Rechercher dans ce blog

lundi 30 décembre 2019

Néhémie 1:1-11 (PQ de 1/1/2019)

Livre de NÉHÉMIE
Néhémie (ou Esdras) écrivit vers 420 av. J-C pour montrer 1° le 1er retour de la captivité et l’œuvre de la construction de la muraille 2° l’installation d’Israël à Jérusalem et puis pour accentuer 3° l’amour de Dieu fidèle à sa promesse de Dieu et la nécessité de l’obéissance. L’histoire débute au palais du roi à Suse. Néhémie se lamenta de l’état de Jérusalem en ruine et sollicita au roi son départ pour la reconstruction de la ville (1 :1-2 :8) et il accomplit sa mission en 52 jours (6 :15-19), surmontant les difficultés (4 :15-20) et l’opposition et perturbation (2 :17-20). En collaboration avec Esdras, il renouvela la loi et réforma le judaïsme (Ch13). Il état un homme compétent et un patriote zélé et possédait un caractère juste et débonnaire. Il était un serviteur de Dieu altruiste et recevait beaucoup de respect de la part du peuple.
La composition du livre est suivante :
1) Le départ de Néhémie et la construction de la muraille de Jérusalem (1 :1-7 :3)
2) L’obligation du peuple qui devait observer la loi (7 :4-10 :39)
3) La liste, la consécration de la muraille et la réforme (ch. 10-13)

LA PRÈRE DE NÉHÉMIE
Verset Clé 1: 11
La nouvelle triste sur sa patrie était suffisant pour que Néhémie pleure et prie Dieu. Néhémie voulut résoudre le problème de sa patrie par la prière. L’homme qui se consacre à la prière en vient à se revêtir de la grâce de voir ses problèmes se résoudre. Comment Néhéme pria-t-il ?  

1. Il pria en connaissant l’objet de sa prière
Néhémie pria en sachant qui est Dieu, l’objet de sa prière. Dieu qu’il retint est d’abord, le Dieu au ciel. Il est le Dieu Créateur qui maintient tout dans sa main souveraine. Ensuite, son Dieu est un Dieu redoutable. Il dirige l’histoire d’Israël. Néhémie connaissait ce Dieu qui avait réalisé l’Exode autrefois. En troisième lieu, c’était le Dieu miséricordieux. Il savait que Dieu maintient sa promesse à tous ceux qui se confient en lui. L’objet de prière des chrétiens est Dieu, donc quand ils veulent prier, il faut qu’ils connaissent bien ce Dieu. En se basant sur la bonne connaissance sur lui, il faut nouer la juste relation avec Dieu, ce qui est préliminaire si on veut que la prière soit réussi. Néhémie avait une claire connaissance sur Dieu qui l’écoute, s’il le priait. Donc, Dieu l’écoutait.     
2. Il pria en connaissant sa situation

Néhémie savat que la situation où se situait sa patrie état à cause du péché commis du passé. A cause du péché, la relation avec Dieu fut brisée  et Dieu ne veillait plus sur son peuple qui état en punition. Néhémie identifia le péché du peuple au sien et à celui de sa famille. Le noyau du péché est le verset 7. « Nous n’avons pas observé les commandements, les prescriptions et les ordonnances que tu a donné à Moïse ton serviteur. » La restauration de la relation avec Dieu n’a qu’une seul moyen qui est la repentance. Au lieu d’en vouloir aux ancêtres, Néhémie pensait que c’était à cause de son péché et s’en donc repentit. En se basant sur la parole de Dieu, il pria pour la reconstruction de sa patrie. Il pria que Dieu lui fasse grâce en acceptant sa décision de se consacrer à Dieu. La prière de Néhémie était la prière où il y avait la repentance et la décision et la consécration. C’est l’aspect du vrai leader.

dimanche 29 décembre 2019

Ecclésiaste 11:9-12 :14 (PQ de 31/12/2019)

LA COURTE DURÉE DE LA JEUNESSE
Verset Clé 11: 9
Pourquoi doit-t-on se réjouir pendant qu’on est jeune ? Quelle est la chose qu’on doit retenir pendant ce temps ? Quelle sera la fin de la vie ? Alors quelle est la conclusion de l’Ecclésiaste, finissant son livre ?  

1. La courte durée de la jeunesse (11 :9-12 :8)
Le temps ou l’homme peut se réjouir est le temps de la jeunesse. On a plein de vigueur. On peut faire ce qu’on veut, mais avec un principe. Dieu regarde et juge. Donc, il faut repousser ce qui inquiète Dieu et ce qui est mal à ses yeux. Il faut se souvenir que la jeunesse s’esquive rapidement. Donc, il ne faut pas la gaspiller mais s’efforcer de faire de bonne chose. Le temps de jeunesse passe, donc, il faut mettre à esprit le Dieu Créateur. Puisque bientôt, le temps où on perd la santé et le plaisir prend fin. Le corps humain y est comparé. Le corps s’affaiblit et la mort s’approche. Le mort visite, l’esprit retourne à la maison éternelle et ceux qui restent font les funérailles. La mort que personne ne peut éviter rend le corps poussière et cendre et l’âme retourne à Dieu. La fin de la vie s’abat sans faute, donc, il ne faut pas oublier le Dieu Créateur.     
2. Les derniers mots de l’Ecclésiaste (12 :9-14)
L’Ecclésiaste met la conclusion en parlant du but de son écriture et son résultat. L’Ecclésiaste était le sage qui enseignait les gens et écrivit ce livre pour ce même but. Il écoutait et sondait et mettait en ordre les proverbes. Les paroles de leurs auteurs sont comme des aiguillons donc elles sont très sécurisantes. Ce sont les paroles de Dieu qui est berger. L’écoute de ce livre avertit d’autres lectures des autres livres qui sont similaires mais qui n’ont pas d’origine divine. La conclusion de l’Ecclésiaste est que dans le monde il y a beaucoup de choses absurdes et douteuse, mais tout finit par la confiance en Dieu. Dans la situation où tous ne sont pas compréhensibles, ce que doit faire l’homme est de craindre l’Eternel et d’obéir à ses commandement. 

