Nombre 6 :1-27 (PQ de 5/3/2019)

LE VŒU DE NAZIREAT

Verset clé: 6 :24-26

Ici est traité un type spécial de séparation appelé Naziréat, son exigence, la sanction en cas de rupture et la fin du vœu. Puis le chapitre raconte la bénédiction de l’assemblée faite par le sacrificateur.

1. Un vœu de séparation (1-21)

Il y a le temps où le peuple de Dieu a besoin de mettre à part un temps pour la discipline spirituelle et le fellowship spécial avec Dieu. Nous n’avons pas besoin de suivre en détail les règles pour prendre le vœu de Naziréat, mais quelque sorte de discipline qui conduit à la séparation du monde pendant un temps peut être très utile dans la croissance spirituelle. Il y a quelques gens dans la Bible qui semblaient avoir pris le vœu de Naziréat ; Samson et Jean-Baptiste sont deux exemples ; peut-être Paul prit un tel vœu dans deux occasions (Ac 18 :18 ; 21 :24-26). Mais la fondamentale différence avec ces cas est que cette institution juive qui existait déjà se rapport à la consécration volontaire des Naziréens.

2. La bénédiction sacerdotale (22-27)

Nous pourrons réussir dans tous nos plans et accomplir nos buts, et même avoir de familles heureuses. Mais s’il y a aucune bénédiction de Dieu dans nos vies, il n’y a aucune paix ni aucun sens. Pour avoir la bénédiction de Dieu, nous devons être le peuple de Dieu – nous devons porter son nom. Il y a trois versets progressifs : le premier se rapporte au bien-être physique et à la protection contre les difficultés externes, le premier stade de nos prières, puis le second se rapporte au domaine spirituel mais sur le monde entier, et le troisième au domaine spirituel sur soi-même terminant par le mot, paix.  

Nombre 5 :1-31 (PQ de 4/3/2019)

UN DIEU SAINT ; UN PEUPLE PUR

Verset clé: 5 :6, 7

Après le dénombrement, Dieu ordonna au peuple d’envoyer hors de camps ce qui n’est pas pur, car Dieu est saint. Cela prévoit que le racheté ne doit pas souiller son corps qui est le temple du Christ (1Co 3 :16,17).     

1. Puisque le Dieu saint demeure parmi vous (1-10)

Dieu voulait que son peuple soit pur en corps et en cœur. Les lépreux, les gonorrhées et les touchés de la mort sont considérés impurs devant Dieu. Donc, en les chassant hors de camp le peuple devait se garder propre, et cela implique que les cœurs souillés du péché devaient être punis. Le péché devait être confessé, la restitution être faite à la personne qui était endommagée, et un sacrifice de sang offert à Dieu pour le rachat. Un homme qui fait tort à un autre et ne remet pas correctement son péché est infidèle à l’Eternel.    

2. La loi sur la jalousie (11-15 ; 29-31)

Une personne qui est infidèle à son vœu de mariage est souillée. Un cœur jaloux souille aussi une personne, car la jalousie rend impossible à quelqu’un de voir lui-même et les autres du point de vue de Dieu. La loi sur la jalousie est donnée pour enlever la jalousie du cœur d’une personne. S’il y a une raison légitime pour la jalousie, alors la personne qui a été infidèle doit être punie. S’il n’y a aucun raison pour être jaloux, alors la personne jalouse doit se repentir et rejeter la jalousie de son cœur. Le mari ne doit pas douter sans cause sa femme. Si chacun garde la fidélité et se collabore, « on ne médite pas le mal » (1Co 13 :5). Si le cœur de mari est confiant, il reçoit le bénéfice (Pr 31 :11). Christ a pardonné la femme adultère. Maintenant le croyant racheté doit garder le corps et l’âme purement.

Nombre 4 :1-49 (à lire 1-33) (PQ de 3/3/2019)

NE TOLERE PAS LA CURIOSITE IRRESPECTUEUSE

Verset clé: 4 :20

Il est écrit deuxième convocation des Lévites. Les soldats étaient âgés de plus de 20 ans, mais les Lévites étaient dénombrés depuis 30 ans.    

