VOIS, JE VOUS LES AI LIVRÉ
Verset Clé 8 :1
Après la reconnaissance
de la cause de la défaite, Israël re-attaque Aï. Quel était le secret de la
victoire révélée dans cette guerre ?
1. La 2e attaque contre Aï (1-17)
Dieu encouragea Josué à lancer une nouvelle attaque contre Aï. Dieu lui
donna la stratégie minutieuse sous forme de guet-apens. Dieu était commandant
en chef, mais il utilisa Josué pour le réaliser. Cette stratégie était
efficace, si bien que les gens de Aï enorgueilli à la première victoire,
ouvrirent la porte de la ville et poursuivirent les Israélites qui firent
semblant de fuir. Dieu hait le péché, mais il bénit ceux qui se repentent et
retournent vers lui, en leur donnant la nouvelle force. Si on apprend à travers
l’échec, on peut en venir à ressentir plus de grâce divine. Pour cette 2e
attaque, tous les Israélites, à cause de leur premier échec, adoptèrent l’humilité
comme attitude. Puis, tous étaient unis pour obéir à l’ordre. Même si le plan
de Dieu est parfait, sans gens d’obéissance, il se réalisera difficilement.
Seul l’humble peut savoir la vraie obéissance.
2. Pointe vers Aï le javelot (18-35)
La victoire a pour clé l’obéissance donc. Dieu donna
l’ordre et Josué y obéit. Dieu lui dit, « Pointe vers Aïe le
javelot. » comme signal de début d’attaque. Puis, il ne le baissa pas
jusqu’à ce que la conquête se termine, ce qui montre quelle était son
obéissance. Cela nous rappelle le fait d’autrefois que Moïse avait levé les
mains contre les Amalécites. Pointer le javelot signifie que le secours vient
de Dieu. Le secret de la victoire n’est pas dans la lance et l’épée, mais en
Dieu. Donc, celui qui veut remporter la victoire dans la guerre doit se
cramponner à Dieu pour son secours. La guerre finit par la victoire complète d’Israël.
Tous les habitants furent voués à l’interdit, mais Dieu permit aux Israélites
de garder les animaux et les matériels. Puis leur arriva un moment important
ordonné par Moïse. Il avait dit que quand ils arriveraient cet endroit, ils seraient
mis côté Ebal et côté Garizim, pour que le peuple choisisse côté bénédictions non
côté malédictions, quand Josué les prononcerait (Dt 27).
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