Rechercher dans ce blog

jeudi 17 octobre 2019

Ecclésiaste 2:2-26 (PQ de 19/10/2019)

J’AI ESSAYÉ TOUT CE QUI DONNE LA JOIE

Verset Clé 2:10
Quel est le témoignage de l’Ecclésiaste qui a tout essayé pour le plaisir ? Malgré tout son accomplissement, quel est le résulta pour son sentiment ? Devant la paradoxe (le sage n’est pas mieux que l’insensé), quel est le bonheur de l’homme qu’il a reconnu ?  
1. La poursuite du plaisir extrême (1-11)
L’auteur essaie toute l’extrémité du plaisir et de l’accomplissement. Afin de sentir la satisfacton, il développe pas mal d’entreprises. Le liqueur, la maison, la vigne, le jardin et le parc. La forêt et le lac artificiel, bétail sont un des sources de plaisir du roi. Il collectionne l’or et les pierres précieuses. Puis il a l’orchestre personnel et d’innombrables femmes et concubines. La dimension de ces objets est incomparables par rapport à ceux qui l’ont précédé à Jérusalem. Il a fait des entreprises, et jouit du bonheur au prix de sa peine pour ces entreprises. D’abord, l’Ecclésiaste recherchait la sagesse. Mais malgré sa sagesse, le problème ne cesse de se produire, donc il se dit qu’elle aussi est la vanité. Le plaisir et la joie de la vie ne lui donnaient pas la satisfaction. Quelle est la dernière conclusion ? « tout est vanité et la poursuite du vent. » (1-2,11) Celui qui s’accomplit se récompense. Là est quand-même une limite. Au début la satisfaction grandit, mas si on atteint à un certain niveau, l’utilité marginale de satisfaction diminue. Où est la vraie joie pour la vie ? Souvenons-nous qu’il n’y a que Dieu qui nous a créé qui seul nous donne la satisfaction.
2. Heureux ceux qui peuvent se réjouir du présent (12-26)

L’ecclésiaste a l’angoisse, car il n’y a pas de différence pour le sage et l’insensé au niveau de la fin de vie. La mort visite aussi bien le sage que le méchant. Force est constater que les peines de toute vie seront succédés par ceux qui n’ont rien à voir avec ces peines, d’où sa vanté. Les gens qui héritent ne connaissent pas le sens de toutes choses qu’ils ont acquises. Devant cette paradoxe, l’auteur en vent à reconnaître que l’attitude juste devant Dieu est de remercier Dieu pour ce don de vie. Même si notre vie nous trompe, nous ne devons pas nous décourager mais à présent devons manger, boire, et nous réjouir.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire