L’EAU VIVE PAR LAQUELLE ON N’AURA
JAMAIS SOIF
Verset clé: 4 :14
Au chevet de la mort, Kant a dit, « Donne-moi à boire »
et poussa son dernier soupir. Il avait la soif de son âme, même s’il avait
écrit de nombreux ouvrages sur la vie humaine. La philosophie ne pouvait pas
étancher sa soif. Où est l’eau qui étanche la soif de nos âmes ?
1. Jésus s’en alla en Samarie (1-9)
Normalement les Juifs ne traversaient pas la Samarie à cause de
l’arrière-plan d’inimitié entre deux races. Pourtant, Jésus y entra exprès (4).
Jésus traversa la Samarie pour offrir à une femme assoiffée de l’eau vive qui ne
tarit jamais mais jaillit jusqu’à la vie éternelle. Dans la chaleur, Jésus se
concentra à la mission et à une âme à sauver. Jésus ne dépendait pas des
regards et des appréciations des autres hommes. Il nous paraît parfois que c’était
nous qui avons choisi et cru en lui, mais nous avons pu rencontrer Jésus, parce
que Jésus s’était réjoui de nous rencontrer.
2. L’eau par laquelle on n’aura jamais soif (10-14)
Dans la femme de Samarie, il y eut une soif qui ne pouvait être
étanché par quoi que ce soit. Jésus, en connaissant
bien cette soif d’âme de la femme, voulut la désaltérer. L’eau vive que Jésus
voulut donner à la femme et par laquelle nul n’aura soif était Jésus-Christ
lui-même. La vraie satisfaction et la vraie joie viennent de Jésus-Christ seul.
Beaucoup de gens qui vivent dans ce monde s’efforcent de désaltérer leur soif
de l’âme mais en vain. La raison en est parce que cette soif ne peut être
résolue que par Jésus-Christ. Posez vous la question ce matin : est-ce que
vous éprouvez la joie qui étanche votre soif par le biais de l’eau vive de Jésus
ou vous êtes toujours dans la soif non étanchée malgré lui ? Puis écoutez sa
voix, « Si vous le savez cette eau, ce serait vous qui m’aurez demandé. »
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