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samedi 29 février 2020

Lm 3 : 1-66 (PQ du au 01/03/2020)


Tu as entendu ma voix

Verset clé Lm 3 : 55

Dans ce passage, nous apprenons l’état actuel du Jérémie, son coeur et son ardent désir. Même au milieu de la nuit, ceux qui cherchent la face de Dieu peuvent capter la lumière de Dieu. 

1. On accepte la souveraineté de Dieu au jour de détresse.
Il est bon d’attendre en silence le salut de l’Eternel. Des fois nous avons besoin d’un temps de s'asseoir et de méditer sur la volonté de Dieu au lieu d’ouvrir la bouche et d’exprimer son sentiment. L’Eternel est juste et c’est lui qui commande. L’homme n’a pas besoin de se plaindre de sa situation parce que de la bouche de l’Eternel sortent les maux et les biens. Nous rendons grâce à l’Eternel au jour de bonheur et nous méditons sa souveraineté au jour du malheur. 

2. On retourne à Dieu. L’Eternel est bon.
Le prophète nous propose d'examiner nos coeurs et de nous sonder pour retourner à l’Eternel. Certains pensent que l’homme peut commettre des injustices sans soucis. Mais il n’est pas possible de tromper Dieu qui voit tout du ciel.  Nous avons compris que la punition nous est arrivée de la part de Dieu car nous étions criminels et rebelles (v42). Dans sa colère, il a tué sans ménagement. Mais la racine de cette destruction vient de nos péchés et de nos coeurs endurcis. Jérémie fond en larme une nouvelle fois en disant “des torrents d’eau coulent de mes yeux, à cause du désastre de la fille de mon peuple.”

3. Je t’appelle au secours !
La prière nous donne la consolation en premier lieu. C’est pourquoi Jérémie a prié sans cesse, même quand il a été jeté dans une citerne. Ensuite, quand il a invoqué le nom de Dieu, il a ressenti que le tout puissant s’approche de lui et écoute sa voix. Quand on prie sincèrement à l’Eternel, il nous accorde la paix dans l’âme. Par la prière, Jérémie a compris que Dieu est bon et il exprime sa souffrance et enfin, il demande la miséricorde de Dieu au milieu de sa souffrance. Psaume 46 : 2 dit “Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui se trouve toujours dans la détresse.” 



vendredi 28 février 2020

Lm 3 : 1-24 (PQ du au 29/02/2020)


Souffrance mais espoir

Verset clé Lm 3 : 22

Jérémie était un témoin oculaire de la destruction de Jérusalem. En tant que serviteur de Dieu et prophète à son époque, il a pris énormément de peine pour passer cette période historique. Voyons aujourd’hui ses sujets de souffrance et son espoir ultime.

1. J’ai oublié ce qu’est le bonheur (1-18)
Dieu n’a pas conduit Jérémie sur le chemin des fleurs. Il l’a emmené dans les ténèbres. Jérémie a vu les humiliations de son peuple qui étaient foulés par les pieds des ennemis. Sa chair et sa peau ont été flétris. L’Eternel l’a fait habiter dans les ténèbres. Au bout d’un moment, il était emprisonné comme un criminel, sa souffrance était inexprimable à tel point qu’il ne pouvait pas prier à Dieu. Il était comme une proie devant un prédateur. Enfin du compte, il confesse qu’il était comme un objet de moquerie face à tous les ennemis. Nous partageons le même sentiment que Jérémie, quand nous constatons la détresse de nos proches causée par le péché et l’incrédulité.

2. Grande est ta fidélité (19-24)
Malgré la souffrance, Jérémie n’avait pas abandonné l’espoir. Dans cette situation compliquée et accablante, son âme trouve une source d’eau en l’Eternel. L’âme de Jérémie est abattue, mais elle se renouvelle chaque matin. Parce que la bienveillance de l’Eternel n’est pas épuisée. Comme une locomotive qui ne sait que courir en avant malgré des intempéries, Jérémie s’accroche à l’Eternel en s’appuyant sur sa fidélité et sur sa compassion. Dans ce passage, nous apprenons l’humilité et la persévérance de Jérémie. 


jeudi 27 février 2020

Lamentations 2 : 1-22 (PQ du au 28/02/2020)


Le peuple criait à la compassion
 Verset clé 2

1. Le Seigneur est devenu tel un ennemi (1-9)
En voyant la destruction de Jérusalem, le prophète Jérémie a ressenti vraiment la fureur de l’Eternel. Dans ce chapitre, le mot ‘colère’ apparaît 8 fois. Dans son ardente colère, Dieu a abattu toute la force de Juda. Parce qu’il aimait son peuple et que celui-ci avait péché. Il l’a couvert d’une nuée d’amour ; maintenant il le couvre d’un nuage de colère. Dans sa fureur, il leur a retiré leurs cornes (leurs puissances) (3). Il retira les murs de protection. Il devint tel un ennemi ; il déversa son courroux tel du feu. Il rejeta son autel et son sanctuaire et mit à distance les responsables politiques et spirituels afin que le peuple devienne comme une brebis sans berger.

2. Le Seigneur avait annoncé ce qu’il allait faire (10-22)
Le peuple pleurait et souffrait. Le prophète pleura jusqu’à ne plus pouvoir. Il n’y avait pas de réconfort pour Jérusalem. Les prophètes étaient trompeurs et faux. Ils n’étaient pas des enseignants de la Bible. Si le peuple ne se repentait pas, il ne pourrait se soustraire à la captivité. La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes (Rm 1 : 18), mais c’est encore plus sévère quand il s’agit du peuple de Dieu. Le prophète et le peuple criaient à la compassion et à l’aide de l’Eternel.

mercredi 26 février 2020

Lamentations 1 : 1-22 (PQ du au 27/02/2020)


L’introduction de ‘Les lamentations de Jérémie’

Le thème des lamentations de Jérémie est la tristesse suite à la destruction de Jérusalem. Jérémie était un témoin oculaire de la destruction de Jérusalem et il confesse dans Jérémie 8 : 23 “Oh! si ma tête était de l’eau, si mes yeux étaient une source de larmes, je pleurerais jour et nuit les morts de la fille de mon peuple !” La vérité qui ressort dans ce livre est la colère de Dieu. Jérusalem fut détruit et ses habitants eurent la honte à cause de leur péché qui était plus grande que le péché de Sodome (4 : 6). La colère de Dieu tomba même sur son peuple quand Israël commit le péché. Ce livre nous enseigne que le salut de l’homme s'accomplit uniquement par la miséricorde de Dieu. La larme de Jérémie manifeste son chagrin personnel suite à la destruction de Jérusalem, mais c’est aussi une expression du coeur affligé de Dieu voyant son peuple dans la détresse. 5 : 21 dit “Fais-nous revenir vers toi, Eternel, et nous reviendrons ! Renouvelle nos jours comme autrefois !” C’est la prière désespéré du prophète. 

A CAUSE DE SA REBELLION

Verset clé 1

1. L’Eternel l’a affligé (1-11a)
Jérusalem avait été comme une reine parmi les citées, maintenant elle est devenue comme une esclave. Le prophète Jérémie fond en larmes car le consolateur s’est éloigné de lui. Pourquoi sont-ils tombés dans cette misère ? Parce que les ennemis étaient plus puissants que Juda (v9) ? Non ! En effet, l’ennemi n’est pas la raison de cette détresse nationale. C’est parce que Jérusalem a multiplié ses péchés (v8). L’armée de Babylone entra dans la ville, la mit à sac de ses trésors et prit l’élite du peuple en captivité. La destruction de Jérusalem en 586 av. J.C. par les Babyloniens n’était pas un accident, c’était la punition de Dieu en raison de la multiplication des péchés du peuple. Il n’y avait personne pour le consoler (8-9).

2. Le coût élevé de la rébellion (11b-22)
Les versets 11b à 22 présentent la voix de Jérusalem qui crie pour son soulagement. La citée en larme ne blâmait pas Dieu parce qu’il est droit. L’esprit de rébellion du peuple de Dieu est la racine de son péché ; Dieu a lié le joug de mes crimes et ils se sont montés à la gorge (14). Celui qui se rebelle contre les commandements de Dieu semble être libre, mais il a forgé une chaîne qui le maintiendra esclave. Nous apprenons que si nous laissons le péché agir en nous, le péché va tout prendre et nous allons tout perdre. Les ennemis dans ce monde sont des lions tapis. Ce qui est le plus redoutable est l’esprit de compromission avec le péché et la mauvaise influence de ce monde. Nous devons nous souvenir que Dieu n’épargne pas son propre peuple s’il est devenu l’esclave du péché.


mardi 25 février 2020

Jean 14 : 22-31 (PQ du au 26/02/2020)


Je vous laisse la paix

Verset clé Jean 14 : 27

Jésus ne s'intéressa pas à se montrer au monde. Car il sût que le monde n’est pas digne de le connaître et de l’adorer. En revanche, il aima ceux qui ont été appelé par Dieu et il désira que ses disciples gardent ses paroles comme des commandements.

1. Une promesse à Ceux qui gardent mes paroles (22-26)
Celui qui aime Jésus garde sa parole et le Père du ciel l’aimera. Ensuite, le Père et le Fils viendront en lui et ils feront une demeure chez lui sous forme du saint esprit. Par contre, celui qui n’aime pas Jésus ne gardera pas sa parole. Quand l’Esprit de vérité vient vers les disciples, il enseigne toutes choses et rappelle tous les enseignements de Jésus. Nous avons besoin d’aimer Jésus et de garder ses paroles afin que l’esprit de Dieu fasse une demeure en nous.

2. La paix de Jésus (27-31)
La paix que Jésus nous donne est différente de celle du monde. Dans cette scène, d’un point de vue humain, Jésus devait être la personne qui a le moins de paix à cause de la souffrance qui approchait. Mais étonnamment il a la paix, la paix de Dieu, c’est une assurance profonde qui se base sur l’amour paternel de Dieu. C’est une paix qui vient de la victoire finale provenant du Dieu tout puissant. Si on est tout seul devant le dominateur du monde, on se trouve dans un état vulnérable. Mais, quand nous nous appuyons sur la parole de Jésus, nous pouvons ressentir la paix de Dieu au fond de notre coeur.

lundi 24 février 2020

Jean 14 : 15-21 (PQ du au 25/02/2020)


Esprit de vérité

Verset clé Jean 14 : 16

Dans ce passage, notre Seigneur présente le saint esprit. Le but de nous envoyer l’esprit de Dieu est qu’il ne souhaite pas que nous soyons comme des orphelins dans ce monde. En effet, Jésus veut nous accompagner jusqu’au bout. Voyons la promesse de Jésus qui nous console et qui nous encourage.

1. Dieu envoie un Consolateur à ceux qui gardent les commandements de Jésus.
Dieu n’envoie pas son esprit à des chrétiens culturels. Ceux qui aiment Jésus, ils luttent pour garder la parole de Jésus en eux et ils essayent d'appliquer sa parole dans leur vie. C’est eux qui sont les bien-aimés de Jésus et le Seigneur leur envoie son Esprit de vérité (v15). En revanche, celui qui n’aime pas Jésus ne garde pas ses paroles et les paroles de Jésus ne demeurent pas chez eux. Il est important de ne pas se satisfaire juste d’écouter la parole de Jésus, mais de lutter jusqu’au bout, pour la mettre en pratique dans notre vie.

2. la venue de Saint esprit est réservée aux disciples (v17a).
Le monde ne peut pas le recevoir parce qu’il ne le voit pas et ne le connaît pas. La présence de l’Esprit de Dieu est comme un secret pour les disciples. C’est à dire, l’Esprit de Dieu est une preuve comme quoi Dieu ne nous a pas abandonné, mais il nous accompagne en tout temps et en tous les lieux. 

3. l’Esprit de Dieu est en nous (17b). Certains pensent que l’esprit de Dieu demeure dans un endroit sacré. Certains pensent que l’esprit de Dieu produit seulement des miracles et des prodiges. Mais c’est faux et ces idées ne viennent pas de Dieu, mais des hommes. Parce que Jésus dit que l’Esprit de Dieu demeure près de nous et en nous. Si nous expérimentons un changement radical dans la vie et si nous ressentons un désir saint que l’on n’avait guère auparavant, c’est parce que l’esprit de Dieu est en train de travailler en nous. Celui qui aime Jésus sera aimé par le Père et il ne sera pas comme un orphelin, mais Jésus est toujours avec lui par l’Esprit de vérité.

dimanche 23 février 2020

Jean 14 : 5-14 (PQ du 24/02/2020)


Je suis le chemin  

Verset clé Jean 14 : 6

Il y a des moments où on ne sait pas où aller. Il y des moments où notre coeur est bloqué par la peur et par l’angoisse malgré des paroles d’exhortations. Les disciples étaient ainsi et le Seigneur Jésus leur donna une leçon essentielle et décisive. 

1. Je suis le chemin (5-10)
Thomas répliqua “comment en saurions-nous le chemin?”, Philippe pareil “Seigneur, montre-nous le père ?” La racine de ces paroles vient de leurs pensées humaines. Elles se basent sur l’humanisme et le pragmatisme. on dit, ‘je ne crois pas tant que je ne vois pas’. A cette idée terrestre monta un peu l’attention du Seigneur mais il donna aussitôt une parole de vérité. “Je suis le chemin, la vérité et la vie.” Jésus lui-même est la meilleure réponse à toutes nos questions. Jésus lui-même est le meilleur chemin qu’on peut prendre quand on est dans la peur et dans la confusion. Car nous pouvons voir Dieu notre Père dans la personnalité de Jésus. Dieu se manifeste à travers son fils Jésus. La parole de Jésus ne vient pas de lui-même, mais du Père qui demeure en lui. Donc, celui qui a vu les oeuvres de Jésus n’a pas besoin de voir Dieu. Jésus est Dieu et Jésus seul suffit.

2. Si vous demandez, je le ferai (11-14)
Pour les douze et pour les futurs disciples qui n’arrivent pas à avoir l’assurance dans la vie, ils ont le même problème. La foi leur manque. Si nous avons un coeur sincère et fidèle à lui et que nous demandons à Dieu dans le nom de Jésus de tous nos coeurs, nos prières peuvent être exaucées par le Père. “tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils.” dit le Seigneur. Dieu ne ment pas et cette promesse de Jésus sur la prière sera prouvée dans notre vie quand on priera sincèrement devant Dieu selon sa volonté. 

samedi 22 février 2020

Jean 14 : 1-4 (PQ du au 23/02/2020)


Dans la maison de mon Père

Verset clé Jean 14 : 2

Les coeurs des disciples étaient effrayés parce que Jésus leur avait dit qu’il s’en irait. Mais le Seigneur le sut et rassura ses bien-aimés en disant “Que votre coeur ne se trouble pas. Croyez en Dieu, croyez aussi en moi.” Quand notre coeur est troublé par l'anxiété, la solution est le bouclier de la foi. La foi en Dieu notre Père qui nous aime tant chasse l'inquiétude et la peur et implante la paix dans notre coeur. 

1. Dans la maison de mon Père (1-2)
L'inquiétude principale de l’homme est à cause de l’incertitude sur son salut. Mais, à ceux qui sont s’attacher à Jésus, il a donné une promesse qu’il dissipera complètement toute la peur et l’angoisse concernant la vie après la mort. “Il y a beaucoup de demeures dans la maison de mon Père.” Pour ses disciples effrayés, le Seigneur leur a promis de leur donner la vie éternelle à travers son sacrifice. En effet, Jésus aime donner une place pour ses biens aimés dans la maison du Père. 

2. Je vous prendrais avec moi (3-4)
La promesse de Jésus qu’il reviendra et nous prendra s'accomplit à travers la venue du Saint Esprit. Jésus nous accompagne tout au long du chemin ici-bas par son Esprit et quand il revient avec toute sa gloire, c’est à ce moment-là que cette promesse se réalise complètement. La foi en Jésus nous fait vaincre le monde et la promesse de Jésus est l’assurance la plus sûre face à la peur. 

vendredi 21 février 2020

Jean 13 : 31-38 (PQ du 22/02/2020)


Le nouveau commandement

Verset clé Jean 13 : 34

Dès que Judas fut sorti, Jésus médita sur sa gloire car il glorifiera Dieu le père à travers cette affaire et ensuite, il sera glorifié par Dieu en raison de son obéissance. Dans la pensée de Jésus, il n’y a pas de place pour le fatalisme ou pour le sentiment d'échec. Jésus se concentra sur la gloire de Dieu en toute circonstance. En plus, à ce moment critique, Jésus nous donne un nouveau commandement, un nouvel ordre qui est censé se situer au centre de notre coeur.

1. Aimez-vous les uns les autres (34-35)
Dans l’ancien testament, des fois, Dieu a demandé au peuple de Dieu d’aimer, mais l’objet d’amour était souvent ‘le Seigneur votre Dieu’ comme Deutéronome 11 : 1. Une fois, Dieu a demandé d’aimer les étrangers (Dt 10 : 19). Donc, quand Jésus dit “aimez-vous les uns les autres : comme je vous ai aimés”, il s’agit d’une révolution. En plus, ce n’est pas une exhortation, mais un commandement auquel nous devons obéir sans équivoque. A travers sa vie, Jésus nous a montré un exemple d’excellence sur l’amour. En marchant vers la croix à Golgotha, il a sauvé beaucoup d’âme à travers son amour sacrificiel. Sans l’amour, même le monde ne reconnait pas que nous sommes des chrétiens. Comment avez-vous obéi à ce commandement nouveau de notre Seigneur ?

2. Tu me suivras plus tard (36-38)
Pierre montra son désir d'accompagner son maître là où il ira. Mais le seigneur lui dit qu'il n'est pas capable de le suivre pour l'instant. Cependant, Pierre parle fort en insistant. "Je donnerai ma vie pour toi" Cette conversation nous fait voir que nous ne pouvons pas suivre notre seigneur seulement avec notre force. Jésus, connaissant son disciple plus que lui-même, dit un mot prophétique. " Tu me suivras plus tard" Que Dieu nous accorde la prière et l'attitude humble devant le Seigneur afin que nous puissions le suivre pas à pas. 

jeudi 20 février 2020

Jean 13 : 18-30 (PQ du 21/02/2020)

Il faut que l’Ecriture s’accomplisse

Verset clé Jean 13 : 20

Jésus connaissait ses disciples et il savait aussi que l’un d’eux allait lui tourner le dos et le trahir. Mais il n’est pas tombé dans le fatalisme à cause de lui. Parce qu’il savait que cela devait arriver afin que la parole s’accomplisse. Ps 41 : 10 dit “Qui avait ma confiance et qui mangeait mon pain, Lève le talon contre moi.” Celui qui accepte le fils de Dieu accepte le père au ciel qui l’a envoyé. En revanche, celui qui n’accepte pas Jésus refuse aussi le père qui est au ciel.

1. Jésus annonça la trahison de Judas (21-27)
Jésus fut troublé en son esprit à cause de Judas. Il dit clairement “l’un de vous me livrera.” Même, Pierre s'interrogea sur ce sujet  et voulut savoir de qui il s’agissait. Il fit un signe à Jean et ce disciple bien aimé de Dieu alla questionner directement le Seigneur. Jésus trempa un morceau de pain dans le plat et le donna à Judas. Jésus indiqua de cette manière claire que c’est Judas qui allait trahir le Seigneur. Mais ceux qui étaient autour de la table n’ont rien compris. Ils voulurent comprendre cette parole de Jésus sous forme de métaphore. Mais il fallait comprendre ces paroles littéralement. 
La raison pour laquelle le Seigneur donne ce temps à table n’est pas pour humilier Judas devant ses collègues ou le condamner. Plutôt Jésus voulait lui donner un dernier moment de réflexion sur son acte. Car il savait que son disciple n’aurait pas la chance pour regretter son plan et revenir à lui. Il ne faut pas traîner pour se repentir et accepter l’amour de Jésus. 

2. Judas prit le morceau et sortit (28-30)
Dans ce passage, nous ne voyons pas la réaction de Judas, sauf qu’il a pris le morceau et qu’il est sorti. Dans l’administration française, il y a un principe. “Silence vaut accord”. Le silence de Judas nous fait voir qu’il n’était pas révolté contre la parole de Jésus. Seulement, quand le maître lui a passé le morceau, il l’a pris sans remercier et sortit tout de suite. Le coeur de Judas était ténébreux autant que la nuit.
Réfléchissons la raison pour laquelle Judas tomba dans cet état. Judas laissa Satan entrer dans son cœur (V27). Il n’a pas lutté contre le diable et n’a pas contrôlé le mouvement de son coeur. Selon Romain 1 : 21, la racine du péché est de ne pas rendre la grâce à Dieu et de ne pas glorifier Dieu en ayant la connaissance de Dieu. Trouvons des sujets de remerciement et glorifions notre Père dans toutes les circonstances.

mercredi 19 février 2020

Jean 13:1-17 (PQ du 20/02/2020)


Jésus les aima jusqu’au bout

Verset clé Jean 13 : 1

L’amour de Dieu n’est pas majestueux ni extravagant. Mais il est sacrificiel, humble et salutaire pour les âmes pécheresses. Au dernier moment de sa vie, Jésus décida d’aimer les siens jusqu’à la fin. Voyons comment Jésus devient notre exemple d’amour à travers cette scène.

1. Jésus les aima jusqu’au bout (1-11)
Jésus savait que son temps est venu. Il ne lui restait pas beaucoup de temps sur la terre. Le moment était critique. Le diable a déjà mis la pensée de la trahison au coeur de Judas Iscariot. Bientôt, Jésus allait entrer dans l’angoisse face à sa mort (Mc 14 : 34). A ce moment-là, Jésus a décidé d’aimer les siens jusqu’au bout, ceux qu’il avait toujours aimé jusqu’à maintenant. Il se leva de table, enleva ses vêtements et prit un linge et un bassin d’eau et se mit à laver les pieds des disciples et à les essuyer un par un. C’était comme l’acte d’un esclave. Un homme consciencieux comme Pierre n’a pas compris cette action inattendue de son maître et lui dit “Toi, Seigneur, tu me laverais les pieds!” Ainsi il n’a pas voulu montrer ses pieds sales au Seigneur. Mais sa grandeur est son coeur simple et obéissant à une parole de son maître. “Si je ne te lave, tu n’as point de part avec moi.” Se prétendre comme un homme parfait avec l’aspect religieux devant Dieu n’est qu’un acte orgueilleux. Par contre, celui qui s’est baigné une fois, il n’a pas besoins de se laver sauf les pieds, car il est déjà entièrement pur. Seulement, il a besoin de se laver les pieds en présence de son Seigneur. L’amour est patient, l’amour est serviable, il n’est pas envieux : l’amour ne se vante pas, il ne s’enfle pas d’orgueil. (1Co 13 : 4)

2. Faites comme moi je vous ai fait (12-17)
Jésus est le Seigneur et le maître pour ses disciples. Il vient d’en montrer un exemple et il souhaite que ses gens deviennent ses imitateurs. C’est à dire, pour les chrétiens, il s’agit d’un devoir de se laver les pieds les uns aux autres (v14). Comment avez-vous pratiqué l’amour sacrificiel de notre Seigneur Jésus jusqu’à présent et quel effort avez-vous fourni pour laver les pieds de vos proches ? N’oubliez pas que nous serions heureux si nous pratiquions cet amour de notre Seigneur Jésus (v17). 


mardi 18 février 2020

Genèse 49 : 29- 50 : 26 (PQ du 19/02/2020)

DIEU TRANSFORME LE MAL EN BIEN

Verset clé Gn  50 : 20

Ici encore, apprenons le coeur de Joseph qui reste fidèle à la volonté de Dieu en toutes circonstances.

1. Mort et ensevelissement de Jacob (49 : 29 – 50 : 14)

Après avoir transmis la bénédiction de Dieu à ses descendants Jacob leur fait ses adieux en demandant à nouveau que son corps soit ensevelis dans le pays de Canaan car il ne perd pas de vu la terre de la promesse de Dieu. Il est honoré à sa mort par le peuple Egyptien qui l’embaume tel un grand de ce monde et accomplit pour lui leur coutume funéraire par un deuil de 70 jours. Il est enseveli en grand apparat dans la grotte de Makpéla de sorte que les Cananéens témoignent en disant que c’est un deuil imposant parmi les Egyptiens. Dieu fidèle rappelle ici sa fidélité et aussi manifeste sa grâce envers son élu, si peu digne aurai–t-il été dans une grande partie de sa vie mais qu’Il a patiemment formé et discipliné pour l’amener à une fin si glorieuse. (Rm 8 : 18)

2. Joseph pardonne à ses frères dans la crainte (15-26)

Les frères de Joseph ont peur que Joseph se venge d’eux en profitant de la mort de leur père. Joseph est peiné car ils ont ignoré qu’il leur avait pardonné de tout son cœur. L’homme coupable vit dans la crainte sans cesse. Mais l’amour de pardon de Dieu manifesté en Christ-Jésus banni la crainte dans le cœur de quiconque le reçoit. (Rm 5 : 8) Joseph ne cache pas leur faute mais il montre que, comme Dieu souverain au-dessus de tout a changé leur acte coupable en bien pour sauver un peuple nombreux, manifestant ainsi son amour et son pardon, Joseph lui aussi leur a pardonné. Joseph était animé du cœur de Dieu plein de grâce ; il ne pensait pas à lui-même ni aux tords qui lui était fait. Mais il voyait le but de Dieu dans tout ce qui s’était passé. En considérant le but de Dieu dans les circonstances pénible nous pouvons ainsi surmonter toutes l’amertume que celles-ci peuvent provoquer dans notre âme. Quand la mort de Joseph approche il fait promettre à ses frères de remonter ses os  dans le pays que Dieu a promis en retenant et implantant dans leur cœur la foi en la promesse de Dieu. (Hé 11 : 13) Il prophétise en même temps que le retour du peuple de Dieu au pays promis ce fera par l’intervention de Dieu.

lundi 17 février 2020

Genèse 49 : 1-28 (PQ du 18/02/2020)

JACOB TRANSMET LA BENEDICTION
Verset clé Gn 49 : 10

Avant de mourir Jacob transmet la bénédiction de Dieu à ses 12 fils prophétiquement. La bénédiction de Dieu n’est pas à posséder égoïstement mais à transmettre.

1. Une bénédiction pour chacun

En tant que patriarche Jacob sait sa responsabilité à l’égard de ses enfants pour leur commander de garder la voie de l’Éternel, pour pratiquer ce qui est juste et droit. (Gn 18 :19) Il prophétise sur chacun d’eux personnellement selon la  pensée de Dieu. Ce n’est pas Ruben l’aîné qui hérite de la suprématie sur ces frères bien qu’elle lui était acquise de par sa naissance. Jacob en mentionne la raison. Il s’était corrompu en couchant avec la concubine de son père. Ce n’est pas non plus le second ni le troisième fils, Siméon et Levi, car ils ont agit avec colère et violence en tuant le peuple de Sichem avec qui Jacob s’apprêtait à faire Alliance. Quand la corruption et la haine règnent le résultat n’est que ruine et malheur et à la fin c’est la perdition éternelle. Nous devons prendre garde de ne pas perdre la glorieuse position spirituelle qui nous était donnée par la grâce de Dieu en Christ Jésus, à cause de la corruption et de la violence de notre cœur.

2. Le bâton de commandement est à Juda.

 C’est Juda qui héritera du bâton de commandement, le 4ème fils de Jacob. Il a pris sur lui la condamnation de Benjamin avec un cœur de berger responsable à l’image de Christ qui a pris sur lui notre condamnation à cause de nos péchés. Le sceptre de la royauté ne s’écartera pas de cette tribu depuis le roi David jusqu’à ce que le Chilo vienne c'est-à-dire Christ. Jésus, né de sa descendance, régnera éternellement. (Lc1 :33). Comme le prince berger il fait paître son peuple en donnant la paix et le salut Eternel à tous ceux qui confesse son nom et l’accepte comme son roi. (Mt 2 :6 ; Rm 10 : 9)


dimanche 16 février 2020

Genèse 47 : 28-48 : 22 (PQ du 17/02/2020)

JACOB BENIT EPHRAIM ET MANASSE
Verset clé Gn 48 : 4

A partir de ce passage nous voyons la fin de la vie de Jacob.  Jacob mourant  demande à Joseph d’ensevelir son corps sur la terre de la promesse parmi ses pères et il bénit les fils de Joseph comme les siens.

1. Le cœur de Jacob reste attaché à la terre promise

Jacob vécut en Égypte dix-sept ans. Il appela Joseph et lui fit jurer qu’il ne laisserait pas son corps en Égypte, mais qu’il l’emporterait pour l’enterrer dans le sépulcre de ses pères. Il ne perdait pas de vue que Canaan serait donné en possession à sa descendance. Il voulait y être enterré pour y ressusciter comme héritier des promesses que Dieu avait faites. Hé 11 : 9,10. Si nous sommes à Christ, nous sommes la descendance d’Abraham, héritier selon la promesse de Dieu (Ga 3 :29) d’un héritage qui ne peut ni se corrompre, ni se souiller, ni se flétrir et qui nous ai réservé dans les cieux (1Pi 1 :4).

2. Jacob bénit Ephraïm et Manassé

En apprenant que son père était malade Joseph lui amena ses 2 fils Ephraïm et Manassé. Jacob rappelle la bénédiction de Dieu qui lui a été promise par le Dieu tout puissant qui lui est apparu à Louz. (v4) Cette bénédiction est ce qui est plus précieux pour lui. Elle était pour lui et ses descendants et il veut bénir les 2 fils de Joseph né en Egypte au temps où il était rejeté par ses frères. Il les compte comme ses fils, et les fait bénéficier de la bénédiction de Dieu au même rang que ses autres fils. Jacob a perdu la vue. Mais il possède la clairvoyance spirituelle quand il béni les fils de Joseph. Il bénit Ephraïm au-dessus de Manassé qui était l’ainé sans crainte de déplaire à Joseph leur père. La pensée de Dieu n’agit pas toujours en accord avec ce qui est naturel, mais selon sa souveraineté.

samedi 15 février 2020

Gn 46 : 31-47 : 27 (PQ du 16/02/2020)

TU NOUS RENDS LA VIE
Verset Clé Gn 47 :25

Joseph est devenu un homme puissant en Egypte, le 2e après Pharaon. Après les chaleureuses retrouvailles, Joseph introduit sa famille en Egypte et gère avec sagesse une famine destructrice.

1) Joseph installe sa famille à Gochen (46 :31-47 :12)

Joseph avait un plan de faire habiter la famille de son père à Gochen. Pour cela, il prépare avec eux leur entretien avec le Pharaon. : Dites que vous êtes des éleveurs… Quand vint l’entretien avec le Pharaon, Joseph présenta quelques-uns de ses frères puis son père Jacob fut interrogé sur son âge. Malgré ses 130 ans, Jacob regarda les années de sa vie comme peu nombreuses et mauvaises. Jacob savait reconnaitre sa petitesse devant le Pharaon. En effet, il n’avait pas atteint les 175 ans de son grand-Père Abraham (25 :7), ni les 180 ans d’Isaac son père (35 :28) dans leur vie nomade. Mais riche de la bénédiction de Dieu, il bénit le Pharaon qui manifesta sa bienveillance envers lui. Joseph pourvut pour eux des propriétés dans la meilleure partie du pays, au pays de Ramsés ainsi qu’à leur entretien. Dieu sait bénir celui qui lui obéit et les rendit extrêmement féconds en Egypte.

2) La bonne administration de Joseph (47 :13-27)

Comme l’avait annoncé Dieu au Pharaon par Joseph, la famine gagna tout le pays d’Egypte et tout le pays de Canaan dépérissait faute de pain. Grâce à la bonne administration du pays pendant les 7 années d’abondance, des réserves avaient été faites par Joseph. Maintenant que la faim gagnait tout le pays, le blé fut vendu à prix d’argent jusqu’à épuisement, puis à prix de cheptel jusqu’à épuisement. Après avoir tout vendu, la famine était tellement pesante, que le peuple réclama l’achat de leur terre et même l’achat d’eux-même en échange de pain. Joseph accepta et défini la règle des 1/5e. 1/5e de la récolte serait donné au Pharaon et le reste pour l’ensemencement de la terre et leur nourriture. De la sorte, le peuple put survivre à la famine en faisant valoir sa force de travail. Ils dirent : Tu nous rends la vie ! Face à la mort, que peut échanger un homme pour sa vie ? L’homme est heureux, non quand il paresse, mais quand il travaille fort pour sa vie.

vendredi 14 février 2020

Genèse 46 :1-30 (PQ du 15/02/2020)

DIEU DE JACOB ET DE JOSEPH
Verset Clé Gn 46 : 3

Jacob qui était séparé de son fils Joseph depuis plus de 20 ans, réalisa enfin qu’il était vivant. Sur cette bonne nouvelle, et poussé par la famine, Jacob décide finalement, de le rejoindre en Egypte. Dieu se révèle à Jacob en chemin.

1) Jacob quitte Canaan pour le pays d’Egypte (1-7)

Parti de Canaan, Jacob arriva à Beér-Chéba. Ce lieu fut chargé d’histoire. C’est là qu’Abraham conclut une alliance avec Abimélek, roi de Guérar et obtint l’attestation de propriété d’un puits. C’est aussi là qu’Abraham invoqua le nom de l’Eternel, le Dieu d’éternité. A son tour, Jacob adora Dieu qui a été le souverain sur sa vie et sur celle de son père et ancêtres avant lui, en lui offrant des sacrifices. Pour Jacob, ce déplacement en Egypte de toute sa famille pouvait être un temps de crise avec la famine qui s’appesantissait. Mais Dieu révéla qu’il est le Dieu vivant qui répond des cieux. Il lui dit : « ne crains pas de descendre en Egypte car c’est là que je te ferai devenir une grande nation (3) C’est moi qui t’en ferai remonter…. Dieu lui dit que Joseph lui fermera les yeux (4). Dieu est celui qui connait tout, même l’avenir. Il put ainsi guider Jacob à travers un songe nocturne. En Dieu, nous pouvons guider notre vie et obtenir son accompagnement. Jacob obéit à la direction de Dieu de monter en Egypte et y emmena toute sa famille.

2) L’étendue de la famille de Jacob (8-27)

Jacob n’avait que son sac lorsqu’il quitta son père Isaac. Mais maintenant, après plusieurs années écoulées, Dieu le bénit et le multiplia à travers Léa, Rachel, Zilpa et Bilha. De la sorte, il monta avec 66 fils et petit-fils, sans compter les femmes des fils de Jacob. 70 personnes furent dénombrées. Dieu rendit Jacob fécond comme il l’avait dit (32 :13).

3) Les retrouvailles de Jacob et de Joseph (28-30)

Joseph prévenu par Juda, monta à la rencontre de son père Jacob. Dieu réjouit le cœur de Jacob par ses retrouvailles. Joseph ne put s’empêcher de se jeter au cou de son père et de pleurer longuement. Pour Jacob, voir son fils en vie était tout ce qu’il avait souhaité avant de mourir. Dieu répondit à son souhait.

jeudi 13 février 2020

Genèse 45 : 1-28 (PQ du 14/02/2020)


Une grande délivrance

Verset clé Gn 45 : 7 


Par la grâce de Dieu, le salut est apporté à la famille de Jacob par Joseph. Dieu a été pleinement souverain de l'histoire en vue de la repentance des fils de Jacob qui deviendront les pères des 12 tribus d'Israël. Voyons comment la famille de Joseph a été réuni par Dieu en ramenant la joie dans tous les coeurs.

1. Pour vous garder en vie (1-24)
Lorsque Joseph se révéla lui-même à ses frères, ils furent terrifiés. Mais Joseph n’avait aucune pensée de vengeance. Il leur apprit la raison pour laquelle Dieu l’avait envoyé en Egypte. Il vit sa vie à la lumière de la souveraineté de Dieu. Il avait compris le pourquoi de sa souffrance et que cela en valait la peine. Dieu était en train de l’utiliser dans son œuvre rédemptrice pour sauver des vies. Il sauva les vies de beaucoup d’Egyptiens, il sauva les vies du peuple de Dieu dans une grande délivrance. Pour accomplir son objectif, Dieu l’humilia en tant qu’esclave et l’exalta pour être un père du roi d’Egypte. Dieu veut nous utiliser dans son œuvre rédemptrice. Dieu intervient entièrement dans la vie de son peuple encore maintenant. Souvenons-nous que la situation souffrante même que nous passons est au milieu de sa souveraineté. En Dieu, nos vies ont un sens. Quelle volonté de Dieu avez-vous compris dans votre souffrance et votre peine, à la lumière de la souveraineté de Dieu ? Comment Dieu est en train de vous utiliser dans son œuvre rédemptrice pour sauver les vies et accomplir son objectif ? Où Dieu vous envoie-t-il pour cela ?

2. Mon fils Joseph est vivant ! (25-28)
Jacob avait vécu pendant 20 ans avec une grande tristesse dans son cœur. Il put difficilement croire en cette bonne nouvelle. Son cœur resta froid. Il apprit finalement que Dieu est fidèle. Son cœur est réchauffé. Avez-vous un cœur froid qui a du mal à croire en la fidélité de Dieu à cause de la tristesse et l’amertume qui datent longtemps ? Quand Dieu se révèle en nous (son but, la volonté, son espoir par sa Parole), notre âme reprend la vraie motivation de vie. Pour cela il faut répéter sa Parole. (26) Comme le confesse Joseph, C’était Dieu qui a fait perdre ce qui lui a été le plus cher. Et maintenant celui qui a été mort pour lui, Dieu va le lui ramener vivant. Derrière les terribles péchés qui détruisent l’homme, Dieu travaille pour le ramener vivant. Avez-vous un cœur chaud qui hâte de voir l’œuvre de Dieu vivant ? Votre esprit reprend-il vie à quel signe ?

mercredi 12 février 2020

Genèse 44 : 1-34 (PQ du 13/02/2020)

LA REPENTANCE DE JUDA

Verset clé Gn 44 : 33

1. Tous ensemble (1-17)
Joseph fit mettre sa coupe d’argent dans le sac de Benjamin. Quand l’intendant de Joseph rattrapa ses frères et les accusa d’avoir volé la coupe, ils le nièrent avec véhémence. Mais suite à une fouille, elle fut trouvée dans le sac de Benjamin. Les frères auraient pu laisser Benjamin à son sort et s’en aller librement, mais ils déchirèrent leurs vêtements, rechargèrent leurs ânes et s’en retournèrent. Etes-vous solidaires pour rester avec vos frères et sœurs en Christ qui passent les moments douloureux et porter leur sort ensemble ? Ou êtes-vous égoïstes en pensant que ce n’est pas votre problème ? Réfléchissez comment porter le fardeau ensemble ; vivre et mourir ensemble avec nos frères et sœurs qui sont engagés en Christ.

2. Le fruit de repentance de Juda (18-34)
Juda répondit : Que dire à mon seigneur ? Comment parler ? Comment nous justifier ? Dieu a trouvé tes serviteurs en faute. Nous voici esclaves de mon seigneur, aussi bien nous que celui sur qui la coupe a été trouvée. (16)

Nous apprenons que sa repentance vient de la conscience. Il ne chercha pas à se justifier. Mais il confesse que Dieu les a trouvés en faute. Il accepta sa culpabilité devant Dieu.
Juda avait promis à son père qu’il se tenait personnellement responsable de Benjamin. Juda avait été un homme de promesses brisées. (Gn 38) Il ne s’était pas soucié de la tristesse de son père dans le passé. Maintenant il suppliait en faveur de Benjamin et fit part de l’insupportable chagrin que l’absence de Benjamin allait donner à son père. Alors il demanda de prendre la place de Benjamin. C’est-à-dire de devenir un esclave à sa place. La rédemption se paie. En donnant sa vie, Christ nous a délivrés de l’esclavage du péché. L’image du Rédempteur se révèle en Juda qui porte la culpabilité sans se justifier. Loué soit notre Rédempteur qui porta notre culpabilité à notre place. Il a payé lui-même pour nous libérer du triste sort de l’esclavage du péché. C’est de lui-même qu’il a donné sa vie pour nous racheter.
Celui qui se repent sincèrement porte le fruit de la repentance. Portez-vous le fruit de votre repentance ? = Tenez-vous vos promesses devant Dieu ?

mardi 11 février 2020

Genèse 43 : 1-34 (PQ du 12/02/2020)


LE SECOND VOYAGE EN EGYPTE

Verset clé Gn 43 : 9

1. L’engagement de Juda (1-10)
Pendant que Jacob retint Benjamin, la famine continua et la situation est devenue plus sévère. Il n'avait pas le choix. Tous souffraient de la faim. Juda dit avec fermeté que le seul moyen de survivre est de ramener Benjamin selon l’exigence du 1er ministre de l’Egypte. Et il s’engage pour porter la faute sur lui s’il ne le ramène pas à son père. Il comprend maintenant l’affliction de son père et prendre la responsabilité sur lui. Avez-vous la volonté de vous rendre responsable et de vous trouver coupable en cas de faute pour ramener une âme, ceci parce que vous comprenez le cœur de votre Père céleste ? 


2. La décision de Jacob (11-14)
Jacob céda finalement à la supplication de Juda et envoya Benjamin avec ses frères en Egypte pour y chercher de la nourriture. Il donna de l'argent et des présents. Jacob dit « Que le Dieu Tout-Puissant fasse que cet homme ait compassion de vous, et qu'il laisse revenir avec vous votre frère et Benjamin ! Et moi, si je dois être privé de mes enfants, que j'en sois privé ! » Dans cette parole, Jacob s’appuie sur le Dieu Tout Puissant qui a été miséricordieux qui est venu le rencontrer et lutter avec lui à chaque moment crucial de sa vie. Il confia le résultat de toute chose en ce Dieu. Il décida de confier toutes choses en Dieu, en coupant son attachement personnel. Avez-vous les choses que vous avez envie de retenir dans vos propres mains ? (initiative de votre vie) Quel est votre Benjamin (que vous voulez épargner) ? Quelle promesse de Dieu devez-vous retenir afin de le confier entièrement dans la main de Dieu ? Quelle décision devez-vous prendre ?

