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mardi 20 novembre 2018

Deutéronome 31 :1-30 (PQ de 21/11/2018)

ECRIVEZ CE CANTIQUE CONTRE EUX
Verset Clé 31 : 19
La dernière partie de Deutéronome chapitre 31-34 raconte les derniers discours de Moïse avant son départ.  
1. Josué successeur de Moïse (1-13)
Moïse fut âgé, sur le point de départ. Moïse dit que l’Eternel Dieu est leur roi et commandant et il conduira le peuple dans toute la victoire, en détruisant l’ennemi. Il n’a qu’à se fortifier et prendre courage, sans rien à craindre. La parole de Moïse est très similaire à celle de Dieu qui sera donné à Josué à la veille de la conquête de Canaan. Moïse appela Josué qui fut établi successeur selon la volonté de Dieu et l’encouragea à conduire la guerre comme commandant, mais en lui appelant que le chef en commandant est toujours Dieu. Notre combat appartient à Dieu qui le conduit lui-même. Puis, Moïse donna l’ordre de lire la loi écrite à 7e année après la conquête dans un endroit où toutes les tribus surtout les descendants qui ne connaissent pas la loi se réuniraient. 
2. Ecrivez le cantique contre eux (14-30)

L’Eternel demanda à Moïse et Aaron de se tenir dans la tente. A l’entrée, l’Eternel apparut dans une colonne de nuée. L’Eternel sut quelle sera la disposition du peuple quand il entrera dans le pays de Canaan et mit en garde contre eux. Déjà 7 ans fut expressément mentionnés, car peut-être c’est le moment où la mémoire se mettrait à s’affaiblir. Mais ce qui était certain est qu’il se détournera de la loi et se vautrait avec les idoles. Après le déluge, Dieu avait remarqué que l’homme est foncièrement incliné au mal, ce qui l’amena à décider de ne pas donner la pareille calamité. Jésus ne reçut pas le témoignage des hommes, car il sut ce qui est en eux. Dieu sut l’état corrompu du peuple. Donc, il fit écrire le cantique, afin que le peuple le chante comme un témoignage contre eux et chaque fois qu’il chante qu’il se sentirait accusé et s’aviserait de retourner dans la bonne voie. Moïse n’eut pas de difficulté de le prévoir, lui aussi, car le peuple se rebellait tellement souvent, pendant son vivant, donc, à plus forte raison après son départ (27).  

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