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mardi 5 mars 2019

Nombres 7 :1-89 (lire 1-17 ; 89) (PQ de 6/3/2019)

LA DÉDICACE DU TABERNACLE
Verset Clé 7 : 89
Ce chapitre semble anachronique, car le tabernacle fut dressé avant le dénombrement. Mais l’auteur raconte ici en détaille quels étaient les éléments du Tabernacle à transporter. Nous nous occupons ici des préparatifs de voyage qui précédèrent le départ de Sinaï.      
1.      A chacun en raison de son service (1-9)   
Le tabernacle et l’autel étaient finis et installés selon les instructions de Dieu. D’abord, les leaders tribaux amenèrent six chars couverts et 12 bœufs nécessaires au transport du Tabernacle. Le coût en fut également partagé entre eux. Les chars furent repartis parmi les Lévites, non pas de façon égale, mais selon leurs charges. Les Guerchonites reçurent un tiers et les fils de Mérari deux tiers, car leurs charges étaient lourdes. Les Qehatites n’avaient pas besoin des chars, car ils portèrent l’arche sur les épaules. La mort de Uzza dans 2 Sa 6 :3-7 est due à l’oubli de cette instruction. Dieu désire que son œuvre soit exécutée selon les directives de sa Parole.  
2.     L’offrande de communion (10-89)

La dédicace de l’autel s’étendit sur douze jours. Alors, chaque prince apportait ses offrandes un jour différent. Chaque jour les dons étaient identiques, pourtant la description en est toujours très détaillée. Les choses que Dieu demande à chaque chrétien se ressemblent beaucoup, et cependant, chacun de nous compte particulièrement à ses yeux et il s’intéresse à tous les détails de notre vie et de notre service. Dans chacun des cas de l’offrande des princes, des détails complets sont donnés. Dieu note nos actes les plus insignifiants. Il veut l’exactitude. Il ne peut jamais accepter le travail fait sans soin et de mauvaise qualité. Dans le verset 89, nous apprenons que Moïse entendit une voix qui lui parlait du haut du propitiatoire entre deux chérubins. Dieu voulut lui parler. Le sang répandu sur l’autel était pour le pardon des péchés, ce qui amena la paix avec Dieu et rend l’homme coupable capable d’avoir la communion avec lui. Ces sacrifices s’attendaient à Jésus-Christ, qui est le sacrifice parfait (Rm 5 :1).  

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