LA LOI CONCERNANT LA PRÉJUDICE
Verset Clé 20 :22
Le
texte peut se diviser en loi sur les blessures et loi sur les dommages. Souvent
les deux sont liés.
1. Les
lois sur les blessures (12-36)
Dieu part de son principe qui est le respect de la vie
(Gn 9 :5). Donc, celui qui donne le coup meurtrier sera vengé. Ici, le
pardon n’a pas de place à mettre les pieds, seule la loi de talion contrôle la
vie. Néanmoins, Dieu donne le trou d’air, car il n’est pas indifférent de la
volonté de l’homme. Ainsi, l’intention de l’homme est mis en considération. Le
refuge sera fourni à ceux qui blessent involontairement, mais ceux qui frappent
avec l’intention de nuire, seront justement rétribué et vengés au prorata de la
gravité de ses actes. Puis, la prudence et la surveillance de la possession est
exigées, si bien que chacun se charge de la responsabilité. Si le propriétaire
est par exemple averti mais frappé par sa négligence, il sera puni. Il est
rigolo de voir qu’un esclave est
libéré en cas de son dommage de dent. Dieu s’intéresse aux membres de corps
dont le dent qui est un outil indispensable pour maintenir le corps en bonne
santé.
2. Les lois sur les dommages (37-22 :14)
Cette
partie se divise en la loi sur la compensation de vol et la loi sur le crédit.
D’abord, le vol est interdit, et celui qui a volé doit compensé avec la quantité
multipliée. Le manque de moyen exige la vente de corps. L’auto-défense en cas de
vol est justifié et le propriétaire de l’animal qui ravage le propriété des
autres, doit compensé la perte de ceux-ci. La volonté de Dieu ic est que chacun
respecte la propriété des autres. Ensuite, lors du crédit, si le dommage arrive,
le serment devant Dieu compte. C’est l’examen de conscience et l’empêchement de
la décision arbitraire. Les choses mises à garde ont toujours le risque d’être
objet de fraude. Dieu fait en sorte que par le juge, la vérité et la fausseté
soient bien distingués et si le vol s’est avéré, il faut compenser le double.
Dans la communauté où Dieu règne, il faut se battre positivement contre la
convoitise, et ceux à qui on a confié les biens doivent faire ses mieux pour
profiter aux gens qui les leur ont confiés.
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