Ecclésiaste 11:1-8 (PQ de 30/12/2019)

CELUI QUI PRÉPARE L’AVENIR
Verset Clé 11: 8
La parole nous enseigne quelle attitude nous devons prendre dans la situation où l’avenir semble imprédictible, puis quelle est l’attitude prohibée dans ce cas ? Ensuite elle parle aussi de quelle attitude on doit prendre quand on ne peut rien savoir. 

1. Quand l’avenir semble impréductible (1-4)
L’Ecclésiaste nous dit ce que nous devons faire dans la situation où tout semble imprédictible. D’abord, il demande de jeter le pain à la surface des eaux et et donner sa part à beaucoup de gens. Cela semble être une attitude peu propre pour celui qui prépare l’avenir. Mais quoi qu’il paraisse téméraire, partager la part avec les autres sans réserve est une action qui garantit le bon avenir. Puis, les versets 3-4 aussi parlent de l’attitude qu’on doit avenir dans la réalité où tout est incertain. Il y a l’affaire où on peut prévoir l’avenir (si le ciel est chargé des nuages, il va pleuvoir) et il y a aussi l’affaire où on ne peut prévoir l’avenir (la direction vers laquelle l’arbre tombe). Si un agriculteur ne s’attend qu’à la bonne condition météorologique, il ne pourra ni semer ni moissonner.    
2. Quand on ne peut rien savoir (5-8)
L’homme ne sait point où le vent commence ni où il demeure, et il ne peut discerner le mystère de la vie. De la sorte, l’homme ne peut point discerner les œuvres de Dieu qui se réalisent dans sa souveraineté. Donc, l’agriculteur ne doit pas être paresseux mais doit semer diligemment. On ne sait dans quel champs les céréales vont grandir bien. La lumière du jour que Dieu a permis est une chose belle et réjouissante. Aussi, il faut retenir qu’il y aura beaucoup de jours ténébreux et qui ne donnent pas le fruit. La sagesse est que chacun remercie Dieu pour la vie de chaque jour qu’il nous accorde dans sa souveraineté. 

samedi 28 décembre 2019

Ecclésiaste 10 :1-20 (PQ de 29/12/2019)


LES VOIES DES HOMMES ET LA VOIE DE LA SAGESSE

Ecclésiaste 10 : 1-20
Verset clé 10 : 12a

Le chapitre 10 a trait tout particulièrement au caractère des dignitaires. L'Ecclésiaste prend la mesure de leur valeur morale tout en maintenant chacun à sa place vis-à-vis de leur autorité.


1. Les rois et la sagesse (10 : 1-7 ; 16-19)
La carrière d’un homme au pouvoir s’effondre à la suite d’une erreur, d’une inattention, contraire à sa sagesse habituelle et à sa bonne renommée. Toute une vie glorieuse est ainsi réduite à néant. Il est donc important qu’il ait des conseillers sages à sa droite et non un insensé ou un incapable car de tels serviteurs agissent avec orgueil et une autorité abusive. Si le roi s’emporte inconsidérément, il est sage de rester calme car la douceur apaise de grands péchés. La justice de Dieu sera effective en son temps.

2. Où conduit les voies des hommes (10 : 8-15 ; 20)
Les mauvaises intentions ne sont pas sans danger. Ainsi un piège peut se retourner contre soi-même, la haie ouverte c’est notre cœur qui s’ouvre à tous les dangers y compris au diable. Les bonnes intentions peuvent être louables, mais la qualité des outils nous évite des accidents et des efforts inutiles. De même si on aiguise par l’esprit de Dieu la parole dans notre cœur, elle peut devenir un outil efficace bien implanté en nous. Notre langue doit bien être gardé car sinon elle devient une langue qui apporte le mal à l’image de l’insensé qui s’égare et court à sa perte.

Prions pour avoir un pays régi par une autorité noble qui s’active pour le peuple et non pour sa propre gloire. Que nous soyons des enfants d’obéissance à l’égard des dignitaires qui ne portons pas notre regard sur la richesse des riches mais plutôt sur la parole qui nous enrichie.

jeudi 26 décembre 2019

Ecclésiaste 9:1-18 (PQ de 28/12/2019)

LA BÉNÉDICTION DE LA VIE
Verset Clé 9: 7

1. La valeur précieuse de la vie (1-10)
Que ce soit sage ou stupide, juste ou injuste, la récompense de ces actes appartient à la souveraineté de Dieu. Aux yeux de l’Ecclésiaste, c’est injuste. Les gens sont dominés par le mal toute la vie puis périssent. Mais les vivants ont plus d’espoir que les défunts, car ceux-ci ne connaissent rien de ce monde, ni n’ont aucun salaire, mais sont oubliés. Donc, même si la récompense du juste n’arrive pas, il ne faut pas relâcher la vie valeureuse. L’Ecclésiaste dit que quand on vit dans la prémonition de la mort, chacun vit joyeusement au présent. Il faut remercier Dieu qui donne la vie et la vivre avec le cœur joyeux. Il faut vivre une vie de fête chaque jour, en se vêtissant en blanc et en s'oignant de l’huile, puis partager la joie avec son conjoint. Loin d’être une licence illimitée, cette joie est permise par Dieu. Donc, il faut en jouir.
  
2. Le sage pauvre (11-18)
L’Ecclésiaste montre la limite de la sagesse. Le rapide ne gagne pas forcément la course, ni le vaillant la guerre. C’est parce que vient la chance inespérée. Comme les poissons et les oiseaux, l’homme ne sait quand le malheur arrivera. Mais dans cette incertitude, l’homme doit vivre en faisant confiance à Dieu. L’Ecclésiaste prévient que l’homme ne peut pas remercier Dieu pour la sagesse. L’exemple est le sage pauvre dans une ville. Le puissant roi fit le siège, mais il sauva la ville par la sagesse, mais personne ne le reconnut. Le conseil sage est mieux que l’ordre du puissant, et la sagesse mieux que l’arme, mais un seul pécheur peut anéantir beaucoup de bien.

Luc 2 :41-52 (PQ de 27/12/2019)

JESUS GRANDISSAIT SOUS COUVERT DE LA GRÂCE
Verset Clé 2: 52
La parole concerne le seul épisode de l’enfance de Jésus. Elle nous raconte ce qui était arrivé à 12 ans à Jésus. Cela nous fait entrevois la personne de Jésus-Christ.

1. Jésus resta seul à Jérusalem (41-45)
Les enfants ont besoin de la protection des parents. Il en est de même pour Jésus. Mais le garçon Jésus resta seul à Jérusalem et ne retourna pas avec ses parents, ce qui démontre sa croissance. Pas qu’il agissait à son gré, jusqu’à ce que ses parents d’inquiètent de lui, mais qu’il grandissait et en sachant ce pourquoi il fut venu, il commença à vivre pour accomplir ce but. Le bébé emmailloté dans la crèche grandissait et était en train de préparer petit à petit à son chemin du Messie pour le futur ministère du salut du monde.   
2. Jésus conversa avec sagesse dans le temple (46-52)

Quand après trois jours les parents rencontrèrent Jésus dans le temple, il était en train de discuter avec les docteurs de la loi. Les docteurs en Israël était de grands érudits. Le fils qui fut né en campagne de Galilée comme charpentier et avait à peine l’âge de 12 ans, conversait étonnement avec ces docteurs hautement savants au milieu de Jérusalem. Il ne faisait pas qu’écouter, mais il les questionnait. La Bible dit qu’il croissait en sagesse, et en stature, sous forme d’imparfait. En quel point êtes-vous en train de croître ?

mercredi 25 décembre 2019

Luc 2 :21-38 (PQ de 26/12/2019)

LES PERSONNES QUI ATTENDENT LE SAUVEUR
Verset Clé 2: 25
Par la grâce de Dieu, Siméon et Anne jouirent du privilège de rencontrer le Sauveur qui vint de naître et l’affirmer. La naissance du Sauveur est l’espérance que les hommes attendaient si longtemps avec l’impatience.

1. Siméon qui attendait la consolation d’Israël (25-35)
Siméon, qui était l’homme juste et pieux et entendit qu’il ne verrait pas la mort avent d’avoir vu le Messie. Quand il fut divinement averti par le Saint-Esprit et qu’il entra dans le temple, justement Jésus avait été venu  de Nazareth en Galilée à Jérusalem, amené par ses parents pour recevoir la cérémonie de la purification dans le temple selon le coutume des Juifs. Il en fut grandement touché et affirma de ses yeux le Messie et loua Dieu. Il prophétisa que beaucoup de personnes se repentiraient et retourneraient à Dieu quand le Messie exercerait l’œuvre de salut dans l’avenir, mais que Marie aurait une âme souffrante comme si elle est transpercée par l’épée.  
2. Anne prédit la rédemption de Jérusalem (36-38)

Anne qui devint veuve après avoir vécu à peine sept années avec son mari, ne quittait pas le temple et servait Dieu nuit et jour par des jeûnes et des prières jusqu’à ce qu’elle fût âgée de 84 ans. Dieu la fit savoir à elle aussi la naissance du Messie. Le bébé Jésus vint à Jérusalem et pendant que Siméon le rencontrait, Anne aussi survint au temple et rencontra Jésus et loua Dieu. Puis, elle rendit joyeusement témoignage à tous ceux qu’elle rencontrait que ce bébé Jésus est le Sauveur qui sauvera Israël.

Luc 2 :1-21 (PQ de 25/12/2019)

LA BONNE NOUVELLE D’UNE GRANDE JOIE
Verset Clé 2: 10
La famille de Joseph vint de Nazareth jusqu’à Bethlehem pour se faire recenser, mais faute de logement, elle se logea dans une crèche où Jésus naquit. Cela fait prévoir la vie de souffrance de Jésus. L’ange du Seigneur apparut soudainement aux bergers qui veillaient la nuit et transmit la bonne nouvelle du Sauveur. Les bergers accoururent et virent la scène, s’en réjouirent et retournèrent en rendant gloire à Dieu.

1. Le bébé Jésus naquit dans une crèche (1-7)
Se déplacer de la Galilée à Bethlehem était pour Marie au terme de grossesse, fut une grande souffrance. Mais à cause du décret d’empereur, elle fut obligée de s’y rendre. Bien qu’elle se déplace dans la souffrance, c’était une accomplissement de la promesse que le Messie naisse à Bethlehem. Même si l’homme conduit le monde, en réalité, Dieu lui-même gouverne le monde selon son plan. Nous ne connaissons pas tout son plan, mais nous pouvons le suivre dans la foi en le Seigneur. Jésus est le Messie qui vint pour sauver le monde en tant que fils de Dieu. A la différence des rois qui fêtent avec splendeur leur naissance, Jésus naquit humblement dans une crèche. Jésus n’était pas couché dans le lit royal, mais dans le mangeoire où on garnit la nourriture des animaux. Pourquoi ? C’est parce qu’il est celui qui sauve l’humanité en subissant toutes les souffrances de l’homme. 
2. Les bergers entendirent la bonne nouvelle de la naissance du Messie (8-21)

