MOI NON PLUS JE NE TE CONDAMNE PAS
Verset Clé 8 : 11
Sur
la scène nous trouvons deux types diagonalement opposés : les scribes et
Pharisiens d’une part et Jésus d’autre part. Jésus-Christ n’est pas comparable.
Les uns sont accusateurs, mais Jésus pardonne, quel que soit le passé d’une
personne. Louons le Seigneur pour son amour incommensurable pour nous.
1. Les
Pharisiens qui jugeaient (7 :53-8 :6)
Après l’avoir écouté dans le temple, beaucoup de gens
se mirent à suivre Jésus. Alors que Jésus enseignait la parole dans le temple,
l’ennemi amena une femme prise en flagrant délit d’adultère au temple pour
jeter le piège à Jésus. Puis en se référant à l’Ancien Testament (Lév
20 :10), il demanda à Jésus ce qu’il aurait fait, étant donné que Moïse
avait ordonné de lapider de telles pesonens. Cette question n’avait pas pour
but d’obtenir quelques conseils pour procéder au bon traitement de l’affaire de
la femme arrêtée, mais elle était une question abjecte et lâche, ayant pour but
de mettre au piège Jésus et de trouver les chefs d’accusations contre lui.
2. Jésus qui pardonna (7-11)
A l’encontre de
l’opposition des scribes et les Pharisiens qui réclamaient un choix de Jésus,
Jésus dit « celui qui n’a pas de péché » autrement celui qui est sans
défaut donc qui ne commet pas de péché jete le premier la pierre. A l’écoute de
cette parole, les scribes et les Pharisiens sentirent l’accusation de la
conscence et se retirèrent un par un à partir des plus âgés, jusqu’aux moins
âgés. Les scribes et les Pharisiens étaient impéccable dans leur observation de
la loi, mais ne voyaient pas les poutres qui étaient dans leurs yeux. Jésus qui
a le pouvoir de pardonner le péché pardonne le péché à la femme et lui donne la
chance de se repentir. N’est-ce pas par hasard que vous êtes tentés de juger
les autres comme les Pharisiens plutôt que de pardonner les fautifs comme le
fit Jésus ?
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