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mercredi 12 juin 2019

Jean 10 :1-21 (PQ de 13/6/2019)

JESUS EST LE BON BERGER 
Verset Clé 10 : 11
Jésus guérit un aveugle, mais fut désolé de voir que ceux qui sont dans la bonne santé pour les yeux, sont devenus aveugles à cause de leur convoitise et ambition. Jésus fit de l’aveugle guéri son enfant, mais Jésus pensa aussi aux Juifs, qui se rebellaient contre lui, afin qu’ils se repentent de leurs cœurs endurcis et deviennent ceux qui partagent sa grâce et son salut. D’où cette parabole du bon berger.   
1. La parabole du bon berger (1-6)          
A la vue des Juif dont l’aspect ressemblait aux mercenaires et brigands, car ils chassèrent et exclurent de la synagogue l’aveugle guéri, Jésus donna la parabole du bon berger. La bergerie est l’endroit où on ramasse les brebis et les garde sous la protection des prédateurs pendant la nuit. Le berger surement n’aurait pas été rentré à la maison, mais passer la nuit en dehors de la bergerie. Quand à l’aube il se lève et vient, le portier ouvre la porte pour qu’il y entre. Le portier peut être Dieu lui-même ou il signifie aussi le berger humain. Quand le bon berger entre dans la bergerie, les brebis reconnaissent la voix du berger et se laissent appeler par lui un par un et sortent de la bergerie et se dirigent vers le vert pâturage auquel le berger dirige. Le vrai leader doit savoir quelle est sa position et quel est son rôle.
2. L’explication sur « la porte et le bon berger. » (7-21)

Jésus, du fait que par son intermédiaire, les brebis entrent dans la bergerie et s’assurent de la sécurité, déclare qu’il est lui-même la ‘porte des brebis’ (7). Les brigands et les voleurs qui montent par un autre côté se réfèrent aux Pharisiens au sens étroit (8). Par contre, Jésus est la porte du salut (9). Les voleurs et les mercenaires s’emparent de la vie des brebis, mais le bon berger sauve les vies des brebis en donnant sa vie pour elles (10-15). De surcroît, le bon berger accomplit le salut des païens qui ne sont pas entrés dans la bergerie (16). Jésus ne meurt pas parce qu’il a le péché, mais pour que les brebis aient la vie en abondance. Par la locution de la vie reprise, Jésus fit une allusion de ce qu’il sera ressuscité (17-18). Que Dieu nous aide à ressembler à Jésus le bon berger !

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