Jérémie 17:1-27

LES PECHES GRAVES DE BURIN

Verset Clé 17:1

Dieu punit les orgueilleux rebelles des Israélites. Jérémie parle du jour de sabbat à observer, car après l’idolâtrie, c’est un péché grave que de ne pas l’observer et c’est ce que le peuple commet.

1. Les coeurs rebelles (1-18)

L’Eternel Dieu pénètre le coeur et voit combien méchant le coeur du peuple est (9). Dieu prévient que le péché est gravé de burin (1). Toues les collines verdoyantes où il a commis l’idolâtrie est une trace ineffaçable du péché. Juda se confie aux puissants, non à Dieu. Il y a un contraste entre ceux qui se confiant aux hommes et ceux qui se confient en Dieu. Les premiers sont assoiffés de l’amour humain, inaltérable malgré l’abondance de grâce. Ils sont aveugles pour ne pas voir le passage du bonheur. Par contre, les deuxièmes sont « aveugles » pour ne pas voir passer le malheur. Il est toujours verdoyant, même dans l’année de sécheresse. Le peuple refuse la parole, en disant « où est-elle ? » mais Jérémie ne refuse pas d’être berger, dont la charge est lourde, il prie seulement qu’il n’ai pas peur ni honte.

2. L’observation de sabbat, clé du bonheur (19-27)

L’Eternel ordonne à Jérémie d’aller à la porte de la ville et se tenir et dire au peuple que s’il observe le sabbat, Dieu le comblera de la bénédiction. Mais si le peuple n’observe pas, mais porte le fardeau et travaille le sabbat, le malheur tombera sur lui. La ville sera brûlée et les donjons auront le même sort. Mais si on observe le sabbat, la maison de Dieu sera remplie des offrandes et holocaustes et les rois du monde viendront la visiter et les habitants de la villes seront nombreux.

Prière : Seigneur, protège-moi de l’idolâtrie qui est comme un gravement d’un burin. Fais moi observer le sabbat.

Un mot : Appuyez-vous non sur l’homme, mais sur Dieu.