1. La tâche des fils de Qehath (1-20)

Quand les Israélites levèrent le camp pour continuer leur voyage, Aaron et son fils (Qehathites) étaient désignés pour décrocher le voile de rideau et envelopper les objets saints de la tente de Rencontre. Les Qehathites sont les personnes clés qui s’occupaient des tâches noyau du sanctuaire au nombre de 5 (arche de témoignage de v. 5-6, table de proposition de v. 7-8, chandelier v. 9-10, table de parfum v. 11, autel v.13-14) Cependant, ils n’étaient pas à regarder ou toucher les choses saintes sous peine de la mort. La curiosité qui fait un homme violer des choses saintes est un péché devant Dieu. Plus la tâche est grande, plus le compte à régler lors de la violation est grand. Quand le peuple ne respecte pas Dieu, ils ne respectent pas les autres ni eux-mêmes.  

2. La tâche des autres Lévites (21-49)

Lévi, le fils de Jacob, avait 3 fils – Guerchon, Qehath et Mérari. Moïse et Aaron étaient descendants de Qehath. Ces trois clans avaient reçu la responsabilité de porter des objets pour le sanctuaire. Guerchon portaient les teintures, toiles et rideaux et Mérari portaient les planches, barres et colonnes, les objets plus lourds (Remarquez qu’ils avaient plus de travailleurs dénombrés que les autres, vu la lourdeur de la tâche) Pendant le voyage jusqu’à la Terre Promise, ces Lévites étaient responsables d’emballer et transporter la tente de Rencontre et ses ustensiles. Dieu lui-même assigne les tâches.

Nombre 3 :1-51 (à lire 1-13) (PQ de 2/3/2019)

ILS M’APPARTIENDRONT

Verset clé: 3 :13

Les Lévites étaient séparés du reste du peuple, pour marcher différemment des autres, car ils étaient chargés du devoir et de la responsabilité particulière concernant la tente de rencontre. La tâche de servir Dieu est une tâche mise à part, donc elle ne put être donnée à n’importe qui. Tout l’étranger qui l’approche meurt (10,38)    

1. Les Lévites sont à moi (1-4)

Aaron et ses descendants étaient ordonnés pour servir de sacrificateurs. Eux seuls pouvaient entrer dans le sanctuaire pour offrir les sacrifices pour le péché et pour prier à la place du peuple. C’est une tâche sainte à laquelle chaque sacrificateur fut invité à servir avec crainte et tremblement. Dans Lévitique 10, les deux fils aînés d’Aaron prirent à la légère leur devoir et moururent sur place.

2. Les premiers-nés sont à moi (5-51)

Au temps d’Exode, l’ange de l’Eternel avait traversé l’Egypte, frappant les premiers-nés. Les premiers-nés d’Israël étaient épargnés, non parce qu’ils étaient justes, mais parce que les Israélites avaient obéi à Dieu par la foi, et appliqué le sang de l’agneau pascal sur les poteaux et linteaux de la porte. Puis, Dieu racheta les premiers-nés d’Israël par le sang et leur réclama comme sa propriété. Moïse dénombra les premiers-nés. Puis, Dieu désigna les Lévites pour qu’ils le servent comme les substituts des premiers-nés. Il y avait plus de premiers-nés Israélites qu’il y avait les Lévites, donc la rançon de ceux qui dépassent le nombre de ces derniers devait être payé. Dieu demande un compte exact. Christ devint notre substitut pour le rachat. Aucune âme n’est sans valeur pour ne pas être rachetée. Devant Dieu, jusqu’à la dernière âme sera comptée pour être sauvée.

Nombre 2 :1-34 (PQ de 1/3/2019)

ORDRE DE CAMPEMENT

Verset clé: 2 :17

Lors de la marche, la tente de rencontre où était la Bible était au milieu pour garder l’ordre. Pour l’armée de Dieu, au-dessus du nombre, l’ordre spirituel est plus important.    

