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mardi 8 janvier 2019

Luc 13 : 10-21 (PQ de 9/1/2019)

DETACHER OU NE PAS DETACHER, it’s question.

Verset Clé 13 : 16
En guérissant pour une femme infirme, Jésus montra quel est le problème, après quoi il donna une leçon importante sur le royaume.   
1.     Jésus guérit une femme infirme (10-17)   
Jésus enseigna dans la synagogue. Là était une femme infirme courbée depuis 18 ans. Dès qu’il la vit, Jésus fut touché par la compassion, et imposant la main sur elle, la guérit. Mais les leaders religieux le critiquèrent, en disant qu’il est interdit de guérir les malades le jour de Sabbat. Ils étaient établis comme les leaders de la nation, et dut voir la souffrance du peuple et venir au secours de celui-ci. Mais ils ne la voyaient pas mais pinaillaient sur la loi sabbatique. Leur observation était très stricte, mais ils omettaient l’essentiel qui est l’esprit dans la loi. Dieu est plein d’amour et il institua le sabbat avec cet amour, afin qu’à ce jour, le peuple pratique l’amour et la justice. Jésus dit « détacher » deux fois. Les gens détachaient les animaux domestiques, pour les faire boire. C’est pour satisfaire leur besoin matériel. Mais Jésus détacha la femme du lien de Satan qui l’accablait depuis 18 ans. Il fallait se réjouir. Mais les hypocrites ne savent pas comment rire au moment où ils peuvent rire. Dommage.  
2.     A quoi ressemble le royaume de Dieu ? (18-21)

L’homme est privé du royaume de Dieu, car il est lié au diable. Sans cesse celui-ci fait perdre le royaume de Dieu dans le cœur de l’homme. La femme infirme depuis 18 ans, ainsi que les leaders religieux, et tout être humain sont tous dans l’entrave de Satan. Ni personne ni rien ne peut délivrer l’homme de ce lien. Seul Jésus qui fut mort sur la croix peut délivrer l’homme de la main de Satan. Jésus donna deux paraboles pour expliquer le royaume de Dieu. Il est comme un grain de moutard. Sa petitesse du début n’a rien à voir avec la grandeur finale. C’est à notre insu que cette croissance arrive. Tous les oiseaux pourront demeurer sous les branches de l’arbre. La parabole du levain se réfère à la puissance. L’ennemi a beau l’empêcher. La compassion de Dieu l’emporte et le royaume grandit.

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