3. Disciplinés par amour (15-34)
Joseph ne traita pas ses frères sévèrement cette fois-ci. Il vit Benjamin et pleura. Il prépara un merveilleux banquet dans sa propre maison en leur honneur. Il libéra Siméon. Mais ses frères interprétèrent son acte gentil comme des menaces cachées. Ils s'inquiétaient seulement de l'argent qui leur avait été rendu et conclurent que le Premier ministre était en train de comploter afin de les réduire en esclavage. Le péché enlève la joie du cœur. La peur et le sentiment de culpabilité conduisent les hommes à douter même des actes d'amour. Les frères étaient intimidés par la disposition des places au banquet. Comment ce Premier ministre les connaissait-ils si bien ? Joseph entraîna ses frères avec amour. Il les avait pardonnés mais il voulut qu'ils se repentent et deviennent des hommes nouveaux. Dieu nous regarde et nous entraîne par sa sagesse insondable. Elle nous semble parfois inhumain et incompréhensible; ainsi tantôt durement, tantôt tendrement. Et son vrai coeur se révélera.


lundi 10 février 2020

Genèse 42 : 1-38 (PQ du 11/02/2020)


" Oui, nous avons été coupables envers notre frère! "
Verset clé Gn 42 : 21 

Le temps ne peut effacer le moindre péché, même si nous l'avons oublié. Joseph semble être oublié. Mais Dieu a attendu pour ses frères le moment favorable pour leur rétablissement relationnel avec lui. Dieu permet à ses enfants bien-aimés, les épreuves (la famine, la privation, maladie ou accident), pour que le salut soit accompli dans leur vie.

1. Le chemin de survie (1-20)
La famine était sévère en Canaan, alors Jacob dit à ses 10 fils ; « descendez en Égypte, pour nous en acheter là-bas (du blé), afin que nous puissions survivre et que nous ne mourions pas. » Joseph reconnut ses frères lorsqu'ils se prosternèrent devant lui. Il se souvint de ses rêves (37 : 6-11). Il sut que Dieu contrôlait sa vie et qu'il était serviteur de Dieu.  Il leur parla avec dureté. Il les a accusés faussement et injustement comme des espions puis comme des menteurs. Ils ont répondu qu’ils sont sincères. Nous disons que nous sommes sincères et nous sommes bien des menteurs qui camouflent bien nos péchés et l’oublions comme si cela est sans conséquence.
Joseph éprouva ses frères non pour la vengeance (21-22). Le vrai amour ne laisse pas ignorer le péché mais aide à le reconnaître, s’en repentir. Quand on se repent, on peut rencontrer Dieu. Quand il veut réveiller notre conscience, il est parfois nécessaire qu'il nous parle «durement». Quand il vous arrive quelque injustice, irritez-vous ou cherchez-vous à vous justifier ? Ou demandez-vous plutôt ce que Dieu veut vous apprendre par ce pénible moyen ? L’amour de Dieu travaille dans notre conscience. Il veut rétablir la véritable relation d’amour.

2. L’examen de conscience (21-38)
Les frères de Joseph se disaient l'un à l'autre : Oui, nous avons été coupables envers notre frère ; car nous avons vu la détresse de son âme, quand il nous demandait grâce, et nous ne l'avons pas écouté. C'est pour cela que cette détresse nous arrive.
Joseph pleura quand ses frères confessèrent leur péché et montrèrent du remord, mais il continua de les pousser. Quand ils découvrirent leur argent dans leur sac de grain, ils furent terrifiés. Ils se dirent : « Qu’est-ce que Dieu nous a fait ? » (28).  Ils commencèrent à examiner leurs vies devant Dieu.  Ils retournèrent à la maison et rapportèrent à leur père que Siméon était resté en captivité ; ils ne pouvaient pas y retourner sans Benjamin. Joseph les poussa jusqu'à leurs limites humaines. Ils devaient faire face à Dieu. 



dimanche 9 février 2020

Genèse 41 : 41-57 (PQ du 10/02/2020)

POST TENEBRAS LUX 

Verset clé Gn 41 : 51-52

1. Après les ténèbres, brille la lumière. (41-49)
Le Pharaon a donné à Joseph l’autorité sur tout le pays, Suite à l’interprétation de son rêve et aux conseils sages et intelligents.  Pharaon eut une pleine confiance et faveur à Joseph. (42.43).  Et il appela Joseph du nom de Tsaphnath-Pahnéakh (ce qui signifie, d'après l'hébreu : révélateur de secrets ; d'après l'égyptien : sauveur du monde ; ou : soutien de la vie.) Joseph auparavant esclave ensuite prisonnier dans un pays étranger, maintenant est devenu le Seigneur. Toutes ces années qu’il a passées dans la souffrance loin du père bien aimé, (où il semblait être abandonné, méprisé, et oublié) son âme aurait dû être profondément humiliée. Mais Dieu lui donna l’honneur, la gloire, le pouvoir.
Dieu a travaillé silencieusement, en formant en lui l’image du Sauveur. Dieu a préparé le salut de son peuple par ses afflictions. Ne fallait-il pas que le Christ souffre ces choses et qu'il entre dans sa gloire ? (Luc24.26) Pensez-vous que Dieu prépare le salut de beaucoup et forme en vous l’image du Christ en utilisant quelle souffrance ?
Au temps de gloire richesse et pouvoir, Joseph ne s’enorgueillit pas. Il fit l’œuvre qui lui est confiée. Il croyait en la parole de Dieu ; pour les sept années, la terre travailla à pleine main, Joseph rassembla tous les vivres de ces sept années dans le pays d'Égypte.  La quantité en était si considérable que l'on cessa de compter, parce qu’il n’y avait plus de nombre pour compter. Mais dans un tel temps de l’abondance, par la foi en Dieu il fit le nécessaire pour pallier à la famine qui arrivera. Lorsque les années de famine vinrent, il ouvrit les réserves et nourrit les Egyptiens et le monde. Il devint intendant du monde. Avez-vous l’attitude de prévoir le besoin de l’avenir et de travailler par la foi à l’œuvre que Dieu vous a confiée ; sans tomber dans l’autosuffisance comme intendant devant Dieu?

2. Les deux fils de Joseph (50-57)
Dieu donna la consolation à Joseph en lui donnant une épouse et par la naissance des deux fils. Les noms de ses fils témoignaient de sa foi. Manassé signifie "oublier". C'était son témoignage que Dieu lui avait ôté tristesse. Dieu guérit la peine. Ephraïm signifie "deux fois féconds". Dieu le rendit fructueux dans ce pays d'humiliation. La bénédiction de Dieu ne le rendit pas fier. Joseph accepta la souveraineté de Dieu. Il continua de marcher avec Dieu. Remercions Dieu en confessant de quelles peines Dieu nous a donné la consolation. Quels sujets vous rendent joyeux, humble et obéissant à Dieu ?

samedi 8 février 2020

Genèse 41 : 1-40 (PQ du 09/02/2020)


        
Dieu fait oublier toute la peine
Verset clé : Gn 41 : 16,51,52

Dieu est celui qui nous fait oublier toute la peine reçue pendant notre vie sur la terre. Dieu efface toutes larmes. (Ap 21 :4) Joseph n’est pas oublié mais Dieu travaille en sa faveur miraculeusement  et accompli la vision de Joseph dans sa jeunesse car ce que Dieu dit arrive infailliblement.

