LA PAROLE, LA CLE A LA VIE ETERNELLE
Jean 5 :19-47
Verset Clé 5 :25
« En
vérité, en vérité, je vous le dis, l’heure vient – et c’est maintenant – où les
morts entendront la voix du Fils de Dieu ; et ceux qui l’auront entendu
vivront. »
La
semaine dernière, en lui rendant visite de nouveau, Jésus dit au malade depuis
38 ans guéri, ces mots, « ne pèche pas, de peur qu’il ne t’arrive quelque
chose de pire. » Etre ingrat malgré la grâce est un péché, mais Jésus dit
cela avec un sens plus profond. Cet homme restait infirme pendant 38 ans,
s’allongeait par terre pendant la même durée de temps, et cela semblait vu son
handicap tout à fait normal. Néanmoins, vu sa réponse donné à Jésus quand
celui-ci lui avait demandé « veux-tu retrouver la santé ? », il a un
problème beaucoup plus grave que son handicap, c’est qu’il n’a aucune idée de
rendre gloire à Dieu avec sa vie qui est le don de Dieu. Jésus l’a guéri par sa
parole, l’a rendu sein en corps. Le but de cette guérison n’était pourtant pas
qu’il jouisse de sa santé saine pour lui-même. Maintenant, il doit vivre une
vie qui glorifie Dieu par son sein corps. S’il garde son habitude de se plaindre
envers Dieu et envers ses prochains, son cas, quoi qu’il ait la bonne santé,
sera encore pire. Nous avons la vie saine non pour en profiter pour notre
plaisir, mais pour nous en servir pour le bien des autres. Allégoriquement
parlant, si Dieu nous a accordé son immuable grâce par le sang de Jésus, et
nous a sauvés, nous sommes appelés à utiliser cette vie pour Dieu et pour les
prochains, sinon nous serons pires que lorsque nous étions encore pécheurs.
Aujourd’hui
Jésus continue parler au sujet de son œuvre en tant que Fils. Entretemps, il
expose la relation entre le Père et le Fils. Il semble que le destinataire de
ce discours est les Pharisiens, car ils se mettent à le poursuivre. Néanmoins, nous
trouvons que ce discours est adressé aussi aux gens ordinaires qui étaient mélangés
avec ces religieux.
Premièrement,
la déontologie de Jésus. En termes de philosophie, on peut distinguer sur une
existence, l’« ontologie » et la « déontologie. » Le premier
se réfère à l’être, et le second au faire. Pour comprendre une existence, il
est primordial de comprendre d’abord, son être, puis son faire. Un serviteur a
dit que si on connaît ce qu’il faut faire et ce qu’il ne doit pas faire et met
en pratique sa connaissance, il est un homme qui maîtrise entièrement son
existence. Donc, ce faire se manifeste souvent sous forme de devoir. Quand on
dit par exemple, au sujet d’un policier, son ontologie est qu’il est quelqu’un
qui est là pour la sécurité de la société, mais sa déontologie est qu’il ne
doit pas recevoir le pot de vin. Qu’est-ce que l’homme ? L’homme n’est pas
un être de hasard. Il est un être créé par le Créateur. Donc sa vie lui est
donnée avec un certain but. L’homme, en tant que créature a un certain devoir
conforme à ce but. Or, certains hommes vivent selon ce but, et certains hommes
ne vivent pas selon ce but. Mais vivre hors du but de sa création mène à la
perdition. Jésus est venu pour mourir sur la croix pour le péché du monde.
Ainsi il pardonne le péché des hommes et fait de ceux-ci héritiers du royaume
de Dieu. Ce qui est arrivé entretemps, c’est qu’en lui pardonnant, Jésus fait
voir l’homme son état misérable d’un déchu et en le faisant se repentir, il
l’aide à décider de vivre désormais non selon son propre désir, mais selon le
but initial de la création, ce qui l’amène au salut éternel.
Donc,
pour l’homme, reconnaître son ontologie et sa déontologie est primordial. D’où
suis-je venu, et où je vais sont des exemples des questions posées fondamentalement,
pour comprendre son ontologie. Alors après avoir connu qu’il est venu de Dieu
et retourne à Dieu, qu’est-ce qu’il doit faire ? C’est une question de sa
déontologie. Nous vivons pendant certain laps de temps sur la terre et
disparaissons. Beaucoup pensent que l’existence humaine est par hasard. Les
agnostiques prétendent sous prétexte de faute de preuve que personne ne sait la
réalité spirituelle. Il exclue l’autorité et l’authenticité de l’église et les
Ecrits sacrés. Mais au final de l’analyse, il s’agit de son déni de la
déontologie. Si observe attentivement la vie des agnostiques, ils s’attachent à
cette philosophie, pour ne pas une vie éthiquement correct. Pierre a écrit sa 2e
épître pour avertir les faux docteurs de leur doctrine d’Antinomianisme qui a
été répandu, c’est-à-dire la non-nécessité de l’éthique du chrétien (celui-ci n’a
pas besoin de vivre moralement correcte). Les biblistes considèrent que ces
faux docteurs sont précurseurs des agnostiques. Dieu a envoyé son Fils unique
par le processus de l’incarnation, afin qu’il montre à l’homme qui il est et ce
qu’il doit faire.
