Job 2 :1-13 (PQ de 31/8/2019)

JE SUIS SÛR QU’IL TE MAUDIRA 

Verset Clé 2 : 5

L’épreuve pour Job n’est pas fini. Satan maintient son argument sur le vrai motif et continue de tenter. Quelle état sa deuxième épreuve ? Quelle est la foi de Job ? 

1. La deuxième conversation entre Dieu et Satan (1-6)        

Même si Job avait gardé la foi sincère au milieu des premières tribulations, il fut tenté à nouveau par Satan qui ne cessait de l’accuser et blâmer. L’argument de Satan est que comme il ne subissait pas la calamité qui touchait sa vie, il en vint à ne pas renoncé à sa foi. Mais si une calamité qui touche à sa chair et à ses os, la situation sera différente, dit-il. La frappe d’une autre plus sévère calamité avant même la disparition de la première aurait provoqué chez Job une énorme sentiment d’abandon. Mais toute épreuve qui tombe sur les fidèles est dans la main souveraine de Dieu. Sans l’autorisation de Dieu, nous devons le savoir, aucune tentation ni aucune épreuve ne peut être permises envers nous.        

2. Job souffre de l’ulcère dans tout le corps (7-13)

Job eut l’ulcère malin depuis la plante du pied jusqu’au sommet de la tête. Il était obligé de se gratter avec un tesson à cause de la démangeaison. Comme son aspect était misérable, même sa femme se lamentait et dit « après avoir maudit Dieu, meure. » La souffrance sur la terre implique toujours la souveraineté dans le ciel. Les fidèles n’ont pas de moyen de discerner le contenu du conseil céleste. Mais chaque épreuve qui visite les fidèles a en lui une souveraine volonté claire de par Dieu. Elle implique la grâce qui contribue à détruire une foi habituelle et conduire à une relation plus profonde avec Dieu. Retenons fermement la souveraineté de Dieu quand nous sommes tombés au milieu des calamités insupportables. (OC1/3)

Job 1 :1-22 (PQ de 30/8/2019)

EST-CE D’UNE MANIÈRE DÉSINTÉRESSÉE ? 

Verset Clé 1 : 10

Dans la première scène de Job nous voyons apparaître l’être malin appelé Satan. Quel est son travail ? Nous voyons aussi que la bonne volonté de Dieu est au dessus de sa malignité. L’histoire de Job est en résumé celle de comment un homme fait du malheur le bonheur ultime. Nous apprenons aussi la vraie justice divine au travers la personne de Job. Le début de l’histoire est des catastrophes inexprimables déchirant le cœur.     

1. La première conversation entre Dieu et Satan (1-12)        

Job était un homme qui craignait Dieu, s’éloignait du mal et gardait la juste relation avec Dieu. Il état un croyant honnête qui veillait sur non seulement sa propre foi, mas aussi la foi de ses enfants. Mais Satan conteste le motif de la foi de Job. Il insiste sur le fait que sa foi est un moyen de garder sa richesse et ses avantages et propose à Dieu de faire descendre les calamités et de l’en éprouver. Mais Dieu, sans mettre en cause sa foi, plutôt permet cette proposition avec sa bonne volonté de faire mûrir sa foi. L’épreuve ne vient pas toujours en raison du péché, mais vient parfois avec un but de faire examiner le motif de la foi et de faire grandir la foi.       

2. Job perdit un bon matin tous ses enfants et toute sa richesse (13-22)

Job subit un bon matin la grande calamité de perdre toute sa richesse et tous ses 10 enfants bien-aimés. Quoi qu’il se produisît des calamités dépassant ses limites, Job gardait son attitude de la foi sincère et n’en voulait pas à Dieu. Plutôt, en disant, « celui qui donne et celui qui ôte, c’est l’Eternel » il loua Dieu quelque soit la circonstance et la situation. Parfois bon Dieu enlève la haie qui protège ses enfants, afin qu’ils regardent en face la réalité de sa foi et les conduit vers un domaine plus mûr de la foi. Comme petit Job, rendez grâce à Dieu même si tous les haies protectrices qui vous tiennent se détruisent.

Gn 35 :23-36 :8 (PQ de 29/8/2019)

ESAÜ QUITTE LA TERRE DE PROMESSE 

Verset Clé 36 : 6

Sont raconté aujourd’hui la mort d’Isaac et la généalogie d’Esaü. Quel était la conduite de Jacob dans sa compagnie pour son père Jacob ? Et quel sont les deux caractères de la vie d’Esaü que nous pouvons trouver ?   

1. L’obéissance et la restauration (35 :23-29)        

L’auteur de la Genèse enregistre les noms de douze fils à qui Jacob donna naissance à Paddan-Aram. Cet enregirstrement est fait avec une intention délibérée de faire ressortir le fait qu’a été réalise la promesse de Dieu de faire entrer douze fils de Jacob en Canaan. Jacob arriva à Hébron chez Isaac son père, et demeura ensemble avec lui et subit les finérailles quand la mort d’Isaac survint. La Bible fait ressortir le fait qu’à la fois Jacob et Esaü ensevelirent leur père, pour montrer que dans la vie pratique, deux frères ont eu une relation entièrement restaurée. La vie de Jacob qui obéit à l’appel de Dieu le fait retourner enfin à la terre promise et lui a été donné étalement comme le surplus la restauration entière de la relation.     

2. Esaü, l’homme de dehors de l’alliance (36 :1-8)

L’auteur mit un long soin pour décrire la généalogie d’Esaü. Mais les premiers mots traitent de ses mariages avec des femmes païennes. Esaü chosit pour femme parmi les cananéens, la fille des hittites, la fille des Héviens et la fille parmi les Isamaélites. Ils sont les gens de dehors de l’alliance de Dieu, n’ayant rien à voir avec la foi craignant Dieu. Son état spirituel révélé dans le mariage nous en dit long qu’il n’avait pas de crainte de Dieu. L’habitat d’Esaü était à Séir loin du territoire de Jacob. Les deux camps sont devenus abondants, ce qui est la cause aparente de la séparation. Comme autrefois Loth choisit la plaine de midi, Esaü choisit la plaine de l’Est, conformémant à sa recherche du confort matériel, mais cela s’était fait selon la providence de Dieu. La séparation était inévitable pour qu’il y ait la croissance spirituelle dans le camp de Jacob. Vérifiez, quelque soit votre réalisation d’exploit, si vous demeurez en deça de l’alliance, ou au-delà de l’alliance.

Gn 35 :1-8 (lire vv 1-29) (PQ de 29/8/2019)

DIEU RENOUVELLE LA GRACE À JACOB 

Verset Clé 35 : 1

Selon le recuel des proberbes de pasteur de Brooklyn New-York de fin de 19^e siècle Dewight Edward de Marvin, presque tous les peuples soulignent l’importance du début. Le français dit, l’heureux commencement est la moitié de travail. Apèrs l’affaire de Dina, Dieu veut un nouveau départ. Comment ? Dieu visite Jacob. Là où il y a leader renouvelé, un nouveau départ est possible. Le peuple y obéit et obtint la grande bénédiction.    

1. Le leader revêtu de la grâce de la parole (1-3)        

Dieu dit à Jacob de se lever et de monter à Bethel. Bethel est l’endroit où Jacob au début a rencontré Dieu. C’état la seule direction faite par Dieu. Mais la parole a assez de puissance pour établir le ladership d’un serviteur de Dieu aussi bien que de lui donner de trouver une claire direction et vision à prendre par la communauté. Donc, Jacob dit à sa communauté familiale de se débarraser de tous les idoles et de monter à Bethel. Ce n’est que lorsque nous retournons à Dieu, nous pouvons avoir la force de restaurer notre famille brisée.    

2. La comunauté qui obéit à la parole (4-8)

Vis-à-vis de la parole de Dieu impliquée par la direction de Jacob, la communauté démontre sa foi. Elle se débarrasse des idoles et se revêt de la sainteté de Dieu. C’était une sorte de baptême communautaire si on emploie le terme de nouveau testament. Leur obéissance leur permet d’attirer des aides pratques de Dieu. Dieu fait environner de la peur aux villes environnantes lorsque la communauté marche. L’intervention souveraine de Dieu a fait s’écarter toutes les menaces des ennemis. Leur obéissance conduit jusqu’à Bethel où elle rendra culte, et verra la relation brisée avec Dieu entièrement resautré. Cela sera une ultme bénédiction de tous les croyants. 

Genèse 33:17-34:31 (PQ de 27/8/2019)

L'affaire de Sichem et de Dina

Clé 34:5

Après la séparation avec Esau, Irsaël se dirigea en direction de la terre d'Abraham et d'Isaac. Arrivé à Sichemn près de Soukoth, il traversa des évènements affligeants et choqant. Cela touchait maintenant sa propre famille. Que nous puissions en tirer une leçon pour notre foi.

Isaël à l'arrivée à Sichem ne bâtit pas un autel pour invoquer son Dieu, mais son premier acte est celui d'achter un terrain pour y construire une maison et une ferme. Certes, sa famille s'est beaucoup agrandi. Mais est-il là pour s'occuper seulement de sa grande famille ou pour rendre culte à Dieu?
Un jour, Dina sortit pour se balader. Elle se fit enlever par le price et finalement le prince la connut. Lorsque Israël l'apprit, il gardait le silence. Mais ses fils se mirent en grande colère, car une coutume de chasteté féminine était enracinée chez eux (31; Gn 38:24). Dina a été privée de sa virginité à la suite d'un rapt. Jacob était circonspect avant de changer le prince Sichem : n'était-ce pas sa faute à Jacob d'avoir laissé Dina sortir seule, dans un pays peu connu? Le rapt des femmes n'était il pas permis ici, en Proche Orient ? (Gn 20:3, 12:15) Jacob était également circonspect pour voir comment Dieu conduirait cette affaire, car maintenant Dieu d'Abraham et d'Isaac était son Dieu.
Mais ses fils sont devenus esclaves de leur haine. La haine, en tant que péché, aveugle une personne, la privant de la lumière de la foi.
Le père du prince Sechem avait un plan honnête de  restaurer l'honneur de Dina par un mariage. Les fils de Jacob ne voyant qu'une issue humaine, vengeance, ont laissé croire le roi à leur consentement à ce mariage. A une condition: la conversion à Dieu de tous les hommes, par la circoncision.

Mais lorsque les hommes de Sichem étaient en convalescence après l' opération, les fils de Jacob les ont tous tués, pillés la ville, les survivants et les biens.
Jacob a exprimé son désarroi car si les Cananéens lançaient des représailles militaires, il ne serait pas capable de se défendre. Toute affaire que le peuple de Dieu règle par lui-même, sans l'amener devant Dieu, engendre des erreurs et désarroi.

Genèse 33:1-16 (PQ de 26/8/2019)

Jacob rencontre et se sépare d avec Esau

Verset Clé : 10

20 ans se sont écoulés depuis la fuite et le serment de vengeance.
Jacob sort d une lutte de sa vie, avec la bénédiction de Dieu et un prénom changé.
 Sa manière de rencontrer et de se séparer de son frère nous enseigne la sagesse pour traiter des relations humaines dans le monde.

1) Jacob rend hommage et paie une réparation.

Il organise une procession d accueil où il passe en premier, puis les servantes et leurs fils, Léa et ses enfants, et enfin, Rachel et Joseph. Chaque catégorie de la procession partage un point, ils avancent et se prosternent devant Esau. Puis, Israël révèle à Esau le sens de ces gestes de vénération, obtenir la faveur de Esau. Cette faveur consistait en ce que Esau abandonne son serment de vengeance et pardonne son frère.
Puis, Jacob demande à Esau avec insistance  d accepter des cadeaux fort généreux.

Même si c était des coutumes d'ancien Orient de se prosterner et d'offrir de présents  généreux, on ne peut s' empêcher de voir le motif de Jacob : il reconnaît la grandeur d'un homme qui ne l'accueille pas avec une déclaration de guerre et il cherche à le satisfaire pour un tort qu'Esau avait subi au passé.

2) Jacob demande une séparation immédiate

Esau voulait escorter la procession de Jacob, probablement pour les protéger en Canaan belliqueux. Mais Jacob refuse ce service crs au motif de déplacement très lent de sa grande famille et des animaux. Cela mettrait du stresse sur eux s'ils devaient accélérer.
Même si un lien de sang les unit, ils devront se séparer. Un homme de mission et de but sait se séparer d avec un homme sans mission. Dieu avait appelé Jacob à retourner dans le pays de la promesse, tandis que Esau marche son propre chemin.

