J’OUVRE LA BOUCHE ET ÉNONCE
Verset Clé 78 : 2
Le
psalmiste obéit à la volonté divine et raconte l’histoire de Dieu ainsi que la
loi aux enfants. L’histoire d’Israël était celle de rébellion flagrante. Mais
les enfants créeront une nouvelle histoire dans l’obéissance.
1. Je
redis son exploit à mes fils (1-33)
Dieu d’Israël était un Dieu éducateur. Le psalmiste,
serviteur de la musique a ce souhait ardent de redire la loi avec la louange à
Dieu pour ses hauts faits à ses fils sans aucunement dissimuler les faits
honteux de ses ancêtres. Il donna la loi comme un témoignage (5) aux pères pour
la répètent devant leurs enfants. Alors, ils se souviendront de leur Dieu et
vivront selui lui. Il est inimaginable que les enfants viveront selon Dieu,
même s’ils n’avaient pas expérimenté la puissante œuvre divine. C’est la
puissance de l’éducation qui se base sur les faits. Ephraïm représenta le
peuple, étant le plus nombreux. Il refusa de monter en Canaan malgré la
promesse de Dieu de le donner. Il avait fait le miracle de l’Exode, et de la
traversée de la mer Rouge, mais leur pères l’oublièrent subitement et se
rebellaient partant la fabrication du veau d’or. Pendant le désert, il
conduisit par le feu et les nuées, il fendit le rocher pour faire ruisseler le
fleuve d’eau. Ils ne cessaient de se plaindre de la nourriture (19), alors il
ne leur donna pas seulement l’eau à boire mais envoya la manne selon leur désir
de se satisfaire de la viande.
2. Alors, ils se souvinrent (34,35)
Dieu
fut désolé de la rébellion de son peuple incessante. Alors Dieu leva sa main et
voulut l’exterminer. C’est le moment où Dieu allait les tuer tous, que les gens
d’Israël revenait. Ils se souvinrent de Dieu et se repentiren. Quel malheur que
l’homme s’enduircit jusqu’à arriver au dernier moment où il ne peut rien de
faire plus. Dieu était leur rocher et Dieu était leur rédempteur, quand il
courba l’orgueil du Pharaon et fait sortir le peuple du pays de l’esclavage. Il
est toujours mieux qu’on se souvienne avant que le moment de catastrophe arrive
et la colère divine soit déclenchée, mais hélas la nature déchue de l’homme
nous prouve qu’il allait toujours en contre-sens.
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