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jeudi 29 novembre 2018

Actes 15 :12-35 (PQ de 1/12/2018)

LE CONCILE DE JERUSALEM DANS L’UNITE DE CHRIST
Verset Clé 15 :7
Quoi qu’il y ait le danger de division, le problème fut traité dans la maturité et les protagonistes se formèrent l’unité dans le Seigneur. Quel est le secret de cette unité ?        
1. Chacun soumettait sa pensée à la parole de Dieu (13-29)
Après avoir écouté l’avis de Pierre, et le rapport de Paul et Barnabas, Jacques présenta son avis conclusif. En citant Amos 9 :11,12, l’insertion des païens était prévue déjà depuis longtemps par les prophètes. Dans la conformité entre la Bible et l’expérience des missionnaires, il était judicieux de ne pas imposer la lourde joug de la loi, mais seulement en vue d’alléger la conscience des Juifs, de proposer de s’abstenir de l’inconduite, de l’idolâtrie, et l’étouffement etc. Jacques respectait les avis des autres et décida autour de la parole de Dieu. Les autres dans l’assemblée agirent de même. Ils renoncèrent à leur pensée et se soumirent à la parole de Dieu, d’où l’unanimité. Respecter les avis des autres et soumettre la propre idée à la parole de Dieu est la condition d’une communauté mûre.    
2. Le soin réciproque les uns pour les autres (30-35)

Se soigner les uns pour les autres est la marque de la maturité. Ainsi en se respectant, on devient un. Ne pas imposer sur les chrétiens païens le joug lourd, et proposer l’abstention dans les 4 domaines culturels, était une décision sage pour la compréhension réciproque. C’était un projet considérant à la fois les Juifs et les païens. Puis, ils prirent soin des chrétiens d’Antioche, car de peur qu’ils comprennent mal et risque de mal prendre la lettre, ils envoyèrent les serviteurs à Antioche, pour l’expliquer en détail. Comme nous sommes par nature égocentriques, nous sommes lents à considérer les autres. Donc, nous devons nous habituer de penser des affaires en nous mettant à la place des autres, et soigner les autres. La communauté où les membres considèrent les autres est saine et peut faire du danger de la division une occasion de grandir dans l’accord et l’unité. Seigneur nous ordonne à garder l’unité en l’Esprit Saint, et à nous efforcer de nous soigner les uns les autres. 

Actes 15 :1-11 (PQ de 30/11/2018)

DIEU CONNAIT LE CŒUR ET REND TEMOIGNAGE
Verset Clé 15 :7
Le concile de Jérusalem est tenu avec la question théologique au sujet de la circoncision. C’était un grand sujet et c’était un événement marquant la date dans la cadre d’évangélisation. Ici, nous voyons le contraste entre la grâce et la loi, qui est le débat central.       
1. Une délégation envoyée d’Antioche (1-6)
Au début de l’œuvre missionnaire, Paul ne se souciait pas trop de ce problème, et propageait seulement le message de la grâce de Jésus, et il fit beaucoup d’œuvre de salut. Cependant il y a toujours les gens qui veulent se flatter en raison de quelque mérite corporel. Donc, certains judéo-chrétiens originaires de Jérusalem perturbaient la foule, en soulignant que la circoncision est une condition sine quo non pour l’obtention de salut. Une délégation fut formée pour monter à Jérusalem pour consulter les apôtres à ce sujet important. Le christianisme était dans une phase de commencement. Il pouvait y avoir beaucoup de risque d’erreur. Dieu le sut, alors Dieu, au lieu de faire descendre sa doctrine du ciel, laissa les hommes se lutter pour former une sainte doctrine. Pour cela, il fallait la prière, les témoins, le leadership etc. Finalement Pierre prit la parole. 
2. Le concile de Jérusalem (24-28)

