LA LEÇON POUR LA CAUTION
ET LA PARESSE
Verset Clé 6 :6
L’auteur prévient deux maux : la caution en dehors de la capacité et
la paresse.
1. La leçon au sujet de
la caution (1-5)
Ici, surtout on prévient ceux qui font la caution de
façon téméraire sur les choses qu’on ne peut retenir. Malgré qu’on subisse la
honte, on ne doit pas faire ce genre de chose (1-5). Nous devons être prudent
en toutes choses. Ce n’est pas parce qu’il ne faut pas faire la promesse, mais
il faut reconnaître la faute de soi-même et accepter l’erreur de l’autrui, et ne
pas avancer la caution téméraire au-delà de la capacité. Nous sommes confronté
au cas où après la caution nous subissons parfois un grand dommage. Ce n’est
pas la sagesse qu’après avoir aidé l’autrui avec bon cœur, on subit la perte de
l’argent et l’homme. La caution doit se faire dans la limite de sa capacité de
porter la responsabilité avec prudence.
2. La leçon sur la paresse (6-11)
L’auteur prévient deux fois pour les paresseux
(6,9). Le paresseux doit recevoir la leçon en observant la diligence des
fourmis (6-8) et la recevoir aussi à travers la conséquence de la paresse
(9-11). Les fourmis préparent la nourriture en face de l’hiver qui approche.
Pour les fourmis, il n’y a pas de chef, ni surveillant, ni gouverneur, mais ils
ont la capacité d’initiative différemment des paresseux. Le paresseux se lève
tard, justifie leur fréquente sieste, mais la paresse détruit la capacité de la
production. La paresse fait sans faute venir la pauvreté et le dénuement, et
comme le voleur et l’armée, elle détruit ceux qui l’adoptent comme mode de vie.
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