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mardi 22 septembre 2020

Job 29 :1-30 :31 (PQ du 23 09 2020)

COMME AU JOUR OU DIEU ME GARDAIT

Job 29 : 1-30 : 31

Verset clé Job 29 : 3-4

En se souvenant du passé où Dieu était avec lui Job était rempli de joie. Mais maintenant étant coupé de la grâce de Dieu son âme et son corp souffraient énormément. A travers le monologue de Job nous pouvons apprendre quelle est la plus grande souffrance de l’homme.

1. Lorsque je marche dans la lumière de Dieu (29 : 1-25)

Job se remémorait les jours bénis où Dieu le gardait. Il savait où il allait parce que la lumière de Dieu brillait dans son cœur. Il était comme un arbre dont les racines étaient à portée de l’eau. Il aida le pauvre et l’orphelin (en réponse à Eliphaz - 22 : 9) et il était respecté par tous. 

2. Mes entrailles bouillonnent sans relâche (30 :1-31)

La détresse de Job est aggravée par le dédain et les moqueries de certains jeunes hommes, des chansons de jeunes de conditions modestes. Depuis que Dieu a ‘mis à découvert ce qui me restait’ en me laissant sans aide et vulnérable, ces hommes ont vite pris l’avantage sur ce manque de défense total. Cependant, la part de souffrance la plus pénible de Job vient de son péché qui fait qu’il ne peut rencontrer Dieu ou comprendre ce que Dieu veut faire. Il désire fortement que sa communion avec Dieu soit restaurée mais Dieu ne semble pas entendre ses cris. C’est pourquoi ses entrailles bouillonnent sans relâche. Quelle est la plus grande tristesse dans ta vie ?

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