1. Les camps aux alentours de la tente de rencontre (1-8)

Les Israélites campent vis-à-vis et autour de la tente de la Rencontre. Dieu demeure au milieu du peuple. Le peuple peut aller vers Dieu le rencontrer, via son serviteur. Dieu établit l’ordre au sein de son peuple. Juda, Issacar, Zabulon, trois fils de Léa, sont sous la bannière de Juda à l’est. Au sud autour de la bannière de Ruban se réunissent Ruben, Siméon et Gad. Après le group du milieu de Lévi, vient le groupe à l’ouest d’Ephraïm, suivi de Manassé et Benjamin. Au nord se regroupent Dan, Aser et Nephtali autour de Dan (Gn 49 :16). Son groupe deuxièmement nombreux s’occupe de l’arrière-garde. Quand Dieu est au milieu de son peuple, il établit d’abord l’ordre spirituel pour les relations humaines propres.  

2. Les ordres de la marche (9-34)

Quand ils partent, la division de Juda démonte son camp et part en premier. C’est plus nombreux que les autres et de son clan naîtra Christ. Sa bannière flotte au vent puis de lui s’ensuit groupe de Ruben. Les Lévites portant la tente de rencontre marchent au milieu. Après eux, marchent les autres 6 tribus restantes. De cette ordre, nous apprenons que les hommes politiques doivent protéger la classe spirituelle de Lévi consacré au service de Dieu (Ap 4 :6,8). L’armée ayant besoin de l’organisation puissante, les Israélites se conforment à tous les ordres que Dieu a donné à Moïse, ce qui assure et rend beau le peuple, à l’émerveille de Balaam plus tard (24 :5).

Nombres 1 :1-18 (lire 1-19 ; 44-54) (PQ de 28/2/2019)

Introduction à Nombres

Le nombre est un récit du voyage des Hébreux dans le désert. Il est périodiquement entre Exode qui décrit la sortie de l’Egypte jusqu’à Sinaï et Josué la conquête de Canaan et décrit comment était leur voyage de Sinaï jusqu’à la frontière de Canaan. Ce voyage à la terre promise devait seulement prendre deux semaines, mais il prenait 40 ans. Ils furent libéré du joug de l’Egypte, mais étaient encore entravés par leur mentalité d’esclave. Ils étaient remplis des plaintes et des esprits de rébellion. Ils eurent besoin de l’entraînement de Dieu. C’était dur, et la plupart succombaient dans le désert. Mais cet entraînement rend ce peuple grand. Le titre hébraïque est « dans le désert. » Il y avait deux recensements (1,26), d’où ce nom « nombres. » La structure est 1) Préparation du voyage dans le désert (Ch 1-10) 2) Du Sinaï aux plaines de Moab (10b-21) 3) Episode de Balaam (22-25) 4) Préparatif de l’entrée en Canaan (26-36)

ETRE PRÊT A COMBATTRE

Verset Clé 1 : 53

Ce chapitre décrit le dénombrement d’Israël au Sinaï. C’est un recensement militaire. Il est établi au commencement de la traverse du désert pour déterminer les ressources en hommes disponibles pour la défense.     

1.      On dénombra les hommes de combat (1-46)   

Le Tabernacle fut dressé un an après la sortie d’Egypte (Ex 40 :17). Après ce temps, un mois fut passé pour que Dieu ordonne le dénombrement. Puis, 20 jours après, le peuple partira. Dans chaque tribu un homme fut choisi pour participer au recensement. Les fils de Léa (sauf Lévi) sont mentionnés les premiers, puis descendants de Rachel, et ensuite les quatre fils des deux concubines Nahachon, fils d’Aminadab, chef de Juda (v.7) était l’ancêtre du Christ. En tout cas, le peuple s’apprêta à marcher de long chemin jusqu’à atteindre la terre promise. Sur le chemin, il y aura les ennemis, donc ils eurent besoin de l’armée. L’Eternel ordonna à Moïse à faire le recensement de la communauté d’Israélites. Il devait lister chaque homme par no, un par un. Chaque personne est importante. Ceux qui était de 20 ans et plus et capable de combattre étaient tous inclus dans l’armée. Il y a beaucoup de sortes de combats que nous devons combattre comme nous traversons d’un monde désertique vers le royaume de Dieu. Satan attaque dedans et dehors. Nous devons être prêts.

