Rechercher dans ce blog

mercredi 24 avril 2019

Josué 2 :1-14 (PQ de 25/4/2019)

LA FOI DE RAHAB, PROSTITUÉE
Verset Clé 2 :12
Rahab était une païenne et prostituée. Mais la Bible fait éloge de sa grande foie (Jq 2 :25 ; Hé 11 :31). Non seulement cela, elle devint ancêtre du Christ (Mt 1 :5). Quelle foi possédait Rahab ?
1.     Ce n’était pas la foi conceptualiste      
Nous voyons chez les gens qui semblent croire mais qui ne révèlent pas leur foi en action concrète. Rahab entendit l’ouïe-dire sur l’Eternel. Il s’agit de la nouvelle de la traversée de la mer Rouge et la destruction des Amoréens, etc. Elle était une femme qui n’avait pas de mérite humaine comme diplôme ou carrière ou famille. Mais elle en vint à avoir la foi en étant touchée par la parole et la puissance de Dieu. Elle prêta les oreilles à la nouvelle du salut. La Bible dit, « la foi vient de ce qu’on entend et ce qu’on entend vient de la parole de Dieu. » (Rm 10 :17) La foi de Rahab n’a pas arrêté au niveau de compréhension, mais son cœur fut ému par la puissance de Dieu, à point qu’il se fondit. Pas n’importe qui, à force d’avoir écouté la nouvelle, en vient à être sauvé. Beaucoup s’en arrête au niveau de la compréhension. Il faut examiner notre foi.
2.     Elle avait la foi qui agissait   

La foi véridique s’accompagne de l’action. Rahab crut que le seul et unique Dieu est l’Eternel et cacha les espions qui étaient venus explorer le pays. Si son action était dévoilée, elle serait mise à mort. Sa vie est comme la bougie sous le vent. Elle dit le mensonge. Du point de vue des habitants de Jéricho, elle était une traitresse. Mais il agit, non selon le calcul humain mais selon la foi qui gît dans son cœur et s’affronta au danger de mort. Elle surpassa la conception étroite de l’Etat et s’enhardit selon sa foi. Une telle foi en elle la fit devenir un peuple de Dieu au-delà de sa condition humaine modeste. Elle devint une femme qui reçoit l’éloge de génération en génération. Dans nos vies, ce dont nous avons besoin est la foi agissante qui peut braver la mort, c’est-à-dire la foi vivante.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire