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lundi 29 avril 2019

Josué 5 : 1-15 (PQ de 30/4/2019)

ISRAEL NOUVELLEMENT CIRCONCIS
Verset Clé 5 :3
Le chapitre 5 nous raconte deux événements : d’abord, la circoncision d’Israël, puis la rencontre de Josué avec le chef de l’armée de Dieu. C’était la préparation de la guerre contre Jéricho.   
1.     Israël fut circoncis (1-14)       
La nouvelle de la traversée du peuple du Jourdain provoqua une grande crainte chez les ennemis Amoréens. Leur cœur leur manqua dit la Bible. Sachant déjà par le rapport des espions, que l’ennemi eut peur, la morale du peuple était haussée. Cependant, Dieu dit à Josué de circoncire le peuple, au lieu d’attaquer les ennemis tout de suite. Cela causa beaucoup de souffrance, car le peuple dut gémir de la douleur, et cela aurait été dangereux dans l’état de guerre. Cependant c’était la préparation la plus adéquate, car la guerre devant lui était la guerre sainte, et l’élément le plus essentiel dans la guerre et le cœur pur. En ce qui concerne l’histoire de la circoncision d’Israël, elle est expliquée dans les versets 4-7. Dieu dit à Josué le sens de cette cérémonie. C’était pour que le peuple soit expié du péché en Egypte. La manne cessa, car c’était Canaan et qu’on y mangeait la production. C’était un nouveau départ.
2.     Ôtes tes sandales. (13-15)   

Il y a 40 ans, quand Moïse fut appelé à Sinaï, Dieu lui avait dit d’ôter les sandales, car la terre, où il était, était sainte. Le chef d’armée donna le même ordre à Josué pour qu’il sache que là où il était saint. Canaan était la terre sainte. C’était le pays qui avait été promis à Abraham et le pays que le peuple allait bientôt entrer prendre possession. La terre sainte a étroite relation avec la mission. Sinaï était une terre sainte, car c’était là que le peuple devrait rendre culte à Dieu après l’Exode. Puis cette terre de Canaan était sainte, dans la mesure où le peuple d’Israël devrait conquérir par la foi en lançant une bataille acharnée contre les peuples impies et y établir le royaume théocratique. Quelle est votre terre sainte ? Josué qui avaient au début encore le doute, put pleinement être assuré de la victoire grâce à cette rencontre avec Dieu.

dimanche 28 avril 2019

Josué 4 : 1-24 (PQ de 29/4/2019)

ELLES SERVIRONT DE MÉMORIAL
Verset Clé 4 :7
Le prélèvement des pierres du milieu du Jourdain avait pour but de faire se souvenir de la grâce à perpétuité. Quelle est la raison pour laquelle Dieu donna à son peuple une si grande grâce ?   
1.     Nous devons nous souvenir de la grâce (1-14)       
Dieu prépara les pierres qui serviraient du mémorial qui aiderait au peuple à se souvenir de la grâce. Douze pierres selon le nombre des tribus seraient prélevées du lit de la rivière où se tenaient les sacrificateurs portant l’arche de l’alliance. Ainsi le peuple commémorerait la grâce de Dieu à jamais. L’homme a tendance de se souvenir des méfaits, mais d’oublier la grâce. Pour ne pas tomber dans l’idolâtrie des Cananéens entourée de leur richesse, il fallait graver la grâce dans leurs cœurs. Si on ne se souvient pas bien de la merveilleuse œuvre de Dieu, la foi risque de flétrir, d’où ce prélèvement. Puis il fallait enseigner la grâce aux descendants qui n’auraient pas expérimenté la grâce de Dieu, en vivant dans le pays découlant du lait et du miel. De même nous devons enseigner à nos descendants et nos prochains la Bible qui décrit la grâce de pardon et de salut et combien le Seigneur est merveilleux et plein de grâce.     
2.     La raison pour laquelle Dieu donne la grâce (15-24)   