Pierre avait déjà l’expérience sur comment Dieu avait agi à l’égard des païens. Dieu n’avait aucun considération ni discrimination par rapport à la race. Les Juifs avaient la loi mais cela ne leur donne aucune cause de se glorifier. De plus, ils avaient tous échoué d’observer la loi, donc leur mérite n’avait aucune raison d’être. S’ils insistaient sur cela, ce n’était que par une pure hypocrisie. Pierre donc se leva et parla de l’inutilité d’imposer la loi sur les païens, telle la circoncision. Dieu est, selon lui, celui qui connaît le cœur. Pour lui ce qui compte, ce n’est pas la strict observance de la loi, mais ce que les chrétiens aient la foi en Dieu et l’amour les uns avec les autres. Nous sommes sauvés par la grâce de Dieu, non par la loi. Ce fait s’applique à la fois aux Juifs et aux païens. Et Dieu se réjouit d’eux, quand ils ont la foi.

mercredi 28 novembre 2018

Actes 14 : 20b-28 (PQ de 29/11/2018)

ILS ONT ETE RECOMMANDÉS A LA GRACE
Verset Clé 14 :
Les voyages bien débutés se terminèrent au point de départ, de peur que nous soyons égarée sur le chemin. La vie elle-même doit avoir un but. Le voyage de mission aussi.       
1. Paul exhorta les disciples (20b-23)
La ville finale était Derbe. L’œuvre de Dieu continuait et Paul et Barnabas y firent nombreux disciples. Puis ils décidèrent de retourner vers la ville de départ. En passant les villes qu’ils avaient évangélisées, ils encourageaient les disciples et les exhortaient à se tenir ferme dans la foi. Comme ils venaient de se convertir, compte tenu de la réaction des Juifs pour eux, on n’avait pas de trop de difficulté d’imaginer les tribulations pour eux. Paul et Barnabas auraient été inquiets d’eux à cause de leur jeunesse. Mais ils les recommandèrent au Seigneur et partit en demandant seulement à demeurer dans la foi. Les gens ne nous reçoivent malgré notre bonne volonté pour Dieu. Plutôt ils nous persécutent. Mais pour Dieu, ce n’est pas si étonnant. Jésus l’avait déjà prédit. 
2. Le rapport de mission à Antioche (24-28)

Paul et Barnabas firent le voyage de retour jusqu’à arriver à Antioche, où ils avaient été recommandé à la grâce de Dieu. Là ils avaient reçu l’onction pour être mise à part pour les païens. Après le voyage très occupé Paul avait ce loisir de se recueillir dans l’œuvre de Dieu. Il se peut que notre œuvre n’est pas à la hauteur de celle réalisée par Paul et Barnabas. Ils réunirent l’Eglise et rapporta ce que Dieu a fait pour eux. Le sujet principal du rapport était le Seigneur Dieu. Sans lui rien n’était possible. Il travaillait avec eux et il ouvrait la porte de la foi aux païens. D’habitude, le cœur des païens est très dur et fermé à cause de leur mode de vie idolâtre. Mais Dieu travaillait afin qu’ils aient la foi en Jésus. Au crépuscule de l’année, nous avons lieu de réfléchir ce que Dieu a fait pour nous en nous arrêtant dans nos temps occupés. Quelle est l’œuvre de Dieu qui s’est réalisée à travers nous cette année ? Comment la porte de la foi est-elle ouverte à nos connaissances et aux nouveaux rencontrés ?

mardi 27 novembre 2018

Actes 14 :7-20 (PQ de 28/11/2018)

DIEU NE CESSE DE RENDRE TEMOIGNAGE
Verset Clé 14 : 17
Il y a deux sortes de révélations ; révélation naturelle et révélation spécifique. Dieu bénit l’humanité par elles.       
1. Paul fixa les regards sur lui (8-10)
Il y eut un infirme de pieds. Paul fixa les regards sur lui. Il eut plein cœur de berger envers l’infirme, bien qu’il fût laid. L’infirme aussi fixa les regards sur Paul, car il voulut recevoir la puissance de la parole dans son âme. Paul vit en lui la foi. Cette foi était le désir d’expérimenter la grâce de Dieu en recevant la parole de Dieu. En voyant ce désir intense, Paul s’assura que Dieu pourrait agir en lui. La foi absolue de Paul se conjuguant avec celle de l’infirme, la maladie de ce dernier fut partie. Notre foi et notre zèle de voir la guérison sont des facteurs incontournables pour obtenir la guérison physique et spirituelle. L’homme dut être très fataliste car il n’avait jamais marché. Il n’y avait pas de chaise roulant à l’époque, pas plus le droit d’un handicapé. Mais une petite foi comme grain de moutarde en lui suffisait pour qu’il pût se lever et marcher. La foi seule vainc et brise le fatalisme en nous, et ce en mille morceaux.
2. Dieu rendait témoignage aux hommes (11-20)

