travers elle, l’œuvre du royaume de Dieu se promeut.

Juges 3 :7-31 (PQ de 28/10/2019)

DIEU ÉTABLT LES LBÉRATEURS
Verset Clé 1 :9,15
L’œuvre de Dieu est l’œuvre à travers les hommes. Dieu établt les juges sur Israël qui a oublié l’Eternel et sauva le peuple à travers eux. Quels hommes Dieu a-t-il utilisé ?
1. Dieu utilise celui qui se revêt de la puissance de Dieu (7-11,31)
Quand Israel fit ce qui est mal aux yeux de l’Eternel, il l’attacha à la main de Kouchân-Richeatayim pendant 8 ans. Quand sous la peine insupporable, Israël cria à Dieu, Dieu lui envoya Otniel comme juge. Il devint le premeir juge en Israël en se revêtant du Saint-Esprit. Il n’était pas un homme fort du point de vue du monde, mais en se revêtant du Saint-Esprit, il devint un homme fort. Il en était de même Chamgar, car il a tué 600 Philistins avec un aiguillon à bœuf (31). Cela nous en dit long que ce n’est pas la force de l’homme mais la force de Dieu qui les rendait possibles. Celui que Dieu établit et utilise est celui qui se revêt de l’Esprit de Dieu. L’œuvre de Dieu différencie de celle de l’homme qui se réalise par l’intellgence et la capaicté, mais elle se fait par les gens saisis par l’Esprit de Dieu. 
2. Dieu utlise même la faiblesse de l’homme, vu son centre de cœur. (12-30)   

Le deuxième juge est Ehoud. Il est gaucher. Qu’un homme du peuple rencontre un roi n’est pas facile. Mas Ehoud put faire face au roi sans être empêché. La raison pour laquelle Ehoud put aller vers le roi malgré  la garde du roi inpénétrable, était parce qu’il ne paraissait pas comme quelqu’un qui puisse assassiner le roi. La Bible dit simplement qu’il est gaucher, mais on estime que c’était parce qu’il était un handicapé, il put esquiver la garde du roi. Si Ehoud était droitier, qu’il fût handicapé ou pas, il n’aurait pas pu être utilisé par Dieu, ni garder sa propre vie. La raison pour laquelle malgré sa difformité physique, il a pu être utilisé, était parce qu’il avait le centre de cœur en tant que leader du peuple ayant partagé la souffrance du peuple et intenté de sauver le peuple au dépense de sa vie. Même maintenant, Dieu utilise l’homme non en raison de son apparence ou mérite, mais en raison du centre de cœur. Si peu soit-il que nous ayons, si nous en remercions Dieu et le donnons à Dieu et lui restons fidèle, Dieu peut nous utliser dans son œuvre étonnante de salut.

jeudi 24 octobre 2019

Juges 1: 1-36 (PQ de 26/10/2019)

JUGES
<Introduction>
L’auteur de ce livre est peut-être Samuel. Il est écrit en 1050-1000 avant J.C. Le but de l’écriture du livre est de montrer que la bénédiction vient de l’obéissance et la punition de la désobéissance, et d’ainsi révéler que la règle de gouvernance divine est l’amour et la justice. Un autre but serait de montrer la limite du règnes des juges et de justifier la royauté. Le contenu est l’histoire d’Israël pendant 200 ans de la conquête de Canaan jusqu’au monter au trône de Saül et la punition du peuple idolâtre par Dieu et son pardon pour les repentis, l’impuissance de l’humanisme et l’idolâtrie. Les Philistins s’attaquaient du côté de la mer et bâtissaient les remparts et les Madianites envahissaient le côté Est. Le territoire était divisé et le peuple devint individualiste jusqu’à négliger le malheur des autres tribus. Faute des leaders, le peuple souffrait sans cesse de ces attaques des étrangers. Dieu envoya les juges qui sont héros de la foi pour sauver le peuple des ennemis de ce temps. 


LA VICTOIRE DE LA TRIBU DE JUDA
Juges 1 :1-20
Verset Clé 1 :2
La guerre de conquête de Canaan est semblable à notre guerre pour la conquête du monde par l’Evangile. Que devons-nous faire si nous voulons remporter la victoire dans cette guerre ?
1. Il faut croire en la promesse de Dieu et lancer un défi.
La plupart du territoire est vaincu au temps de Josué, mais il y a des localités qui n’étaient pas encore conquises. Les fils d’Israël les conquirent dans l’obéissance à la parole de Dieu. Ils demandèrent d’abord à Dieu avant de partir en guerre. « Qui montera d’abord ? » L’Eternel, en disant que c’était Juda, promit que le pays serait livré à leurs mains (2). Quand ils croyaient en cela et combattaient, ils remportaient de grandes victoires. Caleb était âgé mais conduisit la guerre comme chef d’armée même en échange de la récompense pour les vainqueurs. Au final, Juda, dépendant de la promesse, remporterait de grandes victoires et s’emparaient de la plupart des héritages attribués. Mais pour les tribus des Canaans qui avaient les chars de fer, ils les évitaient, ce qui lassa une conséquence non négligeable dans le futur (19), et donnaient ainsi de la mauvaise influence. La confiance totale en Dieu seule amène à vaincre la peur.
2. Il faut faire la collaboration   

Comme dans les affaires du monde, dans les affaires de Dieu surtout, la collaboration est indispensable, et on a la facilité sur les affaires quand on se réunit pour collaborer. Même si la tribu de Juda était beaucoup plus forte par rapport aux autres tribus, il demanda la collaboration à la tribu de Siméon, possédant des petits héritages, et ains il en vint à vaincre les ennemis (3). Il tua 10000 personnes à Bézeq et coupa les doigts d’Adoni-Bézeq, pour que ceux-ci ne puissent pas prendre les armes. Ce roi avait été se orgueilleux et coupé les doigts aux 70 rois des tribus, mais par la collaboration, Juda put les soumettre. Même, pendant le prêche de l’Evangile, quand on se collabore en faisant valoir chacun, c’est alors qu’on gagne le combat. Sans que personne néglige les faibles et ne se culpabilise en disant « je suis inutile », tout le monde doit se collaborer, alors l’œuvre de Dieu devient puissant et remporte la victoire. « Si quelqu’un maîtrise une homme seul, deux peuvent lui résister, et la corde à trois brins ne se rompe pas vite. » (Eccl 4 :12)

Ecclésiaste 8 :1-15 (PQ de 25/10/2019)

LA VIE DÉBORDANTE DE JOIE DANS LE MONDE INCOMPRÉHENSIBLE
Verset Clé 8 :15
L’Ecclésiaste réfléchit en tout point, et trouve qu’il n’y a pas de critère clair dans le monde. Il ne semble pas y avoir le critère entre le bien et le mal. Le travail diligent ne garantit pas la richesse. Dans ce monde confus, comment vivre sagement ? 
1. Il faut reconnaître la souveraineté de Dieu et vivre avec responsabilité pour les tâches données
Le plus sage reconnaît que le pouvoir du roi est venu de Dieu et lui offre son obédience. Montrer la fidélité au roi est l’expression de la crainte envers Dieu. De nos jours, ce roi peut être le chef de l’entreprise ou les lois dans le pays. Etre fidèle aux supérieurs dans le Seigneur est l’aspect mur d’un homme dans la société. Que se passera-t-il si malgré le zèle de la foi quelqu’un ne reçoit pas la confiance des autres ? Il en est de même pour la loi. La loi est un épée qui sert à la justice dans le monde injuste. Celui qui est fidèle aux hommes et à la loi semblent être stupides du point de vue de l’habilité de se conduire dans la société. Mais dans ce chemin stupide brille la lumière qui plaît à Dieu et réside la sagesse qui vainc le monde. Le croyant doit être un homme qui est rempli de l’humanité dans le monde.
2. Il faut se réjouir de la vie dans la crainte de Dieu  
Si on voit le monde et les gens, parfois on perd le goût de vivre. Dans le monde ne cessent de se produire des choses incompréhensibles. L’une d’elles est que les méchants deviennent honorés et les justes sont oubliés des hommes. Sur ce, l’Ecclésiaste recommande avec assurance que même si le méchant vit plus de 100 ans, ses jours seront comme l’ombre qui fuit, mais ce serait les justes qui ultimement se prospéreront car ils craignent Dieu. Mais l’Ecclésiaste dit que le bonheur n’est pas dans ces choses, mais dans la vie où on travaille diligemment et reçoit le salaire juste. Dans le corps fatigué, le sommeil doux arrive et la nourriture qu’on obtient par le travail est délectable. Le bonheur ne consiste pas à se comparer avec les autres, mais à vivre honnêtement devant Dieu. Et ce bonheur ne sera pas arraché.


mardi 22 octobre 2019

Ecclésiaste 7 :1-29 (PQ de 24/10/2019)

LE BIENFAIT DU JOUR DU MALHEUR
Verset Clé 7 :14
L’Ecclésiaste dit qu’aller à la maison de deuil est mieux que d’aller à la maison de fête. Réfléchissons sur pourquoi ? Le monde est remplie des énigmatiques. Il exhorte qu’au lieu de s’en interroger de force, l’homme vive avec la foi craignant Dieu. Là est la sagesse. 
1. Le bienfait du jour du malheur  (1-14)
Le malheur fait les gens se souvenir de la vie du passé et réfléchir par des questions telles, « qu’est-ce que la vie ? » « Pourquoi doit-on vivre ? » Surtout la mort d’un proche nous fait réfléchir et nous donne la peine, et ainsi se rend séreux notre vie. On cherche le sens et décide de faire le bien pour les autres. Le sage n’est pas celui qui se procurent beaucoup pour ne pas mourir, mas celui qui redéfinit la vie pour que celle-ci soit sans regret lors de la mort. De plus, le malheur nous fait comprendre que la vie est dans la souveraineté de Dieu. La vie est enchevêtrée, au milieu des jours de bonheur et des jours de malheur comme des échevaux. Personne ne peut prévoir la vie de demain. L’avenir est le domaine décidé de Dieu. Le jour de malheur nous fait comprendre la valeur du jour de bonheur et que la vie de l’homme est sous la puissante main de Dieu. Donc, au jour de malheur, nous devons faire la rédditon à Dieu en nous dévêtant de ce qui est futile. Le malheur est la sagesse divine pour nous faire réfléchir et reconnaître que Dieu est le seul maître de notre vie.
2. La crante de Dieu nous rend juste (15-29) 
Dans le monde, n’y a ni le bon parfait, ni le juste parfait (8). L’Ecclésiaste met en garde le propre juste, en exhortant aux gens à craindre Dieu et à rester humbles. Donc, l’homme ne doit pas s’efforcer de devenir juste ou sage, mais devenir homme craignant Dieu. Le vrai sage dans le monde est celui qui reconnaît qu’il est un pécheur et se lamente de ses péchés. L’homme ne peut devenir juste par ses forces, mais par la grâce de pardon de Jésus. La sagesse du monde est celle qui se compromet avec l’injustice, et les gens se moquent de Dieu, en voyant comme modèle ceux qui réussissent sans Dieu, mais leur fin sera grave. Le péché est plus fort qu’une femme adultère qui capture l’homme (26). Vivre dans ce monde corrompu en renonçant à lui-même comme un juste est un phénomène plus rare que de trouver un homme parmi mille hommes (28). Notre foi est un trésor incomparable de ce point de vue. 


lundi 21 octobre 2019

Ecclésiaste 6 :1-12 (PQ de 23/10/2019)

