LA BÉNÉDICTION DE LA VIE
Verset Clé 9: 7
1. La valeur précieuse de la vie (1-10)
Que ce soit sage ou stupide, juste ou injuste, la récompense de ces actes appartient à la souveraineté de Dieu. Aux yeux de l’Ecclésiaste, c’est injuste. Les gens sont dominés par le mal toute la vie puis périssent. Mais les vivants ont plus d’espoir que les défunts, car ceux-ci ne connaissent rien de ce monde, ni n’ont aucun salaire, mais sont oubliés. Donc, même si la récompense du juste n’arrive pas, il ne faut pas relâcher la vie valeureuse. L’Ecclésiaste dit que quand on vit dans la prémonition de la mort, chacun vit joyeusement au présent. Il faut remercier Dieu qui donne la vie et la vivre avec le cœur joyeux. Il faut vivre une vie de fête chaque jour, en se vêtissant en blanc et en s'oignant de l’huile, puis partager la joie avec son conjoint. Loin d’être une licence illimitée, cette joie est permise par Dieu. Donc, il faut en jouir.
2. Le sage pauvre (11-18)
L’Ecclésiaste montre la limite de la sagesse. Le rapide ne gagne pas forcément la course, ni le vaillant la guerre. C’est parce que vient la chance inespérée. Comme les poissons et les oiseaux, l’homme ne sait quand le malheur arrivera. Mais dans cette incertitude, l’homme doit vivre en faisant confiance à Dieu. L’Ecclésiaste prévient que l’homme ne peut pas remercier Dieu pour la sagesse. L’exemple est le sage pauvre dans une ville. Le puissant roi fit le siège, mais il sauva la ville par la sagesse, mais personne ne le reconnut. Le conseil sage est mieux que l’ordre du puissant, et la sagesse mieux que l’arme, mais un seul pécheur peut anéantir beaucoup de bien.
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