Gn 32:25-33 (PQ du 25/08/2019)

Gn 32:25-33 (PQ du 25/08/2019)

                                                           La vraie lutte

Verset clé : 25

« Invoque-moi au jour de la détresse ; je te délivrerai, et tu me glorifieras. » (Psaume 50 :15)

Après la prière de Jacob, Dieu lui-même vient à sa rencontre quand Jacob était resté seul. La lutte de Jacob était tellement forte, même Dieu ne pouvait le vaincre. Dieu a frappé à l’articulation de la hanche de Jacob et celui-ci boitait à l’aurore. Dans la lutte de Jacob, il veut gagner et il veut la bénédiction de Dieu, selon sa prière dans 32 :12. Ainsi, Dieu l’a béni et Dieu a changé son nom. Le mot Jacob signifie au figuré : supplanter et usurper. Mais il s’appelle désormais : Israël, qui signifie : il lutte avec Dieu ou bien Dieu lutte pour lui.

Jacob a compris que pour résoudre son problème de peur, la vraie lutte n’est pas contre l’homme, mais contre Dieu. Nous luttons souvent contre les hommes, ou bien contre une situation. Mais apprenons le cœur de Jacob pour lutter contre Dieu d’abord.

Ce que Jacob désirait, c’était la bénédiction de Dieu, et aussi le pardon de son frère. Mais le vrai pardon ne peut venir qu’après le pardon de Dieu. Le changement de nom est comme un signe de pardon de Dieu envers Jacob, qui a confessé « J’ai vu Dieu face à face, et mon âme a été préservée. »

Nous savons que Nelson Mandela a passé 27 ans en prison, mais il en est sorti sans exprimer aucun ressentiment ni volonté de revanche ou de rétribution. Le fait qu’il a pu pardonner aux autres, cela vient certainement de sa lutte nuit et jour pendant ces 27 années de vie de prison, sa lutte non avec les hommes, mais avec Dieu.

Gn 32:1-24 (PQ du 24/08/2019)

Gn 32:1-24 (PQ du 24/08/2019)

                                                           Le chemin de retour

Verset clé : 12

1. La peur et la prière de Jacob

Il y avait une dizaine d’année, Jacob avait passé le Jourdain avec un bâton pour fuir vers le pays de frère de sa mère en vue de sauver sa vie et aussi d’épouser une femme de la bas selon le conseil de Rebecca et Isaac, ses parents. Bien que plus de dix ans passés, la peur initiale vis-à-vis de son frère Esaü restait toujours vivante et présente comme si c’était hier. Cette peur d’être tué et vengé par son frère est comme un cauchemar qui n’a jamais quitté l’esprit de Jacob pendant tous ces années de fuite. Ainsi, quand les messagers lui ont fait rapport en disant que son frère Esaü était aussi en marche à sa rencontre, avec quatre cents hommes, Jacob était saisi de crainte de d’angoisse.

Nous avons tous une peur qui ressemblent à celle de Jacob. Comme pour Moise, la plus grande peur est le moment où Dieu lui avait demandé de retourner en Egypte et libérer son peuple. Comme pour Paul, la plus grande peur est le moment où il a décidé de prêcher l’Evangile aux églises qu’il avait fortement persécutées auparavant. Chaque homme a une peur qui est tellement grande et lourde et qu’un jour, nous devons le confronter d’une manière ou autre.

Dans le cas de Jacob, face à cette peur invincible, il décida une chose : la prière. Jacob rappelle d’abord la promesse de Dieu envers ses ancêtres. Ensuite il rend grâce à Dieu de sa bienveillance et sa fidélité tout au long de ces dernières années. Enfin, il demande à ce que Dieu le délivre de la main de son frère.

2. Un présent à son frère Esaü

Après la prière, Jacob a passé la nuit seul et il a pris de ce qui était venu en sa possession pour faire un présent à son frère car il a voulu apaiser la colère d’Ésaü. Dans ce passage, l’auteur a détaillé le nombre de chaque cadeau que Jacob avait préparé. Jacob avait même préparé le discours afin que ses serviteurs puissent annoncer à Esaü avant leur rencontre. Ici, nous voyons l’humilité de Jacob. En fait, il se considère comme un serviteur d’Ésaü.

Jacob, auparavant un homme qui a gagné le droit d’aînesse, a ensuite obtenu toutes les bénédictions comme chef de la famille par la bouche de son père. Maintenant, Jacob a appris l’humilité et s’est soumis à Ésaü comme un serviteur. De nos jour, combien il est difficile pour un homme qui veut être grand de se soumettre à une autre personne ? Pourtant c’est ce que la Bible nous demande - « Ne faites rien par rivalité ou par vaine gloire, mais dans l’humilité, estimez les autres supérieurs à vous-mêmes. » (Philippiens 2 :3) et encore « Avant le désastre, le cœur de l’homme s’élève ; mais l’humilité précède la gloire. » (Proverbes 18 :12)

Gn 31:22-54 (PQ du 23/08/2019)

L'alliance de paix

Verset clé : 48

1. Les téraphim volés.(22-42)

Laban était allé tondre le petit bétail. Trois jours après il est averti de la fuite de Jacob. Laban le poursuit et le rattrape très vite malgré l'avance de Jacob. En effet, il ne peut pas se déplacer rapidement avec les enfants. Dieu intervient et donne un rêve à Laban afin que celui-ci se garde de dire quoi que se soit à Jacob. Quand Laban se retrouve en face de Jacob il lui exprime son coeur qui voulait le bénir en le laissant partir dans la joie et qu'il voulait embrasser ses filles et ses petits enfants avant de se séparer pour de bon. Il expose l'affaire du vol des téraphim. Rachel a volé les téraphim de son père en partant. C'était une affaire grave et Jacob en tant que responsable doit traiter le problème en punissant le voleur et en dédommageant Laban. Laban est libre de fouiller ses bagages. "Celui qui a volé sera puni de mort et les téraphim seront rendu à Laban". Rachel a caché les téraphim sous le bas du chameau et s'est assise dessus en disant à son père qu'elle est indisposée et qu'elle ne peut pas se lever. Laban ne retrouve pas les téraphim et Jacob explose en faisant sortir tout se contient son coeur : Jabob a servi Laban de manière intègre sans se ménager mais Laban n'avait pas de reconnaissance et l'aurai laissé les mains vides. Dieu a vu son humiliation et a été son arbitre. L'affaire du vol aggrave la situation entre Laban et Jacob qui entrent dans une querelle ouverte.