QUI DONC SAIT CE QUI EST BON
Verset Clé 6 :12
L’Ecclésiaste dit que parmi les choses qui arrivent sous le soleil il y a beaucoup qui ajoutent à la vanité de vie. De plus, il soulève la question de l’incertitude de l’avenir et accentue le message sur la vanité de la vie.
1. L’état actuel du bien ne garantit pas qu’on en jouit dans l’avenir 
Même si on reçoit la richesse et l’honneur de la part de Dieu, si à cause de la convoitise, on en vient à ne pas en jouir et les laisser aux autres, combien serait-il vain ? Puis, les nombreux enfants ainsi que la longévité sont vains, si on meurt sans en jouir du bonheur. La vie sans Dieu espère le plaisir de l’avenir fantastique, mais en réalité on peine jusqu’aux os avant de mourir. La vie stupide est qu’on se contente de la vie présente et rejette Dieu comme quelqu’un qui ennuie. Il y en a beaucoup qui sont comme cela aujourd’hui. L’âme en moi se plaint de la vanité et cherche Dieu, alors que les gens tournent le dos à Dieu pour jouir de la richesse et du plaisir. C’est vraiment une vie stupide qui semble décider de mourir sans Dieu.
2. La peine actuelle ne garantit pas l’avenir satisfaisant 

Les gens se font des efforts en économisant de l’argent et en éduquant les enfants, afin de jouir de la vie satisfaisante. Mais dans ces choses, ils ne peuvent trouver l’avenir qui les satisfait. C’est parce que la vanité de notre vie ne vient pas de notre manque matérielle dans le monde, mais du vide de l’âme sans Dieu. Donc, on a la vague d’âme. De ce point de vue, la satisfaction de l’homme consiste à recevoir Dieu comme son roi. Dieu a envoyé son Fils Jésus pour ce but de sauver l’homme. Quand nous trouvons Jésus comme notre sauveur dans la grâce de pardon, nous pouvons obtenir la satisfaction spirituelle venant du ciel, ce que nous ne pouvons pas obtenir dans le monde. 

dimanche 20 octobre 2019

Ecclésiaste 4:17-5 :19 (PQ de 22/0/2019)

LE BONHER D’UN HOMME QUI PEINE
Verset Clé 4 :18
L’Ecclésiaste tourne ses regards aux homme qui ne se laissent pas emporter par la vanité du monde mais qui vont à la maison de Dieu. Ils sont ceux qui ont la crainte de Dieu. Ensuite, il s’attriste de la mal-traitance des pauvres et des opprimés par les puissants et leur donne sa consolation.
1. Prend garde à ton pied (4 :17-5 :6)
Comme nous ne pouvons pas trouver le vrai sens de vie dans le monde, il faut que nous allions à Dieu. Notre approche à Dieu a pour motif la crainte de Dieu et celle-ci se révèle par la sincérité envers la parole de Dieu. La vraie foi ne demande pas dans la formalité religieuse, mais dans l’écoute attentive de la parole de Dieu. La parole obéie devient la grâce et la force pouvant vaincre la puissance du monde. Ensuite, il faut garder le sens de responsabilité envers la parole proféré. Cela n’a pas pour but d’empêcher tous les mots pour esquiver la responsabilité, mais seulement de ne pas proférer les mots futiles. L’important est que s’il y a le serment à faire, il faut le faire par la foi et ensuite s’efforcer de le réaliser en s’appuyant sur le Saint-Esprit. Notre vie se sanctifie par le serment devant Dieu et par l’acte responsable de le réaliser.
2. Le bonheur d’un homme qui peine (7-19)

Ceux qui oppriment les pauvres et s’enrichissent par eux, doivent retenir qu’au-dessus des puissants du monde, il y a un Dieu qui juge. Dieu utilise les pauvres pour faire produire la récolte pour le pays. D’où le besoin de la reconnaissance des puissant à l’égard des pauvres. Il faut qu’ils aiment et soigner les démunis. Si on recherche à être prospère, ce n’est pas pour la propre satisfaction mais pour contribuer au bien-être du monde. Le désir de l’homme est sans fin. Un jour toute sa richesse prendra fin et on devient pauvre. Les pauvres n’ont pas trop de convoitise matérielle, et s’endorment tranquillement. Il y en a aussi parmi les riches qui s’apprêtent à partager avec les autres en sachant que sa richesse est un don de Dieu. La source de joie pour lui ne réside pas dans l’argent, mais dans la bienveillance de Dieu. L’important est que chacun travaille sa mission dans le cadre de la volonté divine. Alors on trouve le bonheur ‘modeste’ en vivant dans le monde. Autrement dit, l’Ecclésiaste voit que le bonheur ne réside pas dans la satisfaction de nos désirs, mais dans le travail diligent avec crainte de Dieu.

Ecclésiaste 4:1-16 (PQ de 21/10/2019)

