LE CHEMIN VERS
JERUSALEM, LE CHEMIN DES DISCIPLES
Verset Clé 9 :53,62
La parole d’aujourd’hui nous raconte ce qui était arrivé sur le chemin de
Jésus vers Jérusalem. Jésus eut l’esprit de ministère. Les disciples aussi doivent
avoir l’esprit de ministère pour le suivre.
1. Les Samaritains le rejetèrent (51-56)
Jésus et les disciples entrèrent dans la ville de Samarie. Les Samaritains,
une fois par le prêche de la femme samaritaine, reçurent l’Evangile de Jésus,
et furent convertis. Mais ils n’acceptèrent pas que Jésus montât à Jérusalem. Ils
ne purent pas encore surmonter la haine raciale, au point que le nom de
Jérusalem leur cause un sentiment allergique. Peut-être qu’en pressentant la
mort de Jésus, ils le rejetèrent et méprisèrent. Les disciples étaient en
colère de leur inhospitalité et les punir. Jésus était calme, car il savait
pourquoi il était venu. Il avait pris la ferme décision de monter là où la mort
l’attendait. Son but était de se donner à la mort pour amener beaucoup d’âmes
perdues vers le salut. Le rejet humain est peu de chose. Les disciples durent
s’approprier cet esprit de ministère, au lieu de se laisser exciter par la
réaction des gens momentanée.
2. Les candidats ratés du disciple (57-62)
Il apparaît trois candidats du disciple. Le premier
était volontaire de suivre, mais il n’a pas trop su ce qu’est de mener une vie
de disciple. Elle est remplie de broussailles, privée de tout confort. Le
deuxième, c’est Jésus l’appela, mais il hésita car son proche venait de décéder
et il voulut faire les funérailles d’abord. Sa priorité n’était pas Dieu, ce
qui l’amena enfin à se retirer. Le troisième est celui qui porta la
candidature, mais y mit une condition qu’il lui soit permis de faire congé de
sa famille. Ce peut être une demande peu importante, pouvant être permis. Mais
ce n’est pas ainsi. On dit qu’on discerne l’arbre dès le moment de sa pousse.
Ceux qui mettent trop accent sur le protocole humain ont un difficile accès au
royaume de Dieu. Le point commun que Jésus conclut pour ces trois est qu’ils
sont comparables à un agriculteur qui veut récolter une bonne moisson, mais leur
pensée médiocre attaché au passé leur en empêche.
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