2. Jacob et Laban concluent une alliance de paix (43-54)
Au yeux de Laban tout ce que possède Jacob était à lui auparavant. Mais Dieu a donné tout à Jacob et lui ne peut plus rien faire pour ses filles et ses petits enfants. Il accepte car il voit que Dieu est à l'origine de tout cela et il est dans la crainte. Dieu était favorable,  mais Laban ne l'a pas été car il s'enrichissait lui même en profitant de lui. A cause de la crainte de Dieu il veut faire une alliance avec Jacob pour qu'il n'y ai plus d'animosité entre eux. Jacob accepte et ils érigent une stèle en témoignage de leur alliance de paix. Le nom est galed : "Monceau témoin". Laban veut que Jacob prenne soin de ses filles et de ses petits enfants et le met en garde devant Dieu qui est témoin de leur alliance. Laban fait serment devant Dieu d'Abraham et de Nahor et de Térah et Jacob devant Dieu d'Issac qu'il nomme ''Terreur''(53). Ils ne devront pas dépasser le monceau témoin pour faire du mal à l'autre car devant Dieu ils ont fait une alliance de paix. C'est à dire qu'ils se sont pardonnés l'un, l'autre. Il n'y a plus de faute qui les oppose, plus de conflit, plus d'amertume et d'animosité. Avec la paix dans leur coeur, ils peuvent offrir un sacrifice de reconnaissance envers Dieu et partager un repas fraternel avant de se quitter pour de bon.(54)

Gn 31 :1-21 (PQ du 22/08/19)

RETOURNE AU PAYS DE TA NAISSANCE

Gn 31 :1-21
Verset clé : 13

1. Le regard de Laban et ses fils est changé

Malgré la ruse de Laban pou ne pas donner le salaire à Jacob, Dieu a béni Jacob qui s'est grandement enrichi au détriment de Laban. En conséquence de son mauvais coeur, Laban a perdu la bénédiction de Dieu qu'il recevait à travers Jacob. Il ne reçut plus que les bêtes chétives. Cela provoqua la jalousie des fils de Laban qui commencèrent à le regarder de travers. La jalousie empêche l'homme de se réjouir pour le bonheur d'autrui. Elle révèle le coeur égoïste de l'homme. Elle conduit à la haine et au meurtre. Par jalousie les leaders religieux ont crucifiés leur messie. (Mt 27:18)

2. Jacob se met en route
Il est temps pour Jacob de retourner au pays de sa naissance. Dieu lui  donne une vision claire qu'il était avec lui et l'a protéger de la tentative de "flouage" de Laban. Il est intervenu lui même au moment de l'accouplement du bétail et ainsi a béni et enrichi Jacob. Dieu fidèle travaillait selon le voeux de Jacob et se révélait à lui personnellement comme son Dieu. Dieu rappelle a Jacob son voeux fait à Bethel (v13 ; Gn 28:20-22) et lui dit de retourner au pays de sa naissance. Maintenant il faut convaincre la famille de le suivre. Jacob leur explique comment Laban l'a trompé et comment Dieu l'a protégé et surtout que Dieu lui même a ordonné ce départ. Rachel et Léa sont unanimement convaincues. Elles ont été témoins du coeur de matérialiste de Laban, leur père, qui a vendu ses propres filles pour s'enrichir et comment Dieu leur a été favorable en arrachant les biens de Laban qui devaient leur revenir. Dieu lui même a préparé leur coeur à partir et suivre Jacob. Jacob se met en route en cachette de Laban par crainte qu'il lui cause des problèmes.

Génèse 30:25-43 (PQ du 21/08/2019)

Le troupeau de Jacob

Génèse 30:25-43
verset clé 37, 38

Dans ce passage, le nom de Dieu n'apparaît pas contrairement à l'histoire précédente des témoignages de Léa et de Rachel pour la naissance et de la nomination des enfants. Mais l'oeuvre de Dieu créateur se manifeste bien dans l'affaire du troupeau que Jacob commence à s'acquérir. Après l’accouchement de Rachel de Joseph, Jacob veut partir, car il se sent exploité par son oncle. Puis, il se sent responsable de sa famille nombreuse. Surtout il faut que la promesse de Dieu soit accomplie. Mais Laban vient renégocier avec lui, pour que Jacob reste encore près de lui. Car la présence de Jacob est toujours profitable pour lui. Donc, il propose de réclamer le salaire. Mais Jacob ne le lui demande pas, car de toute façon, Laban est un homme qui peut renverser toutes choses, y compris le contrat. Donc, dans sa sagesse, Jacob demande ce que Laban pourrait facilement accepter. Jacob utilise la nature dont seul Dieu peut agir en faveur, pour s’y acquérir de ses propres produits et devenir indépendant de son oncle. Par des branches d’arbres pelées dont la probabilité nous paraît un peu douteuse du point de vue scientifique, Jacob s'enrichit de plus en plus. Car Dieu rend ce moyen efficace. Dieu en qui tout est possible bénit ses tentatives soignées. (41, 42) Ainsi Jacob sort une gamme de nouveaux produits tâchetés, mouchetés et marquetés dans le soin de la reproduction des brebis. Dieu équitable intervient ainsi en faveur de Jacob, pour que malgré tous les méfaits qu’il a subi de la part de Laban, il soit récompensé. (43)  Avons-nous les éléments comme Laban (qui risque de nous alimenter le sentiment d'injustice)? Et cela nous empêche-t-il d'être productifs? Mais si c'est pour accomplir la promesse de notre Dieu tout puissant et fidèle ? Avons-nous comme Jacob le courage et la volonté de faire tous nos efforts par la foi en Dieu et en sa parole? Faisons valoir l'effort, le discernement, les stratégies, la créativité, l'originalité et le soin que nous pouvons apporter avec courage sans rater le moment.

Un mot : Dieu créa le nouveau troupeau de Jacob

Génèse 29:31-30:24 (PQ du 20/08/2019)

Dieu forma 12 tribus

Genèse 29 :31-30 :24
Verset Clé 29 : 22

Dans cette scène de ménage, plusieurs personnes jouent des rôles clés pour former une famille nombreuse qui constitue les futurs patriarches d’Israël en douze tribus. En fait, tous ne savent pas quelle est la volonté de Dieu et luttent au milieu des hommes, mais Dieu est en train d’accomplir sa volonté au-delà des affaires humaines et familiales. Léa est la première femme de Jacob, mais L'Éternel vit que Léa n'était pas aimée, et il la rendit féconde, tandis que Rachel était stérile. Elle a aussi un désavantage corporel d’avoir des yeux délicats. D’où son orientation d’intérêt vers l’éducation des enfants. Elle est une femme féconde ou productive. le nom que Léa donne à ses enfants témoignage la croissance de sa foi, le bonheur qu'elle voulait trouver en essayant de posséder l'amour de son mari, finalement elle le trouve en Dieu qui l'aime. (verset 35)