Or,
dans la déontologie de Jésus, il y a une règle inviolable. C’est ce qui est
déjà démontré par l’exemple de Jean-Baptiste qui dit, « Moi, je suis rien.
Je ne suis pas digne de délier sa sandale, je ne le connaisse pas mais je l’ai
vu et j’ai rendu témoignage. » Autrement dit que tout son être est comme
si quelqu’un de supérieur lui dicte. Il en est de même pour Jésus. Jésus
ne faisait rien pour lui-même, mais il dit « mon heure n’est pas encore
arrivé » à Marie qui lui demande de faire quelque chose pour la maison de
noces qui manquent le vin. Puis, il dit à Jean le Baptiseur qui s’y oppose,
« il est convenable que nous accomplissions ainsi toute justice » (Mt
3 :15). Donc, Jésus n’agit pas de façon autonome, mais il se fait dicter
par Dieu, le Père pour qu’il accomplisse sa volonté. Il en est de même pour
l’homme. L’homme a sa propre volonté, et de nos jours il jouit d’une énorme
liberté par rapport à l’ancienne époque. Mais l’homme n’est pas là pour vivre
comme lui semble bon. Il doit suivre la moralité dictée par Dieu son Créateur. Puis
sa déontologie a un principe de constance. Il n’est pas irrégulier. Dieu est
constant, donc, il est le même hier et aujourd’hui. Aux yeux de Dieu, ceux qui
sont réguliers sont comme perles. Regardez notre sœur Elise. Elle est
constante, qu’il pleuve ou neige. Dieu ne dorme ni sommeille, donc sans cesse
Jésus travaille. Il ne se repose pas le sabbat, car Dieu ne chôme pas ce jour.
Dieu s’est reposé lors de la création, mais Satan n’y est pas là. Après la
chute, Dieu s’est décidé de travailler même le 7e jour, car le repos
de l’âme de l’homme y est quasi-inexistant.
Il
y a le pouvoir commun entre le Père et le Fils, mais il y a le pouvoir cédé du
premier au dernier. Le Père et le Fils ont tous deux le pouvoir de la
résurrection. Le Père peut ressusciter les morts, et le Fils le peut également.
Puis, le Père ne juge personne, mais il a cédé ce pouvoir de jugement au Fils.
Pourquoi cela ? Parfois les gens considèrent que Dieu me juge, et il est
un Dieu cruel, mais nous devons savoir que notre Dieu dans les cieux est un
Dieu aimant. Il est le Dieu d’amour. Si nous lisons du premier au troisième
chapitre de la Genèse, nous voyons d’abord le Dieu Elohim. Il est le Dieu
Tout-puissant. Ensuite, nous rencontrons le Dieu de Jéhova, c’est le Dieu
d’amour. Il a formé l’homme de la poussière du sol, y insuffle son souffle et l’homme
est devenu vivant. Puis, il donne un beau jardin en Eden pleine de pierres
précieuse, et donne de la nourriture puis donne la mission, c’est-à-dire le travail,
puis un ordre à observer pour maintenir la relation et enfin la famille. Mais
l’homme a désobéi au commandement et alors Dieu le chasse. Il semble que Dieu
juge l’homme. Mais au milieu de cette punition, Dieu parle la venue du Messie.
Gn 3 :15 dit à Satan qui a tenté l’homme, « Je mettrai inimité entre
toi et la femme, Entre ta descendance et sa descendance : Celle-ci
t’écrasera la tête, Et tu lui écrasera le talon. » Il revêtit de peaux
sacrifiées Adam et Eve nus. Dieu est ainsi le Dieu aimant. Il y a beaucoup de
préjugé sur Dieu. Au milieu du péché de l’homme, Dieu manifeste son amour,
jusqu’à sacrifier son Fils. De plus, il n’a pas éliminé le jardin, mais attend
le retour de l’homme pour le lui redonner.
