DIEU NE CESSE DE RENDRE
TEMOIGNAGE
Verset Clé 14 :
17
Il y a deux sortes de
révélations ; révélation naturelle et révélation spécifique. Dieu bénit
l’humanité par elles.
1. Paul fixa les regards
sur lui (8-10)
Il y eut un infirme de pieds. Paul fixa les regards
sur lui. Il eut plein cœur de berger envers l’infirme, bien qu’il fût laid.
L’infirme aussi fixa les regards sur Paul, car il voulut recevoir la puissance
de la parole dans son âme. Paul vit en lui la foi. Cette foi était le désir
d’expérimenter la grâce de Dieu en recevant la parole de Dieu. En voyant ce
désir intense, Paul s’assura que Dieu pourrait agir en lui. La foi absolue de
Paul se conjuguant avec celle de l’infirme, la maladie de ce dernier fut
partie. Notre foi et notre zèle de voir la guérison sont des facteurs
incontournables pour obtenir la guérison physique et spirituelle. L’homme dut
être très fataliste car il n’avait jamais marché. Il n’y avait pas de chaise
roulant à l’époque, pas plus le droit d’un handicapé. Mais une petite foi comme
grain de moutarde en lui suffisait pour qu’il pût se lever et marcher. La foi seule
vainc et brise le fatalisme en nous, et ce en mille morceaux.
2. Dieu rendait
témoignage aux hommes (11-20)
Paul rendit témoignage
de Dieu, c’est la révélation spécifique qui est la parole de Dieu. Mais il y a
une autre révélation, c’est la nature. La première est donnée à cause de
l’insuffisance de la seconde. Dieu envoyait sans cesse des signes de la nature afin
que les hommes reconnaissent leur ignorance et se tournent vers Dieu Créateur.
Les hommes se laissent emporter par la peur, vu les phénomènes catastrophiques,
et se fabriquent des idoles pour les vénérer. Mais ce ne sont que les ouvrages
des mains. Les Lycaonites les vénéraient à cause de la peur de leurs dieux.
Mais notre Dieu est un Dieu bon et généreux (17), et il est un Dieu puissant.
Paul et Barnabas se déchirèrent le vêtement, parce que leur acte était une ignominie
totale devant Dieu. Les Juifs d’Antioche et Iconnium pensèrent les avoir tué,
en les lapidant. Mais Dieu était avec eux. Ils n’avaient même pas mal, et se
levèrent comme des poussahs.
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