Les Israélites prenaient soin des brebis d’habitude, donc la relation entre le berger et les brebis démontre celle entre Israël et Dieu. Sans berger, a brebis n’a pas d’autre choix que de mourir. Le berger garde les brebis et les brebis se confient en le berger. Mais depuis le prophète Malachie, Israël n’a pa pu entendre la voix de Dieu, leur berger. Depuis cette époque, l’obscurité spirituelle comme les ténèbres dominait et à ce peuple assoiffé de la voix de Dieu, la nouvelle de la naissance du Messie fut la nouvelle d’une grande joie. Les bergers qui avaient entendu la nouvelle n’hésitèrent pas un instant, mais coururent vers la place. L’endroit était une crèche et Jésus s’y était couché. Les bergers transmirent la nouvelle de l’ange, et tous étaient dans l’étonnement. Ainsi, le Sauveur vint à la place la plus basse pour sauver l’homme. Les bergers attestèrent la naissance du Messie de leurs propres yeux et furent remplis de la joie. Ils rendirent gloire à Dieu et retournèrent.

lundi 23 décembre 2019

Luc 1 :57-80 (PQ de 24/12/2019)

BÉNI SOIT LE SEIGNEUR, DIEU D’ISRAËL
Verset Clé 1: 68
Zacharie ne crut pas en la parole de Dieu. Mais sa femme Elisabeth accoucha d’un enfant. Zacharie nomma l’enfant Jean et en vint à croire en l’œuvre de Dieu. Il en vint surtout à travers la naissance du bébé, à prendre conscience du plan de Dieu pour le salut des hommes. Il prophétise la venue du Messie par rapport à la naissance de son fils Jean.

1. Jean-Baptiste naquit selon la parole (57-66)
Dieu est celui qui avait créé le monde par la parole. Cette parole s’adressa à une frêle femme qui s’agonisait de l’absence d’enfant, et ce non avec la parole puissante, mais avec la parole douce d’encouragement. Elisabeth fut âgé, et il y eut beaucoup de femmes de bonne santé pouvant donner naissance à un enfant. Mais Dieu a choisi une femme vieille et sans force et lui fit grâce. Dieu est tout puissant, mais il est celui qui fait grâce à celui qui est infiniment faible. Zacharie ne savait pas qu’il aurait un fils à sa vieillesse, d’où sa réponse négative à l’annonce de l’ange. Mais en passant la grossesse de sa femme et son accouchement, il en vint à comprendre que la parole est au-delà de la raison humaine. Quand il dit Oui au nom Jean de son fils, sa langue se délia. Sa bouche n’était plus celle d’incrédulité, mas celle de foi et d’espoir. 
2. La prophétie de Zacharie (67-80)
Dieu se souvint de la promesse d’Abraham et était en train de réaliser sa promesse dans son temps arrivé. La promesse que toutes les familles de la terre seraient bénies par Abraham est accomplie par Dieu fidèle. Par l’expérience de la naissance de son fils, Zacharie trouva que l’ouvre salvatrice de Dieu était en pleine marche. Si Messie vient, le peuple de Dieu servira Dieu de tout leur cœur. Jean aura le rôle de préparer le chemin du Messie. Il fera connaître que le salut vient par le pardon du péché. Jean grandit en sainteté et en grâce afin d’accomplir la mission que Dieu avait donné. Il prendra soin de beaucoup de gens malades et blessés, afin que par la repentance, ils puissent arriver au salut éternel dans le royaume de Dieu. 

dimanche 22 décembre 2019

Luc 1 :39-56 (PQ de 23/12/2019)

MARIE EXALTA LE SEIGNEUR DE TOUT COEUR
Verset Clé 1: 46
La parole nous raconte ce qui est arrivé chez Elisabeth quand Marie la visita, puis comment sa joie s’est explosé après cet entretien. Sa louange est remplie de remerciement aussi bien que de la perspicacité spirituelle. Il est certain que cela était l’effet du Saint-Esprit qui lui a été donné.  

1. Marie visita Elisabeth (39-45)
Marie se rendit chez Elisabeth, quoi que le chemin fût difficile et dangereux. C’était par son humilité qu’elle chercha un refuge chez celle qui avait reçu la révélation préliminaire de Dieu. Malgré l’obéissance à Dieu, la situation de Marie était délicate. Donc elle voulut être consolée et affermie par une compagnie spirituelle. En effet, elle voulut entendre le témoignage de la personne qui avait expérimenter qu’en Dieu tout est possible. Quand il mit ses pieds dans la maison d’Elisabeth, l’enfant tressaillit. Elisabeth fut rempli du Saint-Esprit et se mit à chanter. Elle était une femme humble qui sut se soumettre, au-delà de l’âge, à l’ordre que Dieu avait établi.
2. Le chant de louange de Marie (46-56)

Encouragé par le chant d’Elisabeth, Marie se mit à chanter Dieu. Pour elle, Dieu est l’objet de délices, car il dispense de l’amour inexprimable qui atteignit l’homme le plus misérable. Il est assez débonnaire pour veiller aux pauvres et assez puissant pour humilier les puissant et accorder le salut aux humbles, en sauvant ceux-c de l’ombre de la mort. Pour l’homme qui est confronté à la limite de la vie, le soin de Dieu est un grand espoir, consolation et encouragement. Marie fut ému de l’amour de Dieu qui jetait son regard à la bassesse d’une servante comme elle. Notre Dieu est saint et juste. Sa présence chasse les orgueilleux, rétribue à la méchanceté des hommes mauvais et rend affamés les riches avares adorateurs de l’argent, mais rassasie les affamés. La raison pour laquelle il agit ainsi est parce qu’il est un Dieu de justice. Le pouvoir de Dieu est absolu si bien qu’il détruit le pouvoir du monde et construit la justice du monde. Marie loue le Seigneur Dieu qui établirait le royaume éternel au-delà du pouvoir du monde. 

samedi 21 décembre 2019

Luc 2:26-38 (PQ du 22/12/2019)


SON REGNE N’AURA PAS DE FIN
Verset Clé 2 : 33
« Il règnera sur la maison de Jacob éternellement et son règne n’aura pas de fin. »

Pour accomplir le premier Noël, l’ange Gabriel visita une fille sincère et fidèle dans une ville de Galilée du nom de Nazareth. Elle n’était pas choisie par Dieu parce qu’elle était une fille brillante ayant beaucoup de talents. Mais parce qu’elle savait s’abandonner à Dieu pour entrer dans le plan rédempteur de Dieu.

1. Marie accepta la toute-puissance de Dieu.
L’ange Gabriel rendit visite à Marie pour lui donner une mission, de devenir la mère du bébé Jésus. Mais il ne mentionne pas le mot ‘la mission’ mais il dit “Je te salue toi à qui une grâce a été faite: le Seigneur est avec toi.” Dans un point de vue spirituel, c’est la grâce de donner à une personne un rôle important dans le cadre du plan rédempteur de Dieu. Evidemment, Dieu est avec celui qui a reçu la grâce. Avant ce moment-là, elle avait le statut de fiancée qui attendait le jour du mariage, mais elle va être enceinte par la puissance du Très-Haut. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra sera appelé Fils de Dieu. Marie n’a pas estimé toutes les souffrances qui vont tomber sur son avenir. Mais elle sait que c’est Dieu tout puissant qui lui parle de tout cela. Elle accepta la grâce de Dieu. “Voici la servante du Seigneur: qu’il me soit fait selon ta parole.” Dieu bénit celui qui obéit à sa parole et il ne le laisse pas tout seul. Mais il l’accompagne toute sa vie.

2. Son règne n’aura pas de fin.
A cette occasion, l’ange Gabriel annonce qui est ce saint enfant. Son nom sera Jésus. Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut, et Dieu lui donnera le trône de David, son père. Depuis la naissance, Jésus est le roi sur tous les peuples de Dieu, comme David. A travers cette parole, Dieu a accompli une promesse faite à David (2 Samuel 7:16). Jésus régnera sur la maison de Jacob éternellement et son règne n’aura pas de fin. Dans l’histoire, il y avait de nombreux pays et royaumes qui existaient pendant un temps et disparaissaient peu de temps après. Mais le bébé qui naîtra à travers la puissance du Saint-Esprit deviendra le vrai roi pour le monde entier éternellement. Noël, c’est l’occasion de se souvenir de lui et de rendre gloire à Lui.

Luc 1: 1-25 (PQ de 21/12/2019)


LA NAISSANCE DE JEAN-BAPTISTE PREDITE
Verset Clé 1: 13
La naissance de quiconque n’arrive pas par hasard, mais chacun naît avec un certain but de Dieu. L’homme, même s’il a un ardent vœu, se désespère en face d’impuissance. La parole de Dieu donne l’espoir là où l’homme se désespère.  
  
1. Le sens de la naissance de Jean-Baptiste (1-17)     
Les hommes ont beaucoup de capacité, mais ils ont aussi les limites. Le clonage est arrivé à mesure que la science se développait aujourd’hui. L’homme fabriquera-t-il la vie ? Le texte de ce matin parle d’un vieux couple sans enfant. S’il y a un désir, ce serait de vivre tranquillement. Mais Dieu qui a la souveraineté sur la vie promet qu’il donnerait une vie à ce vieux couple. Avoir un enfant dans la vieillesse est un sujet de grande réjouissance. Mais Dieu dit qu’une vie prédite par Dieu sera née  avec une mission spéciale. Jean-Baptiste n’est pas né seulement pour satisfaire le désir du vieux couple, mais en tant qu’un humain qui prépare le Messie qui sauvera le monde. Aucune vie ne nait par hasard. Elle naît avec l’image de Dieu et avec la noble mission de glorifier Dieu. Quel est le sens mis sur votre vie ?
2. Elisabeth fut enceinte selon la parole (18-25)
Le couple est au crépuscule. Du point de vue de l’homme, ils sont à l’âge de l’impossibilité d’avoir un enfant. Zacharie qui s’est appuyé sur la capacité perd la langue qui dit l’incrédulité jusqu’à ce qu’il puisse utiliser la langue dans sa foi. Sa période de mutisme est le temps de grâce. L’absence de langue est le temps de grâce qui mène à l’espoir de Dieu. N’importe quelle chose paraissant impossible peut devenir possible dans la parole de Dieu. Elisabeth fut enceinte selon la parole de l’ange. Déjà 5 mois de grossesses a passé Elisabeth. Elle se recueillit en Dieu, et reconnait profondément son amour et sa consolation qui l’ont rendue capable de porter un bébé.

jeudi 19 décembre 2019

Actes 23 :12-35 (PQ de 20/12/2019)

PAUL FUT ESCORTÉ COMME PRISONNIER
Verset Clé 23 : 23
Même s’il eut esquivé le danger momentané, le plus grand danger attendait Paul. Les Juifs extrêmement excités voulaient tuer Paul et forma une bande de 40 assassins. Nous pouvons voir que Dieu aide Paul qui fut confronté à un grand danger.

1. Dieu aida par l’homme (12-22)
Pour assassiner Paul, les Juifs formèrent une bande d’assassins en 40 hommes. Ils s’y engagèrent sous peine d’anathème à ne pas gouter la nourriture. Ils établirent un plan d’assassinat pendant que Paul serait transporté au sanhédrin par la requête des émissaires. Mais le neveu de Paul qui était en guet-apens en vint à l’écouter et le dénonça au tribun. Quand Dieu veut aider son fidèle, la façon la plus fréquente est qu’il utilise l’homme. Par l’intermédiaire des hommes inespérés, Dieu sauve le fidèle de son danger. Dans sa mission, Paul expérimentait souvent ce genre de secours, donc dans sa lettre, beaucoup de noms d’hommes apparaissent. Le neveu était de même. Il état un héros inconnu, qui contribua au sauvetage de Paul. Dieu se souvient de ce genre de contribution inconnue, alors que les hommes ont tendance de chercher la reconnaissance. Si nous travaillons pour le Seigneur sans nom ni renom, lors de l’apparition du Seigneur, nous seront appelés par lui et entreront dans son royaume.   
2. Paul fut transporté en escorte comme prisonnier (23-35)

