SACRIFICE DE
COMMUNION
Verset Clé 3 :1
Le sacrifice de communion est appelé autrement sacrifice d’action
de grâce. 7 :11-34 explique précisément la part du sacrificateur et celui
qui offre le sacrifice et comment la chair est consommé.
1. Un sacrifice consumé, d’une agréable odeur à l’Eternel (1-15)
L’animal de gros bétail peut être soit mâle soit femelle, mais
sans défaut. On impose la main. On l’égorge à l’entrée de la Tente. On répand
le sang sur le pourtour de l’autel. La différence d’avec les holocaustes est
qu’une partie seulement sera brûlée. Cette partie est constituée par la graisse
et les rognons qui couvre le flanc et la membrane qui couvre le foie. Ce cas
s’applique également au sacrifice de péché (ou d’expiation) et au sacrifice de
culpabilité. La brûlure de cette partie émane une agréable odeur à l’Eternel.
Si c’est le menu bétail, la même chose est pratiquée. Les cas de l’agneau et la
chèvre sont précisés. La particularité de l’agneau est la queue grasse entière
offerte dans le feu. Ce qui fait qu’il est considéré comme un luxe.
2. Un aliment d’une agréable odeur (16-17)
La raison de la distinction de cette partie du corps d’animal
est évident : c’est l’aliment de l’Eternel. Toute la graisse appartient à
l’Eternel. C’est la raison pour laquelle dans l’injonction solennelle ajoutée
sur l’interdiction de consommer, le graisse est ajouté au sang lequel seul Dt
12 :15 interdit la consommation. Le terme du sacrifice de communion
explicite que l’adorateur est réconcilié avec Dieu déjà. Sinon il ne leur sera
pas permis de manger la chair de son offrande. Le cas des oiseaux n’est pas ajouté,
car ce rite du sacrifice d’action de grâce consiste à un repas destiné à être
pris par l’adorateur, sa famille et ses amis, et l’oiseau n’est pas suffisant
pour ces repas. Les indigents sont plutôt invités au sacrifice des autres plus
aisés.
Prière : Seigneur, fais moi apporter mon offrande de
communion en action de grâce. Car tu m’as sauvé de mes multiples péchés.
Un mot : Le sacrifice d’action de grâce
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