LE PEUPLE ECRIVIT LA LOI
SUR LES PIERRES
Verset Clé 27 :
3
Dans ce 3e
discours de chapitres 27 à 30, Moïse nous enseigne sur l’aspect de l’avenir,
c’est-à-dire, quelle devrait être l’attitude du peuple à l’égard de la parole
de Dieu.
1. Dieu veut
l’obéissance sincère (1-10)
Moïse et les anciens ordonnèrent au peuple d’ériger
les pierres et d’écrire la loi sur elles et d’offrir les holocaustes et
d’enseigner aux descendants à observer cette loi. Graver la loi sur la pierre
avait pour but de ne pas oublier et l’enduire de chaux pour but de faire
ressortir. Puis, il fallait les mettre sur le mont d’Ebal, la montagne de la
malédiction, et observer la loi sérieusement. La pierre brut non taillée
signifie qu’il ne s’agit pas de l’autel formaliste, mais l’autel de vraie
obéissance de tout cœur. Le peuple dut se souvenir que dans cette obéissance,
il y a la joie, le partage, et l’amour. L’entrée en Canaan n’était pas la
finalité. L’important est comment on vit après. Dieu est en train d’enseigner
comment devrait être la vie après la conquête. Il faudrait graver la loi dans
le cœur, et nous efforcer de vivre la vie d’obéissance avec le sentiment
d’urgence que nous sommes debout entre la bénédiction et la malédiction.
2. Dieu veut que nous
lui répondions par Amen (11-26)
Les douze tribus se
divisèrent en deux pour se mettre chaque groupe dans les montagnes de Garizim
et Ebal, Les Lévites portèrent l’arche de l’alliance au milieu des deux
montagnes, Les sacrificateurs transférèrent la voix de Moïse à haute voix. Puis
le peuple y répondit par « Amen. » Les 12 ordres sont pour servir
Dieu, refuser les coutumes du monde et avoir le caractère digne des enfants de
Dieu. Ceux qui ne vivaient pas selon la loi seront maudits. Personne ne pourra
observer la loi parfaitement (Rm 3 :10). Ici, l’accent est mit sur le fait
que nous devons nous efforcer d’observer la loi avec notre cœur, notre zèle et
notre volonté. « Amen » signifie « soutenir » « ou « faite
confiance » Il implique donc la décision de vouloir l’appliquer dans ma
vie. Deutéronome nous confie le choix entre le bien et le mal. Il nous demande
le même choix aujourd’hui.
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