L'affaire de Sichem et de Dina
Clé 34:5
Après la séparation avec Esau, Irsaël se dirigea en direction de la terre d'Abraham et d'Isaac. Arrivé à Sichemn près de Soukoth, il traversa des évènements affligeants et choqant. Cela touchait maintenant sa propre famille. Que nous puissions en tirer une leçon pour notre foi.
Isaël à l'arrivée à Sichem ne bâtit pas un autel pour invoquer son Dieu, mais son premier acte est celui d'achter un terrain pour y construire une maison et une ferme. Certes, sa famille s'est beaucoup agrandi. Mais est-il là pour s'occuper seulement de sa grande famille ou pour rendre culte à Dieu?
Un jour, Dina sortit pour se balader. Elle se fit enlever par le price et finalement le prince la connut. Lorsque Israël l'apprit, il gardait le silence. Mais ses fils se mirent en grande colère, car une coutume de chasteté féminine était enracinée chez eux (31; Gn 38:24). Dina a été privée de sa virginité à la suite d'un rapt. Jacob était circonspect avant de changer le prince Sichem : n'était-ce pas sa faute à Jacob d'avoir laissé Dina sortir seule, dans un pays peu connu? Le rapt des femmes n'était il pas permis ici, en Proche Orient ? (Gn 20:3, 12:15) Jacob était également circonspect pour voir comment Dieu conduirait cette affaire, car maintenant Dieu d'Abraham et d'Isaac était son Dieu.
Mais ses fils sont devenus esclaves de leur haine. La haine, en tant que péché, aveugle une personne, la privant de la lumière de la foi.
Le père du prince Sechem avait un plan honnête de restaurer l'honneur de Dina par un mariage. Les fils de Jacob ne voyant qu'une issue humaine, vengeance, ont laissé croire le roi à leur consentement à ce mariage. A une condition: la conversion à Dieu de tous les hommes, par la circoncision.
Mais lorsque les hommes de Sichem étaient en convalescence après l' opération, les fils de Jacob les ont tous tués, pillés la ville, les survivants et les biens.
Jacob a exprimé son désarroi car si les Cananéens lançaient des représailles militaires, il ne serait pas capable de se défendre. Toute affaire que le peuple de Dieu règle par lui-même, sans l'amener devant Dieu, engendre des erreurs et désarroi.
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