LE BONHER D’UNE VIE DE REPOS ET DE COMPAGNIE
Verset Clé 4 :6
Quelle est la vie heureuse vue la vanité de vie ? L’Ecclésiaste parle de la vie de repos et de la vie en compagnie. Il parle aussi l’importance du bon roi pour le bonheur du pays.
1. Une de de repos prime (1-6)
La noblesse ne s’intéresse pas en général des gens pauvres et démunis. Mais l’Ecclésiaste tourne ses yeux vers ces gens, surtout ceux qui sont opprimés. Pourquoi une telle sort ? C’est parce qu’il y a les puissants qui oppriment. Le plus dommage est qu’il n’y a pas des gens autour d’eux qui peuvent les consoler. Sans la consolation, l’homme est misérable, plus misérable que les défunts, et ceux qui ne sont pas encore nés. Il y a autour des capables toujours des jaloux. C’est le phénomène banal de la société. La richesse de la parenté, même la position de l’enfant deviennent objet de jalousie. C’est le sujet de soupire de l’Ecclésiaste. Alors vaudra-t-il mieux de vivre dans la paresse ? Il dit que ce genre de personnes sont stupides. Sont communément vaines la vie du concurrent, et la vie du paresseux. Alors quelle vie doit-on vivre ? L’Ecclésiaste dit que mieux vaut creux d’une main pleine de repos que deux poignées de peine qui n’est qu’une poursuite de vent (6). 
2. Deux valent mieux qu’un (7-16)
Il y en a qui vivant seul met tout leur intérêt pour gagner de l’argent. Malgré la richesse assez conséquente, ils ne cessent de travailler. Ils ne savent pas se satisfaire ni en jouir. Ils s’accusent en soupir, « pour qui diantre, je peine ainsi ? » Aux yeux de l’Ecclésiaste, ils sont malheureux, et pour lui, heureux sont ceux qui ont les voisins qui lui font compagnie. Vivre à deux ou à trois réunis est la source de bonheur. Ensuite l’auteur observe le royaume. Il y avait trois rois : le vieux roi insensé, le jeune ro sage, le troisième qui était un sujet mais devint le prochain roi. Le vieux roi est moins que le jeune roi sage, mais celui-ci aussi vain, car personne ne se souvient de lui, après la succession. On dit souvent que Louis IX était sage. Mais nous ne nous souvenons pas bien de lui. Même si un bon roi règne sur le monde, il n’est pas suffisant, car rien de lui n’est parfait ni dure éternellement dans le monde.


jeudi 17 octobre 2019

Ecclésiaste 2:2-26 (PQ de 19/10/2019)

J’AI ESSAYÉ TOUT CE QUI DONNE LA JOIE

Verset Clé 2:10
Quel est le témoignage de l’Ecclésiaste qui a tout essayé pour le plaisir ? Malgré tout son accomplissement, quel est le résulta pour son sentiment ? Devant la paradoxe (le sage n’est pas mieux que l’insensé), quel est le bonheur de l’homme qu’il a reconnu ?  
1. La poursuite du plaisir extrême (1-11)
L’auteur essaie toute l’extrémité du plaisir et de l’accomplissement. Afin de sentir la satisfacton, il développe pas mal d’entreprises. Le liqueur, la maison, la vigne, le jardin et le parc. La forêt et le lac artificiel, bétail sont un des sources de plaisir du roi. Il collectionne l’or et les pierres précieuses. Puis il a l’orchestre personnel et d’innombrables femmes et concubines. La dimension de ces objets est incomparables par rapport à ceux qui l’ont précédé à Jérusalem. Il a fait des entreprises, et jouit du bonheur au prix de sa peine pour ces entreprises. D’abord, l’Ecclésiaste recherchait la sagesse. Mais malgré sa sagesse, le problème ne cesse de se produire, donc il se dit qu’elle aussi est la vanité. Le plaisir et la joie de la vie ne lui donnaient pas la satisfaction. Quelle est la dernière conclusion ? « tout est vanité et la poursuite du vent. » (1-2,11) Celui qui s’accomplit se récompense. Là est quand-même une limite. Au début la satisfaction grandit, mas si on atteint à un certain niveau, l’utilité marginale de satisfaction diminue. Où est la vraie joie pour la vie ? Souvenons-nous qu’il n’y a que Dieu qui nous a créé qui seul nous donne la satisfaction.
2. Heureux ceux qui peuvent se réjouir du présent (12-26)

L’ecclésiaste a l’angoisse, car il n’y a pas de différence pour le sage et l’insensé au niveau de la fin de vie. La mort visite aussi bien le sage que le méchant. Force est constater que les peines de toute vie seront succédés par ceux qui n’ont rien à voir avec ces peines, d’où sa vanté. Les gens qui héritent ne connaissent pas le sens de toutes choses qu’ils ont acquises. Devant cette paradoxe, l’auteur en vent à reconnaître que l’attitude juste devant Dieu est de remercier Dieu pour ce don de vie. Même si notre vie nous trompe, nous ne devons pas nous décourager mais à présent devons manger, boire, et nous réjouir.

mercredi 16 octobre 2019

Ecclésiaste 1:1-18 (PQ de 18/10/2019)

Ecclésiaste
<introduction>
Le livre est écrit vers l’an 935 av. Jésus-Christ par Salomon avec le but de faire connaître aux gens que la vie loin de Dieu est la vanité et que craindre l’Eternel est le devoir fondamental de l’homme. Le livre commence par « tout est vanité » (v.2) et raconte l’inutilité des efforts humains, le non-sens de vie, à voire l’absurdité du monde réel. Il critique le concept de vie traditionnel basé sur le raisonnement de cause à effet. Sur 12 chapitres, 1 :1-11 est l’observation et le jugement sur la nature et l’homme et 1 :12-2 :26 la vanité de la sagesse et la science. Depuis Ch 3, il parle du temps, l’injustice, la labeur, l’intendaNice, l’argent, l’éthique, la femme, le pouvoir, le sort, le succès, et la vieillesse. L’auteur renonce à la sagesse du monde habituelle, exhorte à regarder la limite et l’aspect négatif de la vie et se sortir de l’illusion de salut par formalisme. Comme la vie sans Dieu manque le sens, il enseigne qu’il faut accepter la vie dans sa limite en la considérant comme le don de Dieu. 