La raison pour laquelle Dieu donne la grâce est d’abord, pour que l’on prenne conscience de la puissance de Dieu. Dès que les plantes des pieds des sacrificateurs touchèrent le bord de la rivière, les eaux revinrent. Ce phénomène supranaturelle était suffisant pour inspirer aux ennemis la crainte pour Dieu d’Israël. Notre Dieu à qui nous croyons est grand et puissant. Il créa le ciel et la terre. Il nous a donné la vie éternelle. Donc, nous qui sommes faibles devons nous appuyer sur notre Dieu chaque jour (Ps 105 :4). Ensuite c’était pour que l’on craigne l’Eternel. Craindre signifie d’obéir « avec crainte et tremblement ». Dieu donna la grâce à Israël, pour qu’il serve Dieu de cette manière. Il en est de même pour nous. Dieu nous a sauvés non parce que nous sommes beaux ou dignes, mais pour que nous puissions le servir avec crainte et tremblement. Craignez l’Eternel !

jeudi 25 avril 2019

Josué 3 : 1-17 (PQ de 27/4/2019)

LE PEUPLE TRAVESA LE JOURDAIN
Verset Clé 3 :3
Après le salut par Rahab, le peuple s’enhardit pour la conquête de Canaan. Quelle était la stratégie de Josué qui se leva du bon matin et prépara la bataille ? Puis, la rivière se divisa en deux. Pourquoi ? 
1.     Suivez l’arche et sanctifiez-vous (1-6)      
A la veille de la marche vers la conquête de Canaan, le peuple constata qu’à la saison de moisson, le niveau d’eau haussait. Dans cette situation, Josué attendait 3 jours en priant Dieu. A ce moment, Josué donna l’ordre singulier aux officiers, c’est-à-dire de faire l’arche précéder le peuple. L’arche représente la présence de Dieu. Cela montre que le peuple regarderait Dieu seulement et s’avancerait avec Dieu seulement. La difficulté n’est pas de l’environnement. Elle dépend de qui on suit. Quand on suit la parole de l’arche, on peut surmonter n’importe quelle difficulté. Ensuite, Josué demanda au peuple de se sanctifier. C’est la clé de la victoire. La sanctification change notre vie. Le péché fait récolter le salaire. Il y a des entraves si on veut vivre saintement, y compris la haine du monde. Si nous voulons vivre une vis sainte, il faut enlever les obstacles qui nous empêchent de le servir.   
2.     La traversée du Jourdain (7-17)   

Devant eux se trouva la rivière de Jourdain. Il fallait la stratégie et le tactique, pour résoudre ce problème naturel. Mais Josué ne surmonta pas l’obstacle de façon humaine. Il dépendait seulement de Dieu vivant (10). Puis il fixa le regard sur « le Seigneur de toute la terre » (11) qui transcende le temps et l’espace et eut la foi en la promesse qu’il lui donnerait la terre de Canaan. Lors de la crise, nous devons savoir fixer le regard sur Dieu. Puis, par l’obéissance, le peuple expérimenta le miracle. Quand les sacrificateurs tendirent leurs pieds, la rivière se divisa et l’eau reflua. C’était une version réduite de la traversée de la Mer Rouge. Dieu est celui qui change le principe de la nature. Alors tout Israël traversa la rivière. L’obéissance et la foi ne sont pas séparables. Quand on obéit, on expérimente la joie aussi. Quel est votre domaine dans lequel il vous est demandé d’obéir ?   

mercredi 24 avril 2019

Josué 2 :15-24 (PQ de 26/4/2019)

