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mercredi 31 juillet 2019

Psaume 82:1-8 (PQ de 1/8/2019)

JUGEZ SELON LA JUSTICE

Verset Clé 82:3b

Le thème de ce psaume est le jugement selon la justice. Le juge doit avoir le sens de justice pour rendre justice. Cependant, à la veille de l'invasion de l'ennemi, les politiques ont perdu le sens de justice et jugeait le peuple de façon arbitraire. Ils sont dominés par l'éthique circonstancielle; par exemple Yehoyakîn, avant dernière roi avant la fin du royaume de Juda, malgré qu'il fût monté au trône par Babylone, s'attacha à l'Egypte pour l'indépendance. Dans cette éthique, leur vie individuelle était très corrompue. Ils aiment recevoir des cadeaux en faveur des riches et aisés. Ils concourent à la recherche des gains de cette classe. Ils protègent les méchants et persécutent les pauvres et les veuves et autres faibles. Cela déplaît fort à Dieu qui est le Dieu de justice. Le pays où la justice de Dieu domine, prospère en recevant la bénédiction de Dieu. Dieu donna 10 commandements afin qu'ils soient la base de toutes les lois des hommes. Mais les lois humaines oublient la justice divine. Elles ont une grande limite pour juger proprement les gens surtout les pauvres et démunis.

Le psalmiste disait que Dieu Créateur soutient les colonnes de la terre. Mais la méchanceté d'homme ébranle le fondement de la terre. C'est à cause du faux jugement de l'homme qui suit ses sentiments plutôt que la loi divine. Dieu dit que les hommes sont des dieux, et autrefois Paul dit que vous êtes dieux aux Athéniens pour les convertir. La position d'homme est vraiment glorieux, en étant un peu inférieur à Dieu. Mais Dieu dit qu'il mourrait comme les humains. C'est-à-dire en tant que pécheurs. En ne pratiquant pas la justice de Dieu dans leur jugement, les hommes ne pourront jamais trouver ses sujets de repentance correctement. Comme Jésus le dit, ils commettent le péché et ils mourront dans le péché. Le jugement est un des plus graves problèmes d'hommes. Etes-vous aptes à juger les autres? En jugeant mal, l'homme commet beaucoup de faute. Donc, il ne faut pas se fier à lui-même, mais il faut ceindre nos pensés et retenir nos bouches. Sinon le jugement que nous énonçons a le  risque de tomber sur nous-mêmes et nous perdons la bénédiction.

mardi 30 juillet 2019

Psaume 81:1-17 (PQ de 31/7/2019)


SI MON PEUPLE M'ÉCOUTAIT
Verset clé 81:9

Oh si mon peuple m’écoutait. (9,14)
C’est le temps conditionnel ici utilisé. C’est une supposition impossible de voir réaliser. Mais avec espoir Dieu le suppose qu’un jour il se réalise. Alors à un instant on verrait une tournure totalement changé qui est décrit de 15 à 17.
Ce psaume est pour exhorter le peuple de chanter et psalmodier. Cette action artistique n’a point cependant comme la plupart des cas humains de flatter les sentiments mais obéir. Nous devons chanter et louer et psalmodier par l’obéissance à Dieu. C’est aussi un témoignage. C’est un langage que même Dieu ne connaît pas. C’est ça le don de langue. Plein de grâce et de reconnaissance que même Dieu n’avait jamais entendu et le protagoniste n’avait jamais prononcé dans sa vie, voilà le vrai don de langue. Avec ce témoignage nous devons chanter. Nous devons fêter Dieu chaque jour chaque ou au moins deux fois par mois en grand envergure (nouvelle lune et pleine lune). C’est aussi la supplication et quand dans le désespoir le peuple criait Dieu avait écouté comme le cas de Meriba. Dieu est puissant pour écouter à l’instant. Son bras n’est pas court. Mais il exerce son pouvoir à condition que son peuple écoute leur Dieu et n’écoute pas les idoles.

lundi 29 juillet 2019

Paume 80 : 2-20 (PQ de 30/7/2019)

SECOURS-NOUS, DIEU DE SALUT 
Verset Clé 80 : 2

La situation est la même que le psaume précédent. Le psalmiste, dans la situation désespérant de l’invasion des ennemis qui sont semblables aux loups appelle Dieu comme berger. Il est le roi des rois qui juge les peuples, mais aussi un berger qui est plein de bienveillance et d’amour. Il nous est nécessaire de nous considérer comme des brebis qui sont sans appui sans le guide de berger pour nous approcher de Dieu. Alors Dieu bénit le cœur assoiffé et nous conduit vers l’eau paisible et vers le vert pâturage.
Ensuite, le psalmiste considère Dieu comme le vigneron. Il arrache un rameau de l’Egypte et l’implant dans le pays de promesse de Canaan, pour qu’il fleurisse et porte du fruit. Mais les brigands viennent pour dévaster la vigne. Le psalmiste supplie que Dieu vienne et protège sa vigne. 
Il y a la répétition de 3 fois de « Eternel Dieu des armée, fais-nous revenir ! Fais briller ta face, et nous serons sauvés. »
Le Psalmiste demande à Dieu de le faire revenir car ils sont allés loin en péchant contre Dieu. Cela correspond à ce qu’il demande à Dieu de revenir de son ardente colère. Il sait que Dieu ne reviendra pas tant que le peuple ne se repentira pas. Mais il sait également sans l’aide de Dieu le peuple n’arrivera pas à se repentir donc la grâce de Dieu est nécessaire, d’où « aie pitié de nous. Aie pitié de notre peuple qui pèche. Fais le revenir pour qu’il t’adore. Car tous abandonnaient. »
Ensuite c’est la face de Dieu qui brille. La face de Dieu représente la gloire de Dieu. Le psalmiste demande que le nom glorieux de Deu se maniifeste parmi les nations. La face de Dieu représente aussi la bienveillance de Dieu. Quand son amour couvre la multitude des péchés et pardonne les pécheurs, sa face brille. Et les faces sombres des pécheurs se mettent à briller également. Alors les hommes coupables sont soulagés et concolés et assurés du salut.       


dimanche 28 juillet 2019

Paume 79 :1-13 (PQ de 29/7/2019)

