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lundi 2 octobre 2017

Amos 7 :1-17 (PQ de 3/10/2017)

AMOS DIT : JE NE PEUX QUE PARLER
Verset Clé 7 : 15
En entrant dans la troisième partie du livre, nous rencontrons des visions qu’avait Amos. Elles venaient de Dieu. Amos fut persécuté au point d’être chassé par le religieux. Entretemps, la foi d’Amos fut révélé.  
1. Le cœur de berger d’Amos (1-9)  
La première vision donnée par Dieu était les sauterelles ravageuses. C’était au moment de regain. La première pousse appartenait au roi, mais le regain était pour les propriétaires, donc par ce fléau, tout le peuple fut menacé. Amos, après avoir parlé de la part de Dieu, adressa sa requête à Dieu de part le peuple. Amos ne conteste pas la justice du châtiment ; il fit appel à la compassion de Dieu, en allégeant la faiblesse du peuple. Mais un instant après une menace plus terrible apparut. Le feu dévora les eaux de la mer (le grand abîme) et le champ. Encore une fois la réalisation du châtiment fut détournée grâce au prophète. La troisième vision est celle de fil à plomb (le niveau). De nos jours, les maçons ont cet outil de triangle au sommet duquel est pendu le fil de plomb. Le niveau vertical est pour la construction, mais le niveau horizontal a pour but de raser toute la terre. Amos parla pour la première fois de Jéroboam, le roi sans raison clair, mais cette conduite dure du prophète provoqua la scène violente qui s’ensuivait. Amos ne put plus intercéder. La leçon est qu’après avoir révoqué mainte fois ses menaces à la prière des serviteurs, Dieu frappera, sans que rien puisse l’arrêter.
2. Je ne peux faire autrement (10-17)

Le grand prêtre Amatsia dénonça ce qu’avait dit Amos. Donc, Amatsia, l’appelant visionnaire, lui ordonna de fuir au Juda pour travailler plutôt dans son pays natal. Mais Amos était un homme envoyé par Dieu. Il ne pouvait rien faire que d’exécuter la volonté divine. Le temps de châtiment de Juda n’était pas encore mûri. Mais le péché en Israël était urgent à réparer. Amos avait le plein cœur de berger envers son peuple frère. Amos reconnut que son origine était humble, mais l’appel de Dieu envers lui était aussi clair que du cristal. Amos ne mâcha pas de mot et en répondant de la même façon qu’Amatsia (cynique) et proclama la sentence de jugement de Dieu pour sa famille dont la fin serait tragique dans l’étranger.

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