Actes 26 : 19-32 (PQ du 31/01/2020)

OBEISSANT A LA VISION CELESTE

Verset clé Ac 26 : 19

Paul porta un témoignage court de son changement en pharisien zélé dans l’oppression des chrétiens à celui qui défend le Christ qui est le premier des ressuscité.

1. Paul appelle à la repentance (19-23)

Paul fut amener à prêcher aux juifs et aux païens car cela lui avait été demandé par Christ ressuscité sur le chemin de Damas. Il est fidèle à Dieu. « Je n’ai pas désobéi à la vision céleste » Il prêchait la repentance aux juifs et aux païens et en ce moment même, au roi Aggripa. Il enseignait aux hommes qu’ils devaient retourner à Dieu et mener une vie digne de leur repentance à l’image de Paul qui restait repentant à Dieu à tout instant. Là était le problème des juifs. Ils ne supportaient pas cette idée qu’ils aient tort. Ils ne voulaient pas accepter de se repentir. Afin de mettre un terme à cet appel à la repentance qui devait les tirailler au plus profond d’eux-mêmes, ils souhaitaient éliminer l’homme, Paul, tous les hommes qui mettaient à défaut leur conscience. De plus, ils n’aimaient pas les païens et ne pouvaient accepter de les reconnaître comme leurs frères devant Dieu.

Paul mit clairement en avant dans sa défense que tout ce qu’il enseignait n’était pas nouveau. Tout était déjà écrit dans les livres. Christ devait souffrir et ressusciter des morts. La Bonne Nouvelle devait être proclamé dans le monde entier et qu’elle soit connue de tous les hommes. Contrairement aux juifs, c’était bien Paul qui était fidèle à la vision et à la volonté de Dieu.

2. A l’exception de ces chaînes (24-32)

Festus était mal à l’aise face à ce discours. Il crut que Paul avait perdu l’esprit ou plutôt, il cherchait un échappatoire pour ne plus avoir à entendre le discours sur la repentance. Pourtant la repentance pour obtenir le pardon des péchés est la meilleure chose qui peut arriver à l’homme. C’est même mieux que d’être gouverneur ou bien roi. Le roi Aggripa était au courant de tout cela et il ne pouvait que reconnaître la véracité des paroles de Paul. Tout homme est esclave du péché sans exception. Le roi Agrippa reconnut le discours de Paul mais il ne se repentit pas pour autant. Il savait qu’il était lui-même pécheur. (Des rumeurs incestueuses entre lui et sa sœur Bérénice couraient). Avec Festus, ils convinrent que Paul n’était coupable d’aucun crime mais Festus n’en était pas moins obligé d’envoyer Paul à Rome car Paul en avait appelé à l’empereur.