SECOURS-NOUS, DIEU DE SALUT 
Verset Clé 79 : 9
Méditons la parole de ce matin avec ces deux thèmes. Quelle était la réalité pitoyable qui est arrivé au peuple d’Israël ? Qu’est-ce que le psalmiste supplie à Dieu dans la désolation ?       
1. La réalité pitoyable (1-4)        
Le désastre décrit ici se rapporte à la tombée de Jérusalem qu’a infligé Babylone en 587 av. Jésus-Christ. Le saint temple est profané par l’invasion des ennemis et Jérusalem réduit aux monceaux de pierre (1). Il est décrit une scène pitoyable où les cadavres des serviteurs s’étalent dans les rues et la chair des fidèles sont livrés aux animaux sauvages (2). Le sang du peuple coule comme de l’eau, mais il y a personne qui puisse ensevelir les corps (3). De plus les voisins qui se moquent et raillent en disant « où est votre Dieu » pénètre et rend triste le cœur du psalmiste. 
2. La supplication désespérée (5-13)
La vue de l’atrocité dans la réalité amène le psalmiste à prier Dieu, commençant par la ruine des ennemis moqueurs. Le psalmiste sait que cette malheur est une rétribution juste de son passé coupable. Mais il pense qu’il a droit de demander la rétribution aux méchants qui n’ont pas de respect envers Dieu et sont violents envers son peuple. En avançant, le psalmiste revient à son péché et à celui de ses pères pour obtenir le pardon de Dieu (8, 9). Le péché des ancêtres influent sur les descendants (Ex 34 :7) et nos péchés commis exercent une grande influence sur la réalité actuelle. Donc, le psalmiste demande le secours à Dieu. C’est parce que seul Dieu est le sauveur qui peut nous délivrer de nos épreuves extrême. De plus, le psalmiste demande 7 fois de vengeance (12) contre leur maux infligés, ce qui signifie la vengeance parfaite et complète. La succession des supplications exprimé sous forme d’injonction est ici à noter. En effet, ce n’est que la supplication désespérée accumulée qui peut influer sur et renverser la réalité pitoyable. Réfléchissez sur s’il n’y avait pas ce qui récemment vous a désespéré et découragé. Alors quelle était votre supplication envers Dieu ? 


vendredi 26 juillet 2019

Paume 78 :1-35 (PQ de 27/7/2019)

J’OUVRE LA BOUCHE ET ÉNONCE 
Verset Clé 78 : 2
Le psalmiste obéit à la volonté divine et raconte l’histoire de Dieu ainsi que la loi aux enfants. L’histoire d’Israël était celle de rébellion flagrante. Mais les enfants créeront une nouvelle histoire dans l’obéissance.      
1. Je redis son exploit à mes fils (1-33)        
Dieu d’Israël était un Dieu éducateur. Le psalmiste, serviteur de la musique a ce souhait ardent de redire la loi avec la louange à Dieu pour ses hauts faits à ses fils sans aucunement dissimuler les faits honteux de ses ancêtres. Il donna la loi comme un témoignage (5) aux pères pour la répètent devant leurs enfants. Alors, ils se souviendront de leur Dieu et vivront selui lui. Il est inimaginable que les enfants viveront selon Dieu, même s’ils n’avaient pas expérimenté la puissante œuvre divine. C’est la puissance de l’éducation qui se base sur les faits. Ephraïm représenta le peuple, étant le plus nombreux. Il refusa de monter en Canaan malgré la promesse de Dieu de le donner. Il avait fait le miracle de l’Exode, et de la traversée de la mer Rouge, mais leur pères l’oublièrent subitement et se rebellaient partant la fabrication du veau d’or. Pendant le désert, il conduisit par le feu et les nuées, il fendit le rocher pour faire ruisseler le fleuve d’eau. Ils ne cessaient de se plaindre de la nourriture (19), alors il ne leur donna pas seulement l’eau à boire mais envoya la manne selon leur désir de se satisfaire de la viande. 
2. Alors, ils se souvinrent (34,35)
Dieu fut désolé de la rébellion de son peuple incessante. Alors Dieu leva sa main et voulut l’exterminer. C’est le moment où Dieu allait les tuer tous, que les gens d’Israël revenait. Ils se souvinrent de Dieu et se repentiren. Quel malheur que l’homme s’enduircit jusqu’à arriver au dernier moment où il ne peut rien de faire plus. Dieu était leur rocher et Dieu était leur rédempteur, quand il courba l’orgueil du Pharaon et fait sortir le peuple du pays de l’esclavage. Il est toujours mieux qu’on se souvienne avant que le moment de catastrophe arrive et la colère divine soit déclenchée, mais hélas la nature déchue de l’homme nous prouve qu’il allait toujours en contre-sens.


jeudi 25 juillet 2019

Paume 77 :2-21 (PQ de 26/7/2019)

LA SOUFFRANCE DU PSALMISTE 
Verset Clé 77 : 11
En vivant sur la terre, l’homme passe par la souffrance. Il a beaucoup de sorte de souffrance à traverser. La parole de ce matin nous en dit long de quelle est la souffrance du psalmiste. L’homme veut l’éviter, mais le psalmiste l’affronte.    
1. Je crie sans cesse à toi qui s’appelle Miséricorde (1-10)        
Le psalmiste a la souffrance inconnue au début. Dieu semble l’avoir abandonné. Pourtant il n’arrête pas à guetter Dieu, sans cesse le jour et la nuit, en élevant sa voix. Mais sans arriver à le trouver, il souffre. Il refuse de se consolider, tant chercher partout Dieu mais ne pas le trouver est une souffrance inexorable. Son âme gémit et son esprit s’abat. Il y a la lutte inlassable dans son intérieur avec le doute et le questionnement. Dieu a-t-il abandonné son élu ? Il tente de se rappeler ses œuvres, mais en vain. Son cœur s’étouffe à la pensée de ce que Dieu ne regarde plus son peuple, mais se met en colère en condamnation.  
2. Tu n’es plus le même (11-21)
La partie centrale de cette partie est le souvenir du miracle de la mer rouge (18-21). C’est un événement que le peuple d’Israël ne pouvait jamais oublier, ni contester. Dieu, après avoir fait son peuple sortir du pays d’Egypte, le conduisit à la mer rouge. Ainsi il a racheté ce peuple inutile d’esclaves avec sa suprême volonté de faire d’eux un peuple élu et une nation sainte. Les chars Egyptiens, dans leur regret, le poursuivaient. Mais tous ces soldats devinrent fantôme de la mer. Dieu a suscité le leader dans la personne de Moïse et Aaron, pour faire conduire ces innombrables hommes vers la terre promise, ce peuple qui était comme des troupeaux égarés. La plus grande souffrance pour le psalmiste et pour le serviteur de Dieu en général est qu’il voit et sent que le bras de Dieu ne soit plus le même qu’autrefois. Le doute et le trouble le visitant il s’affaiblit. Mais il faut savoir que d’inviter la faiblesse et le doute au temps d’épreuve est un péché devant Dieu. Comme le psalmiste, nous devons nous souvenir avant que nous tombions dans le péché d’incrédulité.


mardi 23 juillet 2019

Paume 76 :2-13 (PQ de 25/7/2019)

NOTRE DIEU EST UN DIEU REDOUTABLE 
Verset Clé 76 : 8
Le Dieu d’Israël est un Dieu redoutable. Sa fureur est incomparable. Quand son peuple le reconnaît, il en vient à repousser toute peur et le louer et le servir par ses divers dons.   
1. Le nom d’Israël est grand (1-7, 13)        
Les forces d’armée des ennemis sont redoutables. Elles sont pleins de flèches et lances étincellantes et meurtrières. Les soldats d’Israël s’enfuirent de peur. Mais quand la main de Dieu se lève, ces forces d’ennemi se flétrissent et s’avèrent totalement impuissantes. Juda connaît son nom ; il est le puissant Créateur et a fait d’Israël son propre peuple et de la montagne de Sion son demeure. A sa menace, les héros perdent toutes leurs forces et devenons comme cadavres immobiles. Puis, ils sont pris comme captifs et deviennent tous des esclaves. Vraiment à cause de sa force redoutable, il coupe le souffle aux chefs et rois du monde (13).
2. C’est toi qui est redoutable (8-12)

