JONAS CONVERSA AVEC
DIEU
Verset Clé 4 : 3
Aujourd’hui, Dieu conversa avec Jonas et par cette conversation,
Dieu convainquit Jonas au sujet de son cœur. Le cœur de Dieu est insondable
comme océan.
1. Je préfère la mort à la vie (1-4)
En voyant que les habitants de Ninive se repentirent et
évitèrent le jugement de Dieu, Jonas se mit en colère. Le cœur de Jonas fut
changé et dit à Dieu qu’il préférait la mort à la vie. Cela nous montre combien
la racine du mal est profondément ancrée dans le cœur d’un homme. Nous sommes
étonnés qu’il y avait eu une si grande œuvre malgré ce cœur religieusement
incorrecte. Dieu écouta la prière d’un homme qui cri et le sauva et l’utilisa
comme instrument de salut, mais la repentance de Jonas n’était pas si claire.
Donc, une fois le mal est passé, sa propre justice ou la mauvaise conception fit
surface. Il savait, dit-il, que le cœur de Dieu est débonnaire, et pour cela
qu’il fuyait sa face autrefois. Jonas devint rebelle. Mais Dieu ne se mit pas
en colère.
2. Oui, je préfère la mort à la vie (7-10)
Dieu fit pousser une plante pour qu’il donne à Jonas sous le
soleil un ombre. Elle couvrit la cabane de Jonas et lui donna l’ombre, ce qui
réjouit le cœur de Jonas. Il fut très content. Mais un instant après, la plante
à cause d’un vers envoyé par Dieu qui attaqua la plante, sécha et mourut. Alors
la joie de Jonas disparut et changea en la tristesse et la colère. Comme le
vent d’est frappa avec la chaleur sa tête, Jonas faillit tomber et s’évanouir.
Jonas dit sa phrase habituelle qu’il préfère la mort à la vie. Ce n’était un
événement aussi grave que la vie ou la mort. Mais l’état spirituel de Jonas
devint misérable, quand il restait patriotique. Alors au lieu de lui reprocher,
Dieu si débonnaire rendit visite à Jonas pour changer son humeur triste en l’humeur
gaie. Jonas s’attristait du sort de la plainte à cause d’un vers. Il put un peu
profiter de son feuillage, mais il eut quand-même pitié de cette plante. Alors
Dieu extrapola sa pitié en celle de Dieu, disant comment Dieu ne prendra pas
pitié de la ville dont le nombre d’habitants de 120 000 âmes mourantes, alors
qu’il eut pitié d’une plante. Ainsi Dieu convainc Jonas avec longue patience.
Il en est de même pour Dieu envers nous.
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