2.     Protège le sanctuaire (47-54)

Le nombre total s’éleva à 603 mille. Le passage d’une foule d’un aussi grand nombre dépasse l’histoire ordinaire. Sans l’aide constant de la providence divine, ce passage aurait été impossible. La tribu de Lévi ne fut être compris dans le dénombrement militaire (49), ayant été mise à part pour prendre soin du Tabernacle et le transporter (50,51). Dans le camp, les Lévites n’avaient pas de place réservée parmi les emplacements affectés aux tribus, mais ils devaient planter leurs tentes autour du Tabernacle (53). Celui-ci est le cœur de la nation. Il représente Dieu lui-même au milieu de son peuple. Le cœur d’une nation doit être surveillé constamment avec une grande diligence.  

Galatie 6 :1-18 (PQ de 27/2/2019)

PORTEZ LES FARDEAUX LES UNS DES AUTRES

Verset Clé 6 : 18

L’un des fruits de l’Esprit est la douceur. Jésus traitait les pécheurs en douceur, car ils sont impuissants. Nous devons continuer de faire le bien en portant les fardeaux des autres. Nous devons nous vanter de Jésus, quand nous sommes persécutés.     

1.      Redressez-le avec esprit de douceur (1-10)   

Ephésiens 6 parle du combat à mener contre la puissance du mal. Nous sommes appelés au combat non contre le sang et la chair mais contre le diable, donc nous devons nous revêtir des armes de Dieu. Quand dans la communauté quelqu’un tombe, nous devons savoir que c’était la puissance du diable qui le fait tomber, et redresser en douceur le pécheur. S’il se repent, nous avons gagné une âme, mais s’il endurcit le cœur, nous avons fait quand-même notre devoir d’une créature pour son pareil. En tant que chrétien, nous devons partager le fardeau des autres.     

2.     Fais le bien sans se décourager (6-18)

Le croyant ne peut tromper Dieu. Il moissonne ce qu’il a semé dans la vie. Il ne peut tromper Dieu même s’il peut lui-même s’illusionner. Dieu connaît toutes choses. On portera le fruit de la chair ou le fruit de l’Esprit. Donc, nous devons examiner sans cesse nous-mêmes devant Dieu et nous efforcer de devenir des hommes de l’Esprit, non ceux de la loi qui nous conduit à la chair et par conséquent au désespoir. Celui qui demeure en Esprit est conduit à faire le bien. Paul souligne l’importance de pratiquer le bien, car c’est la marque de l’Esprit. Ceux qui veulent se valoir la circoncision avaient pour but d’éviter la persécution. Le mérite ne peut amener au salut. Nous devons glorifier Jésus-Christ qui est mort pour nos péchés et ressuscité le troisième jour. Autrefois Paul cherchait la reconnaissance du parti de Pharisiens et était légaliste jusqu’aux moelles. Maintenant il confesse qu’il ne peut se vanter que de la croix de Jésus. Il dit qu’il avait reçu les persécutions, comme Jésus les avait reçu. L’alliance établie par le sang de Jésus amène le peuple au chemin de la souffrance.

Galatie 5 :13-26 (PQ de 26/2/2019)

CONDUISEZ-VOUS PAR L’ESPRIT

Verset Clé 5 : 18

Paul explique quelle est la vie qui va à l’encontre de l’Esprit. Il explique également dans cette partie quels sont les fruits que portent les gens conduits par l’Esprit-Saint.    