IL N’Y A RIEN DE NOUVEAU SOUS LE CIEL
Verset Clé 1 :2
Selon l’introduction, le chapitre 1 expose l’observation de l’auteur sur la nature et l’homme puis parle de la vanité de la sagesse humaine.
1. Tout est vanité (1-11)
L’auteur dit que toute chose est la vanité. Il observe la joie, la sagesse, la richesse, et s’angoisse, et exprime son opinion avec la mot « Heber » qui signifie la vanité. Il n’est point pessimiste, mais seulement observe l’aspect du monde en-dehors de Dieu. Il parle de la cause de ce sentiment. C’est parce que le monde tourne (5-7). Il se lève et se couche, faisant d’inutile circuit, donc de fatigue (8). Il en est de même pour l’histoire humaine, c’est une répétition à travers des générations. Donc, il n’y a rien de nouveau dans le monde. L’ecclésiaste se désespère en voyant qu’on est obligé d’être vain malgré l’occupation quotidienne chargeante. C’est le monde sans Dieu. Mais le monde où Dieu est est contraire. Paul en trouvant la nouveauté en Jésus, dit, « Si quelqu’un est en Christ-Jésus, il est une nouvelle créature, les choses anciennes sont passé, voilà maintenant toutes choses sont devenues nouvelles » (2Co 5 :17).
2. Il y a la limite pour l’homme (12-18)
L’ecclésiaste fit la recherche pour connaître le sens de toutes choses qui arrivent dans le monde. La conclusion est que tous les ouvrages humains sont souffrance et peine. Il reconnaît que ces choses sont venues de Dieu. Tous les héros prétendants serviteurs de justice et la meilleure personne pour amener la paix au monde, ont échoué d’alléger la peine. Donc, il dit, « ceux qui sont fatigués et chargés, venez à moi, je vous donne le repos. » L’ecclésiaste se considérant comme homme de sagesse tente de résoudre le problème social. Il fit même la recherche sur ce qui est l’antipode : la folie, mais il conclue que c’est comme si on tente d’attraper le vent. Car il en vint à reconnaître que plus on a la sagesse, plus l’angoisse augmente. Si on a le développement de science, il semble que les gens pensent que le paradis n’est pas loin. Mais plus la sagesse et l’information grandissent, plus l’ombre s’épaissit. L’homme doit être humble.


mardi 15 octobre 2019

Jean 17 :20-26 (PQ de 17/10/2019)

LA PRIÈRE DE JESUS POUR LES SAINTS
Verset Clé 17 :24
Jésus prie maintenant pour tous les saints qui croiraient en lui. Pour quelle choses Jésus prie-t-il avec une telle instance ? 
1. Fais le monde croire en moi (20-23)
Jésus voulut qu’à travers l’église, son nom soit répandu dans le monde entier. C’est parce que recevoir Jésus et vivre avec la relation vitale avec lui conduit à la vie éternelle. Jésus prie que de cette manière son nom soit répondu car il veut que toute la terre reçoive la vie éternelle. La raison pour laquelle il veut que tous les croyants soient un, est puisqu’à travers cette unité, le nom de Jésus peut être répandu dans le monde (21). Il faut que là où sont les enfants du Seigneur, il doit y avoir la mission et le dynamisme pour prêcher son nom largement. Le prêche n’est pas seulement réservé aux ministres, mais il fait parti des sujets de prière de Jésus car elles la mission donné à toute l’église. Non seulement penser à moi, mais on doit avoir le zèle de prêcher la parole à ceux qu’on côtoie. Parmi les sujets de prière des enfants de Dieu, il faut y avoir toujours cette prière pour le prêche.
2. Fais le participer à ma gloire (24-26)
Jésus prie que ceux qui croient en lui grandissent dans l’amour et la connaissance (26). Au niveau de la foi, il n’y a point de statu quo. Le Saint-Esprit nous fait connaître l’amour de Dieu et comment Christ nous a aimés. Nous aussi nous devons prier et nous efforcer pour que l’amour et la connaissance grandissent dans nos vies. Non seulement cela, nous devons prier que nous tous puissions participer à la gloire du Seigneur (24). La gloire qu’a Jésus est inimaginable. On a presque perdu l’esprit quand Pierre, Jean et Jacques la virent sur la montagne de transfiguration. Nous acquérons cette gloire dans l’avenir. La gloire dont jouissait le Seigneur est à nous. Il nous est pas encore arrivé le plus exquis bonheur. La gloire à venir est inestimable par rapport à celle de cette terre. Elle nous excite vraiment, car nous l’auront sans faute. Jésus prie maintenant et ici pour que nous puissions nous réjouir de cette gloire qu’il avait eu.


Jean 17 :6-19 (PQ de 16/10/2019)

LA PRIÈRE DE JESUS POUR LES DISCPLES
Verset Clé 17 :6
A l’approche de son départ, Jésus prie pour ses disciples qui tremblent de peur. Vu cette prière, nous pouvons comprendre ce que veut le Seigneur pour nous qui sommes ses disciples. 
1. Qu’ils soient un (6-13)
Devant les disciples qui se disputent pour devenir le premier, Jésus prie pour qu’ils soient un. C’est parce que nous devons être un si nous voulons combattre le monde et prêcher la bonne nouvelle. Il n’y a pas plus puissane armée que les saints qui sont un avec le but commun du royaume de Dieu. Malgré les aspects différents des membres, si on devient une communauté unie autour de l’amour de Dieu, elle peut devenir puissante. Nous devons surmonter les différences de chacun, et nous contenir les uns les autres pour former l’unité.  Pour cela, nous devons prier comme Jésus. Nous devons céder et nous sacrifier pour ériger l’amour et la vérité du Christ au sein de sa communauté. Ainsi, nous pouvons nous conformer à la volonté de Dieu et plaire au Seigneur.
2. Qu’ils soient sanctifiés (14-19)
Jésus prie qu’après son départ Dieu garde ses disciples du monde mauvais. Le monde blessé par la croix de Jésus devient violent et attaque sans cesse les saints. Donc, nous devons nous réveiller pour ne pas céder au mal du monde. Nous devons esquver la séducton avec sagesse et nous y opposer coûte coûte et par-dessus tout comme il nous a enseigné, prier chaque jour avec ces mots : « Ne nous laisse pas entrer dans la tentation, mais délivre-nous du mal. » Jésus, de plus, prie que Dieu sanctifie ses disciples. Il ne se contente pas de ce que les disciples ne se souillent pas du mal, mais il veut qu’étant entièrement détaché du mal, ils soient le sel et la lumière pour changer le monde. Si les disciples deviennent comme le monde, ils ne peuvent donner l’infuence sur le monde, et seront foulé aux pieds comme le sel qui a perdu le saveur. Cela est possible seulement lorsque nous vivons selon la vérité de Dieu (17). Quand nous nous approchons de la parole de vérité et y obéissons, c’est alors que nous pouvons être sanctifiés.


