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vendredi 26 juillet 2019

Paume 78 :1-35 (PQ de 27/7/2019)

J’OUVRE LA BOUCHE ET ÉNONCE 
Verset Clé 78 : 2
Le psalmiste obéit à la volonté divine et raconte l’histoire de Dieu ainsi que la loi aux enfants. L’histoire d’Israël était celle de rébellion flagrante. Mais les enfants créeront une nouvelle histoire dans l’obéissance.      
1. Je redis son exploit à mes fils (1-33)        
Dieu d’Israël était un Dieu éducateur. Le psalmiste, serviteur de la musique a ce souhait ardent de redire la loi avec la louange à Dieu pour ses hauts faits à ses fils sans aucunement dissimuler les faits honteux de ses ancêtres. Il donna la loi comme un témoignage (5) aux pères pour la répètent devant leurs enfants. Alors, ils se souviendront de leur Dieu et vivront selui lui. Il est inimaginable que les enfants viveront selon Dieu, même s’ils n’avaient pas expérimenté la puissante œuvre divine. C’est la puissance de l’éducation qui se base sur les faits. Ephraïm représenta le peuple, étant le plus nombreux. Il refusa de monter en Canaan malgré la promesse de Dieu de le donner. Il avait fait le miracle de l’Exode, et de la traversée de la mer Rouge, mais leur pères l’oublièrent subitement et se rebellaient partant la fabrication du veau d’or. Pendant le désert, il conduisit par le feu et les nuées, il fendit le rocher pour faire ruisseler le fleuve d’eau. Ils ne cessaient de se plaindre de la nourriture (19), alors il ne leur donna pas seulement l’eau à boire mais envoya la manne selon leur désir de se satisfaire de la viande. 
2. Alors, ils se souvinrent (34,35)
Dieu fut désolé de la rébellion de son peuple incessante. Alors Dieu leva sa main et voulut l’exterminer. C’est le moment où Dieu allait les tuer tous, que les gens d’Israël revenait. Ils se souvinrent de Dieu et se repentiren. Quel malheur que l’homme s’enduircit jusqu’à arriver au dernier moment où il ne peut rien de faire plus. Dieu était leur rocher et Dieu était leur rédempteur, quand il courba l’orgueil du Pharaon et fait sortir le peuple du pays de l’esclavage. Il est toujours mieux qu’on se souvienne avant que le moment de catastrophe arrive et la colère divine soit déclenchée, mais hélas la nature déchue de l’homme nous prouve qu’il allait toujours en contre-sens.


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