Or,
quand la Bible dit que Dieu a remis tout jugement au Fils, il est excepté que
Dieu juge l’ange déchu et sa troupe. Seulement pour tout homme, c’est Jésus qui
juge. Tout homme devra se tenir debout un jour devant le tribunal du Christ
pour être jugé selon ce qu’il aura fait dans son corps soit en bien soit en
mal. Pourquoi le Père a cédé le jugement au Fils. Bien sûr que ce n’est pas que
le Père évite la chose désagréable, et exerce seulement la chose favorable
telle résurrection. C’est parce que le Fils est digne d’exercer ce rôle. Il est
celui qui a obéi à la volonté de Dieu et est venu sur la terre et s’est
sacrifié jusqu’à donner sa vie sur la croix. Les juges du monde jugent selon
les lois. Mais eux n’ont rien à voir avec les condamnés. Les juges sont ceux
qui font la sentence et les condamnés subissent les conséquences de leurs
actes. Leurs actes sont tout à fait justes et ils sont traités selon la
justice. Puis, les derniers sont acquittés par leur peine. Mais malgré cette
peine, il y a une conscience chez les condamnés qui doit être réparée s’il a
par exemple tué quelqu’un. Mais le jugement de Jésus est différent. Il est
celui qui a porté la condamnation à la place de condamné. Par son supplice, il a
remboursé de la dette pour rendre ce dernier pur et innocent. Non seulement la
peine corporelle, mais la peine de conscience sont toutes substituées. Donc, il
est entièrement pardonné par ce sacrifice de Jésus, le Fils. Pour le pécheur,
il n’y a rien à régler envers Dieu, car son Fils lui a tout enlevé de mauvais
et l’a fait devenir une nouvelle création toute pure et toute innocente. Donc,
ce Fils peut juger l’homme. Il a versé son sang pour toute l’humanité. Donc,
sans aucune exception, tout doit se tenir debout devant lui pour être jugé.
Mais vous vous dites, « qu’est-ce qui arrivera à ¼ de la population de la
planète, qui n’ont jamais entendu parler de Jésus ? » Oui, c’est une
grande problématique. Qu’est-ce qu’ils vont devenir au jour du jugement ?
Quand Wesley Duewel prêche le jugement devant les indiens, un des anciens
brandit ses mains, « de quelle époque tu parles ? ». A la réponse de
2000 ans, il répliqua, « comment tu prends 2000 ans pour que tu n’apportes
cette nouvelle que maintenant et tous nos ancêtres meurent sous la
condamnation. » C’est vrai. Mais pour ces gens, la Bible dit, notre juge
s’appuie sur la conscience écrite dans le cœur. Beaucoup ressentaient au fond
de leur cœur, un besoin d’un Messie dans leur vie. Car ils savaient qu’ils ne
pouvaient s’acheter eux-mêmes, même par le rituel le plus rigoureux du monde.
Ils attendaient la venue du Messie.
En
tout cas, le jugement ne s’applique pas seulement aux non-croyants, mais aussi
et surtout aux croyants. Il y a beaucoup de faux-semblants chrétiens.
Beaucoup de gens pensent qu’une fois croire ou une fois baptisé, le salut est
accompli et ensuite vivent comme les non-croyants. Ils viennent une fois par
semaine à l’église, et pendant toute la semaine, ils vivent exactement comme
les non-croyants, en s’adonnant à leur désir et se battant avec les autres. Un
prélat dont j’ai parlé là-haut, qui vivait tout à fait opposé à l’enseignement
qu’il fait aux jeunes n’écopera pas de 18 ans de prison, mais l’éternelle
condamnation. Nous serons tous jugés, car nous portons le titre de chrétien,
via Jésus-Christ, notre digne Juge. Son interrogatoire est de cette
sorte : « Qu’as-tu fait avec ta vie que je t’ai racheté par mon
sang ? » Comme celui qui est invité au festin du roi avec son
vêtement d’ouvrier journalier, a gardé le silence à la question de l’hôte, et
jeté dehors pour grincer les dents, tous ceux qui garderont le silence à ce
moment seront jugés et jetés dehors.
Qui
sera jugé bonnement et qui sera jugé mauvaisement ? Personne ne le sait,
si ce n’est que Jésus. Je vous poserai une question. Je crois qu’il y a parmi
nos brebis les gens de croyance de Mormon ? Comme c’est une secte, tous
ceux qui y appartiennent périront-ils ? J’en suis pas très sûr, car
qu’ont-ils commis de mal, si dans la maternité, leur parent les ont éduqué
selon leur croyance ou si dans leur difficulté de la vie, quelqu’un
s’adresse et parle de la doctrine erroné et les inculque ? Témoin de
Jéhova se base sur Apcalpyse 5 :10, « ils règneront sur le
monde » insistent sur le paradis terrestre. Leur adeptes modifient même en
voulant l’accentuer en disant, « ils doivent régner sur le monde. »
Donc, quand Jésus vient, il jugera le monde, et au lieu de faire entrer les
gens sauf les élus très sélectionnés, la plupart resteront sur la terre et
vivrons éternellement sur la terre. Mais si on voit l’original hébreux, le mot
futur « régneront » est plutôt « règnent ». Quoi qu’il en
soit, les rachetés de Jésus régneront dans le royaume de Dieu et ils règnent
même sur la terre dès maintenant. Ce qui est tout à fait compréhensible même
enfants si on lit en globalité la Bible. Que devons-nous faire pour les
sectaires ? Rien, car ils sont tellement inculqués dedans. Mais nous
pouvons prier que l’Esprit ouvre leurs yeux pour saisir la Vérité, quand ils
lisent la Bible à cœur ouvert. Mais toujours cette question demeure : qui
sera plutôt sauvé entre un chrétien de bonne doctrine qui ne vit pas la
doctrine et un sectaire qui donne toute sa vie innocente à son Dieu.