Ensuite, Rachel. Elle est une femme d’une très grande beauté, peut-être miss Paddan-Aram. Mais elle est une femme travailleuse. Elle prend soin des troupeaux de son père. En tout cas, dès qu’il la voit, Jacob est épris d’elle, ou selon l’expression française, elle l’a tapé dans l’œil. Mais elle n’est pas si féconde. Elle pense qu’elle est stérile. Ici, nous voyons que l’Eternel Dieu est équitable. Si quelqu’un subit un désavantage humaine, il bénéficie d’un avantage de Dieu, ou vice versa. Si quelqu’un a ce don, il n’a pas les dons que les autres ont, etc. Ainsi, notre Dieu est digne de confiance. En lui il n’y a nullement une défiance. Ce dernier mot se trouve que parmi les hommes. Mais finalement, Dieu se souvient de Rachel, et il lui donne un fils. Rachel est belle mais capricieuse et plaintive. Mais Dieu l’aime aussi et ne l’oublie pas. Elle pense que Dieu l’a oublié, mais jamais Dieu n’oublie son peuple. Dans son temps, il intervient en sa faveur. Attendons-nous à ce moment divin qui est décidé pour nous.

un mot: Dieu se souvient, il exauce, il rend fécond son peuple.

Génèse 27:41-28:22 (PQ du 17/08/2019)

JACOB VOIT UNE VISION DE DIEU

Genèse 27 :41-28 :22
Verset Clé 28 : 20, 21

Beaucoup d’inquiétudes ne peuvent rajouter une coudée à la vie de l’homme. Mais l’espérance en l’œuvre gracieuse de Dieu peut tout changer. Voyons comment Dieu oeuvra pour aider Jacob dans sa fuite.

 

1. Jacob reçoit de nouvelles directions (27 :41-28 :9)

Suite au vol de la bénédiction Patriarcale qui devait lui revenir, Esaü prémédita sa vengeance de faire mourir Jacob quand son Père Isaac viendrait à mourir.

Rébecca l’apprit et exhorta Jacob à fuir chez son frère Laban jusqu’à ce que la fureur de son frère Esaü disparaisse. Elle craignait de perdre ses 2 fils dans cette histoire.

Une autre crainte était que Jacob n’épouse une Hittite comme son frère Esaü. Elle ne pourrait le supporter et en fit part à Isaac (46). Alors Isaac appela son fils Jacob et lui donna la direction de se marier avec une des filles de Laban (frère de sa mère) en partant pour Paddân-Aram. C’était un chemin de plus de 800 km. Mais dans cette direction, Isaac bénit Jacob cette fois-ci, de manière consentie, en le bénissant de la bénédiction d’Abraham.

A travers cette directive ferme, Esaü vit que son mariage avec des Hittites déplaisait fort à ses parents. Alors il prit une 3^e épouse de la descendance d’Abraham, auprès d’Ismaël, ce qui ajouta au désordre.

2. Vision de Jacob (28 :10-22)

Jacob obéit et partit pour Harân en quittant sa famille. Seul dans la pénombre de la nuit, il fit un rêve dans lequel il vit une échelle où des anges montaient et y descendaient et l’Eternel y était aussi et lui donna lui-même les promesses données à Abraham : Il lui donnerait la terre où il se trouve, sa descendance sera innombrable, et deviendra une source de bénédiction pour toutes les familles de la terre. Il serait. Dieu promit de ne pas l’abandonner tant qu’il n’aurait pas accompli toutes ces promesses de le garder jusqu’à être ramener sur ce territoire. A son réveil, Jacob reconnut que l’Eternel était présent à cet endroit et il eut de la crainte. Il appela ce lieu Béthel. Au matin, il érigea une stèle à Dieu et fit un vœu en disant que l’Eternel sera son Dieu s’il prenait soin de lui pour le manger, le vêtement et s’il retourne en paix chez son père. Il promit de faire de ce lieu, la maison de Dieu et de pratiquer la dîme sur tout ce qu’il recevra.

Genèse 27:1-40 (PQ du 16/08/2019)

Jacob obtint la bénédiction d’Isaac selon la volonté de Dieu

Genèse 27 : 1-40

Verset Clé 27 :23

Au commencement de l’humanité, la tromperie conduisit au péché et à la mort. Cette semence continua d’œuvrer même au sein de la lignée de Jésus-Christ pour l’attribution de la bénédiction patriarcale. Mais Dieu était attentif pour que son plan rédempteur pour l’humanité s’accomplisse.

1. Jacob obéit à sa mère et obtint la bénédiction patriarcale (1-29)

Isaac avait atteint l’âge vieux de 137 ans. Il ne pouvait plus voir dans sa vieillesse. Avant de mourir, il voulut transmettre la bénédiction patriarcale à son fils aîné Esaü. Mais dans son choix, il n’avait pas consulté l’Eternel. Malgré les agissements d’Esaü peu spirituel (26 : 34,35), il semble qu’Isaac manquait de discernement en appelant son fils Esaü qu’il aimait, à chasser du gibier et à lui faire un repas de fête, afin de le bénir.

Rébecca qui avait surpris leur conversation, au sujet de la bénédiction, appela Jacob à déjouer cette volonté, en se faisant passer pour Esaü. Sans consulter, l’Eternel, elle agit avec ruse, bien qu’immoral. Elle croyait que la bénédiction de Dieu devait revenir à Jacob en se référant au temps de sa grossesse où Dieu lui indiqua que le plus grand de ses fils serait assujetti au plus petit (25 :23). Agir de la sorte était un plan risqué, car si Isaac s’en aperçu, au lieu de la bénédiction, c’était plutôt la malédiction que Jacob risquait de recevoir. C’est pourquoi Jacob craignit d’y obéir. Mais Rébecca lui dit qu’elle était prête à prendre sur elle toute la malédiction. Aussi l’exhorta-t-elle à obéir à sa voix. Jacob décida d’obéir et collabora activement, en lui apportant les chevreaux demandés (9,14) avec lequel Rébecca fit un régal à Isaac comme il l’aimait. Pour tromper la vigilance d’Isaac, Rébecca revêtit Jacob des habits de fête d’Esaü pourtant l’odeur des champs et recouvrit mains et cou de peaux de chevreaux pour imiter Esaü qui était poilu. Quand Jacob se présenta à son père, Isaac ne le reconnut pas, et le bénit (37). Blé, vin nouveau, ressource de la terre, rosée du ciel, fertilité et domination lui furent données.

