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lundi 12 août 2019

Genèse 25: 1-34 (PQ du 13/08/2019)

Dieu transmet sa bénédiction spirituelle aux descendants choisis

Verset clé 25:34

Après la mort de Sarah, l'épouse de l'alliance avec Dieu, Abraham prit une nouvelle femme avec laquelle il eut de nombreux enfants. Il devait s'occuper à la foi de sa progéniture né hors de l'alliance et de celle né de la promesse de Dieu et dont l'avenir humain était plus incertains. Comment concilier deux progéniture aux destinés différentes ? L’Éternel veille à l'accomplissement de chacune des descendances afin que sa bénédiction et les promesses faites à Abraham soient bien transmises.

I) La postérité des fils d'Abraham né hors de l'alliance

Abraham eut six enfants de son second mariage avec Quetoura. Il les aima et leur accorda des dons tout en les envoyant loin d'Isaac afin qu'il ne gêne pas sa relation avec l'Eternel. Ismael fut également éloigné. Il eut des enfants et les descendants de ceux ci s'installèrent dans l'actuelle Arabie saoudite et en Egypte. Cette descendance hors de l'alliance, bien que non désiré par Dieu au départ, a été abondemment béni sur les plan matériel et humain.

II) La postérité du fils de l'alliance

Isaac pris pour femme Rebecca mais, comme Sara, elle était stérile. Isaac supplia alors l’Éternel qui accéda sans tarder à sa demande en permettant une grossesse à Rebecca. Il s'agissait d'une grossesse gémellaire douloureuse pour Rebecca qui exprima ses craintes auprès de l'Eternel. Celui-ci l'informa des deux fils qu'elle portait en son sein. L'un des garçon sera plus grand que l'autre mais il lui sera assujetti. En effet, le plus petit était plus attaché à la bénédiction spirituelle.  C'est ainsi que Jacob, le fils le plus chétif de Rébecca utilisa un stratagème plus habile que tous ceux utilisé par son frère pour lui dérober son droit d'ainesse. Il prépara un bon repas au moment où son frère, fatigué d'une séance de chasse cherchait par tous les moyens à se rassasier. Il prit le repas de Jacob contre le serment de lui céder son droit d'ainesse. Il privilégia le bonheur éphémère du monde à la bénédiction divine.
La bénédiction spirituelle n'est pas transmise à travers une force du nombre ou de la taille mais elle est transmise par le Seigneur qui reconnait le cœur désireux de  lui plaire et de recevoir d'abord sa bénédiction et non les réjoissances de ce monde.

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