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mardi 21 mai 2019

Jean 2 :13-25 (PQ de 22/5/2019)

JESUS PURIFIA LE TEMPLE
Verset Clé 2 : 15
Jean met cette histoire, à la différence des autres évangélistes, au début de son évangile. L’évangile de Jean est sensé être thématique, non chronique. Jésus bénit les noces, mais Jésus maudit une religion formelle qui a perdu le goût et est devenue comme l’eau insipide pour le peuple.      
1.     La réforme du temple (13-16)       
Les marchands se coalisaient avec les leaders religieux et monopolisaient la vente des animaux à l’usage du sacrifice et en dégageaient d’énorme profit illégal. Puis, ils s’accaparaient du gain illégal par le biais de l’échange des monnaies d’Israël lors de l’achat des animaux pour le sacrifice sur place. Ensuite, selon le coutume, les Juifs d’au-dessus de 20 ans ansi que les étrangers convertis au Judaïsme étaient obligés d’offrir demi-sicle, et comme les Juifs considéraient les monnaies romains ayant l’effigie des idoles païens, comme impies, ils échangeaent les monnaies avec des monnaies traditionnelles Israélites qui était le  siècle. En tout cas, Jésus, en regardant toute cette injustice qui se pratiquaient sans frein, ne l’acquiesça point. Il se mit en colère contre les vilotateurs de la loi qui sous prétexte du rituel sacerdotal du temple satisfaisaient leur convoitise, car ils profitaient ainsi du nom de Dieu. Finalement, il fut « dévoré » par le zèle pour le temple (17) et chassa le mal et réforma le temple.    
2.    La prophétie de la résurrection (17-22)  

Envers les Juifs qui cherchaient le miracle, Jésus compara lui-même au temple et prophétisa qu’il ressusciterait le troisième jour après sa mort. Le temple que le peuple considérait comme le centre de vie pour eux était l’endroit où ils peuvent se réconclier avec Dieu et le rencontrer. Mais quand le corps du Christ sera détruit et construit, autrement dit quand Jésus sera mis à mort et ressuscité, le corps de Jésus servira pour le peuple qui y croit d’une maison où Dieu et l’homme se rencontre face à face. Examinons-nous-même, si Jésus vient à présent, lors de mon culte, que voudrai-t-il chasser de moi ? Est-ce que nous concevons la colère pieuse quand la convoitise s’avère caché dans l’homme et il s’attache au formalisme religieux et est amené à renier Dieu.

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