ISRAEL FUT VAINCU PAR AÏ
Verset Clé 7 :13
Deuxième ville après Jéricho
était Aï. Mais Israël subit une cuisante défaite. La parole de ce matin nous indique
quelle est la cause la plus plausible d’une défaite dans la guerre sainte.
1. La défaite contre Aï (1-19)
Comme nous avons appris dans la batille contre Jéricho, le vrai problème
n’était pas la force militaire ni nombre des soldats ni le niveau d’équipement
d’engins. Seule l’obéissance par la foi du peuple avait rendu possible la victoire
de la guerre. Il en était de même pour la bataille contre Aï. Aï était la plus
petite ville que Jéricho. Les espions rapportèrent la facilité de guerre. Mais à
son insu, Israël dépendait de la force humaine, plutôt que de Dieu. C’était l’effet
triomphalisme. Général Josué sentit une conséquence grave de la défaite et
déchira ses vêtements. Il perdit l’assurance et se lamenta. Alors à ce moment,
Dieu lui indiqua la cause. C’était l’impureté du cœur du peuple, en commettant
quelque chose qui n’était pas correcte devant Dieu. En effet, l’interdit
n’était pas voué, mais gardé au milieu du peuple. Garder l’interdit se rend
interdit. C’est l’effet du péché caché. Tant que le peuple gardait secrètement
le péché en lui, la victoire n’est pas garantie, ou plutôt elle est rendue impossible.
Dieu donna au peuple le procédé de la purification.
2. Le péché d’Akan (20-26)
Dans son témoignage, Akan raconta la cause de sa
non obéissance au commandement. C’était l’envie matérielle. L’envie est une des
graves injustices de l’homme qui conduit aux maux plus graves dans l’homme (Rm
1 :29). Donc nous devons nous combattre contre l’envie quand elle se
soulève dans nos cœurs. Quand nous nous purifions avec une repentance sincère
et profonde, c’est alors nous pouvons gagner le combat. Les gens coururent vers
la tente d’Akân où avait été cachés les butins sous terre. Lui et toute sa
famille avec ses possessions furent mise au feu. Quelques siècles plus tard,
quand Anania et Saphire trompèrent le Saint-Esprit au sujet de l’argent, ils
reçurent la même sentence : la mort.
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