Dans
les années 80, il y eut un allemand dans le témoin de Jéhova, avant qu’il y
soit adepte, a rencontré un homme à la gare. En effet, à cause d’un choc
électrocuté, il a du coupé deux bras. Ce dernier s’est adressé à lui et lui a
posé une question, « Ne sais-tu pas que Dieu te donne deux bras de
nouveau. » Quel affront de poser une telle question, l’handicapé est
souvent le plus sensible du monde ! Mais un autre jour, il a rencontré un autre
adepte de la même croyance, et commencé à étudier la parole et accepté sa doctrine.
C’est dommage qu’il croit qu’encore Jésus revient et lui donne de nouveaux
bras. En tout cas, il a eu une grande joie et poussé par celle-ci, à un moment
donné, il a décidé de donner 60 heures par semaine pour enseigner et prêcher la
parole aux gens. Ca a donné vraiment la joie, et il a décidé de prolonger sa
décision jusqu’à 3 années complètes, ce qu’il a réussi. Son dévouement est
extraordinaire malgré sa situation handicapée et il aurait certainement
encouragé beaucoup de ses coreligionnaires. Il aurait aussi porté beaucoup de
fruits d’âmes ‘sauvées’ dans leur croyance bien sûr. Mon point, c’est que qui
sera sauvé entre ce sectaire diligent et un soi-disant chrétien mais qui ne
s’ennuie de la vie. C’est à voir. Votre réponse éventuelle, « tous les
deux sont condamnés » possible. Non, vu le travail assidu d’une part et la
croyance assez correcte d’autre part, tous les deux sauvés. C’est possible.
Mais personne ne sait. En tout cas celui qui a le pouvoir de jugement, c’est
Jésus. Nous aurons la réponse finale quand nous nous tenons devant lui.
Malgré cette incertitude du jugement, une chose qui nous paraît sûr c’est qu’un
chrétien dévoué qui vit sa chrétienté toute sa vie ne sera pas condamné et il
sera sauvé. Beaucoup de gens, à cause du manque d’entrainement de la vie, adoptent
cette ligne de conduite : « si cela me dit, je suis motivé, mais si
cela ne me dit rien, je ne suis pas assez motivé, tiens moi excusé de mon
indisposition. » Leur vie reste toujours infructueuse, car ils ne peuvent
entraîner les autres, avec leur état immature. Ils élèvent les gens aussi
prétentieux qu’eux-mêmes. Ce n’est pourtant pas moi qui juge, sinon je serais
trop prétentieux ; c’est Jésus qui doit juger. Donc, je m’excuse un
peu.
Deuxièmement,
la parole de Dieu mène au salut. Regardez le verset 24, que nous souvent
considérons comme un des versets clé évangéliques. C’est déjà 3e
fois suivi par la 4e immédiate que Jésus se sert de cette
expression, « en vérité, en vérité… » après que nous l’avons vue en
cas de la vision céleste donnée à Nathanaël, la doctrine de la nouvelle
naissance donnée à Nicodème. Donc, ceci est un enseignement important pour
l’homme qui touche à la Vérité. Il se lit, « En vérité, en vérité, je vous
le dis, celui qui écoute ma parole et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la
vie éternelle et ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la
vie. » Comme il est dit précédemment, Dieu le Père a remis tout jugement à
Jésus, son Fils. Donc, tout être humain doit passer par le jugement pratiqué
par le Fils au tribunal dans le dernier temps. Mais ici, quand Jésus dit dans
ce verset le jugement, il s’agit de la condamnation éternelle de l’enfer. Aucun
homme ne peut éviter le jugement de la condamnation éternelle, car il est déchu
de Dieu et chassé du paradis à cause de son péché. C’est un peu comme l’épisode
du désert de Sin où Dieu a envoyé les serpents brûlants aux Israélites
plaintifs, afin que toutes les personnes soient mordues et meurent de leur
poison. Puis quiconque lève la tête regarder le serpent de bronze élevé par
Moïse, voit sa vie sauve. A la suite de cette histoire citée, Jésus disait,
« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, afin que quiconque
croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » Donc,
selon ce verset, sans croire en Jésus, tous sont destinés à la perdition
éternelle. Mais si on croit le don de Dieu Jésus par son amour pour le monde,
il est sauvé de la perdition et en vient à avoir la vie éternelle. Ca semble
être trop simple pour être vrai. Mon copain matinal de sport m’a dit au sujet
de l’élection d’un jeune président, « ça semble être trop beau pour être
vrai. » Mais c’est un peu ça pour notre vérité. Cette vérité est trop belle
et trop simple pour être vrai. Même les enfants n’auront pas la difficulté de l’accepter.
Mais croire en Jésus signifie croire en sa parole, car comme nous avons appris
au début de cet évangile, Jésus est la Parole en P majuscule. C’est la Parole
qui s’est fait chair pour demeure avec nous. Donc, croire en Jésus n’est rien
d’autre que de croire en sa Parole. Le verset 5 :24 dit donc, « celui qui
écoute ma parole. » La parole de Jésus est différente de la parole des
hommes. Il est la parole du Créateur qui a fait sortir du néant la création. La
parole humaine sort de la bouche et fait un peu d’effet avant de disparaître.