2. Esaü privé de la bénédiction (30-40)

Esaü ne put que s’écrier avec amertume et plainte de la tromperie de son frère. Lui qui avait méprisé son droit d’ainesse pour de la nourriture, Dieu ne lui permit pas la bénédiction du droit d’ainesse. Bien qu’Esaü ait cherché la bénédiction de Dieu avec larmes, celle donnée à Jacob était irrévocable. Aussi espérait-il qu’elle n’était pas exclusive (38). L’histoire nous dit que le Pays d’Édom (d’Esaü) était en effet sec, rocheux et stérile, tandis que le pays de Canaan (de Jacob) était d’une remarquable fertilité. Esaü vivra de son épée (de guerre et pillage), privé des dons du ciel et de la terre.

Genèse 26: 12-35 (PQ du 15/08/2019)

ISAAC CEDA LES PUITS PAR LA FOI

Genèse 26:12-35

Genèse 26:22

Dans ce passage, nous voyons comment Dieu a béni Isaac, malgré l'hostilité des Philistins à son égard, jusqu'à obtenir un puits et conclure une alliance avec Abimélek.

1. Dieu bénit Isaac

Isaac sema et récolta le centuple car Dieu le bénit. Il devint même plus riche et puissant que les Philistins. Abimélek prit peur et le chassa. Puis, les Philistins lui cherchèrent querelle au sujet de plusieurs puits, qui avaient pourtant appartenu à Abraham. Isaac aurait pu tenir tête aux Philistins en revendiquant ces puits comme les siens. Mais, au lieu de cela, il les céda aux Philistins, en croyant que Dieu, qui lui avait promis d'être avec lui, lui accorderait un puits en son temps. Finalement, il creusa un puits pour lequel on ne lui chercha pas querelle, et il l'appela du nom de Rehoboth. Isaac rendit grâces à Dieu en bâtissant un autel.

2. Isaac conclut une alliance avec Abimélek

Abimélek vint vers Isaac afin de conclure une alliance avec lui. C'est parce qu'il voyait que l'Eternel était avec lui. C'était une sorte de pacte de non-agression, parce qu'Abimélek avait peur d'Isaac et de son peuple qui étaient devenus très nombreux et puissants. Grâce à sa foi et son obéissance, Isaac put exercer une bonne influence, de sorte que même les gens du monde voyaient que la main de Dieu était avec lui. Ce même jour, les serviteurs trouvèrent de l'eau. La seule tache dans ce beau tableau était les femmes païennes qu'Esaü a pris. Celles-ci étaient des sujets d'amertume pour Isaac et Rébecca.

Un mot: Isaac fit confiance à Dieu

Genèse 26:1-11 (PQ du 14/08/2019)

ISAAC A GUERAR

Genèse 26:1-11

Genèse 26: 3

On dit souvent: "Tel père, tel fils". Dans ce passage, Isaac répète exactement la même erreur que son père Abraham, dans les mêmes circonstances et, qui plus est, dans le même pays. Néanmoins, Isaac a obéi à Dieu, qui a renouvelé envers lui la promesse qu'il avait faite à son père. Lorsqu'Isaac a obéi à Dieu, celui-ci a été avec lui et l'a protégé malgré sa faiblesse.

1. "Séjourne dans ce pays-ci"

Il y eut une famine similaire à celle qui avait eu lieu du temps d'Abraham. Ce dernier était allé en Egypte sans consulter Dieu. Isaac se trouvait à Guerar, dans le territoire des Philistins, où régnait Abimélek. Il était vraisemblablement tenté de partir se réfugier en Egypte, où la situation devait être meilleure. Mais, Dieu le lui défendit. Il lui dit de rester plutôt à Guerar. Puis, il lui promit qu'il serait avec lui et qu'il donnerait toutes ces terres à sa descendance. Il multiplierait celle-ci comme les étoiles du ciel et toutes les nations seraient bénies à travers elle. C'était la promesse que Dieu avait déjà faite à Abraham, son père, qui avait écouté sa voix et lui avait obéi. Dieu l'exhorte à faire de même. Alors, il serait avec lui et accomplirait sans faute sa promesse.

2. La faiblesse d'Isaac

Isaac obéit à Dieu (v.6). Cependant, il eut peur d'être tué par les Philistins à cause de sa femme Rébecca, qui était très belle. Alors, il disait à tous : "C'est ma soeur." Un jour, Abimélek le vit en plein rendez-vous romantique avec sa femme. Alors, il le fit appeler et lui demanda pourquoi il avait menti. Isaac répondit qu'il avait eu peur de mourir à cause d'elle. Abimélek lui fit de sévères reproches mais il décréta que quiconque toucherait sa femme serait puni de mort. Ce passage ressemble beaucoup au chapitre 20 dans lequel Abraham commet la même erreur. Il semble qu'Isaac soit sujet à la même faiblesse que son père, c'est-à-dire la peur. Mais Dieu le protège malgré tout, à cause de sa promesse envers lui.

Un mot: Dieu est fidèle à sa promesse

Genèse 25: 1-34 (PQ du 13/08/2019)

Dieu transmet sa bénédiction spirituelle aux descendants choisis

Verset clé 25:34

Après la mort de Sarah, l'épouse de l'alliance avec Dieu, Abraham prit une nouvelle femme avec laquelle il eut de nombreux enfants. Il devait s'occuper à la foi de sa progéniture né hors de l'alliance et de celle né de la promesse de Dieu et dont l'avenir humain était plus incertains. Comment concilier deux progéniture aux destinés différentes ? L’Éternel veille à l'accomplissement de chacune des descendances afin que sa bénédiction et les promesses faites à Abraham soient bien transmises.

I) La postérité des fils d'Abraham né hors de l'alliance

Abraham eut six enfants de son second mariage avec Quetoura. Il les aima et leur accorda des dons tout en les envoyant loin d'Isaac afin qu'il ne gêne pas sa relation avec l'Eternel. Ismael fut également éloigné. Il eut des enfants et les descendants de ceux ci s'installèrent dans l'actuelle Arabie saoudite et en Egypte. Cette descendance hors de l'alliance, bien que non désiré par Dieu au départ, a été abondemment béni sur les plan matériel et humain.

II) La postérité du fils de l'alliance

Isaac pris pour femme Rebecca mais, comme Sara, elle était stérile. Isaac supplia alors l’Éternel qui accéda sans tarder à sa demande en permettant une grossesse à Rebecca. Il s'agissait d'une grossesse gémellaire douloureuse pour Rebecca qui exprima ses craintes auprès de l'Eternel. Celui-ci l'informa des deux fils qu'elle portait en son sein. L'un des garçon sera plus grand que l'autre mais il lui sera assujetti. En effet, le plus petit était plus attaché à la bénédiction spirituelle.  C'est ainsi que Jacob, le fils le plus chétif de Rébecca utilisa un stratagème plus habile que tous ceux utilisé par son frère pour lui dérober son droit d'ainesse. Il prépara un bon repas au moment où son frère, fatigué d'une séance de chasse cherchait par tous les moyens à se rassasier. Il prit le repas de Jacob contre le serment de lui céder son droit d'ainesse. Il privilégia le bonheur éphémère du monde à la bénédiction divine.
La bénédiction spirituelle n'est pas transmise à travers une force du nombre ou de la taille mais elle est transmise par le Seigneur qui reconnait le cœur désireux de  lui plaire et de recevoir d'abord sa bénédiction et non les réjoissances de ce monde.