La fureur et le couroux de Dieu est incomparable. Les hommes peuvent être emportés par la colère et servent de justicier parfois. Mais le vrai juge ultime est Dieu, rien à comparer avec la fureur en justice de l’hommes. Toutes œuvres de la terre est selon sa justice. Autrefois, les Edomites, frères du peuple de Dieu n’avaient pas aidé le peuple de Dieu, ils étaient tous punis par Dieu. Babylone qui une fois était utilisé comme instrument de Dieu pour punir le peuple idolâtre était eux-mêmes punis à cause de leur propre péché au temps de Dieu, car Dieu se met en colère contre leur péché. La justice de Dieu est de s’enflammer de la colère contre les rebelles et impies mais bénit et élève les humbles (10). Vraiment la justice de Dieu est parfaite. Il n’y a aucune considération de personne pour Dieu juste. Mais Dieu tient sa promesse donc, il garde son peuple à cause de son nom qui est sur Sion. Donc, le psalmiste dit au peuple de chanter son nom et accomplir ses vœux devant lui puis apporter ses divers dons pour honorer son nom.  

lundi 22 juillet 2019

Paume 75 :2-11 (PQ de 24/7/2019)

DIEU EST CELUI QUI JUGE 
Verset Clé 75 : 8
Le psalmiste a posé déjà cette question, « pourquoi les méchants prospèrent alors que les innocents souffrent sans cause ? » Le chef de cœur a trouvé au seuil du temple de Dieu. Ce psaume nous dit que l’homme doit pas être remporté par son jugement propre, mais se réfugier dans le jugement de Dieu qui sera selon sa justice parfaite.  
1. C’est moi qui jugerai avec droiture (1-6)        
Les œuvres de Dieu sont redoutables. Quoi qu’il semble loin, il est près de nous et s’apprête à s’intervenir en nous avec sa puissance. Dieu soutient le monde avec ses colonnes et s’il lâche ces mains, tout se fond. Puis il affermit les colonnes pour consolider la terre. Ceci étant, les gens humbles se laissent tenir ferme et façonner par Dieu. Donc, tous ceux qui pensent être debout doivent avoir crainte et tremblement devant Dieu (1Co 10 :12). L’humlité est la premère vertu que doit chercher un homme, selon Saint Augustin. Dieu est celui qui abaisse les orgueilleux mais  élève les humbles. C’est le jugement de Dieu selon sa justice.
2. Dieu est celui qui juge (7-11)

D’où vient l’élevation ? Le psalmiste dit qu’elle vient de Dieu. L’homme veut être élever par nature. Les leaders religieux de l’époque de Jésus cherchaient à être élevé parmi le peuple. Jésus leur reprocha sévèrement. Dieu a dans sa main une coupe plein de vin mêlé, et en verse comme une malédiction pour les méchants. Le front se réfère soit à l’arrogance (5) comme nuque raide des Israélites, soit à l’humilité du juste (11). Il est traduit autrement par la corne. La corne signifie la force ou l’autorité ou la capacité. Nous ne devons pas nous vanter de nos qualités mais remercier Dieu si nous avons des capacités que les autres n’ont pas. Qui juge la terre ? C’est Dieu ; il humilie des méchants et bénit les justes. Son jugement est redoutable, mais il est aussi beau car il est selon la justice, qui rend l’homme heureux. A la fin, comme un refrain constant, le psalmiste chant qu’il a décidé de rendre témoignage du juste jugement de Dieu dans le monde. 

Paume 74 :1-23 (PQ de 23/7/2019)

JUSQU'A QUAND, Ô DIEU 

Verset Clé 74 : 13
Lors du retour de Néhémie de la Perse, Sanballat s’occupait du temple avec un bureau de ses affaires à sa disposition. Ou la scène de ce psaume peut être le moment où Absalom prenait la place de Jérusalem dans la rébellion contre son père. 
1. Souviens-toi (1-9 ; 18-23)        
La situation du temple est désastreuse, car les ennemis prennent la place, et remplace les signes de Dieu par leurs propres enseignes. Ils dévastent le saint lieu, en le brûlant, en la coupant comme avec hache. Le psalmiste le voit comme une malédiction venant de la colère de Dieu. Mais il se réfugie dans la bonté de Dieu et lui demande de le secourir. Car il sait que Dieu tiendra sa promesse. Donc pour cela, il lui rappelle son alliance sainte avec son peuple. Dieu, quand le peuple était dans l’angoisse devant la mer et dans le désert, il l’a racheté pour faire de lui son héritage et son propre. Cette alliance est toujours valable, en sorte que son peuple lui fasse appel à chaque cas de besoin. Or, maintenant, c’est vraiment le moment où il dois venir, car l’infamie domine dans la maison de Dieu. Il est intolérable de voir celle-ci sans cesse déshonorée. Que Dieu se souvienne de l’alliance, de la violence inique, le déshonneur du peuple !
2. Le roi dès les temps anciens (10-17)
Le silence de Dieu en face des ennemis est intolérable. Dieu semble retirer sa protection pour son peuple. Donc, le psalmiste tente de se souvenir du lointain passé où Dieu l’a conduit. Il a délivré son peuple de l’abîme de la souffrance en Egypte. Il a fendu la mer par sa main puissante, il a nourri le peuple de ses nourritures pendant l’errance de désert de 40 ans. Alors qui est ce Dieu ? Le psalmiste se rappelle qu’il n’est autre que le Créateur. Par sa puissante main, la le jour, la nuit, les étoiles, la mer et la terre ont pu être créé. Cette puissance est éternelle et s’exerce pour ceux qui ont confiance en lu. Les ennemis ont beau dévaster le temple et déshonorer le peuple de Dieu. Ce n’est qu’une question de temps qu’ils soient punis, car le temps de leur rébellion n’est qu’un temps de tolérance pour Dieu. Il ne sera pas infini.


dimanche 21 juillet 2019

Psaume 73 :1-28 (PQ de 22/7/2019)

JUSQU'A CE QUE J'ARRIVE AU SANCTUAIRE 
Verset Clé 73 : 17
La question existentielle se pose dans le prophète Habbakuk. Cette célèbre formule qui perdure tout au long de l’histoire humaine : Comment les méchants prospèrent-ils, alors que les bons souffrent sans cesse ? Le psalmiste en trouve la réponse. 
1. Les méchants prospèrent et le peuple souffre (1-15)        
Le psalmiste a une lutte inlassable avec les ennemis, mais aussi il a cette lutte inlassable avec lui-même. Comment j’agirais contre les méchants ? Il expose d’abord le prémisse de Dieu, « Dieu est bon ». Il est bon surtout pour ceux dont le cœur est pur. Jésus dit que ceux-ci verront Dieu. Mais la réalité est tout autre, car les méchants ne cessent de prospérer, loin de recevoir la rétribution de leur mauvaises actions. L’orgueil, la violence, le critique et la blâme sont leur nourriture quotidienne, mais leur vie est toujours davantage tranquille et devient de plus en plus riche (12). Qu’arrive-t-il ? On doute même la science de Dieu (11). Il voit se soulever une plainte car lui semblent inutile ses efforts pour imiter Dieu pur et innocent. Comme garder la foi provoque un rejet des gens, il est tenté de vivre comme eux. Mais la conséquence est pénible.
2. Quelle est la conséquence du règne idéal (16-28)