1.      Les œuvres de la chair sont évidentes (16-21)   

Nous devons jouir pleinement de la liberté offerte par Jésus. Le chemin d’en jouir est l’amour réciproque. L’amour est un ultime moyen pour accomplir la loi. La nature contraire à l’Esprit provoque les œuvres de la chair, commençant par l’acte de mordre les autres. Plus l’homme qui a quitté l’Esprit s’efforce d’être reconnus comme juste, plus il devient esclave de la loi et tombe dans le péché. Les désirs de la chair font l’homme refuser le règne de Dieu, malgré qu’il vive dans le bénéfice de toutes les sources offertes de Dieu, et le font insister sur ses pensées seulement. La nature de l’homme limitative et pécheresse le fait tomber dans l’inconduite, la débauche, le discorde, parties pris, l’idolâtrie, etc. et elle l’empêche d’en défaire.  Les œuvres de la chair signifient la vie qui refuse le royaume de Dieu et son règne. Le peuple de Jésus doit discerner les œuvres de la chair par l’aide du Saint-Esprit et s'en défaire et vivre en acceptant pleinement le royaume de Dieu.    

2.     Les fruits du Saint-Esprit (22-26)

Les gens qui sont nés de nouveau et agissent selon l’Esprit en viennent à porter du fruit de l’Esprit. Le peuple de Jésus crucifie tous les passions et les désirs qui refusent le règne de Dieu. Le but commun et unique des gens qui vivent par l’Esprit-Saint est de chercher la gloire de Dieu. Comme ils se réjouissent du fait qu’ils sont devenus enfants de Dieu par l’unique grâce de Dieu, ils lui rendent grâce, et ne se rivalisent pas pour chercher leur propre gloire. Tous les frères se réunissent et se bénissent et se collaborent pour chercher la gloire de Dieu parfaite. Les gens du peuple de Jésus qui ont reçu le royaume de Dieu comme héritage jouissent par l’Esprit-Saint de la justice, de la paix et du bonheur parfaits 

Galatie 5 :1-12 (PQ de 25/2/2019)

NOUS ATTENDONS L’ESPÉRANCE DE LA JUSTICE

Verset Clé 5 : 4

Paul explique dans ce chapitre quelle est la liberté qu’a offert l’Evangile aux croyants. C’était une question d’une doctrine chrétienne fondamentale. Or, les Galates se détournaient rapidement du pur Evangile, sous la mauvaise influence du parti judéo-chrétien de la circoncision.    

1.      L’obligation d’observer toute la loi (1-4)   

Si quelqu’un veut être reconnu par la loi, il faut qu’il réussisse dans son acte d’observer toute l’exigence de la loi. La loi est bonne, mais elle ne fait qu’attester l’échec de l’homme, car l’homme est incapable d’observer entièrement la loi. Les faux docteurs qui s’étaient glissés subrepticement dans la communauté insistaient sur le fait que le salut venait de la circoncision. Mais la circoncision ne possède pas le pouvoir de racheter le péché. Donc, seul Jésus qui aime les pécheurs jusqu’à mourir sur la croix peut eux peut offrir la liberté. Ceux qui croient en Jésus attendent, par l’Esprit, l’espérance de la justice. Les fidèles doivent vivre la vie qui maintient fermement la liberté que Jésus leur a donnée.    

2.     La foi qui est agissante par l’amour (5-12)

La loi possède le niveau et la sphère que sont au-delà de la capacité de l’homme. Les hommes se désespèrent sous la demande exigeante de la loi et à cause du sens de devoir qu’elle impose. Mais ceux qui ont obtenu la liberté en Jésus-Christ, par la grâce, reçoivent l’aide du Saint-Esprit et vivent la vie de foi qui agit puissamment dans l’amour. Les fidèles chrétiens sont les sarments ; ils ne peuvent vivre la vie en portant du fruit de la justice par le soutien du Saint-Esprit, que lorsqu’ils maintiennent la relation d’amour avec Jésus qui est le cep de la vigne. Quand ils y sont attachés, ils sont protégés de l’influence mauvaise qui est semblable au mauvais levain. Paul souligne que s’il avait fait le compromis avec les gens légalistes, il aurait été épargné de la persécution en même temps que la validité de la croix disparaît. Il vaut mieux se séparer de ces gens pour garder le corps en bonne santé.