lundi 14 octobre 2019

Jean 17:1-5 (PQ de 15/10/2019)

LA PRIÈRE DE JESUS POUR SOI-MÊME
Jean 17 :1-5
Verset Clé 17 :1
Dans sa prière sacerdotale, Jésus prie d’abord pour lui-même. Quel est le sens que nous donne la prière pour soi de Jésus ? Comment devons-nous prier ?
1. Il faut prier pour la gloire de Dieu (1)
Jésus pria d’abord pour que lui-même soit glorifié, mais ce n’était pas la prière égoïste pour gagner son propre intérêt. C’était la prière de pouvoir accomplir la mort de la croix. Jésus aurait pu éviter le supplice de la croix, mais dans l’obéissance à Dieu il mourut sur la croix et voulut glorifier Dieu. Comment la croix peut-elle devenir la gloire de Dieu ? Autrefois Dieu se reflété comme jugement et colère, mais par Jésus, un nouvel aspect de Dieu s’est révélé. Dieu est plus d’amour et de compassion. La croix de Jésus a pour but de sauver l’humanité pécheresse, mais elle a aussi pour but de montrer combien l’amour de Dieu est grand. En Jésus, il y a cette pleine volonté de voir accomplir cette gloire divine. De même, nous aussi, quand nous sommes remplis de la volonté de glorifier Dieu, nous pouvons porter la croix avec joie.
2. Il faut prier en espérant la gloire du ciel (2-5)

Jésus aspirait à la même gloire que Dieu et la lui demandait.  Cette prière est complètement réalisée après la résurrection de l’ascension. Le peuple qui s’appuit sur ce Jésus glorifié, en vient à jouir de la gloire de Dieu comme Jésus. Les chrétiens ne doivent pas prier pour la vie sur la terre et qu’elle soit délivré des souffrances. Plutôt quand il affronte les souffrances par la foi, et qu’il se fait volonté pour les souffrances sur la terre, alors nous pouvons vaincre les difficultés et rendre gloire à Dieu. La raison est que nous avons l’espérance vivante dans le royaume de Dieu. Chaque fois que nous prions, nous devons acquérir la force pourvant vaincre la tentation du monde et surmonter la difficulté actuelle de la vie.

dimanche 13 octobre 2019

Jean 16 :16-33 (PQ de 14/10/2019)

PRENEZ COURAGE, MOI, J’AI VAINCU LE MONDE
Verset Clé 16 :33
Jésus, en disant que son départ sera plutôt un sujet de joie pour les disciples, leur enseigne le secret par lequel on peut vaincre le monde. Alors comment pouvons-nous vaincre le monde ?
1. On peut vaincre le monde avec la joie que nous donne la croix (16-24)
Jésus console les disciples qui s’inquiètent en disant que cette tristesse sera changé en joie. La joie que le Seigneur nous promet est la joie qui naît par la souffrance de la croix. C’est la joie semblable à celle d’une femme enceinte. De même que la femme enceinte éprouve la joie après la venue d’une vie, de même, de la souffrance de la croix de Jésus, s’ensuit la gloire de la résurrection. Ainsi la vraie joie s’ensuit de la souffrance pour accoucher une vie, et pour protéger la vérité. Mais ce qui est dommage c’est que les chrétiens n’aiment pas la souffrance pour l’Evangile. Ils préfèrent des moyens faciles et ne se donnent pas peine pour se battre contre le péché et assumer la lourde responsabilité. Ils esquivent la peine pour sauver une âme mourante dans le péché. La vie d’un chrétien cherchant la facilité se prive de la joie et de la puissance qui permettent de vaincre le monde. Celui qui regarde la gloire de résurrection et porte positivement la croix de Jésus, c’est-à-dire celui qui sait la joie qui vient la croix peut vaincre le monde.
2. On peut vaincre le monde par la prière et la foi (25-33)

Jésus savait que dans l’avenir, les disciples tomberaient dans la souffrance extrême. Jésus révèle un secret, c’est que s’ils le prient, il leur donne. C’est le privilège laissé à nous par Jésus. La raison de ce qu’on est faible est qu’on ne dépend pas de Dieu mais recherche les moyens humains et du monde. La prière est la solution parfaite et sage. Jésus dit qu’en face des tribulations, il faut jouir de la paix. C’est parce que Jésus a vaincu déjà le monde. Nous sommes engagés dans une guerre dont la victoire est garantie. Parfois nous sommes vaincus, mais la victoire ultime nous est garanti. Si on persévère sans abandonner, la victoire ultime est à nous. Nous devons savoir que le Seigneur nous invite à son combat, non parce qu’il a besoin de quelque chose de nous, mais parce qu’il veut partager la joie de victoire avec nous.

samedi 12 octobre 2019

Jean 16:1-15 (PQ du 13/10/2019)

JE VOUS ENVERRAI LE CONSOLATEUR

Verset-clé Jean 16:7

1. Les persécutions à venir

A la fin du chapitre précédent, Jésus avait parlé des persécutions qui attendraient les disciples. Si lui, le maître, avait été persécuté, eux le seraient aussi. Il le leur a annoncé afin que, lorsque cela leur arriverait, ils ne soient pas scandalisés mais se souviennent des paroles de Jésus. Ainsi, ils pourraient les affronter avec foi. Le monde, qui ne connait ni le Père ni le Fils, les rejetterait et penserait même rendre un culte à Dieu en les mettant à mort mais Jésus serait avec eux dans toutes ces persécutions.

