Luc 7 :1-10 (PQ de 8/6/2018)

JAMAIS UNE AUSSI GRANDE FOI JUSQU'A MAINTENANT

Verset Clé 7 : 9b

L’épisode de serviteur du centenier ou plutôt du centenier d’un serviteur nous en dit long de quel est la foi ainsi que quel est l’amour véritables. Que Dieu vous donne la foi et l’amour pour que vous soyez de bons bergers de nos temps déviés.    

1. Le centenier d’un serviteur (1-4)

Apparut le premier le centenier devant Jésus. C’était à Capernaüm le quartier général de l’œuvre de Jésus. Là était aussi un quartier général régional de l’armée romaine. Jésus se centrait autour de cette ville, en sorte que après un long voyage d’évangélisation, Jésus avait l’habitude d’y descendre pour se reposer un peu. Alors vint un centenier romain. C’était un homme de bien, si bien que sa renommé était grand parmi le peuple d’Israël. Il était un homme de respect et un homme sage, si bien qu’au premier coup, il envoya une délégation des Juifs vers Jésus pour supplier Jésus au sujet de son serviteur malade. Le serviteur étant considéré à l’époque comme possession, le serviteur malade ne valait pas plus qu’un rebut à jeter. Mais ce centenier était plein d’humanité, si bien qu’il faisait tous ses efforts pour le guérir. Même si nous avons la foi qui déplace les montagnes et nous permet de parler la langue des anges, à quoi servira-t-elle, si nous n’avons pas l’amour. Quoi que païen, son amour a touché le cœur du peuple colonisé.

2. Aucunement cette foi dans ma vie (6-10)

Ensuite vint l’acclamation de Jésus à l’égard de sa foi.  Jésus fut en quelque sorte extasié de la foi de ce païen. D’abord, son adresse était assez humble pour toucher le cœur de Jésus (6b) Il dit que personne en Israël, jusqu’à maintenant, ne possédait de telle foi. Selon son expérience dans sa carrière militaire, il sut la puissance de l’autorité. Il pensait que l’ordre en hiérarchie ferait marcher l’affaire militaire, si inextricable soit-elle. Mais de la même manière, il crut que dans l’affaire de Dieu aussi, cela pourra s’appliquer, car Jésus n’était rien d’autre que Dieu lui-même, compte tenu de l’ouï-dire de toutes ses œuvres merveilleuses. Enfin, grâce à sa foi, son serviteur fut guéri.