Luc 8 : 26-39 (PQ de 15/6/2018)

UN ESPRIT IMPURE S’EMPARAIT DE LUI

Verset Clé 8 : 29

Un enfant en vint à traverser la nuit le cimetière. Il vit s’approcher un démon et eut peur. Mais il se souvient de la prédication du pasteur, « quand on voit le diable, on chante haut et fort, il va fuir. » Mais étant paralysé de peur, il ne sut quoi chanter. Quand il se mit à chanter, le diable s’enfuyait enfin. Il faut savoir que le diable a lui aussi quelque chose de laquelle il a peur. La parole nous dit qu’il a peur de Jésus puis, la mort.

1. Que me veux-tu, Jésus ? (26-30)

Quand Jésus arriva de l’autre côté de la mer, il sortit un démoniaque et accourut vers Jésus et ne cessa d’hurler vers lui. C’était un possédé de démon, pas d’un démon, mais des milliers de démons. Il habitait parmi les tombes. Il était un urbain libertin. On constate que son esprit fut tourmenté et divisé. Ainsi d’un côté, il reconnut Jésus et voulut adorer. Mais d’un autre côté, il le rejeta et eut peur de lui et fuir. Mais Jésus Dieu tout puissant maîtrise son pouvoir malsain et les chassa de l’homme dont il s’était emparé. C’était un esprit impur qui voulait corrompre les âmes. Jésus lui demanda le nom. Il n’a pas eu de nom, donc, répondit : légion, l’armée romaine. Il avait des tonnes de démons. Reconnaître le nom de mes démons est nécessaire, après quoi quand nous prions Jésus vient nous secourir.      

2. Ils lui demandèrent à s’éloigner (31-39)

Les démons eurent peur du nom de Jésus. Mais ils eurent peur aussi de subir de la mort. Donc, ils supplièrent à Jésus de ne pas les détruire. Par contre, ils supplièrent à Jésus de les permettre d’entrer dans les pourceaux. Plus de 2000 pourceaux qui étaient les hôtes de ces démons, se précipitèrent de l’escarpement dans l’eau, et tous moururent, noyés. Les témoins de cet événement vinrent raconter ce qui s’était passé. Quelle était leur réaction ? Le démoniaque était urbain, mais ces gens étaient urbains accaparés par le matérialisme. Ils virent demander à Jésus de s’éloigner d’eux. Ils n’avaient pas d’yeux pour voir l’importance d’une vie sauvée. Ainsi, ils furent privés de l’accès à la grâce divine.