2. La venue du Consolateur

Jésus sait que le coeur des disciples est triste car il leur a annoncé qu'il va les quitter. Cependant, il est avantageux pour eux qu'il parte car, après lui, viendra le Consolateur, l'Esprit-Saint. Quand il sera venu, il convaincra le monde de péché, de justice et de jugement. Le péché consiste à ne pas croire en Jésus. La justice de Dieu, c'est que Jésus meure sur la croix pour le salut des hommes, puis qu'il ressuscite et retourne vers son Père. Par cela, Satan, le Prince de ce monde est jugé et ses jours sont désormais comptés.

3. L'Esprit de vérité

Enfin, le Saint-Esprit, aussi appelé Esprit de vérité, les conduira dans toute la vérité. Il ne parlera pas de lui-même mais il rendra de tout ce qui est au Père et au Fils et le leur annoncera. Laissez-vous le Saint-Esprit vous guider selon la vérité ou bien vous fiez-vous à votre propre jugement ? Faites-vous confiance au Saint-Esprit lorsque vous êtes confrontés aux persécutions du monde ?

Un mot : s'appuyer sur le Saint-Esprit

Jean 15:1-11 (PQ de 12/10/2019)


JESUS VRAI CEP
Verset Clé 15 : 1
Dans la vie de l'homme, il y a plusieurs sortes de fruits. S'il y a de bons fruits, il y a aussi de fruits vains et inutiles. L'homme doit porter du fruit dont Dieu se réjouit. Comment pouvons-nous porter du fruit qui glorifie Dieu?  
1. Il faut être émondé (1-3)     
Les fruits que les enfants de Dieu doivent porter sont le fruit de caractère (9 fruits tels amour, joie, paix, etc) et le fruit de prédication. Pour en faire porter, Dieu d’abord nous émonde. Il en est de même pour l’agriculteur qui cultive un fruitier. De même qu’il émonde les sarments infructueux pour ne pas perdre la nutrition, de même Dieu nous aide à abandonner le péché qui nous empêche de porter du fruit. Il nous purifie par la parole et la punition. Nos souffrances et peines sont des processus pour ce but. Qu’est-ce qui vous empêche de porter du bon fruit ? Est-ce que c’est le matérialisme ou le sécularisme qui vous souillent ? Il faudra y réfléchir et vous émonder vous-mêmes selon la parole. Il faut retenir que sans la peine d’émondage, on ne peut pas porter du fruit.
2. Il faut demeurer en Jésus (4-11)
Au lieu de dire "porte du fruit", Jésus dit, "demeurez en moi." S'il en est ainsi, le fruit vient automatiquement. Demeurer en Jésus signifie de maintenir la relation avec Jésus qui est la source de vie. Pour cela, il faut des efforts volontaires. Il est utile de prendre des rendez-vous réguliers pour l'étude de la Bible. Il faut graver la parole de Dieu en moi. Alors la parole prend l'énergie en moi pour changer ma vie. Puis, il faut garder la vie de prière dans laquelle nous pouvons demander et recevoir. Sans signifier qu'elle est la demande selon notre désir, elle est une expression de maintenir la relation d'amour avec Dieu. Si nous demeurons en Jésus par la méditation de la parole et la prière, nous sommes amenés à porter naturellement du fruit.

jeudi 10 octobre 2019

Jean 14 :16-31 (PQ de 11/10/2019)

SAINT-ESPRIT, LE CONSOLATEUR
Verset Clé 14 :26
Jésus part maintenant. Dans le monde où Jésus n’est plus, la seule personne de qui les disciples doivent dépendre est le Saint-Esprit. Qui est le Saint-Esprit ? Quel est son travail ?
1. Le consolateur qui demeure en nous éternellement (16-25)
Bien que Jésus quitte les disciples, il enverra le Saint-Esprit qui est le Consolateur et qui sera avec les disciples. Le ‘consolateur’ est ‘celui qui est à côté et nous aide.’ Jésus lui-même était le consolateur. Il se met à côté du Dieu Père et nous défend malgré nos péchés (1Jn 2 :1). Il y a l’autre Consolateur, il est le Saint-Esprit et il nous aide sur la terre. Avec le soupire il intercède pour nous (Rm 8 :26). Il demeure avec nous éternellement. Il ne nous abandonne pas. Donc celui qui a accueilli le Saint-Esprit dans le cœur n’est plus seul et n’a besoin de s’inquiéter de rien. Il n’a pas besoin non plus d’avoir peur ni se troubler. Car nous ne sommes jamais orphelins, ni oint seuls. Dépendez du Saint-Esprit le Consolateur qui demeure éternellement avec nous.
2. Il nous enseigne la vérité et nous donne la paix (26-31)
Non seulement le Saint-Esprit est le Consolateur qui nous aide, mais il est aussi l’Esprit de la vérité qui rend témoignage à Jésus. Le Saint-Esprit ne rend témoignage jamais à lui-même, mais il est un des triunes qui existe seulement pour témoigner Jésus. Le Saint-Esprit rend témoignage à Jésus et en se basant sur la révélation écrite, il nous enseigne la vérité. En plus, il nous rappelle la parole de Jésus et nous aide à obéir, à rendre témoignage à la vérité. Ainsi celui qui se fait aider par le Saint-Esprit et obéit à la vérité qui est la parole de Dieu reçoit un amour spécial de Dieu, et expérimente plus profondément Jésus-Christ (21). Le dernier résultat de ceux qui gardent le Saint-Esprit est la jouissance de la paix. Le Saint-Esprit donne la paix que ne peut donner le monde. Il nous offre la paix de l’amour du Christ, la paix du pardon des péchés, la paix de la relation avec Dieu. Je prie que vous ne vous arrêtiez pas seulement à la connaissance de l’existence du Saint-Esprit, mas l’accueilliez et y obéissiez et éprouviez chaque joure de la paix inaltérable. 