Il n’est pas pénible de suivre les pas de méchants, mais non seulement cela, mais aussi, le port de cette question insoluble de la vie est pénible. Mais la question se trouve quand le psalmiste dépasse la seuil de la maison de Dieu. Enfin, l’assurance lui arrive sur le sort des méchants. Leur prospérité ne durera pas aussi longtemps qu’ils pensent. Leur voie sera glissante, leur âme ne cesse de se tourmenter jusqu’à ce que le jour final lui arrive. L’épouvante et la désolation les attendent. La perdition est leur sort final (27). Le psalmiste regrette de son passé où il agissait comme un insensé, et remercie Dieu de ce que pendant ce temps de doute, il gardait son âme. Enfin, il trouve le bonheur dans la maison de Dieu où se trouve sa parole et s’affermit dans son désir de la partager avec les autres. Ainsi il revient au précepte inviolable de Dieu, « Dieu est bon et à tous ceux qui ont le cœur pur. »

vendredi 19 juillet 2019

Paume 72 :1-11 (à lire 1-20) (PQ de 21/7/2019)

LE RÈGNE DU ROI IDÉAL ET SA CONSÉQUENCE 
Paume 72 :1-11 (à lire 1-20)
Verset Clé 71 : 1
Le thème de méditation de ce matin est double : 1) Comment le roi idéal doit-il gouverner le peuple ? 2) Quelle est la conséquence qu’apporte le règne du bon roi ?  
1. Le règne du roi idéal (1-4)        
La société juste est la société dans laquelle les citoyens ne se laissent pas influencer par la pression étrangère quel que soit le niveau de la richesse et le statut de la société, et le juste justement s’exerce. Surtout, ceux qu n’ont pas de force et de richesse, quand ils sont engagés dans le procès, sont ceux qui ont besoin d’un juste jugement. C’est pourquoi le roi, qui est le dépositaire du pouvoir de Dieu devra mettre son premier intérêt de son gouvernement non sur la croissance de la force militaire ou l’augmentation du revenu, mais sur l’équité sur la classe pauvre qui ne peut se défendre seule de son intérêt. Donc, ce dont le roi sage a besoin est la capacité du jugement provenant du Seigneur et que celui-ci dispense selon sa justice (1). Est-ce que le gouvernement de notre pays s’intéresse aux intérêts des pauvres ? S’il n’en est pas ainsi, prions. 
2. Quelle est la conséquence du règne idéal (5-11)

Le règne du roi sage sert de ‘pluie’ et ‘averse’ pour le peuple (6). La pluie se réfère l’eau douce du ciel qui tombe quand la terre commence à être renversée pour la culture et l’averse à l’abondante eau qui arrose jusqu’au fond de la terre. Autrement dit, le règne du roi idéal se ressemble à la pluie qui tombe selon les saisons, et à l’averse qui arrose profondément les cœurs des hommes. En ces jours, la justice fleurit et la paix abonde (7). De plus, le pouvoir politique du roi traverse la frontière et se propage vers d’autres pays voisins, en sorte qu’ils viennent lui offrir les tributs du roi (10). Cela se réfère au règne qui est plus puissant que celui de Salomon qui est celui de Jésus-Christ, notre roi. Que devrait-je faire maintenant dans mon pays, pour qu’une société plus juste et plus équitable soit établie et une communauté saine construise. Prions pour que chacun y contribue.

Paume 71 :13-24 (PQ de 20/7/2019)

MA BOUCHE RACONTERA TON SALUT 
Verset Clé 71 : 15
C’est l’autre version de la prière du psalmiste que la précédente. Dieu veut que nous le prions librement sous toutes les formes. Cette prière est plus large et plus hardie (cf. vv. 6 et 18). Nous pouvons méditer plus largement le problème de la vieillesse ici.
1. O Seigneur ne m’abandonne pas. (13-18a)        
Le psalmiste souhaite le jugement, non parce qu’il haïssait les ennemis, mais afin que la justice de Dieu soit faite, d’où il confesse qu’il louerai sa justice. Les ennemis ne cessaient de l’attaquer, donc il répète sa requête précédente : « O Seigneur, ne m’abandonne pas » et réitère son espérance. Il renforce l’espoir mentionné dans sa première prière, c’est-à-dire de célébrer sans cesse la gloire du Seigner, en aboutissant à la pensée qu’il se soumetterais dorénavant tout entièrement à la seule tutelle de son Dieu. Finalement, autrefois une sorte de plainte exprmée dans le verset 9 est transformé, c’est-à-dire, qu’il voudrait ajourner indéfiniment la perspective qu’il avait de perdre ses forces peu à peu, jusqu’à ce que Dieu ait accompli plainement son œuvre totale dans son existence.
2. Je louerai l’Eternel toute ma vie (18b-24)
Le psalmiste souhaite renaître spirituellement, comme il avait été né par la grâce de Dieu. Quand on donne naissance à un bébé, les gens chantent et sont pleins de joie. Ces deux faits sont considérés comme les œuvres de Dieu pour l’humanité créé par lui. Dans la Bible, le grand âge est une choses significative : le jeune homme croyant désire que sa vie soit préservée jusqu’à ce qu’il ait achevé ce que Dieu attendait de lui. Et maintenant dans la vieillesse, l’homme veut recevoir tout ce que le Segneur lui avat réservé encore, en le fasant revivre et de lui donner d’accomplir de nouveaux progrès personnels. Le psalmiste finit son poème en accentuant l’avenir. Les instruments de louange, la harpe et la lyre remplacent les ennemis et les complots. Le psalmiste a confiance : Dieu répondra à sa prière du secours et il exalte sa fidélité. Il s’empare de la certitude que son Dieu donnera le salut à son âme souffrante. En effet, la santeté de Dieu avant tout inspire la louange dans la joie.


Paume 71 :1-12 (PQ de 19/7/2019)

TOUTE MA VIE, SEIGNEUR EST MON ESPÉRANCE 
Verset Clé 71 : 5
Nous allons réfléchir sur qui est Dieu qui était avec le psalmiste pendant sa vie de jeunesse ? Nous allons réfléchir aussi sur comment le psalmiste retient Dieu, car il est Dieu qui accompagne dans la vieillesse. En effet, pour lui, le Seigneur était l’espérance qui ne changeait pas. 
1. L’Eternel est mon roc et ma forteresse (1-8)        
Le psalmiste marchaient le chemin grandiose de la foi, en se faisant accompagner par Dieu, tout au long de sa vie. Tantôt, dans la grâce, rempli de joie, il louait Dieu, tantôt à cause de sa faiblesse, il tombait dans le déprime, tantôt, il eut le grand embarras à cause de l’assaut des ennemis. A ce moment-là, les ennemis se moquaient du psalmiste, en disant qu’il était bizarre que Dieu ne l’accompagnait pas. Mais dans la situation critique, le psalmiste, en se souvenant de ce qu’il l’avait accompagné pendant la grossesse, aussi bien que pendant l’enfance,  tire conclusion du fait que le Seigneur seul est son objet de confiance, et que les autres choses ne sont que des mirages. Le Dieu qui avait accompagné le psalmiste est ‘le roc et la fortresse’ qui prend soin jusqu’au bout, de ceux qui se confient en lui
2. Le Seigneur qui n’abandonne pas malgré la vieillesse (9-12)
Ici, le psalmiste exprime sa crise de vieillesse. Il était malade et allait en s’affaiblissant, et les ennemis épiaient sans cesse la chance de lui enlever la vie. De plus, il n’avait plus de force de combattre avec les ennemis. Ceux-ci ne cessait pas de blâmer le psalmiste et de difuser des rumeurs diffamatoire, en disant que son Dieu ne l’aidait pas. Il semble que le psalmiste était tombé malade et était en passe du grand malheur. Mais dans la situation urgent de la crise, le psalmiste s’assurait de l’aide de Dieu et lui demande le secours. Le Dieu que le psalmiste retenait et sur qui il s’appuyait était celui qui avait choisi lui-même son peuple et qui prenait soin de son peuple. Le Dieu en qui le psalmiste mettait confiance est le Dieu de tous ceux qui croient en lui. Voulez-vous aussi vous appuyer sur Dieu seul et l’aimer  tout au long de votre vie, qu’elle soit heureuse ou triste ?  


mercredi 17 juillet 2019

Paume 70 :2-6 (PQ de 18/7/2019)

CEUX QUI CHERCHENT DIEU 
Verset Clé 70 : 4
Presque mot à mot, Psaume 40b est répété ici. Nous devons avoir ces mots en double à notre esprit et prier jour après jour. Apprenons comment le Psalmiste avait prié Dieu au regard de ses ennemis (2-4). Quelle est sa prière à l’égard de ceux qui cherchaient Dieu ? (5-6) Cela nous rappelle la prière du Seigneur envers les Juifs et envers les démunis.
1. Qu’ils aient honte et confusion (2-4)        
Ceux qui vivent du côté des péchés, ont la face dure et sont prétentieux. Ils se languissent et ne connaissent pas eux-mêmes misérables. En disan qu’il n’y a pas de Dieu, ils vivent en adorant des idoles. Le psalmiste trouve sa vie constamment en danger à cause de ses ennemis. Car les bandes méchantes de l’ennemi, comme on les bêtes sauvages qui cherchent la proie, sont au guet-apen pour l’attraper et tuer.  Au moment de la souffrance insupportable, le seul refuge n’est que le sein de Dieu. Le Dieu qui rend honteux ceux qui se moquent de lui et fuient dans la confusion, est le refuge aujourd’hui comme au passé à tous ceux qui servent Dieu et reçoivent la souffrance à cause du nom de Dieu.
2. Il est celui qui délivre les juste (5-6)
Le psalmiste s’attriste en voyant autour de lui d’innombrables ennemis de Dieu s’opposer à Dieu. C’est parce qu’en ne sachant pas l’origine de leur privilèges, les ennemis lèvent leurs têtes et se moquent des justes. Mais de même que si sombre soit la rue, une fois la reverbère est allumé, les ténèbres de la nuit se retirent, de même quand la grandeur et la puissance de Dieu font apparition, tous les ennemis ruinent. Le psalmiste a l’ardent désir et l’espérance de voir la gloire de Dieu qui sauve les gens du désert de la souffrance. Jusqu’à maintenant, le Dieu qu’avaient rencontré le psalmiste et le peuple est le Dieu Souverin qui gouverne le monde et répond à tous ceux qui cherchent et demandent son aide. Comment desespéré, cherchez-vous l’aide Dieu ? Répétons sans cesse la demande de Dieu, et au temps opportun, il ne rate pas de venir secourir son peuple. Amen. 


mardi 16 juillet 2019

Ezéchiel 24 :1-27 (PQ de 17/7/2019)

LA MORT DE LA FEMME D’ÉZÉCHIEL 
Verset Clé 24 : 18
Dieu parla de l’imminence de la destruction de Jérusalem à travers la parabole de la marmite et la mort de la femme d’Ezéchel. Vu cette leçon, quelle vie le serviteur de Dieu doit-il vivre ?
1. Il faut vivre une vie sanctifiée (1-14)        
Le prophète Ezéchiel reçut le message de Dieu la 9e année qu’il était venu en Babylon. C’est de préparer une marmite pleine de rouille et y verser de l’eau. La marmite rouillée signifie le péché des habitants de Juda. Puis on va mettre les bons morceaux de viande et les os et entasser beaucoup de bois et allumer le feu, puis faire réduire la viande et laisser les os calciner. Puis on va mettre la marmite sur le charbon jusqu’à ce que les rouilles de l’intérieur se détachent. Ici, les bons morceaux sont les princes de Juda et le feu l’attaque de Babylon. Lors de l’attaque de celui-ci, en pensant que la ville les protégerait, les habitants venaient se réfugier dans Jérusalem. Mais Jérusalem était assiégée, et la situation était affreuse. Les gens étaent enfermés et souffraient de la famine. Ce châtiment avait pour but de purifier le peuple. Nous devons souvenir que quand le peuple de Dieu est dans le péché, Dieu emploie ses moyens pour purifier son péché de ses péchés.
2. Il faut se consacrer jusqu’au bout (15-27)

L’autre message qu’avait reçu Ezéchiel était la mort subite de sa femme. La mort de sa femme aurait choqué le prophète. Cela nous montre combien Ezéchiel aimait sa femme et la chérissait. C’était parce que Dieu l’avait comparé comme « les délices de tes yeux » (16). Mais Dieu rappela la femme d’Ezéchiel comme une des moyens de son message. Le vrai prophète doit mettre en avant la mission plutôt que la tristesse personnelle. Il ne fallait pas qu’Ezéchiel pleure ou crie à voix haute. Cela signifie que l’invasion de l’ennemi serait trop ahurissante que le peuple ne pourrait pas de loisir de pleurer. Ils n’avaient jamais pensé que le temple serait détruit. Le jugement de Dieu va au-delà de l’imagination. La mort de la femme d’Ezéchiel pointe le fait que la fin était arrivée. Donc, en pensant comment nous tiendront devant le tribunal du Christ, nous devons vivre fidèlement chaque jour.

lundi 15 juillet 2019

Ezéchiel 23 :1-49 (PQ de 16/7/2019)

