LA PARABOLE DU FILS PRODIGUE
Verset Clé 15 :18
Après avoir donné une parabole sur un être animé, et l’autre sur un être
inanimé, Jésus donne la 3e parabole sur un être humain. Donc,
si les deux premières sont allégoriques, cette dernière est réaliste. Et elle
se rapporte aussi au grand thème de l’humanité qui est la grâce versus la loi.
1. Voici qu’il était mort, mais il est revenu à la vie (11-24)
Le fils cadet était libertin. Il demanda l’héritage avant la mort de son
père et fit la balise pour partir au lointain pays pour y jouir de la vie
libertine. Quand il était riche, tout semblait être rose. Mais dès qu’il
gaspilla tout, les gens le quittèrent et de plus la circonstance de famine y
concourant, il tomba dans l’état d’une grande misère Il se rallia avec un
habitant pour garder les pourceaux. Il voulut satisfaire son ventre avec la
nourriture des animaux, mais personne ne la lui donna. A ce moment-là, un grand
bouleversement se produisit dans son cœur. Un cœur de repentance vint vers lui,
et il se sentit indigne et donc il décida enfin de retourner vers la maison de
son père. Père n’avait rien dit quand il avait quitté la maison, mais il
attendait chaque jour en regardant vers la plaine. Puis, quand il le vit
retourner, il fit le festin pour le commémorer. Il savait que c’était la
repentance qui l’avait amené à lui. Il savait qu’il était perdu dans le péché,
mais il était retrouvé par la grâce de Dieu.
2. Tu n’as jamais fait ça pour moi (25-32)
Le fils aîné était de retour de son champ de
travail. En entendant la musique et la danse, il interrogea le serviteur. En
prenant connaissance du retour de son fils cadet, et que toute cette fête était
pour lui, un grand mécontentement l’envahit, si bien qu’il grommela devant le
père. Ses pensées étaient basées sur le légalisme, si bien qu’il pensait que
ceux qui ont commis le péché serait digne de recevoir la punition et ceux qui
agissent bien moralement, doivent être récompensé. Mais étant sincère et
fidèle, il ignorait le cœur de Dieu qui sait pardonner aux pécheurs. Surtout il
ignorait que tout le royaume de Dieu lui appartient, et toute la maison de son
père aussi.
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