Parfois la parole d’un homme peut faire l’écho durant les générations, par
exemple, Socrate a dit, « connais-toi toi-même. » Cette parole est
une sorte d’incarnation de la personne de Socrate. Mais cette parole ne peut
pas sauver l’homme. Par contre la parole de Jésus a la puissance de sauver
l’homme, car elle est Jésus lui-même dès le commencement. Puis, il faut croire
en le fait que Dieu a envoyé son Fils au monde pour le sauver. Donc, si on
résume ce début du verset, nous en venons à conclure que c’est une répétition
de la vérité d’incarnation divine. La Parole qui est Fils s’est faite chair et
vint au monde par la volonté du Père de l’envoyer pour le sauver. Et quiconque
croit en ce fait et écoute la parole du Fils comme vrai en vient à être sauvé.
Donc,
la parole que nous abordons et nous lisons habituellement dans la Bible n’est
pas quelque chose d’anodin. Bien sûr que nous pouvons le lire
intellectuellement, mais si au moins nous sommes accompagnés par l’Esprit de
Dieu pour comprendre les choses entre lignes, nous pouvons nous saisir de la
grande vérité et cela nous fait vivre. Cela nous empêche d’aller vers le chemin
des mortels à la condamnation éternelle et nous fait obtenir le salut éternel
et le royaume de Dieu. Or, si nous l’écoutons attentivement en dépendant de
l’Esprit de Dieu, quel que soit leur âge, nous pouvons obtenir le salut. Nous
ne venons pas à la mort, mais nous sommes passés de la mort à la vie. Il y a
quelque temps j’ai reçu une lettre du gouvernement coréen, qui dit que j’ai
perdu la nationalité coréenne. C’est par la suite de ma demande, car la Corée
ne permet pas d’avoir une double nationalité. C’est un peu comme cela, pour
quelqu’un qui croit en la parole de Jésus. Il n’appartient plus au pays de la
mort, au pays de Satan, au pays du péché, mais maintenant, il appartient au
pays de la vie, au royaume de Dieu et au pays de la lumière. Je ne dit pas ça,
vous êtes assez intelligent pour l’admettre, parce que la Corée est un pays de
mort, et la France est un pays de vie. Ici, ma vie ne se fait pas appliquer la
loi de la Corée, mais la loi de la France, de même le croyant désormais ne se
fait pas appliquer la loi de la mort, mais la loi du royaume de Dieu qui est
l’espérance vivante dans le royaume de Dieu.
Jésus
répète 4e fois ses mots en vérité en vérité dans le verset suivant.
Il dit, « l’heure vient – et c’est maintenant – ». Paul a dit c’est
maintenant le moment le plus favorable. Les gens aiment reporter au moment
ultérieur, mais pour Dieu le temps est toujours présent. Ce moment où vos amis
vous ont invités, ce moment où vous tombez dans une phrase de la Bible, ce
moment où vous avez l’occasion d’être ensemble avec ceux qui croient en Dieu
est un moment qui vous est arrivé par providence de Dieu en votre faveur. Donc
c’est maintenant, dit Jésus, l’heure de salut. Ce n’est pas comme les témoins
de Jéhova dit le temps de futur qu’il revient pour rétablir l’ordre sur la
terre si désordonné et toute anomalie soit corrigé, et la maladie et l’handicap
disparaissent. Non. Jésus n’en parle pas ici. Jésus dit que présentement, si
vous écoutez la parole de Dieu, vous êtes sauvés dès présent. Maintenant,
les morts entendent la voix du Fils de Dieu, et ils vivent de vrai. Que veut
dire cela ? Les hommes sont morts quoi que vivants, car ils sont soumis à
la puissance du péché excité par Satan. Mais quand à présent ils écoutent la
parole de Dieu, un grand miracle surgit. Ils sentent le salut dans son âme.
Jusqu’à maintenant, ils sentaient que la mort les poursuivait tout le temps,
mais maintenant où ils écoutent la parole de Jésus, ils se sentent plus
désespérés, mais dans leur âme sentent-ils surgir une vie puissante et
vigoureuse. Leur vie, quoi que sa condition soit favorable, semblait errer sans
fin dans l’obscurité du fatalisme et du nihilisme. Mais maintenant où la parole
de Jésus frappe les tympans de leurs oreilles et leur intelligence accepte la
vérité da la parole, l’âme ne sent plus la mort, mais la vie éternelle dans le
royaume de Dieu. Dans le verset 28, de nouveau Jésus dit que l’heure vient. Ici,
heure n’est pas l’heure présente, mais un moment d’avenir. On ne sait quand
elle vient, mais elle vient sans faute. A ce moment, l’efficacité et la
validité de la parole du Fils de Dieu ne sera pas changé. Elle est toujours
puissante, en sorte qu’elle exerce le salut auprès des hommes. Cette fois, elle
s’applique aux physiquement morts en contraste aux spirituellement morts
mentionnés de là-haut. Ceux-ci dans leur tombeau entendront la voix et ils se
lèveront, c’est-à-dire ils ressusciteront. 1Thessalonicien 4 :16 décrit
précisément la scène de la résurrection des saints élus, « Car le Seigneur
lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, au son de la trompette de
Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront en premier lieu.
Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons enlevés ensemble avec
eux dans les nués, à la rencontre du Seigneur dans les aires, et ainsi nous
serons toujours avec le Seigneur. » Ici, il n’est pas écrit que Jésus le
Fils Dieu parle. Mais c’est implicite. Un appel à l’ordre sera prononcé de sa
bouche, alors les mortes en Christ ressusciteront. Mais en même temps que ces
morts ressuscitent et entrent dans le règne du Christ, les autres morts
ressusciteront également, mais pour qu’ils entrent dans le jugement éternel.
Vraiment
c’est une vérité étonnante, mais Jésus prévient qu’il ne faut pas s’étonner, car
c’est ce qu’il doit arriver au-delà de leur imagination. La voix du Fils de
Dieu a la même tonalité, mais pour ceux qui sont bons, c’est une voix du bon
berger, au sujet de laquelle Jésus aura dit, « les brebis entendent sa
voix ; il appelle par leur nom les brebis qui lui appartiennent et les
mène dehors. Lorsqu’il a fait sortir toutes celles qui lui appartiennent, il
marche devant elles ; et les brebis les suivent, parce qu’elles
connaissent sa voix. » Mais pour ceux qui sont méchants, c’est une voix de
tonnerre. Cette voix d’une tonalité si douce ne leur fait que les inspirer
d’une peur insupportable et d’une prémonition du jugement redoutable. En effet
cette voix est un préambule. Tous les
hommes seront, en l’écoutant, ressuscités pour être convoqués au tribunal du
Christ, qui va les juger selon leur vie. Chaque vie sera jugée selon le motif
de conscience. Ceux qui auront vécu selon le motif de l’égoïsme et de l’hédonisme
et vécu une telle vie seront jugés, mais ceux qui auront vécu selon le motif de
l’altruisme et de la sainteté et vécu une vie de sacrifice recevront la
récompense du Seigneur. Le jugement du Fils de Dieu n’est pas arbitraire, comme
l’homme aurait imaginé souvent biaisé, comme si le jury est constitué par un
seul homme. Mais ce n’est pas le cas, car Jésus, quoi qu’il soit revêtu du
pouvoir du jugement, il n’est qu’un exécutif, Dieu le Père étant législateur.
Or, Jésus se conforme entièrement au Père qui a décrété la loi pour le salut des
hommes et leur condamnation.
Troisièmement,
les cinq témoins ou témoignages sur la véracité de la parole de Jésus. Donc,
nous avons assez de preuve pour croire en Jésus et sa parole. Selon la loi
mosaïque, pour un jugement juste, il faut deux ou trois témoins, qui l’attestent.
Donc Jésus se met à parler des témoins pour prouver que les religieux ont tort
de ne pas croire en lui. Une chose à évoquer avant tout, quand Jésus dit ici le
témoignage, c’est rien d’autre que la parole de Dieu. Donc, ici le thème
principal est la parole de Dieu. Elle est exprimé soit Parole, soit voix, soit
témoignage. Mais ils désignent la même chose. Parfois, nous lisons la parole du
pain quotidien, parfois nous entendons la voix de Dieu pendant la méditation,
et parfois nous entendons le témoignage de nos frères et sœurs. Mais tout cela
est l’outil dont Dieu dispose pour le salut des humains. Alors qui sont les
témoins pour attester la véracité de Jésus, le Fils de Dieu ? Nous notons qu’il
est au nombre de 5. D’abord, Jésus cite pour témoin Jean-Baptiste. Jésus ne reçoit
pas ni a besoin que l’homme lui rende témoignage. Il est Dieu, mais Jésus se
soumettait à lui avant de succéder son œuvre de Dieu qui avait débuté par lui.
Jésus parle de Jean, car il était le serviteur respecté par ces religieux
charnels qui ne croyaient qu’à ce qu’ils voient. Jean-Baptiste est un serviteur
de Dieu qui rendait témoignage à la vérité qui est Jésus, le Messie. Les Juifs
ont accepté qu’il était une lampe, et c’était juste. Devant la célébrité de
Jean, ils l’enviaient et ont envoyé une délégation. Ils ont voulu se réjouir à
la lumière, mais sans tarder, ils se sont heurtés à la barrière. Son témoignage
n’est pas très propice pour eux. Il témoignait de Jésus, qu’il est l’Agneau de
Dieu qui ôte le péché du monde. Ce message cognait, car ça fait un mauvais
augure, « Agneau » ? C’est contraire à leur croyance :
l’agneau doit être apporté par eux, et il ôte un peu la charge de conscience,
pas beaucoup, de sorte qu’ils ne perdent pas le travail de dépouiller et offrir
une bête chaque année. Alors cette déclaration de Jean cogne, car ça donne
l’impression que cet Agneau humain voulait ôter le péché du monde entier et
cela une fois pour toute. Donc, il s’oppose à son message et en vient à le
rejeter complètement. Si nous recevons
le témoignage de Jean-Baptiste sincèrement, nous pouvons reconnaître que Jésus
est le Messie et sa parole est la vérité.
