JOB PARLE DE L’AMERTUME DE L’AME
Job 10
: 1-22
Job 10 :2
La souffrance
arrive à chacun dans ce monde déchu. La différence vient du fait qu’on la
traverse avec ou sans Dieu. Job n’a pas rejeté Dieu, mais cherche des réponses
en lui.
1. Je laisserai
s’exprimer ma plainte (1-12)
Job est dans
une grande peine, une peine qu’il ne peut comprendre. Il se plaint à Dieu qui
l’a créé. Il ne doit pas douter de la souveraineté de Dieu, il ne doit pas se
considérer comme un orphelin dans l’univers. Il sait que Dieu le créa
personnellement et que Dieu avait veillé sur lui. Il a pleinement conscience que
Dieu connaît son agonie. C’est pourquoi il poussait des plaintes vers Dieu.
2. Rassasié de
mépris (13-22)
Il se demanda
si Dieu était un policier céleste, juste bon à l’attendre au tournant pour
l’attraper dès qu’il commettrait quelques méfaits. S’il est juste, il attendra
un jugement dur. Même s’il est innocent, il est rempli de honte. S’il essaie de
surmonter sa honte et de lever sa tête, il sent que Dieu le traquera une fois
de plus. Il demande à Dieu de l’oublier pour quelques temps. Plus tard, il se repentira
de ses idées erronées sur Dieu.
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