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samedi 30 juin 2018

Psaume 65 : 2-14 (PQ de30/6/2018)

HEUREUX CELUI QUE DIEU CHOISIT

Verset Clé 65 : 5a

Ce psaume parle du bonheur d’être élu d’abord et ensuite du bonheur de participer de la paix et de l’abondance de Dieu.   

1.     Heureux celui que tu as choisi (2-5).
Le psalmiste semble être accablé par ses sentiments de culpabilité. Ses péchés du passé l’accusaient encore. Mais il trouva le refuge en Dieu. Dieu est juste, mais au lieu de condamner le pécheur, il s’incline et écoute sa prière. Le psalmiste reconnaît sa situation modeste. David était un simple berger des troupeaux de son père. En lui il n’y a rien de particulier, ni rien de saillant. Il était comme Marie, une jeune fille sans renom de la campagne, un simple homme de la campagne. Quant au péché, il n’y a rien de meilleur par rapport aux autres. Il était aussi ou plus pécheur que les autres. Seulement, par la grâce de Dieu, il a été choisi parmi tant d’autres gens. Dieu a choisi chacun de nous, comme son peuple, malgré l’indignité, pour que nous ne puissions pas nous glorifier. Surtout, l’auteur fit l’éloge du privilège que Dieu lui fit de pouvoir venir dans le temple et communier avec Dieu. C’est un signe de l’amour de Dieu envers son peuple qu’il chérit. Adorons Dieu en venant à son temple matin et soir. L’homme est par nature dépensier des mots et des plaintes pour justifier sa situation. Mais ceux qui accomplissent leur vœu préfère de garder le silence, car il agit devant Dieu (2). Et Dieu le visite.    

2.     Heureux ceux qui ont la paix de Dieu (6-14).
Notre Dieu est le Dieu de paix. Il est puissant qu’il fixe les frontières des mers et des rivières. Il apaise les conflits des hommes, par ton intervention. Mais ce n’est pas tout, Dieu est la source de bénédiction de tout genre. Les signes de ce caractère est partout. Il envoie les pluies et les rayons de  soleil, pour arroger la terre et faire grandir les herbes. Les rivières sont regorgées des eaux et les rosées couvrent la terre au matin. Les pluies arrosent la terre et elles donnent d’abondantes germes et celles-ci grandissent jusqu’à produire une récolte abondante. Les habitants des extrémités se réjouissent des froments riches qu’ils peuvent récolter. Les chants se font retentir partout sans cesse. Pour les croyants, il est essentiel de reconnaître ce Dieu de bénédiction.

jeudi 28 juin 2018

Psaume 64 : 2-11 (PQ de 29/6/2018)

LE JUSTE SE REJOUIT EN L’ETERNEL
Verset Clé 64 : 11
Les français disent souvent, « écoute. » C’est pour attirer attention des interlocuteurs. Mais dans la Bible Dieu dit aux Israélites fréquemment : « écoute-moi » pour dire qu’il ne faut pas oublier ses bienfaits. Le psalmiste utilise cette expression pour supplier Dieu qu’il n’oublie pas la voix d’un juste.
1. O Dieu, écoute ma voix. (2-7)
Les fidèles en Israël croyaient en la puissance de Dieu. En même temps, ils savaient que Dieu se fait adoucir pour son peuple. Donc, le psalmiste se servit de ce mot « écoute » (Schema) pour le supplier de le sauver du danger présent. Il savait que Dieu sauverait de son engouement inextricable. Maintenant la situation où se situait le psalmiste était très critique. La pensée du complot l’inspirait déjà de la peur. Mais il sentit d’autant plus grande peur, que les ennemis étaient au guet-apens pour l’attaquer à tout moment à l’improviste. De plus, ils cachaient leur intention, en apparaissant amicaux et intimes, ce qui rend la situation plus périlleuse. Leur arme de destruction était la langue acerbe. Elle est le venin d’aspic meurtrier.       
2. Le juste se réjouit en l’Eternel (8-11)

Quand le psalmiste pria Dieu, Dieu lui répondit. Il comprit que Dieu le sauverait du danger en faisant les flèches d’attaque des ennemis se retourner vers eux et tomber sur leur tête. Notre Dieu est juste, il fait la justice par ses propres moyens défensifs. Mais ici, Dieu répondrait exactement de la même façon qu’ils avaient utilisée, les attaques à l’improviste. Quand ils seraient sans défense et que rien ne serait prévu, ils seront tout à coup attaqués par Dieu et terrassés. Leur propos lancé par leur langue acerbe retombera à leur préjudice. Alors tous les hommes rendront témoignage de ces œuvres en disant qu’elles sont venues de Dieu, puis fuiraient loin. Alors Dieu restaurera la joie dans le cœur du juste, car le juste s’attriste quand il voit l’injustice dominer. Il se féliciterait en voyant revenir la droiture parmi les humains.