OHOLA ET OHOLIBA 
Verset Clé 23 : 30
A travers la parabole de mariage, Dieu révéla l’infidélité d’Israël. Quels sont les péchés d’Israël du nord et Juda du sud révélés par deux femmes Ohola et Oholiba ?
1. La prostitution de Ohola est le péché de la Samarie (1-21)        
L’objet de la perversion d’Israël du nord était l’Assyrie (5). Israël voulait dépendre de l’Assyrie en étant épris par sa splendeur et sa puissance. A l’époque, l’Assyrie était le dominateur de l’Asie mineur donc objet d’envie des autres nations. Israël, en tant que peuple élu de Dieu, devait dépendre de Dieu seulement. Mais il s’appuyait sur l’Assyrie et montra la fidélité aux idoles qu’il servait. L’idolâtrie d’Israël était une très mauvaise coutume installée depuis l’Egypte en eux et ils ne pouvait s’en débarrasser elle-même même après être entré et installé en Canaan et continuait d’exercer de mauvaise influence. Israël dut conquérir les païens et glorifier le nom de Dieu. Mais il dépendait de l’Assyrie. Mais celle-ci finit par le trahir et Israël fut conquiert par le roi d’Assyrie Argon II en 722 av. J-C. Convoiter la splendeur et la beauté du monde, et son pouvoir invita la tragédie.
2. La prostitution de Oholiba est le péché de Jérusalem (22-49)
Malgré la ruine de sa sœur Ohola, Oholiba tomba dans le péché plus grand. Oholiba se réfère à Juda du sud. Juda se ralliait avec les nations païennes en se faisait avoir des allances injustes politiquement et militairement. Juda devait recevoir la leçon par l’événement de sa sœur Samarie, mais l’idole de l’Egypte, l’idole de l’Assyrie, même avec l’idole de Babylon, ont été servis dans leur pays. Surtout le dernier roi Sédécias (597-586 Av. J-C) servait au début Babylon, car il fut monté au trône grâce à lui. Mais plus tard, il déployait la politique pro-Egyptienne, ce qui accéléra la ruine de Juda. De même qu’une femme se sépara de son mari et devient prostituée pour recevoir beaucoup d’hommes, Juda commettait le péché de prostitution. Juda qui dépendait des autres nations fut envahi par les tribus de Chaldéens (23) et reçut l’humiliation dans tous les niveaux tels l’industrie, la patrimoine. Nous devons retenir combien il est vain qu’on tente d’obtenir loin de Dieu la paix et le repos.


dimanche 14 juillet 2019

Ezéchiel 22 :1-31 (PQ de 15/7/2019)

UN HOMME QUI LES PROTÈGE PAR UNE CLÔTURE 
Verset Clé 22 : 30
La ruine d’un pays a pour cause non les éléments extérieurs, mais le péché à l’intérieur. Il en est de même de la ruine de Juda. Quelle est difficulté nationale de Juda dans sa globalité ?
1. Le péché se propageait dans toute la société (1-22)        
Le péché de Juda affectait non une partie mais la société entière. Religieusement, ils fabriquaient les idoles et apportaient les objets saints pour les offrir aux idoles et méprisaient ainsi Dieu. En servant Astarté sur la colline, ils continuaient leurs actes horribles. Comme la religion était corrompue, la moralité était dégénérée, en sorte que les meurtres se produisaient au milieu des villes de Juda. On méprisait père et mère, et la convoitise de la chair l’emportait jusqu’à commettre l’inceste, et l’adultère avec la femme du voisin. L’ordre dans la famille et dans la société se brisait. De plus, on opprimait les faibles tels pauvres, veuves, et orphelins, et dédaignait les sanctuaires et profanait les sabbats. Pour remplir leur convoitise matérielle, ils exploitaient les autres et pratiquaient l’usure et la spoliation. Nous constatons aujourd’hui les mêmes phénomènes. Dieu dit qu’il les disséminerait parmi les nations. Comment Dieu aurait-il regardé la même situation d’aujourd’hui ? 
2. Il n’y avait personne qui priait pour le peuple (23-31)

Le péché de Juda couvrait toutes les couches de la société. Le péché commis par le peuple élu était grave (29), mais le péché de la classe noble était encore plus grave. Les prophètes émettaient de fausses prophéties et conduisaient les âmes à la perdition et en profitant de leur position, ils s’emparaient des biens des autres (28). Les sacrificateurs officiaient la cérémonie comme leur semblait bon et ainsi profanaient l’autel (26). Les politiques sacrifiaient la vie des innocents à l’échange de leur besoin matériel. Le peuple fut influencé par eux et devint froid aux faibles et aux pauvres (27). Leur foi n’était qu’une coquille, et du pied en comble, tous étaient corrompus. En tout cela, la chose la plus tragique est qu’il n’y avait personne qui puisse prier pour eux. Nous devons retenir le fait que n’importe quelle société, s’il n’y avait personne qui veillent et prient, court vers la perdition.

vendredi 12 juillet 2019

Ezéchiel 21 :1-37 (PQ de 13/7/2019)


LE CHANT DE L’EPEE

Verset Clé 21 : 14

Quelle tristesse aurait eu Dieu qui est Amour quand il voulut appliquer sa justice! Le fouet peut faire plutôt vivre l'homme. Comment Dieu jugea-t-il le peuple qui fut tombé dans le péché? 

1. Il punit complètement le péché (1-22)     

Dieu prononce au peuple qui malgré la prophétie du jugement, se plaignait au lieu de se repentir, le sentence qu’il leur arriverait le jugement comme la forêt enflammée des flammes (1-5). Les anciens se plaignirent qu’ils ne comprenaient pas ce que cela signifiait (5). Alors Dieu répéta encore une fois à travers la parabole de l’épée. La raison pour laquelle le jugement de Dieu est comparé à l’épée est que le jugement est imminent comme l’épée dégainée. Cette épée sera brandie par l’Eternel lui-même (8), et elle est l’épée aiguisée pour massacrer les vies (14). Cette épée retranche à la fois les justes, bois verts et les méchants, bois secs. Il est normal que les méchants périssent. Mais la ruine des justes signifie qu’ils reçoivent la rétribution juste en raison de leur participation irresponsable à la chute et la corruption du royaume de Juda. Le royaume de Juda recevra l’épée du jugement tout azimut et la verra se multiplier pour que d’innombrables vies se perdent (21). En voyant ce sévère jugement, avant que le temps de grâce soit passé, nous devons savoir que le repentir est le seul chemin de la vie.  

2. Dieu utilise l’instrument du jugement selon sa volonté (23-37)

Dieu prophétise concrètement que Babylon envahirait Juda (27). Par le tirage au sort, Babylon choisit Juda avant Ammon pour attaquer. Babylon fut appelé comme instrument de destruction de Juda. Dieu parfait sa volonté malgré la superstition des hommes. D'un point de vue humain, toute histoire semble s'avancer par la volonté de l'homme, mais l'invasion de Babylon et la ruine de Juda étaient selon la volonté souveraine de Dieu. Sédécias, le dernier roi de Juda s'enfuyait de la ville et fut capturé et passa son dernier moment tragique. Ammon qui complotait méchamment lors de la difficulté d'Israël, fut détruit et disparut du globe. Ceux qui méprisent l'avertissement de Dieu et vivent dans le péché ne peuvent éviter le jugement final.