Le tribun qui eut conscience du fait que la vie de Paul était en danger, il comprit qu’il était impossible de le garder dans Jérusalem. Donc, il ordonna de transporter Paul à Césarée qui avait plus de sécurité. Il envoya une lettre à Felix au sujet de ce qui était arrivé à Paul. Il se peut que le tribun voulut éviter sa responsabilité lors de l’assassinat de Paul. En tout cas, la mise en valeur de l’autorité du tribun contribua à sauver la vie d’un serviteur de Dieu. Ains arriva un événement inimaginable qu’un prisonnier fut escorté par un corps de 470 soldats et cavaliers. Dieu protège ses fidèles. Même s’ils sont entourés par les obstacles et les attaques inlassables, Dieu ne les fait pas subir de moindre dégât. Nous devons avoir l’assurance et la confiance envers ce Dieu. Quelle que soit la situation, il ne faut pas avoir peur mais mettre la confiance en Dieu. Si vous avez été aidé par l’homme, même un incrédule, partagez votre expérience les uns avec les autres.

mercredi 18 décembre 2019

Actes 22 :22-23 :11 (PQ de 19/12/2019)

TU RENDRAS TÉMOIGNAGE À ROME
Verset Clé 23 :11
Devant le cœur dur des Juifs, Paul requiert audacieusement un jugement juste. Devant la plus haute autorité des Juifs, à Sanhédrin, Paul fut jugé. Le Seigneur vint le consoler, quand la peur l’envahit. 

1. Paul fit valoir sa citoyenneté romaine (22-29)
Paul fut confronté à la froideur des Juifs. Malgré le touchant message, les Juifs, au lieu de s'attendrir, endurcirent leur cœur et devinrent violents. La foi nait de ce qu’on entend et ce qu’on entend vient de la parole de Dieu. Quand on écoute la parole et la pratique, on en vient à grandir dans la foi. Il faut donc vérifier constamment que mon cœur est bon et honnête. Les Juifs étant soulevés, le tribun le traita comme coupable, le lia et le frappa de lanière. A ce moment Paul révéla qu’il était citoyen de Rome, et réclama son droit comme pour un romain. Ici, on append que même les chrétiens doivent réclamer leur droit en société et en faire valoir correctement. Le tribun ayant peur, le relâcha et cela lui fournit l’opportunité de pouvoir aller à Rome plus tard. Céder sans condition peut être considéré pour un chrétien comme de la vertu. Mais cela n’en est pas ainsi. Le croyant doit lui aussi réclamer son droit à juste titre et faire valoir son droit en vue de l’évangélisation du monde. De même, si la science du monde ou la connaissance du monde sont utiles pour prêcher l’évangile, il est sage d’en faire valoir positivement.
2. Tu devras rendre témoignage de moi à Rome (30-23 :11)
Personne était prête à le défendre. Alors en voyant que l’assemblée était divisée entre les Pharisiens et les Saducéens – les premiers conservateurs croyaient en la résurrection, tandis que les deuxièmes n’y croyaient pas – Paul avança l’argument de la résurrection. A cause de la division, le procès ne put continuer. La puissance du diable semble être forte, mais elle se divise et se détruit. Les fidèles doivent avoir en face de la crise, la sagesse de faire valoir leur droit. Paul luttait seul avec la justice de Dieu, et son avenir était incertain. Alors il reçut la visite du Seigneur qui disait, « Sois sans crainte. » et dit « Tu devras rendre témoinage de moi à Rome. » Cette situation critique et intimidante n’était pas la fin à sa mission, mais le Seigneur promit que sa vie prendrait le relais et il la bénirait. Dans la vie nous expérimentons la nuit du désespoir. Mais ceux qui se débattent pour le Seigneur sans se laisser décourager, reçoivent sans faute la visite du Seigneur. Chers frères, quelle que soit la situation, tenez-vous la tête et gardez-vous la place de la vocation du Seigneur. Le Seigneur viendra vous consoler sûrement.

mardi 17 décembre 2019

Actes 21 :27-22 :21 (PQ de 18/12/2019)

PAUL FUT APPELÉ À ETRE APOTRE DES NATIONS
Verset Clé 22 :21
Paul fut frappé par les gens de la foule, mais il demanda au centenier l’occasion de se défendre. Puis, il l’utilisa pas pour se justifier, mais pour rendre témoignage à sa mission.

1. Paul, victime de violence (21 :27-22 :1)
Paul fut frappé dans le temple par les compatriotes qui étaient manipulés par les Juifs. Ils agitèrent la populace en disant que ce Paul qui faisait détourner des gens de la loi amena maintenant un païen dans le temple. Sans y trop réfléchir, les gens saisirent Paul et le frappèrent. La force ignorante se laisse facilement manipuler par les méchants hommes. Puis ils persécutent les serviteur de Dieu innocents sans cause. Mais à ce Paul en danger arriva un secours imprévu. Le centenier en écoutant que toute la ville était dans l’émeute, vint l’arracher à la foule. Même si la puissance de Satan est trop forte, il ne peut détruire les hommes de Dieu. Notre vie est dans la main de Dieu ; il nous protège et nous conduit. Dans la situation urgent, Paul demanda au centenier une chance de se défendre. Dans le cul de sac, Paul était la personne qui savait faire valoir son courage, son sang-froid. Et il était sage d’utiliser sa langue grecque pour solliciter une chance. Le serviteur de Dieu doit avoir ces trois vertus : courage, sang-froid et sagesse pour propager son évangile à tout moment.
2. Il fut choisi comme missionnaire des païens (22 :2-21) 