Genèse 24: 34-64 (PQ du 12/08/2019)

Discerner l’action invisible de Dieu par la prière

Verset clé 24 :34

Dieu guide Eliezer de façon sur vers la fiancée d’Isaac. Eliezer ne sait absolument pas comment remplir sa mission humainement mais le Seigneur guide son chemin, ses actions et ses paroles.

I ) le témoignage d’Eliezer

Le serviteur d’Abraham témoigne de la fidélité de l’Eternel à la famille de Rébecca. Cette famille est très touchée par ce récit. Elle en conclut que ce mariage est une œuvre voulue par Dieu. Eliezer ne cherche pas le repos. Il veut rentrer tout de suite malgré l’invitation de Laban, le père de Rébecca, à rester chez lui. Il veut rentrer tout de suite. Rébecca est prête à partir. Elle est entièrement disponible pour la mission. C’est une femme de foi entièrement obéissante comme Ruth.

ll) le temps de la consolation

Rébecca desendit du chameau pour accueillir son mari. Elle se voila. Isaac a pu comprendre la présence de Dieu pendant la tristesse de la mort de sa mère. Si l’on persévère, on verra la présence de Dieu qui nous console. La vie donne des fois de la tristesse mais la consolation de Dieu arrive à son temps sans faute par la foi.

Psaume 89:1-53 (PQ 8/8/2019)

LA BIENVEILLANCE BÂTIE SUR L'ETERNEL

Verset Clé 3

1.  Sa bienveillant et sa fidélité durent à jamais.

D'abord, le chant de l'auteur pour Dieu est ses qualités: bienveillance et fidélité. Qui sera comme lui? Sa vertu est éternelle. Ensuite, la puissance physique de Dieu est par dessus l'univers et la terre. C'est Dieu qui fait un trait à la terre et les montagnes et la mer. l écrase aussi l'armée puissante.

2. L'alliance avec son serviteur David l'élu.

David l'élu l'invoque et Dieu lui répond. Cette alliance sera ferme et génération en génération. Son trône sera ferme. Dieu donne au peuple adorateur le bonheur indicible (16,17). Cependant on constate le changement de tournure. Sa situation est que le peuple est déshonoré et l'alliance oubliée et l'ennemi gagne. C'est le déshonneur de Dieu. Le psalmiste prie donc que Dieu se souvienne de l'alliance d'autrefois de Dieu car sa bienveillance et sa fidélité durent à jamais.

Psaume 88: 2-19 (PQ de 7/8/2019)

QUE MA PRIÈRE TE PARVIENNE

Verset Clé 3

1. Mon âme crie vers toi (2-10; 19)

Le contexte nous fait voir qu'il y a deux sens des ténèbres dont l'un est la mort, et l'autre les déserteurs. Le premier est un mot abstrait, le second concrets. Mais les deux sont liés. Du point de vue de Dieu, les déserteurs sont comme morts. Leur jugement est la condamnation éternelle. Dans le profond sens d'abandon, l'auteur crie vers Dieu. C'est un désespoir de l'âme que de voir sa prière tombe sans atteindre Dieu et parvenir jusqu'à ses oreilles. Il semble que Dieu ne s'intéresse plus de lui et ce fardeau de silence divin pesait de plus en plus sur son âme.

2. Fais les miracles pour nous (11-19)

L'auteur espère le miracle. Ne se fait-il pas à plein jour, alors qu'il se fait dans les tombeaux? S'abstient-il de l'exercer dans la terre des vivants, et au milieu de ceux qui le cherchent, alors qu'il le fait parmi les ennemis? "Oh Seigneur, aie pitié, car le mutisme de Dieu envers son peuple en même temps que l'apparent exaucement des ennemis n'est plus supportable. N'est-ce pas qu'ils rejettent Dieu? Ton nom est déshonoré par ton propre action. Même les autres religions y comprit l'athéisme ont l'expansion en gagnant des âmes innocentes alors ta vraie religion restera-t-il impuissant et sans fruit? C'est accablant et étouffante. La gouffre, le bas-fond, et cette séparation nous font perdre des mots. Vraiment que c'est le temps que tu dois lever les mains pour des miracles. Que ta lumière éclate par la puissance de Dieu efface l'incrédulité et le rébellion de ce monde."

Psaume 87: 1-7 (PQ de 6/8/2019)

L'ETERNEL AIME SION

Verset Clé v.1

1. Dieu a une prédilection pour Jérusalem (1-6)

Jérusalem est situé sur la montagne de Sion. Dieu l'aime plus qu'aucun autre lieu dans Israël. C'est la ville de Juda, Dieu qui est universel aime toutes les nations comme ses créatures et leurs habitants. Mais Dieu met son coeur et son intérêt dans Israël et au milieu de ce dernier, Sion porte un intérêt particulier de Dieu. Dieu travaille de temps en temps pour élire une personne ou deux en tout cas très peu de gens pour qu'il soit son peuple. Mais quant à Israël, Dieu décide de faire de lui le royaume de sacrificateur et une nation sainte. Tous les habitants seront élus pour devenir ses enfants et ses serviteurs. C'est un privilège incomparable.

2. Tous les sources trouvent en lui (7)

Toutes les sources se trouvent en lui. Ses sources sont illimitées. Nous pouvons trouver en lui toutes les sagesses et toutes les réponses et solutions pour vivre dans ce monde quelle que soit les circonstances auxquelles nous nous sommes confrontés. Donc, rien ne nous rendra confus et stupides. Le seul problème réside dans notre attitude. Comme les miniers creusent et exploitent le filon d'or et des minerais précieux, le peuple s'applique à découvrir et exploiter les connaissances de Dieu. Alors ce que nous y découvrirons a une extrême utilité pour nous dans cette terre puis pour le salut éternel de notre âme.