LE CORDON ROUGE ET LE RAPPORT DES ESPIONS
Verset Clé 2 :18
Les deux espions donnèrent la promesse du salut à l’échange du cordon rouge et firent le rapport au peuple dès leur retour. Ici, nous nous apercevons de la façon par laquelle Dieu réalise son salut.
1.     Le cordon rouge est le signe de la rédemption (17-21)      
Les deux espions purent accomplir l’exploration de Canaan, grâce à l’aide de Rahab. Les vaillants soldats inconnus firent lors de leur départ, une convention du salut avec Rahab. C’était que celle-ci pendrait un cordon rouge sur la fenêtre lors de la destruction de la ville. Le cordon rouge représente la fidélité de Rahab, par laquelle elle n’oublierait pas de promesse, et traditionnellement, il se réfère au sang de Jésus répandu sur la croix. Il ressemble au sang de l’agneau pascal appliqué sur le poteau de la porte des Israélites à la Pâque. Ce cordon représente donc du point de vue de Dieu, un signe de la promesse de salut faite et du point de vue de l’homme, un signe de la rédemption qui se réalisera surement par Dieu. Nous retenons fermement cette promesse de la vie et vivons dans la grâce de salut.  
2.     Le rapport est le témoignage de salut (22-24)   

Les deux espions avaient passé de multiples épreuves insurmontables puis de leur retour, firent un rapport. S’il n’y avait pas de l’aide de Rahab qui avait la sagesse de confondre la trace, ils auraient été capturés par l’autorité. Dans la situation où toute l’armée de Jéricho était mobilisée pour poursuivre les espions, c’était vraiment la grâce de Dieu qu’ils purent s’évader sain et sauf et retourner. En plus, la collaboration pour la fuite, faite par une prostituée et sa famille était un miracle. En passant toutes ces événements remarquables, les espions en vinrent à s’assurer du salut que Dieu avait réservé à son peuple et décidé de leur donner la terre de Canaan. Ils s’assurèrent de la victoire en entendant de la peur des gens de Jéricho sur l’Eternel. Dans l’œuvre de salut de l’Eternel, il y a toujours des témoignages étonnants de la part de ceux qui expérimentent le mystère de salut. Nous sommes le peuple de Dieu qui partage le témoignage abondant du salut.

Josué 2 :1-14 (PQ de 25/4/2019)

LA FOI DE RAHAB, PROSTITUÉE
Verset Clé 2 :12
Rahab était une païenne et prostituée. Mais la Bible fait éloge de sa grande foie (Jq 2 :25 ; Hé 11 :31). Non seulement cela, elle devint ancêtre du Christ (Mt 1 :5). Quelle foi possédait Rahab ?
1.     Ce n’était pas la foi conceptualiste      
Nous voyons chez les gens qui semblent croire mais qui ne révèlent pas leur foi en action concrète. Rahab entendit l’ouïe-dire sur l’Eternel. Il s’agit de la nouvelle de la traversée de la mer Rouge et la destruction des Amoréens, etc. Elle était une femme qui n’avait pas de mérite humaine comme diplôme ou carrière ou famille. Mais elle en vint à avoir la foi en étant touchée par la parole et la puissance de Dieu. Elle prêta les oreilles à la nouvelle du salut. La Bible dit, « la foi vient de ce qu’on entend et ce qu’on entend vient de la parole de Dieu. » (Rm 10 :17) La foi de Rahab n’a pas arrêté au niveau de compréhension, mais son cœur fut ému par la puissance de Dieu, à point qu’il se fondit. Pas n’importe qui, à force d’avoir écouté la nouvelle, en vient à être sauvé. Beaucoup s’en arrête au niveau de la compréhension. Il faut examiner notre foi.
2.     Elle avait la foi qui agissait   

La foi véridique s’accompagne de l’action. Rahab crut que le seul et unique Dieu est l’Eternel et cacha les espions qui étaient venus explorer le pays. Si son action était dévoilée, elle serait mise à mort. Sa vie est comme la bougie sous le vent. Elle dit le mensonge. Du point de vue des habitants de Jéricho, elle était une traitresse. Mais il agit, non selon le calcul humain mais selon la foi qui gît dans son cœur et s’affronta au danger de mort. Elle surpassa la conception étroite de l’Etat et s’enhardit selon sa foi. Une telle foi en elle la fit devenir un peuple de Dieu au-delà de sa condition humaine modeste. Elle devint une femme qui reçoit l’éloge de génération en génération. Dans nos vies, ce dont nous avons besoin est la foi agissante qui peut braver la mort, c’est-à-dire la foi vivante.