Paul rendit témoignage de Dieu, c’est la révélation spécifique qui est la parole de Dieu. Mais il y a une autre révélation, c’est la nature. La première est donnée à cause de l’insuffisance de la seconde. Dieu envoyait sans cesse des signes de la nature afin que les hommes reconnaissent leur ignorance et se tournent vers Dieu Créateur. Les hommes se laissent emporter par la peur, vu les phénomènes catastrophiques, et se fabriquent des idoles pour les vénérer. Mais ce ne sont que les ouvrages des mains. Les Lycaonites les vénéraient à cause de la peur de leurs dieux. Mais notre Dieu est un Dieu bon et généreux (17), et il est un Dieu puissant. Paul et Barnabas se déchirèrent le vêtement, parce que leur acte était une ignominie totale devant Dieu. Les Juifs d’Antioche et Iconnium pensèrent les avoir tué, en les lapidant. Mais Dieu était avec eux. Ils n’avaient même pas mal, et se levèrent comme des poussahs.     

Message de culte Smart 23/11/2018

lundi 26 novembre 2018

Actes 14 :1-6 (PQ de 27/11/2018)

PAUL OEUVRA A ICONIUM
Verset Clé 14 : 3a
Paul visita Iconium et y prêcha la parole. L’œuvre à Iconium se caractérise par l’œuvre de prêche.      
1. Paul y prêcha avec plein d’assurance (1-3)
L’œuvre de l’évangile à Iconium semble qu’il n’y a pas trop de caractère. Mais l’œuvre de l’évangile se déroule par l’aspect calme et sans apparat. Les mots « de telle manière » dans le verset 1 nous montre combien Paul prêchait avec puissance et plein d’assurance. Sa prédication amena beaucoup d’âme au Christ. Mais il y fut suscité une tumulte, car les Juifs incrédules excitaient les païens pour haïr et persécuter les croyants. Leur cœur était dur comme pierres sans se laisser convaincre par l’Esprit qui les demanda à se repentir. Pendant le séjour de la ville, Paul et Barnabas faisaient plusieurs œuvres. Mais le maître de l’œuvre n’était que Jésus. C’était Jésus qui rendait témoignage à la vérité et c’était Jésus qui fit voir les prodiges par leurs mains. Il est important que de connaître que le maître de l’œuvre est Jésus-Christ et le laisser travailler selon sa volonté. 
2. Ils y annoncèrent l’Evangile (4-7)

Il y eut la division entre les croyants et les incrédules. Ce sont en principe les païens versus les Juifs. Mais les Juifs perturbant le camps, provoqua la division au milieu des païens. Donc, il y produisit une parti pris au sein des païens. Certains étaient du parti des Juifs, et certaines du parti des apôtres. La division et le parti-pris sont le mauvais levain pour le peuple de Dieu. Les Juifs et les païens qui se faisaient avoir par eux se mirent à persécuter les apôtres. Ils les maltraitaient et voulaient les lapider. Mais Paul et Barnabas priaient et décidèrent de fuir la ville. Ils s’en allèrent vers Lystre et Derbe, deux villes de la Lycaonie. C’était des villes de refuge. Etant sévèrement persécutés précédemment, ils auraient pu penser que c’était enfin le moment où ils se reposèrent. Mais ce n’était pas le cas. En effet, ils se mirent à annoncer la bonne nouvelle même dans cette nouvelle ville. Purement et simplement, ils y annoncèrent l’Evangile.