LA BÉNÉDICTION DE LA VIE
Verset Clé 9 : 9
L’ecclésiaste
parle de la bénédiction qui est la vie. Pourquoi le vivant est-il plus béni que
le défunt ? (1-6) Puis quelle vie doivent mener les sages et
pourquoi cela ? Ce sont les matières de réflexion d’aujourd’hui.
1. La
valeur précieuse de la vie (1-6)
L’ecclésiaste amplifie le sujet sur l’injustice qui
était apparu dans la deuxième partie du chapitre 8. L’ecclésiaste dit que aussi
bien le sage que le méchant reçoivent la rétribution qui correspond à leur, et
celle-ci est dans la main souveraine de Dieu. Il est difficile de savoir si les
gens l’aimeraient ou le haïraient. Aussi bien le sage que le méchant
expérimentent la vie en commun. Il dit que cela est vraiment mauvais. Donc, les
gens sont dominés par la méchanceté et la stupidité et finalement meurent avec
elles. Mais ceux qui sont vivants ont beaucoup plus d’espoir. Les défunts ne
connaissent pas l’affaire du monde, ni reçoivent la récompense et sont oubliés.
Même si la récompense des vivants n’apparaissent pas, les justes ne doivent pas
relâcher la valeur précieuse de la vie.
2. La vie comparable à la fête (7-10)
L’ecclésiaste
ordonne aux gens de se réjouir quand ils vivent dans la prémonition de la mort.
Il faut remercier Dieu de ce qu’il a donné la vie et vivre avec la joie. Il dit
qu’il faut se vêtir en blanc, parfumer d’huile la tête, et vivre comme dans la
fête. Puis, il faut vivre avec le conjoint en partageant cette joie avec lui.
Cela ne signifie pas une licence inconditionnelle, mais que de telle joie est
le don de Dieu et comme elle est la récompense du travail, il faut s’en réjouir.
Bien sûr qu’il est nécessaire que chacun doit s’efforcer de supporter le
travail qui lui est donné.
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