D’abord il témoigna qu’il fut converti du judaïsme. Il était persécuteur mais maintenant il est devenu suiveur de Jésus. Il rendit témoignage à Jésus qui l’avait rencontré et lui fit grâce de pardon et l’appela à être missionnaire. C’est le plus puissant témoignage que de dire que nous sommes changé par la grâce de Dieu. Nous avons donc lieu de méditer et rédiger le témoignage de vie, ce qui sera un puissant outil de l’évangélisation. Dès le chemin de Damas, Dieu avait appelé Paul comme lumière des nations. Le Seigneur dit qu’il l’enverrait loin comme missionnaire, car ses compatriotes ne l’écouteraient pas. Paul dit que ce n’est pas sa volonté mais la volonté de Dieu qu’il soit envoyé comme missionnaire de Dieu. Paul savait déjà que son témoignage déplut aux Juifs. Mais, il n’épiait pas l’humeur des autres ni le craignait. Il rendit témoignage à Jésus tant qu’il avait l’occasion. Qu’il soit bon moment ou mauvais moment, il rendit témoignage à l’évangile. Vraiment, Paul était le prêcheur jusqu’aux moelles et ce à toutes saisons.

lundi 16 décembre 2019

Actes 21 :17-26 (PQ de 17/12/2019)

LE RAPPORT DE PAUL
Verset Clé 21 : 19
Paul rapporte la mission aux leaders de Jérusalem. C’était le moment historique où son œuvre porta du fruit et fut publiquement reconnu par les Juifs. Nous entrevoyons le caractère de Paul dans ce combat acharnée de l’évangile.

1. Le rapport fidèle de Paul
Paul rapporte en détail aux Juifs à Jérusalem, l’œuvre de Dieu parmi les païens. Mais malgré leur étonnement, les Juifs ne purent s’empêcher d’avoir du doute, car ils entendirent l’ouï-dire que Paul répandait son exhortation de se détourner des ordonnances et des coutumes des ancêtres. Paul se trouva confronté au danger de rendre nulle son œuvre à cause du mur de racisme. Donc, les leaders de l’église proposèrent le compromis qu’il devienne parmi 4 personnes au vœu de Naziréen (24). Paul l’accepta en pensant que si c’est seulement pour l’évangile, il peut être comme les Juifs, aussi bien comme les païens.   
2. La reconnaissance du rapport

Que Paul rapporta l’œuvre fidèlement devint une occasion pour les Juifs mécontents de reconnaître l’évidence de l’œuvre parmi les païens. D’entrefaites, l’idée de l’élection des Juifs se dégénérait pour devenir un grand mur qui empêchait de prêcher aux païens. Si ce mur n’avait pas été vaincu, l’évangélisation du monde aurait dû rester un obstacle insurmontable. Mais au moment opportun, à travers d’un jeune homme Paul, le mur solide contre l’évangélisation des païens en vint à se démolir et le jour où à la fin de 3e voyage de mission, il se tint devant les leaders au risque de la mort devint une date historique où l’église de Jérusalem reconnut publiquement l’œuvre des paiëns et devint une nouvelle page dans l’histoire du christianisme. L’œuvre évangélique fidèle par son serviteur est, même si le chemin est plein de chardon et de broussailles, l’œuvre qui fait bourgeonner les vies belles. Même s’il n’y a pas de fruit visible, le chemin de l’évangile est le chemin le plus glorieux et le plus précieux. Peu de gens prenaient ce chemin, mais il est le chemin de gloire inexprimable. Quel est votre rapport de mission qui est rédigé dans votre vie présente et future ?

dimanche 15 décembre 2019

Actes 21 :1-16 (PQ de 16/12/2019)

LA RÉSOLUTION DE PAUL
Verset Clé 21 : 13
Le texte nous raconte l’itinéraire de Paul après la séparation avec les fidèles d’Ephèse. Nous apprenons ici la ferme résolution de Paul. La résolution prise au fond de cœur ne doit pas changer quel que soit l’épreuve. Mais si c’est l’exhortation du proche, elle risque de nous troubler dans la résolution. Celui qui marche dans le chemin du Seigneur, a besoin d’être ferme et inébranlable quel que soient les propos d’alentour.

1. Il ne faut pas se faire attirer par la sympathie humaine.
Paul obtenait beaucoup de gens pendant le voyage. A chaque endroit où il allait, les disciples l’accueillaient et le recevaient avec beaucoup d’hospitalité. Vu cette réaction des gens, nous nous apercevons que son ministère était le succès. Maintenant Paul retournait à Jérusalem. Mais ce n’était pas pour être félicité de ses labeurs, mais plutôt ce qu’il attendait était le complot des Juifs qui voulaient le tuer à cause de la jalousie. Le Saint-Esprit l’avertit à travers les disciples et prophète Agabus. L’empêchement des disciples qui s’inquiétaient de sa sécurité était normal, mais Paul ne se laissa pas troubler par eux ni changea son plan. Si la résolution en tant qu’homme de mission trébuche, on ne peut atteindre le but. Paul, au lieu de choisir un chemin confortable et facile du moment, choisit plutôt un chemin qui tendait vers l’avenir, quoi qu’il paraissât difficile et inconfortable pour le moment.  
2. Il faut se résoudre à la mort

En sachant que Paul serait arrêté par les Juifs par l’indication de l’Esprit-Saint, les disciples l’empêchèrent. Mais Paul n’avait aucune crainte d’aller à Jérusalem et se résolut de mourir. La raison était qu’il persistait à son temps un conflit grave entre les fidèles Juifs et les chrétiens à l’origine païenne. Les saints dans l’église sont la même famille en Christ. Donc, l’église doit être un et les membres doivent garder la relation réconciliée entre eux. L’apôtre Paul qui avait prêché aux païens, se résolut de mourir si cela contribuait à briser le préjugé des Juifs. Cet esprit de martyr envers l’Evangile le conduisit à avoir l’ambition de vaincre Rome par l’Evangile. Les petites résolutions que nous avons actuellement doivent être des engrais pour édifier l’Eglise qui est le corps du Christ et être avérées ferme et inébranlable malgré n’importe quel changement que nous affrontons.