Ezéchiel 20 :1-44 (PQ de 12/7/2019)

PAR EGARD POUR MON NOM 
Verset Clé 20 : 14
Lors de la 1e déportation, il y avait Daniel. Nous voyons ici l’aspect trop différent d’Israël que Daniel leur contemporain. Pour la majeur partie, l’histoire d’Israël n’est pas si glorieuse. Mais nous voyons ici Dieu qui agit par égard pour son nom.
1. Il péchait depuis l’Egypte (1-17)        
Pendant 400 ans dans l’Egypte, il ne cessait de commettre le péché. Pendant le désert après l’Exode, dès qu’il vit que Moïse monté à la montagne s’attarda, il se fit un veau d’or. De plus, même si Dieu lui avait inculqué les dix commandements et les autres lois de la société, celles de sacerdoce, et leur enseignait comment vivre en tant que peuple de Dieu, il négligea tout, en souillant les sabbats et en adorant des idoles. Après l’installant en Canaan, il continuait l’idolâtrie en bâtissant les hauts lieux sur les collines verdoyantes. On appelait péjorativement « Bahma » ceux qui adoraient idoles, mais l’idolâtrie devint leur mode de vie. En voyant leur rébellion, Dieu fit serment de ne pas le bénir.
2. Le crime continuait jusqu’à la captivité en Babylone (18-44)
En vivant comme captifs, ils pensaient que l’idolâtrie était indispensable. Ainsi, les anciens rendirent visite à Ezéchiel et demandèrent à leur permettre de servir les idoles (31).  Malgré la captivité, ils ne se réveillaient pas et restaient errants. Non seulement le peuple, mas les princes et les anciens commettaient le péché. En voyant cet état désolant, Dieu se mit en colère et décida de les laisser faire (39). Dieu laisse faire ceux qui refusent de se repentir jusqu’au bout. Même si Dieu veut que tous se repentent et soient sauvés, il abandonne ceux qui s’endurcissent et s’en vont jusqu’au bout sans se repentir et les faire arriver à la ruine. C’est un jugement redoutable. Mais Dieu traite différemment ceux qu’il avait choisi, c’est-à-dire ne rend pas le mal avec le mal, mais leur permet de revenir de Babylon et restaurer le culte sur la montagne sainte (40). Tout cela, Dieu le fait par égard pour son nom. Nous trouvons trouver l’espoir seulement en Jésus-Christ. Comment dépendez-vous de son nom, en ne dépendant pas de vos propres justices et actes ?


mercredi 10 juillet 2019

Ezéchiel 19 :1-14 (PQ de 11/7/2019)

ENTONNE UNE COMPLAINTE 
Verset Clé 19 : 1
Ezéchiel entonne une complainte (une égérie qui pleure les défunts) en faisant référence à la fin et la ruine des 4 derniers rois de la lignée de David.
1. La parabole de deux jeunes lions capturés (1-9)        
Une jeune lionne se réfère à la royauté de Juda qui hérita du trône de David. Juda de sud, à la différence d’Israël du nord, héritait après le schisme jusqu’à la destruction de la royauté authentique de David. Deux lionceaux se réfèrent aux animaux mal entrainés, à point qu’ils mange du légume et des hommes (3,6). Joas qui succédait Josias gouvernait le peuple cruellement, et pour se venger de l’Egypte qui avait tué son père Josias, il appliqua une politique anti-Egyptienne, et il fut capturé dans 3 mois par le roi d’Egypte Négo. Yehojakim qui devint roi était un roi qui ne craignait pas Dieu, à tel point qu’il emprisonna Jérémie et coupa la Bible par épée (Jé 36 :23). En plus, il opprimait le peuple qui déserta les villes et fuyait vers la compagne, donc les villes furent dévastées. Lui aussi fut capturé et déporté en Babylone. Les rois qui furent établis par la grâce de Dieu devinrent ainsi les avant-coureurs du mal contre Dieu. Comment pourraient-ils éviter la fin tragique ?
2. La parabole de la vigne déracinée (10-14)
Le prophète déplora la ruine de la royauté à travers la parabole de la vigne. La vigne plantée près de l’eau signifie Juda qui avait été implanté en Canaan après l’Exode. Il y avait parmi les tiges des robustes. Le vigoureux rameau semble être Sédécias. Il reçut deux fois l’invasion de Babylone, et malgré l’exhortation ardent de Jérémie, il négligea la parole de Dieu et commit l’idolâtrie. Finalement, Jérusalem fut démolie et pillée, son fils mort et à lui-même arrachés les yeux, et il fut déporté en Babylone. La royauté de David fut ruiné. Quelle honte et tragédie. Ce peuple qui avait la prospérité grâce à Dieu, reçut maintenant le sévère jugement de Dieu. Cela nous en dit long de la fin d’une vie qui ne glorifie pas Dieu. Nous devons savoir qu’hier comme aujourd’hui, la vie qui ne glorifie pas Dieu ne reçoit jamais la dignité et la prospérité.


mardi 9 juillet 2019

Ezéchiel 18 :1-32 (PQ de 10/7/2019)

CONVERTISSEZ-VOUS ET VIVEZ 
Verset Clé 18 : 32b
La voie de Dieu est différente de celle de l’homme. Dieu veut plaider avec l’homme. Il a pour but de faire vivre les hommes, mêmes les plus méchants hommes.
1. Le jugement de Dieu se repose sur chacun (1-20)        
Le peuple avait un proverbe sur l’héritage des actes du père au fils. L’homme avait toujours cette idée de relayer la mauvaise acte à la prochaine génération. C’était aussi à cause de l’humanisme qui cherche la solidarité entre les générations. Il dit donc que le fils doit supporter le poids de son père. Dieu a dit autrefois que pour le père méchant, jusqu’à troisième génération, on n’aura pas de bénédiction. Donc, la loi semble se contredire. Mais ce n’est pas le cas. C’était pour souligner que la bénédiction est hérité mille génération. Au temps des prophètes, Dieu veut plutôt que chacun s’occupe de ses propres péchés en faisant la responsabilité à chacun. Si le père est bon, mais son fils fait le mal, la responsabilité de son acte se limite à celui qui fait le mal. Le fils mourra, tandis que le père n’a aucun effet de la méchanceté du premier. Mais si malgré que le père soit mauvais, le fils ne l’imite pas, mais marche dans le bon chemin, détournant de la voie de son père, lui vivra. 
2. On expiera le péché commis (21-32)
Il en est de même pour l’individu. Le présent n’est pas conditionné par le passé. Si un homme est mauvais, pourtant se détourne du mal du passé pour agir bien dorénavant, on ne se souviendra pas de son passé, mais on considérera seulement l’action après sa repentance. Par contre, si quelqu’un est bon, mais il abandonne son chemin pour se rallier avec les méchants, et les idolâtres, alors toute sa justice du passé se sera pas rappelé, seulement il sera jugé selon les actes qu’il est en train de commettre. Les gens disaient que la voie de Dieu n’est pas normal. Il faut attribuer le péché du père au fils et le faire mourir. Ils disent que la méchanceté doit être punie et celle du passé ne sera pas effacé, même si on est changé. C’est l’expiation selon la loi. Mais l’optique de Jésus est que Jésus mourut pour eux. Par son sang il expia complètement le péché de l’homme et le fit vivre une nouvelle vie. (Rm 3 :24).