1 . L’échanson se rappelle
Après 2 ans passé, au moment où le Pharaon fait des rêves qui demandent une interprétation que personne dans son entourage ne peut donner, l’échanson se rappelle de Joseph et celui-ci est quémander auprès du Pharaon.  Ses vêtements de prisonnier sont ôtés, et il est présenté devant le grand roi comme l’homme de la situation.  Le Seigneur abaisse et il élève qui il veut 1 Sam 2 :7,8. Les songes de Joseph s’accomplissent. Ses frères n’ont fait autre chose que d’y contribuer par leur méchanceté. Aucun de ceux qui se confient en Dieu ne sera confus. Joseph ne se vantais pas de son don mais il dit humblement « ce n’est pas moi c’est Dieu qui donnera une réponse favorable au Pharaon ». Il ne craint pas de confesser le nom de Dieu au roi et ce n’est pas vain : Mt 10 : 32

2. L’humiliation remplacée par la gloire
Le pharaon explique à Joseph ses 2 rêves. 7 vaches grasses apparaissent puis sont mangées par 7 vaches maigres sans que celles-ci ne grossissent d’un millimètre. 7 gros épis poussent suivit de 7 maigres qui engloutissent les premiers sans qu’ils n’y paraissent plus.  Joseph explique qu’il s’agit d’un même rêve et que Dieu annonce au pharaon ce qu’il va faire. 7 années d’abondance seront suivies de 7 années de famine si intenses que toute l’abondance de l’Egypte sera oubliée. Joseph enseigne que Dieu est le Souverain de la nature et de l’histoire et donne conseil au roi d’établir un homme intelligent qui rassemble le blé de ces années d’abondance afin qu’il serve de réserve pour pouvoir faire face aux années famine. Le Pharaon voit en Joseph la sagesse de Dieu. Il le place à la tête du pays. Toute humiliation est ôtée et remplacé par gloire et honneur. Joseph prend autorité et agit comme un bon intendant de sorte que lorsque vint la famine, tout le pays d’Egypte avait du pain grâce à Joseph. Le nom qu’il donna à ses deux fils Manassé et Ephraïm montre sa reconnaissance envers Dieu qui a effacé toute sa peine et son humiliation. 


vendredi 7 février 2020

Genèse 40 :1-23 (PQ du 08/02/2020)


 Joseph en prison

Verset clé : Gn 40 : 8

En prison Joseph ne s’apitoie pas sur lui-même, mais il sert les autres. Il doit attendre le temps de Dieu dans l’adversité. La foi éprouvée est plus précieuse que l’or périssable (1Pi :6,7) Entre temps il reste fidèle. Celui qui est fidèle dans de petites choses l’est dans de grandes choses. (Lc 16 :10)

     1.      Joseph explique les rêves.
Parfois on peut faire un rêve qui demande une explication. Le grand échanson et le panetier sont des hauts responsables admis auprès du roi. Cela est un grand privilège mais aussi une grande responsabilité. Lorsque leur service indigna le Pharaon ils furent aussitôt jetés en prison. Ainsi le grand échanson et le grand panetier sont confiés à la surveillance de Joseph. Quand ils firent chacun un rêve la même nuit qui suscitait une explication Joseph intervint, voyant leur mauvaise mine. Même si il aurait été méprisé par eux et avait ses propres problèmes. Avec un cœur de berger iI leur parle de Dieu qui révèle les rêves. Dieu donne la clairvoyance à ses serviteurs pour comprendre sa volonté

     2.      Une explication favorable et une explication défavorable.
Le grand échanson rêva d’un cep de vigne qui donna 3 sarments qui bourgeonnèrent et produisirent des raisins murs qu’il pressa dans la coupe du Pharaon et le servit. Selon l’explication de Joseph il sera rétabli comme auparavant dans sa fonction auprès du Pharaon dans 3 jours. Joseph y vit là une opportunité pour obtenir la liberté si cet homme parle en sa faveur et lui demande courageusement. Le grand panetier espéra une explication aussi favorable de son rêve. Mais Joseph lui expliqua que les 3 corbeilles sur sa tête de pains mangées par les oiseaux signifiaient sa prochaine pendaison.
Joseph pouvait dire exactement le sens du rêve tel qu’il est sans craindre la réaction de la personne en face car il s’agit de la vérité de Dieu que Dieu veut révéler aux hommes. Dieu peut utiliser des hommes qui ont la crainte de Dieu et qui transmettent la parole de Dieu telle qu’elle est sans rien y retrancher, ni y ajouter. (1 Sa 3 :11-18) Tout se réalisa comme Joseph l’a expliqué. Mais le grand échanson oublia Joseph une foi rétabli dans sa fonction. Il ne fit rien pour lui. On ne peut se fier aux hommes égoïstes mais Dieu seul est notre vrai appui.

jeudi 6 février 2020

Genèse 39 :1-23 (PQ du 07/02/2020)


Un homme intègre dans l’adversité

Verset clé : Gn 39 : 9

Joseph vendu par ses frères n’est pas abandonné de Dieu. Dans la situation adverse Dieu est avec lui et intervient en sa faveur en bénissant ce qu’il entreprend. Dans la situation adverse apprenons l’optique de Dieu et la confiance en sa bonne volonté et l’accomplissement de son plan parfait pour notre vie.

     1.      Joseph, l’intendant fidèle
Joseph fut acheté par le chambellan du pharaon, Potiphar. Joseph aurait pu se demander pourquoi toutes ses choses lui arrivaient et se révolter. Mais au travers de toutes ces épreuves sa foi en Dieu était testée. Il n’a pas abandonné son cœur intègre et il servait son maître fidèlement. Dieu béni son travail chez lui au point que celui-ci l’établi sur toute sa maison. Potiphar n’avait plus rien à faire. Mais en réalité ce n’était pas Joseph c’était l’Eternel Dieu qui faisait reposer sa bénédiction sur tout ce qui appartenait à l’Egyptien aussi bien aux champs qu’à la maison. Dieu, même au travers de l’adversité, est avec son enfant veille sur lui et le fait prospéré. Joseph devait traverser la souffrance avant d’atteindre la grande gloire.

      2.      Accusé à tord
Joseph est beau, intelligent, jeune et il est comme le maitre dans la maison. Il aurait pu s’enorgueillir. Mais il continuait de servir son maître fidèlement. Il ne trahit pas la confiance qui lui a été donné même pour succomber aux passions de la jeunesse. La femme de Potiphar par contre ne maitrisait pas ses désirs charnels envers Joseph et ne cessait de le harceler pour qu’il couche avec elle. La réponse de Joseph montre son cœur, humble, et reconnaissant de la faveur  et confiance de son maitre mais avant tout il montre qu’il vivait devant les yeux de Dieu et marche avec la crainte de Dieu pour lui plaire avant tout. La femme de Potiphar au contraire n’a aucune conscience de péché mais un orgueil blessé qui cherche à se venger de son humiliation en utilisant le mensonge. Joseph reste intègre devant Dieu mais c’est lui qui est accusé. Cela signifie-t-il que Dieu ne reconnait pas son coeur et  ne garde pas ses promesses envers ses fidèles?  Non. Tout en éloignant Joseph de la « tentatrice »  Dieu use de bienveillance envers  lui dans la prison comme lorsqu’il était dans la maison de Potiphar. Il est l’établit comme responsable de tous les prisonniers, Dieu bénissant encore une foi tout ce qu’il entreprenait. Dieu fidèle demeure et veille sur son enfant jusqu’au bout. Alors ne doutons pas et restons lui fidèle nous aussi quoiqu’il advienne !