MALHEUR A VOUS,
PHARISINES
Verset Clé 11 :
43
Aujourd’hui, Jésus reprocha sévèrement aux deux catégories religieuses.
Leur grand mal indiqué par Jésus est l’hypocrisie. Ils étaient les mauvaises
influences.
1. Malheurs à vous, Pharisiens (37-44)
Jésus fut invité par un des Pharisiens. Il était entouré par les ennemis.
Mais Jésus ne mâcha pas les mots et s’attaqua au noyau du problème de cette
sorte de leader religieux. Ils étaient très pinaillés en ce qui concernait
l’observation de la loi. Ils critiquèrent le fait que Jésus ne se fit pas
oblation. Jésus leur reprocha l’hypocrisie. Ils firent l’aumône à l’extérieur,
donc leur apparence était très pieuse. Mais leur intérieur était profondément
corrompu. Ils disaient que personne ne les voyait. Ainsi ils agissaient sans
crainte devant Dieu. Ils étaient la victime de la gloire humaine, en cherchant
toujours les premières places, mais sans qu’ils aient la qualité digne d’elles.
Leur situation est grave comme un tombeau sur lequel on marche sans savoir.
Leur chute sera désastreuse.
2. Malheur à vous, scribes (45-54)
Les scribes apparurent, pour se démarquer des
Pharisiens, en se justifiant. Mais Jésus leur fit le même reproche que les
Pharisien, car ils étaient aussi hypocrites que ceux-ci. Etant docteur de la
loi, ils connaissaient parfaitement la loi, donc ils imposaient la loi sur le
peuple. Mais en réalité, ils ne faisaient rien qui soient conforme à leur enseignement
de la loi dans leur vie. Donc, ils étaient hypocrites. L’ironie du sort, c’est
qu’ils construisirent les monuments pour les prophètes, mais ceux-ci avaient
été tués par leurs ancêtres. Ainsi ils voulaient camoufler leur méchanceté. Ils
pensaient que personne ne les voyait. Mais le compte de leurs mauvais actes
sera demandé un jour. Le plus grand mal, c’était que non seulement ils se
privèrent d’entrer dans le royaume de Dieu, mais aussi empêchèrent d’autres d’y
entrer par le biais de leur mauvaise influence. Jésus était non compromettant
vis-à-vis des maux des Juifs, ce qui lui amena une conséquence naturelle d’une persécution
meurtrière.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire