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mardi 22 octobre 2019

Ecclésiaste 7 :1-29 (PQ de 24/10/2019)

LE BIENFAIT DU JOUR DU MALHEUR
Verset Clé 7 :14
L’Ecclésiaste dit qu’aller à la maison de deuil est mieux que d’aller à la maison de fête. Réfléchissons sur pourquoi ? Le monde est remplie des énigmatiques. Il exhorte qu’au lieu de s’en interroger de force, l’homme vive avec la foi craignant Dieu. Là est la sagesse. 
1. Le bienfait du jour du malheur  (1-14)
Le malheur fait les gens se souvenir de la vie du passé et réfléchir par des questions telles, « qu’est-ce que la vie ? » « Pourquoi doit-on vivre ? » Surtout la mort d’un proche nous fait réfléchir et nous donne la peine, et ainsi se rend séreux notre vie. On cherche le sens et décide de faire le bien pour les autres. Le sage n’est pas celui qui se procurent beaucoup pour ne pas mourir, mas celui qui redéfinit la vie pour que celle-ci soit sans regret lors de la mort. De plus, le malheur nous fait comprendre que la vie est dans la souveraineté de Dieu. La vie est enchevêtrée, au milieu des jours de bonheur et des jours de malheur comme des échevaux. Personne ne peut prévoir la vie de demain. L’avenir est le domaine décidé de Dieu. Le jour de malheur nous fait comprendre la valeur du jour de bonheur et que la vie de l’homme est sous la puissante main de Dieu. Donc, au jour de malheur, nous devons faire la rédditon à Dieu en nous dévêtant de ce qui est futile. Le malheur est la sagesse divine pour nous faire réfléchir et reconnaître que Dieu est le seul maître de notre vie.
2. La crante de Dieu nous rend juste (15-29) 
Dans le monde, n’y a ni le bon parfait, ni le juste parfait (8). L’Ecclésiaste met en garde le propre juste, en exhortant aux gens à craindre Dieu et à rester humbles. Donc, l’homme ne doit pas s’efforcer de devenir juste ou sage, mais devenir homme craignant Dieu. Le vrai sage dans le monde est celui qui reconnaît qu’il est un pécheur et se lamente de ses péchés. L’homme ne peut devenir juste par ses forces, mais par la grâce de pardon de Jésus. La sagesse du monde est celle qui se compromet avec l’injustice, et les gens se moquent de Dieu, en voyant comme modèle ceux qui réussissent sans Dieu, mais leur fin sera grave. Le péché est plus fort qu’une femme adultère qui capture l’homme (26). Vivre dans ce monde corrompu en renonçant à lui-même comme un juste est un phénomène plus rare que de trouver un homme parmi mille hommes (28). Notre foi est un trésor incomparable de ce point de vue. 


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