mercredi 9 octobre 2019

Jean 14 :1-15 (PQ de 10/10/2019)

JESUS, LE CHEMIN, LA VÉRTÉ ET LA VIE
Verset Clé 14 :6
A la parole de Jésus qu’il allait partir, les disciples étaient assallis des inquétudes. Mais Jésus dit que son départ profite aux disciples.
1. C’est parce qu’il prépare la place dans le royaume de Dieu (1-11)
La nouvelle du départ était la tonnerre dans un ciel serein. Mais Jésus dit que c’est pour leur préparer une place dans le ciel. Dans ce monde, dans une question de suivre Jésus, il y en a qui deviennent pauvres et subissent des dommages. Mais qu’on soit riche ou pauvre, à cette pensée de la demeure dans le ciel, nous n’avons pas à nous plaindre de la privation d’une maison ou nous vanter de notre grande maison. Au passage de la porte de perle du royaume, nous aurons tous une demeure éternelle. C’est ce à quoi nous devons aspirer véritablement sur la terre. Cette maison est réservée seulement à ceux qui acceptent Jésus comme chemin, vérité et vie. Même si dans ce monde, tous les religions prétendent de connaître un chemin vers le ciel, seul Jésus le connaît et peut nous conduire au ciel. Avec la force et l’intelligence humaines, personne ne peut le connaître. Seuls ceux qui suivent Jésus humblement peuvent entrer dans la demeure éternelle.        
2. C’est parce qu’ainsi il peut réaliser une œuvre plus grande (12-15)
Jésus eut la limite physique en tant qu’un être vêtu du corps. Il y avait trop de gens à aider mais il ne pouvait pas les aider à cause de cette limite. En quittant le monde, Jésus veut laisser son ministère à la main des disciples. Ils pourront faire de plus grandes œuvres que Jésus. Comment cela se fait ? C’est parce qu’« il va vers le père » (12b). Cela signifie qu’il monte dans le ciel après la résurrection et il envoie le Saint-Esprit pour travailler. Humainement, ils ne peuvent rien faire, mais si le Saint-Esprit les accompagne, ils pourront faire de grandes œuvres. Le Saint-Esprit nous accompagne et nous console et nous donne la sagesse et le pouvoir. Le Saint-Esprit est toujours à côté de nous pour nous aider. Mais comme nous ne lui demandons pas l’aide, il nous arrive souvent que nous n’en bénéficions pas (13).


mardi 8 octobre 2019

Jean 13 :31-38 (PQ de 9/10/2019)

JESUS LAISSE LE DERNIER TESTAMENT
Verset Clé 13 :34
Quel est le nouveau commandement qui ressemble au dernier testament de Jésus ? (34-35) Quelle était la réaction de Pierre à la parole de Jésus et quelle était la prophétie de Jésus ?
1. Jésus laissa le dernier testament (31-35)
Après quelques heures seulement, Jésus sera arrêté par Judas Iscariot et les gens armés de l’épée et de bâton, et livré au jugement injuste en hâte et recevra la sentence de mort. A la fin, il sera mis à mort. Jésus savait bien ce qui arriverait. Mais maintenant qu’il n’avait pas de loisir de cœur et dans l’état très urgent, Jésus laissa le dernier testament pour ses disciples. « Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimé, aimez-vous les uns les autres. »     
2. Pierre réagit au dernier testament de Jésus (36-38)

Pierre qui était le premier disciple de Jésus dit qu’il abandonnerait sa ve pour Jésus. Sa réponse était très courageuse et même arrogante. Mais de nos jours, beaucoup de réponses semblables aussi audacieuses et arrogantes, abondent. En ne sachant pas ce que siginifie la vie qui s’abandonne pour Jésus, emporté par le sentiment du moment, on déclare qu’il laisserait la vie pour Jésus, mais un temps après, il est en trains de se battre pour garder unisquement sa vie. Ce dont nous avons besoin à l’heure actuelle n’est pas les jurements splendides, mais des actions concètes et sincères. Quel est votre dernier testament quand vous arriverez au derner moment de votre vie au chevet ?

lundi 7 octobre 2019

Jean 13 :21-30 (PQ de 8/10/2019)

LE DISCIPLE QUI VEUT VENDRE JESUS
Verset Clé 13 :21
Qui était le disciple qui vendit Jésus ? (26) Comment Jésus le traita-t-il, celui qui voulut le vendre ? (21,26,27)
1. Jésus connut qui allait le vendre (21-26)
« L’un de vous me livrera » Parmi ceux qui l’accompagnaient pendant 3 ans dans les bons jours et les mauvais jours, il y avait un traître. La communauté des disciples qui entendit la proclamation détonatrice commença à se soulever. Puis, elle voulait savoir qui il était. Ce disciple était Judas l’Iscariot. Quel aurait été le sentiment de Jésus, qui connaissait ce fait depuis le début ? Son cœur était très douloureux. Il n’y a pas plus difficile que de supporter le mal en le connaissant, mais si on aime vraiment, on peut le faire.    
2. Jésus tente de faire repentir au disciple qui voulait le vendre (27-30)

Jésus ne cessait de parler à Judas qui s’était décidé de le vendre, de façon à ce que lui seul puisse comprendre et lui demanda de se repentir en révélant ses péchés. Jésus n’abandonnait pas Judas qui voulut le vendre, avait pitié de lui et parlait jusqu’au bout afin qu’il ne commette pas le péché. Quoi que la repentance soit la part de l’interlocuteur, nous aussi nous devons aider l’interlocuteur à se repentir, et ce jusqu’au bout avec la parole et l’amour. Comment avez-vous agi à ceux qui vous ont trahi et laissé la plaie dans vos cœurs ?