mercredi 27 juin 2018

Psaume 63 : 2-12 (PQ de 28/6/2018)

MON ÂME A SOIF DE TOI
Verset Clé 63 : 2
David était dans l’embarras, de l’extérieur et de l’intérieur. Il fut pressé de tout part, en fait. Alors que faire ? La parole nous dit ce que nous devons chercher premièrement.
1. Mon âme a soif de toi (2-6)
Ce psaume nous évoque la situation où fuyait loin de Saül qui le pourchassait pour le tuer. Le désert est l’endroit où il n’y a pas d’eau. Dans la difficulté, les uns se découragent, et les autres persévèrent à chercher plus Dieu. David eut soif physique, mais il eut une autre soif indéniable. C’était la soif de Dieu. Où cette soif peut-elle être étanché ? David alla vers le sanctuaire. Bien sûr que dans le désert, il n’avait pas d’accès du sanctuaire, mais dans son esprit, il y entra et rencontra Dieu. Le temple est là où est Dieu. Dieu agrée venir à sa maison pour bénit son peuple. Là nous contemplons sa gloire et celle-ci brille toute la journée. Jésus dit à la femme de Samarie, si on boit Jésus, l’eau qu’il donne jaillira jusqu’à la vie éternelle. Que Dieu nous donne cette soif, indépendamment de nos situations et nos anciennetés. Dans le sanctuaire nous ressentons aussi sa bienveillance. C’est l’amour de Dieu. Nous en sommes rassasiés et notre faim de justice aussi y est rassasiée (6).   
2. Le roi se réjouira en Dieu (7-12)

David était au milieu du complot de ses ennemis. Sa royauté n’était pas encore officialisée, mais Saül en voulait à sa vie sans cesse. Mais dans cette situation, David sut qu’aucune chose ne pourrait lui enlever l’amour de Dieu. Dieu était toujours à côté de lui et le soutenait. Les ennemis faisaient le serment pour éliminer sa vie. Mais les amis faisaient le serment à leur côté pour le protéger, et David bénit leur fidélité en priant Dieu pour eux. Ceux qui firent leur allégeance pour le roi seront bénis par Dieu, car si l’amour de Dieu est meilleur que la vie, la fidélité est plus précieuse que de l’or. David, malgré sa situation difficile, n’en attrista pas, mais plutôt se réjouit pleinement en Dieu. Dieu l’aimait et l’entrainait afin qu’il soit plus mûr. Donc, il sut que Dieu punirait l’ennemi au final.

mardi 26 juin 2018

Psaume 62 : 2-13 (PQ de 26/6/2018)

DE LUI SEUL
Verset Clé 62 : 3
Ce psaume de David nous en dit long d’abord de quelle doit être la relation entre Dieu et l’homme. La deuxième partie nous parle de la relation du psalmiste avec les gens de l’extérieur.
1. Vers Dieu je me tourne en silence (2-9)
D’abord, à qui aspire le psalmiste est important. David était dans l’embarras profond à cause de l’ennemi à l’alentour. L’ennemi se complotait pour le renverser et le tuer sans cesse. A ce moment, que fit David ? S’il était un homme ordinaire, il aurait perdu tout de suite la paix et la sérénité. Mais David n’était pas ainsi. Il cherchait ardemment la face de Dieu. Et cela en silence. Quand on est en danger, on est tenté d’ouvrir la bouche promptement pour faire sortir les propos plaintifs. La bouche est un instrument dangereux, quand elle se précipite. Il vaut mieux de garder le silence, ainsi on est défendu de commettre des erreurs et des péchés. La raison du psalmiste de se retourne en silence, c’est parce que le Seigneur Dieu est à son côté. Les hommes avaient beau de le critiquer et l’attaquer, car Dieu a décidé d’être avec lui. Si on se tient ferme sur Dieu qui est le roc, on ne sera pas trébuché. Il s’est répété deux fois : lui mon rocher, mon salut, Ma forteresse ; je ne chancellera pas.
2. David publia au peuple (10-13)

Maintenant, David voulut donner une leçon à son peuple en se basant sur ses expériences. D’abord, il confessa quelle est l’existence de l’homme. Il est un être éphémère, si bien que la personne qu’on trouva robuste le matin, n’est plus là au crépuscule. Le monde est si éphémère qu’il n’est pas digne de la confiance. Mais les gens ne cessent de se confier dans le monde et dans l’oppression et la richesse. Mais tout cela n’est qu’une vanité. Dieu aime son peuple et lui envoie sans cesse le message qu’il est puissant mais le monde est passager. Dieu est surtout bienveillant envers son peuple, si bien qu’il juge à chacun selon ses actes. Il n’est pas celui qui est indifférent à ce que nous faisons. Il fit éloge de nous, si nous voulons mettre en pratique sa parole.