Ezéchiel 17 :1-24 (PQ de 9/7/2019)

ISRAËL TRAHIT L’ALLIANCE 
Verset Clé 17 : 18
Dieu qui gouverne le sort de tous les pays fortifie Babylon et l’utilise comme instrument de jugement pour le péché d’Israël. Quelle est l’œuvre rédemptrice de Dieu qui s’accomplit ?   
1. Il punit à travers les pays païens        
A la personne qui trahit ne reste que le jugement. De surcroît, il juge à travers les païens qu’ils détestent le plus. Dieu avait dit déjà que le seul moyen de survie d’Israël était de se rendre à Babylone et le servir (Jé 27 :11). La raison de cette direction était que Dieu voulut purifier le peuple qui avait douté l’amour et servi les idoles et faire de lui son peuple. Donc, Israël devat servir le roi Neboukadnetsar qui était le grand aigle malgré leur fierté blessée. Bien sûr qu’au début, il était fidèle à Babylone. Mais Dès que Yehojakin devint captif (3,4) et Sédécias devint roi (5,6), sans tarder, poussé par le désir d’indépendance, Israël se fit une alliance avec 2e aigle qui est l’Egypte et brisa l’alliance avec Babylone. Par conséquent, Sédécias fut emporté en captivité en Babylone et mourut là-bas (16). C’était la conséquence de ce que sans obéir à Dieu humblement, il s’était appuyé sur l’Egypte, emporté par son propre désir et volonté. Pour cette vie de propre juste, il ne restait que le jugement. 
2. Malgré l’échec humain, il continue d’établir le royaume de Dieu

Malgré le jugement qu’il exerça au peuple Dieu n’abandonna pas le plan rédempteur qu’il avait conduit jusqu’alors, ni le modifia. Même si Juda mourait à cause deu péché, l’alliance qu’il avait noué avec David n’est pas laissée brisée. C’est-à-dire que même si on amena un tigé pris du cèdre vers Babyone, la plante semée y mourut. Mais Dieu fidèle fit relever un tige du sommet du cèdre et l’implanta sur la haute montagne, afin que tous puissent le voir (22). Le tige tendre s’épaissait et toutes sortes des oiseaux demeuraient sous le tige pour le repos. Cela se réfère au royaume messinique qui sera établi plus tard sur la base du Christ. Là-bas, il y a le vrai salut et repos. Dieu ne regarde pas l’échec humaine, mais finit par réaliser sa volonté rédemptrice grandiose. En tant que le maître de l’histoire, Dieu garde le sort de tout homme.

dimanche 7 juillet 2019

Ezéchiel 16 :35-63 (PQ de 8/7/2019)

JE ME SOUVIENDRAI DE TON ALLIANCE 
Verset Clé 16 : 38
Le peuple de Dieu avait abandonné leur Dieu et pratiquait sans vergogue l’idolatre. Leur état était décrit comme un nouveau-né abandonné. Aujourd’hui Ezéchel fait mention des nations impies, pour faire ressoritr leur état désespérant. Mais au milieu du mal, Dieu garda l’espoir.  
1. Je ferai cesser tes horribles pratiques (16-52)       
Cette partie décrit la punition de Jésuralem, celle d’une prostituée,  l’humiliation et la mort (38). Le peuple de Jérusalem est non seulement aussi grave que celui de ses antécédents païens (44,45), du même ordre que celui des villes de Samarie et de Sodome (46), il est pire encore (47-51). Les prostituées vendent leur corps en échange de l’argent. Mais pire qu’elles, Jérusalem paie de l’argent pour se prostituer (41). C’est une pure ignonimie qu’ils commet en vue de s’assouvir de son propre désir coupable. Mais il sera complètement nu, car les nations dont il adorait les dieux, monteront pour envahir le pays. Il sera mis à sac, et toutes les maisons seront brûlées. Leur acte pire justifie la méchanceté des nations mpies considérés comme sœurs, grande et petite. Sans doute, les actions d’Israël n’étaient-elles pas en elles-mêmes plus mauvaises que celles de Samarie et de Sodome ; mais leur caractère haïssable était évidemment accentué par le caractère unique de son état privilégie de fiancée de Yahwé.
2. Je me souviendrai de ton alliance (53-63)
La promesse de restauration est donnée de telle manière qu’elle reconforte fort peu Jésrusalem. Cette dernière ne sera rétablie qu’avec Samarie et Sodome, qui seront consolées en étant reconnues avec confusion par leur voisine, jadis orgueilleuses et prore justes. L’Eternel dit, « Je me souviendrai de ton alliance. » C’est le seul point lumineux dans ce ciel sombre. Israël commettait le péché puisqu’ils avaient oublié l’amour de Dieu (43) qu’il avait éprouvé à sa jeunesse. L’Eternel va conclure avec Jésuralem une alliance éternelle. Il lui redonnera la position qu’elle occupait auparavant et renouera pleinement la relation brisée. Ce sera la nouvelle alliance comme le disait Jérémie dans 31 :31. 

Ezéchiel 16 : 1-34 (PQ de 7/7/2019)

LES HORREURS DE JERUSALEM
Verset Clé 16 : 16

Dieu donna à Ezéchiel un message à donner à Jérusalem. Fait reconnaître à Jérusalem ses horreurs.
Ce passage nous révèle l’ingratitude du cœur de l’homme.

  1. L’amour si débonnaire de Dieu (1-22)
Dieu raconta sous forme d’allégorie comment Jérusalem a été adopté par Dieu. Depuis sa naissance, son cordon ombilical n’a pas été coupé. Elle restait dans son sang, sans soin, ni lange, abandonné. Personne ne voulait d’elle. Personne ne la prit en pitié. Mais Dieu eu compassion d’elle. Avec le temps, la fit grandir en nombre (7) et Dieu la rendit parfaite. Elle devint une nation belle que Dieu adopta comme sa nation en concluant une alliance avec elle. Il lui donna une belle parure et toutes choses. C’était un privilège particulier. Sous le soin de Dieu, elle est devenue une femme digne de la royauté. Mais Israël s’est confié en sa beauté (v15) et n’a pas reconnu que sa beauté, son existence même venait de Dieu (22). Elle s’est tournée vers des idoles, en oubliant l’amour prodigué par Dieu. Elle a pris les vêtements qu’elle avait reçu, l’or et l’argent qu’elle avait reçu de Dieu pour en faire des idoles. Elle alla jusqu’à sacrifier ses propres enfants aux idoles en les tuants. Elle est devenue meurtrière en égorgeant et brûlant les enfants de Dieu sur les hauts lieux. Ce sont là, les horreurs d’un cœur idolâtre.
Dieu vit que, ce que Jérusalem avait fait, était unique en son genre. Aucune autre nation n’agira comme elle, abandonnant le Dieu créateur qui était son Dieu pour des dieux étrangers (v16). A travers le Christ, nous avons été rachetés par Dieu à grand prix et sommes devenus le peuple de Dieu. Jésus est-il notre objet d’adoration ou adorons-nous autre chose ?

  1. Les conséquences de l’idolâtrie (23-34)

Dieu vit le malheur qui attendait Jérusalem et dit : « Malheur, malheur à toi. » Le sort de Jérusalem, sa destinée était le malheur (v23). D’une femme royale, elle est devenue une maitresse prostituée. Qui voudrait d’une maitresse prostituée ? Sur toutes les places, à l’entrée de chaque chemin, Israël a multiplié ses hauts lieux et ses prostitutions partout dans le pays. Toutes ses idoles, Egyptiennes, Assyriennes, et même Cananéenne, objet de la colère de Dieu, faisait l’objet de ses pratiques. Malgré cela, ses idoles ne pouvaient pas satisfaire sa soif. Elle n’était pas rassasiée et restait assoiffée. En se tournant vers les idoles, Jérusalem perdit son identité en tant que peuple de Dieu. Sans repentir, Dieu allait la rejeter.