Psaume 86:1-17 (PQ de 5/8/2019)

FAIS MOI GRACE

Psaume 86:3

1. La foi de David en tant que prieur (1-5; 14-17)

La prière est une contant va et vient entre Dieu et son prieur. D'abord, le psalmiste David qui prie vérifie son acte: je suis fidèle, je me confie en toi, j'élève mon âme etc. La prière doit être basé sur nos actes qui plaisent à Dieu. Alors nous pouvons réclamer la bienveillance de Dieu. Il y a l'autre raison pour réclamer cela, c'est que le psalmiste ne change pas dans sa confiance à Dieu et sa reconnaissance de la qualité de Dieu, malgré sa situation défavorable : bon, clément, bienveillant, fidèle, compatissant, etc. (5,15)

2. Les qualités de Dieu à qui le prieur s'adresse (5-13)

Dans son livre, Linsey a raconté que dans son église qu'il fréquentait autrefois, le moniteur a groupé les chrétiens selon le goût commun et demandé à chaque groupe ce qu'ils pensent que Dieu soit. Un groupe dit que Dieu est gracieux car il pardonne, Un autre groupe que Dieu est amour. Mais le groupe auquel appartint Linsey dit un mot et que chacun savait que son groupe avait gagné le mini concourt. Ils unirent leur voix et dirent, "c'est que Dieu est si puissant qu'il peut faire ce qu'il peut." La prière de David souligne de diverses qualités de Dieu, mais ce qui prime est que Dieu est tout puissant, assez puissant pour répondre à toutes les requêtes de ses enfants. Donc, le psalmiste s'écrit, "Nul est comme toi." Il convaincra toutes les nations et les attirera vers lui. Nous avons besoin de cette conviction, car s nous l'avons, nous n'avons rien à ne pas pouvoir accomplir. Notre Dieu est le Dieu de 5 étoiles, tout puissant. Le psalmiste pourtant est attentif pour ne pas s'écarter dans sa conviction, d'où son désir d'apprendre davantage la vérité, la parole de Dieu.

Psaume 85 :2-14 (PQ de 4/8/2019)

ENLEVE NOS FAUTES

Verset Clé 85 :3

1.      La prière qui s’appuie sur la grâce du passé (2-4)

La grâce du passé permet que nous regardions Dieu dans la vie présente. Israël, avant qu’il prie que Dieu le délivre de la souffrance actuelle, regarde au pardon et à la restauration que Dieu avait dispensée dans le passé. Dieu avait fait retourner le peuple qui était captif en Babylone et leur a donné la grâce de vivre dans la terre d’Israël de nouveau. Il a ôté leur péché et annulé son courroux pour eux. Le souvenir de la grâce du passé peut donner naissance à une cause par laquelle nous pouvons nous assurer de la fidélité de Dieu dans la vie présente.

2.      La prière de la restauration pour la souffrance de la vie présente (5-14)

Le poète supplie que Dieu les sauve de la souffrance qu’ils sont en train de passer. De la même manière que le passé, Dieu entend leur prière et leur promet le pardon et la restauration. Le salut arrive et alors la terre d’Israël en vient à être remplie de la gloire de Dieu ainsi la bienveillance, la justice et la paix de Dieu. Eternel fait descendre sur eux les bonnes choses et rend la terre fertile pour porter beaucoup de fruits. Au milieu du peuple d’Israël, le règne de Dieu selon la justice se réalise concrètement.

Psaume 84 :2-13 (PQ de 3/8/2019)

HEUREUX CEUX QUI HABITENT TA MAISON

Verset Clé 84 : 7b

1.      L’aspiration pour le temple (2-5)

Bien que le poète demeure loin du temple de Dieu à Jérusalem, il confesse son amour profond pour le temple. Il aimait vraiment le temple et a un ardent désir pour le temple. A cause de son amour pour le parvis du temple, son âme défaille, et en raison de ce qu’il acclame le Dieu vivant, le passereau et l’hirondelle l’envient. Le poète envie la bénédiction dont se réjouissent ceux qui « habitent dans la maison du Seigneur » c’est-à-dire ceux qui rendent culte librement dans le temple et loue l’Eternel, et proclame leur bénédiction.

2.      La consolation de Dieu pour les pèlerins (6-13)

Le psalmiste a une ardente espérance pour le temple et pense à un pèlerin qui se rend à Sion. Le chemin qu’il prend est parsemé de chardon et épine, mais comme il est accompagné par Dieu, il est le chemin le plus heureux. En aspirant ardemment au fellowship avec Dieu, il psalmodie ainsi : « mieux vaut un jour dans tes parvis que mille ailleurs. » Car Dieu est le soleil qui est la source de toute vie et le vrai bouclier qui protège l’âme et celui qui donne le meilleur cadeau à ceux qui le servent.  

Psaume 83: 2-19 (PQ de 2/8/2019)

TON NOM EST PLUS HAUT

Verset Clé 2

Oswald  Chambers cite Philppien 1:20 pour son premier jour de commentaire qui est la confession de foi de Paul, "selon ardent désir et espérance, je n'aurai honte de rien, que soit par ma mort et soit pas ma vie, le Christ soit exalté. Le chrétien doit vivre en sorte que le Christ soit exalté et son nom soit haussé dans le monde dans sa vie comme la première vertu qu'il doit chercher.
Dans leur coalition, les 10 ennemis d'un commun accord, insultent Dieu d'Israël. Même les Assyriens, un des plus puissants pays de la région à l'époque les rejoignirent. Autrefois, dans l'épisode de la guerre entre trois royaumes en Chine, Han attaqua Chu par le chant chanté par les soldats de premier qui assiégeaient le second. Tout démoralisé, Chu s'enfuit et subit une cuisant défaite et la chute du royaume. Malgré la différente langue, ces 10 royaumes chantèrent le même son de l'hostilité, et Israël aurait eu très peur. Mais le psalmiste garde la confiance en Dieu et continue de le prier. Il prie que Dieu rompe son silence pour hâter à agir et se venge des ennemis à multiple reprise dans l'histoire d'Israël. Autrefois, le psalmiste dit "ce qui fait ma souffrance, c'est que la droite du Très-Haut n'est pas la même." (77:11) Cette prière est bien sûr pour qu'Israël soit sauvé par sa main puissante, mais elle est aussi pour que le nom de Dieu soit élevé parmi les peuples. Quand la menace se multiplie autour de nous, il n'y a pas d'autre refuge que sur le nom de Dieu que nous pouvons vraiment nous appuyer. Au bout de cette prière, il ajoute que tous craignent le nom de Dieu. Cela montre que l'auteur ne souhaitait pas le mal pour le mal, mais il priait pour que les ennemis se repentent et viennent à Dieu pour être sauvés.