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vendredi 4 septembre 2020

Job 10 : 1-22 (PQ 04/09/2020)

 JOB PARLE DE L’AMERTUME DE L’AME

Job 10 : 1-22                                                                             

Job 10 :2

La souffrance arrive à chacun dans ce monde déchu. La différence vient du fait qu’on la traverse avec ou sans Dieu. Job n’a pas rejeté Dieu, mais cherche des réponses en lui.

1. Je laisserai s’exprimer ma plainte (1-12)

Job est dans une grande peine, une peine qu’il ne peut comprendre. Il se plaint à Dieu qui l’a créé. Il ne doit pas douter de la souveraineté de Dieu, il ne doit pas se considérer comme un orphelin dans l’univers. Il sait que Dieu le créa personnellement et que Dieu avait veillé sur lui. Il a pleinement conscience que Dieu connaît son agonie. C’est pourquoi il poussait des plaintes vers Dieu.

2. Rassasié de mépris (13-22)

Il se demanda si Dieu était un policier céleste, juste bon à l’attendre au tournant pour l’attraper dès qu’il commettrait quelques méfaits. S’il est juste, il attendra un jugement dur. Même s’il est innocent, il est rempli de honte. S’il essaie de surmonter sa honte et de lever sa tête, il sent que Dieu le traquera une fois de plus. Il demande à Dieu de l’oublier pour quelques temps. Plus tard, il se repentira de ses idées erronées sur Dieu.

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