LE BIENFAIT DU JOUR DU MALHEUR
Verset Clé 7 :14
L’Ecclésiaste
dit qu’aller à la maison de deuil est mieux que d’aller à la maison de fête.
Réfléchissons sur pourquoi ? Le monde est remplie des énigmatiques. Il
exhorte qu’au lieu de s’en interroger de force, l’homme vive avec la foi
craignant Dieu. Là est la sagesse.
1. Le
bienfait du jour du malheur (1-14)
Le malheur fait les gens se souvenir de la vie du
passé et réfléchir par des questions telles, « qu’est-ce que la
vie ? » « Pourquoi doit-on vivre ? » Surtout la mort
d’un proche nous fait réfléchir et nous donne la peine, et ainsi se rend séreux
notre vie. On cherche le sens et décide de faire le bien pour les autres. Le
sage n’est pas celui qui se procurent beaucoup pour ne pas mourir, mas celui
qui redéfinit la vie pour que celle-ci soit sans regret lors de la mort. De
plus, le malheur nous fait comprendre que la vie est dans la souveraineté de
Dieu. La vie est enchevêtrée, au milieu des jours de bonheur et des jours de
malheur comme des échevaux. Personne ne peut prévoir la vie de demain. L’avenir
est le domaine décidé de Dieu. Le jour de malheur nous fait comprendre la
valeur du jour de bonheur et que la vie de l’homme est sous la puissante main
de Dieu. Donc, au jour de malheur, nous devons faire la rédditon à Dieu en nous
dévêtant de ce qui est futile. Le malheur est la sagesse divine pour nous faire
réfléchir et reconnaître que Dieu est le seul maître de notre vie.
2. La crante de Dieu nous rend juste (15-29)
Dans
le monde, n’y a ni le bon parfait, ni le juste parfait (8). L’Ecclésiaste met
en garde le propre juste, en exhortant aux gens à craindre Dieu et à rester
humbles. Donc, l’homme ne doit pas s’efforcer de devenir juste ou sage, mais
devenir homme craignant Dieu. Le vrai sage dans le monde est celui qui
reconnaît qu’il est un pécheur et se lamente de ses péchés. L’homme ne peut
devenir juste par ses forces, mais par la grâce de pardon de Jésus. La sagesse
du monde est celle qui se compromet avec l’injustice, et les gens se moquent de
Dieu, en voyant comme modèle ceux qui réussissent sans Dieu, mais leur fin sera
grave. Le péché est plus fort qu’une femme adultère qui capture l’homme (26).
Vivre dans ce monde corrompu en renonçant à lui-même comme un juste est un
phénomène plus rare que de trouver un homme parmi mille hommes (28). Notre foi
est un trésor incomparable de ce point de vue.
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