ELLE LUI DONNERA LE NOM
D’EMMANUEL
Verset Clé 7 :14
Il s’agit de la parole de la prophétie de la naissance de Jésus. Mais, il
fallait la foi pour voir ce signe plein de miséricorde de Dieu.
1. Une lampe sous le vent (1-9)
La période d’Ozias-Yotam-Ahaz est marqué par la guerre appelé « guerre
d’Ephraïm » et le pays a déringolé en l’état de destruction au milieu des
conflits internationaux. Juda, au lieu de dépendre de Dieu, s’appuyait plutôt
sur la puissance (l’Assyrie). Ahaz aurait du reconnaître que la menace de
l’étranger était due à l’infidélité du peuple envers leur Dieu et qu’elle était
la punition divine. Le roi et son peuple incrédule devaient sentir que leur
cœur se gelait comme la glace. Dieu avertit Ahaz qu’il ne devait pas perdre le
sang-froid et devait prendre le courage devant ces ennemis alliés qui n’étaient
que comme les tisons fumants. Le plan des ennemis de déchoir eet remplacer la
dynastie de David ne tiendra pas. Quoi que la puissance du mal soit grande,
elle ne peut s’opposer à Dieu. Plutôt à cause de leur orgueil, elle courra vers
la destruction. Rétsin, roi Araméen fut tué dans la guerre contre l’Assyrie et
Israël ne tarda pas de se ruiner. « Si on n’est pas ferme, on sera pas
affermi. » (9)
2. Le Seigneur lui-même donnera le signe (10-25)
Ahaz refusa la proposition d’Esaïe de chercher le
miracle, comme signe de la protection de Dieu contre l’ennemi. Au lieu d’avoir
humilité de demander l’aide Dieu, il s’appuyait sur son calcul de ralliement
avec la puissance étrangère. Alors il fut humilié et vaincu par l’Assyrie
elle-même. Alors que nous disons par bouche que nous croyons en Dieu, combien nous
avons de la difficulté de le pratiquer dans nos propres cas. Dieu montra le
signe lui-même. C’était une vierge enceinte et il lui donna lui-même le nom :
Emmanuel. Cette prophétie a été réalisée par la naissance de Jésus. Dans ce
signe est compris le fait que le monde incrédule subit la destruction et par
contre le peuple croyant a le salut. La volonté de Dieu est que le peuple de
Dieu fasse du retour vers lui. Il n’y a pas plus grand signe de miséricorde et
de grâce que la naissance miraculeuse de Jésus.
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