VIVEZ SELON L’ORDRE DE
CREATION
Verset Clé 11 :
3
Paul parle dans ce chapitre
deux chose distinctes : l’ordre de la création dans le contexte de la
culture et le repas du Seigneur. Ce dernier sacrement est invariable malgré l’écoulement
du temps.
1. L’ordre de la
création de Dieu est à respecter (1-16)
Porter la voile était une coutume pour les femmes
chastes dans la ville de Corinthe qui était d’une culture décadente. Cela
montrait aussi que la femme est sous l’autorité de l’homme. Les femmes non
voilés dans l’église donnaient l’impression qu’elle était une communauté immorale.
Comme la culture vient de Dieu, nous ne devons pas la mépriser. Si la coutume
n’est pas contre l’évangile, en la respectant et l’introduisant sagement, le
royaume de Dieu peut se répandre. L’homme et la femme sont égaux, mais chacun a
un rôle différent. La femme en se soumettant à l’autorité de l’homme et l’homme
à celle de Dieu, chacun peut rendre gloire à Dieu. Quand la femme reconnaît la
représentativité et l’autorité de l’homme, et que l’homme apprécie la femme
comme ayant le même droit, l’église peut ne pas être dans la confusion et elle
aura toujours l’ordre.
2. Le repas du Seigneur
est à rappeler (17-34)
Le repas du Seigneur
était affecté gravement à Corinthe par des hommes charnels et égoïstes. Ils
apportèrent leur repas et mangèrent sans attendre les frères pauvres. La
division était inévitable. La réunion des saints doit être une opportunité permanente
de mettre en pratique l’amour et le service du Seigneur qui s’est donné
lui-même pour nous. Le repas du Seigneur est la cérémonie instituée par Jésus
lui-même et un acte d’annoncer la mort rédemptrice de Jésus. La parole de Paul en
dit long que la cène est un acte de célébrer par la fracture du pain la rédemption
accomplie par la déchirure de son corps et par la breuvage du vin l’alliance scellé
par son sang. Dans le repas où on partage le corps et le sang du Seigneur, il est
demandé aux participant la prudence et l’ordre. Les membres doivent édifier une
communauté pleine d’amour qui partage le corps et le sang en participant avec un
discernement entier et un cœur dévoué.
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