Deuxième
témoin (cette fois c’est plutôt le témoignage) que Jésus cite ce sont ses
œuvres. Jésus dit, « Moi, j’ai un témoignage plus grand que celui de
Jean ; car les œuvres que le Père m’a donné d’accomplir, ces œuvres mêmes
que je fais témoignent de moi que le Père m’a envoyé. » Les Pharisiens,
obsédés par leur désir de renier la Seigneurie de Jésus, n’acceptent aucun de
ses grandes œuvres et insistent de leur monter de nouveaux miracles. Les gens
modernes sont devenus insensibles aux œuvres de Jésus, au fur et à mesure de la
multiplicité de découverte scientifique. Mais ce n’est rien par rapport à la
grandeur de notre Créateur. Les œuvres de Jésus sont multiples et elles sont
grandioses. Si nous tournons nos regards vers ces œuvres, nous ne pouvons nous
empêcher de l’accepter comme notre Sauveur et sa parole par laquelle il les a
exercés est la vérité. La plus grande œuvre de Dieu est le pardon de nos péchés
et le salut de nos âmes, ce qui était tout à fait possible, mais qui est devenu
possible par le sang de Jésus-Christ.
Le
troisième témoin sera le Père lui-même. Quand Jésus est baptisé, le ciel
s’ouvre et Dieu le Père rend témoignage de Jésus, en disant, « voici mon
Fils Bien-aimé. » Ainsi Dieu le Père rend témoignage à la vérité de
l’incarnation. Mais à cause de leur idée fixe sur leur Dieu judaïsant, ils ne
croyaient pas en Dieu qui devait envoyer son Fils comme un homme pour sauver
l’humanité.
Le
quatrième témoin est les Ecritures, c’est-à-dire l’Ancien Testament. La bible
thomson, Esaïe est le prophète qui révèle le plus la venue du Messie. Il
enregistre ainsi dans son livre 3 référence sur l’histoire de Jésus, 9
références chacun sur la mission du Christ, et sur le titre du Christ, et enfin
14 référence sur les traits caractéristiques du Christ. A part Esaïe, il y a
beaucoup d’autres références sur le Christ dans l’Ancien Testament. Les Juifs
cherchaient la véracité de la parole de Dieu, et la sondaient chaque jour. Mais
malgré la multitude des prophéties concernant Jésus, ils n’ont pas saisi cette
prédiction du Messie à venir. Jésus dit, « Abraham, votre père, a
tressailli d’allégresse à la pensée de voir mon jour : il l’a vu et il
s’est réjoui. » Mais l’intelligence des Juifs est tellement enfermée dans
leur Judaïsme, qu’ils ne pouvaient trouver Jésus dans les Ecritures.
Le
cinquième témoin est la vie. Jean 1 :4 dit, « En elle était la vie et
la vie était la lumière des hommes. » Quand les gens regardent à Jésus,
ils voyaient la vie. Il ne cessait de jeter la lumière de la vie dans les
hommes. Le visage morne de l’officier royal à cause de son fils mourant s’est
mis à briller en raison de la guérison de son fils. La vie du malade de
Bethesda qui était comme mort a repris vie quand il a rencontré Jésus. Lazare
dont le corps est si froid dans le tombeau s’est mis à se réchauffer par la
chaleur de Jésus. Pendant tout itinéraire de Jésus, la vie ne cessait de
resplendir, et elle se propageait à tous. Ce peut être compris le témoignage
des œuvres de Jésus, mais, si les œuvres sont la révélation de la puissance de
Jésus, la vie est une révélation de Jésus lui-même. Elle est une preuve
incontestable de la messianité de Jésus.
Quatrièmement,
Jésus évoque 5 péchés des Pharisiens. Malgré la multiplicité des témoins et
témoignages, si on ne croie pas en Jésus, ce serait un grand péché. D’où cette
sévérité du reproche de Jésus envers les religieux. D’abord, ils ne veulent pas
venir à Jésus. Ils sentent un grand besoin du pardon et du salut. Mais à cause
de leur prestige et fierté humaine, ils ne dirigent pas leurs pas vers Jésus.