lundi 25 juin 2018

Psaume 61 : 2-9 (PQ de 26/6/2018)

OH DIEU JE ME REFUGE EN TOI
Verset Clé 60 : 5
David était en face de l’ennemi. Dans l’abattement qui nous visite, ce psaume nous enseigne comment nous pouvons le surmonter. Il commença par la prière.     
1. Je demeure dans le temple sous ses ailes. (2-6)
David était un roi, un guerrier, et un musicien, mais il était surtout l’homme de prière. Son attitude de prière n’a pas changé depuis qu’il était un berger des brebis de son père. Il savait qu’il était un homme faible et ne pouvait se tenir sans aide de Dieu. Son cœur était abattu à la fois des ennemis et ses proches qui levaient les talons contre lui. Dans un état de déception, il aurait préféré de quitter le monde et monter et monter vers le haut. Alors, on pourra tout oublier et se reposer tranquillement. Mais il s’en aperçut que le meilleur endroit est le temple, le tabernacle de Dieu. Quand il y entra il sentit la douce présence de Dieu et il lui revint la joie et le bonheur ineffable. Ca lui fit trop bien qu’il voulait y demeurer éternellement, loin du monde cruel. Là il communia avec Dieu, son rocher, son refuge et il se rassura de l’héritage réservé au peuple craignant Dieu. Dans son église, nous pouvons avoir la même expérience (1P1 :3,4). 
2. David décida (7-9)

David pria dans le temple, alors, Dieu le visita personnellement. Dieu n’abandonne jamais ceux qui le prient et le craignent. Il écoute attentivement nos requêtes et nous répond. Après avoir reçu la réponse, David oublia la situation accablante. De son for intérieur surgit l’assurance de la victoire. Donc, il remercia Dieu, puis lui donna sa décision de cœur. D’abord, il décida de gouverner le pays selon la loi de Dieu, autant que Dieu lui donne ses jours. Il souhaitait donc la longévité de vie pour être un bon instrument de Dieu pour son peuple et pour son pays. Pour cela, il pria que la vérité et la bienveillance se révèlent à lui. Ensuit, il décida aussi de chanter le nom glorieux de Dieu pendant sa vie. C’est le but d’un racheté de Dieu. Enfin, il décida d’accomplir ses vœux jour après jour. Dieu écoute le vœu, mais celui qui fait le vœu est l’homme.

Psaume 60 : 3-14 (PQ de 25/6/2018)

TU NOUS FAIS VOIR L’EPREUVE
Verset Clé 60 : 5
David était dans la campagne contre de multiples nations. Ils furent découragés sûrement par une certaine défaite, mais ce qui le découragea plus était ce sentiment que Dieu l’avait repoussé.     
1. O Dieu, tu nous a repoussés. (3-6)
On ne sait pas la situation exacte où se situait David à l’époque. Mais le prologue nous dit que c’était au moment où Joab son général revint et battit l’ennemi Edomite. En effet, l’histoire de la guerre en Mésopotamie dans 2S 8 nous fait imaginer que quand David remporta la victoire contre cette région au-delà de l’Euphrate, soudain les pays qu’il avait assujetti, les Edomites se soulevèrent et s’attaquèrent de derrière. Heureusement, Joab fut appelé et vint pour secourir l’armée de David. David considéra que cet échec avait pour cause la colère de Dieu et chercha à trouver le moyen de la réparer. David sut, pour ainsi dire, recevoir la leçon par des échecs. Il n’avait point de fatalisme là-dessus, crut que Dieu, après avoir fait passer de lourdes épreuves, il lui donnerait l’étendard de victoire et la révélation de la vérité. Donc, le revers militaire n’était point un défaveur, mais une faveur de Dieu au yeux d’un serviteur avisé.
2. David pria (7-14)

David pria à ce moment critique (7). Il amena à Dieu la promesse non tenue, en se disant pourquoi ? Nous avons besoin de réclamer la raison de la promesse non tenue. Nous avons besoin de la vérité là-dessus. Alors Dieu lui parla dans son intimité et surtout dans sa sainteté. D’abord, Dieu considéra son peuple comme prunelle des yeux, si précieux. Les tribus de Manassé, Ephraïm et Juda furent mentionnés. Elles sont à moi, dit l’Eternel. Ensuite, les autres peuples de la terre ne sont que la création que Dieu fit mais un marchepieds sur lequel Dieu permit son propre peuple fouler. Enfin, David pria, « donne-nous du secours. » Même s’ils avaient remporté la victoire, s’il n’est pas fait avec Dieu, aucune victoire n’est significative et ne durera pas si longtemps.