samedi 14 décembre 2019

Actes 20 :13-38 (PQ du 15/12/2019)


DISCOURS D’ADIEU AUX ANCIENS D’EPHESE
Verset clé Actes 20: 24

Paul était sur le retour de son troisième voyage missionnaire voulant atteindre Jérusalem au plus tôt. Il savait qu’il ne reverrait plus les églises que Dieu avait suscitées par son service. Aussi voulait-il faire ses adieux aux anciens d’Ephèse et leur donner quelques exhortations. Dans cet entretien, nous y trouvons sa philosophie de vie et son cœur de berger.

1. Paul appelle les anciens d’Ephèse (13-21)
Paul avait été très vite de Troas jusqu’à Milet, passant au large d’Ephèse. Mais à Milet, Paul fit une halte pour aller chercher les anciens d’Ephèse. Bien que pressé, il ne voulait pas partir sans les revoir une dernière fois. C’était son cœur brulant de berger. Une fois les anciens arrivés, Paul s’entretint avec eux. Il leur rappela son exemple de service et son amour sincère pour eux. Avec humilité, larmes, et confronté à l’adversité, Paul n’avait de cesse de leur proclamer la vérité de l’évangile. En centrant son message sur la repentance et de la foi en Jésus-Christ, il les avait fait naitre de nouveau pour le royaume de Dieu et persévérait dans cet enseignement parmi les juifs et les grecs. De la sorte, il leur enseigna tout ce qui leur était utile avec sincérité et sans rien dissimuler. Sa vie, 100% dévouer à l’évangélisation, avait le pouvoir de garder l’église en Christ. Elle était l’œuvre puissante du Saint-Esprit.

2. La Philosophie de vie de L’Apôtre Paul (22-38)
Averti par l’Esprit-Saint, Paul savait que des persécutions l’attendaient. Cependant, Paul ne reculait pas. Il suivait ce code de vie : Je ne fais aucun cas de ma vie…pourvu que j’accomplisse avec joie ma course, et le ministère que j’ai reçu du Seigneur Jésus. Paul faisait sa joie de rendre témoignage de la bonne nouvelle de la grâce de Dieu. Par cette grâce, il fut changé et aimé de Jésus. Maintenant, il dévouait sa vie pour le Royaume de Dieu. Paul les exhortait à suivre son exemple. Il les exhortait à prendre garde à eux même et aux membres de l’église sur lesquels ils avaient été établis par le Saint-Esprit. L’œuvre de Dieu est l’œuvre du Saint-Esprit. Mais Paul savait que l’œuvre du malin ne les épargnerait pas et atteindrait même les disciples. C’est pourquoi, il leur recommanda de bien veiller sur l’église qui avait été acquise au prix du sang de Jésus. Paul avait consacré 3 années de service auprès d’eux, en n’était à charge de personne. Travaillant de ses propres mains pour ses besoins matériels et de ceux des collaborateurs, il suivait l’enseignement de Jésus de savoir donner plutôt que de recevoir. Maintenant, qu’il s’en allait, il les exhortait eux aussi de savoir donner en imiter son exemple (35) Enfin, il les recommanda à la grâce de Dieu en priant avec eux à genou. Sa vie donnée émue les anciens d’Ephèse qui l’embrassait avec tendresse dans leur dernier adieu.

vendredi 13 décembre 2019

Actes 20 :1-12 (PQ du 14/12/2019)


IL TRAVERSA EN ADRESSANT DE NOMBREUSES EXHORTATIONS
Verset clé Actes 20 :2

Après une grande œuvre de Dieu, il y a toujours aussi une œuvre de Satan car c’est une guerre spirituelle sans relâche. Dans ce passage, Paul nous montre l’exemple à suivre lorsque Satan empêche l’œuvre de Dieu.

1. Il traversa en adressant de nombreuses exhortations (20 :1-6)
Un grand tumulte causé par les Juifs a failli terrasser l’œuvre de Dieu dans la région. Mais Paul ne baissa pas les bras. Il attendait la fin du tumulte et tout de suite se mit à travailler pour restaurer l’œuvre de Dieu. Dans les versets 1 et 2, nous remarquons 2 fois le mot « Exhorter » et aussi plusieurs verbes montrant les mouvements continus de Paul. Paul était vraiment occupé d’aller visiter un maximum de frères pour les affermir dans la foi en adressant de nombreuses exhortations. Après les épreuves, il est important d’affermir les frères et sœurs par des exhortations de la foi le plus vite possible. Grâce à ses soins intensifs, de nombreux disciples ont été affermis pour qu’ils puissent continuer à travailler pour le Seigneur après le départ de leur berger Paul.

2. Pas de trouble parmi vous car son âme est en lui (7-12)
Lorsque Paul passait parmi les frères, le temps lui manquait toujours à cause de son ardent désir de les affermir. Alors il prolongea son discours encore et encore jusqu’à minuit. Tout le monde l’a écouté attentivement en pensant que cela pourrait être sa dernière présence. Un jeune homme appelé Eutychus ne voulait pas non plus rater ce discours malgré la fatigue. Finalement dans son profond sommeil, il tomba du 3ème étage et fut retrouvé mort. « Mais Paul descendit, se pencha sur lui, le prit dans ses bras et dit : Qu’il n’y ait pas de trouble parmi vous, car son âme est en lui » Et il continua son discours jusqu’à l’aube. Après quoi, il partit. Le jeune homme était vivant et ce fut une grande consolation. Même la mort ne pouvait pas arrêter les pas de Paul tellement empressé d’affermir les âmes dans le Seigneur.