Nicodème qui a rendu visite de nuit à Jésus est le cas exceptionnel. Si on est
noyé dans l’étang de profondeur, on est obligé d’attraper même une paille. Mais
rares sont les gens qui manifestent cette nécessité de la venue au Messie. Mais
les gens sont tellement préoccupés des leurs affaires, qu’ils manifestent peu
leur intérêt spirituel et la nécessité de la relation avec Dieu. Venir à Jésus
signifie vernir à l’Eglise, son corps où on peut contempler le visage rayonnant
du pasteur, quoi qu’un peu ridé. J’ai entendu qu’un pasteur a fait une campagne
d’une réunion de plus. Il est un peu douteux qu’une personne qui ne vient pas
régulièrement au culte de dimanche prend une décision de participer à toutes
les réunions de l’église. Il est plutôt judicieux d’augmenter le nombre de
participation un plus un. Ce pasteur a témoigné qu’il a obtenu un succès
satisfaisant par cette campagne. Mon désir est que les milles fidèles de CCU
gardant leur bible sous aisselle chaque matin de dimanche pour se diriger vers
l’église. Je suis fier de voir trentaine de fidèles se diriger vers l’église
dès matin le mercredi. Nous devons venir à Jésus de plus en plus en sentant nos
besoins spirituels accrus.
Ensuite,
ils n’ont pas en eux l’amour de Dieu. Quand on vit dans une société égoïste et
individualiste, il est difficile de concevoir l’amour envers une âme. On
compare vite le résultat par rapport à l’effort fourni. Puis on abandonne si on
ne voit pas le résultat capitalisable immédiat et vite se déconnecte. Mais le
labeur spirituel est un travail à la longue haleine et exige la maîtrise de soi.
Très fort dans l’amour de soi, les Pharisiens n’ont pas de place pour concevoir
l’amour de Dieu et l’amour des brebis. Que doit faire pour avoir en nous l’amour
de Dieu et le faire croître ? Galates 5 : 22 dit, « Mais le
fruit de l’Esprit est amour, joie, patience, bonté, bienveillance, fidélité,
douceur, maîtrise de soi. » L’amour et la maîtrise de soi sont assez
éloignés dans cette énumération. Mais ce n’est pas le cas, sans maîtrise de soi,
on ne peut vraiment aimer quelqu’un. Quelqu’un a demandé à un couple qui fête 40e
anniversaire de leur mariage, au sujet du secret de la réussite de leur vie
conjugale. Le mari a répondu, qu’il n’a jamais utilisé le mot
« toujours ». Combien facilement nous utilisons ce mot, par exemple,
« Tu es toujours comme ça. » « Tu es toujours colérique »,
« tu fais toujours la même cuisine », etc. Ces phrases ne sont que le
revers du manque de l’amour de Dieu. Mais par leurs mots emportés par le
sentiment, les gens voient souvent s’évaporer le peu d’amour qui nait en
eux.
En
troisième lieu, ils ne reçoivent pas Jésus qui vient au nom de Dieu. En
français, Dieu est traduit comme Eternel. Les Juifs ont le respect du nom de
Dieu, d’où leur évitement d’appeler Dieu directement. Ainsi, il l’appelle en Elohim,
Jéhova Yréeh, Jéhova Shalom, Jéhova Shamma, etc. Pour Moïse, il est nommé
« je suis ». Malgré ce respect, quand Jésus dit qu’il est sorti de
Dieu et vient au nom de Dieu, ils lèvent la pierre pour le lapider.
En
quatrième lieu, ils reçoivent la gloire les uns des autres. Jésus dit qu’il ne
reçoit pas la gloire des hommes. Que veut dire cela, alors qu’il est normal que
le Fils de Dieu n’a pas besoin de chercher la gloire des hommes. C’est pour son
peuple qu’il a dit cela. Si on est le peuple de Dieu, ses membres ne doivent
pas vivre devant les hommes, mais devant Dieu. Mais beaucoup de gens vivent
devant les hommes pour obtenir la reconnaissance des hommes. Ce n’est qu’une
futilité, n’ayant aucun sens. Mais il y en a beaucoup qui se comportent comme
si quelque récompense est le but de leur existence. Les Juifs ne cherchaient
pas la gloire venant de Dieu. Ils se plaisaient de se donner la gloire les uns
aux autres et s’en sentaient consolation. Aussi n’arrivaient-ils pas glorifier
le nom de Dieu malgré leur haute religiosité apparente.
En
cinquième lieu, ils sondent les Ecritures sans saisir le noyau du message de
Dieu, donc ils sont des faux étudiants de la Bible. C’est à cause de leur
mauvais but de la vie de devenir homme religieux. Lors de la naissance de
Jésus, Hérode a appelé les sacrificateurs pour demander où doit naître le
Sauveur. Les gens qui sont versé dans la Bible, mettent leur doigt sur un
passage de Michée pour dire que l’endroit où doit naître le Sauveur est
Bethlehem. Ils sont si versés si savants, mais ils ne vivent pas la Bible. Lors
du jugement, ces Ecritures vont les accuser à cause de leur double vie. Que
Dieu vous bénisse avec ce verset évangélique que quiconque écoute à sa parole
et croit à celui qui a envoyé Jésus ne vient pas au jugement, mais qu’il est
passé de la mort à la vie.
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